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RAS

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RAS's Achievements

  1. 2-0 Babicka Magri
  2. Mise à jour du classement après la J22 TFC-PSG (0-1). @ResetBulshit est absout. Terminé.
  3. Merci de respecter les jeux partenaires @violet
  4. RAS

    Stadium Municipal

    À peu près toutes les lois liberticides sont basées sur ce principe hein
  5. @ResetBulshit peut faire peur de loin, mais sous sa fourrure de loup se cache un agneau au coeur tendre (contrairement à ce que prétend sa photo de profil...), alors n'hésitez pas la prochaine fois. Il est certes en avance sur son temps question swag, comme vous avez pu le constater.
  6. Mise à jour du classement après la J21 AJA-TFC (2-2), seul @en_congés a trouvé le score exact CLASSEMENT DE LA HONTE:
  7. 1-0 Aboukhlal
  8. 2-0 Aboukhlal x2
  9. Un biais à enseigner à nos joueurs
  10. Aperçu Pantxigoal à Labège.
  11. Emporté par les inondations...
  12. En fait j'ai regardé son profil Twitter et c'est pas nouveau de sa part.
  13. https://www.ladepeche.fr/2025/02/04/tfc-guingamp-en-coupe-de-france-jai-la-haine-je-tourne-en-voiture-jusqua-trois-heures-du-matin-pantxi-sirieix-raconte-la-catastrophe-de-2009-12480977.php Alors que le TFC reçoit Guingamp ce mercredi 5 février (20h45) en 8e de finale de Coupe de France, Pantxi Sirieix a accepté de revenir sur le moment le plus douloureux de sa carrière, l’élimination face aux Bretons en 2009, en demi-finale. Seize ans plus tard, la blessure est toujours vive. Le 22 avril 2009, le TFC, qui terminera 4e de Ligue 1, est éliminé de la Coupe de France en demi-finale, au Stadium, par Guingamp, alors en Ligue 2 (2-1). Titulaire ce soir-là, Pantxi Sirieix en garde un souvenir amer, le pire de sa carrière. Encore très ému au moment de l’évoquer dans ses bureaux du centre-ville toulousain, celui qui est devenu conseiller en patrimoine raconte cette soirée qui a tourné au cauchemar. "Je m’en souviens très bien. Surtout de la colère que j’ai ressentie après le match. C’est le seul regret que j’ai de ma carrière. Ça me fait encore remonter l’émotion… Pour tout vous dire, le soir, après le match, je ne rentre même pas chez moi. Je tourne, je tourne en voiture, je m’arrête à trois heures du matin et je prends une chambre d’hôtel. Je crois que c’était à Labège. J’ai du monde à la maison, et je ne veux parler à personne. Ce n’est pas très élégant, mais à ce moment, je m’en fous. J’ai la haine, envie de tout casser. Je sais que si je rentre chez moi, je vais insulter tout le monde. Tu te dis que dans la vie, tu n’as pas beaucoup d’occasions de réaliser quelque chose de grand, et là, je suis passé à côté. Je n’ai pas de souvenir d’après le match, des vestiaires. Juste de la rage qui m’habite. J’ai rarement ressenti quelque chose d’aussi intense. La plupart des gens pensent que l’on a joué ce match tranquillement, en étant sûr de gagner. Très sincèrement, je ne l’ai pas du tout vécu comme ça. On ne fait pas le match qu’il faut, c’est sûr, mais il faut dire que Guingamp est très bon ce soir-là. On a pourtant une équipe de folie cette saison-là: Carrass (Cédric Carrasso) qui est incroyable dans les buts, Dédé (Gignac) qui marche sur l’eau, Capoue, qui a une dalle de fou, il est énorme, les trois joueurs qui font notre saison. Mais sur le terrain, j’ai le souvenir qu’on se regarde avec Etienne Didot, même pas besoin de parler, on pense la même chose. On se faisait «jongler», ils jouent en une touche, pam pam pam, triangle, ça part à l’opposé… J’ai deux potes, Lionel Mathis et Thibault Giresse, qui y ont joué très longtemps, qui ont été capitaines, pourtant quand j’entends «Guingamp», c’est épidermique. Ce match est une blessure. J’ai beaucoup pensé à Jacqui Teulières (intendant historique du TFC entre 1986 et 2020). Il se faisait une joie de monter au Stade de France… De ne pas lui donner ça, avec tout ce qu’il faisait pour nous, ça a été dur. Damien (Comolli) a eu l’élégance de m’inviter pour la finale du TFC en 2023. Jacqui et Olivier Sadran étaient là aussi. C’était très particulier. C’était presque comme refermer cette cicatrice. Tous les gens du club vous le diront, ce qui était assez incroyable, c’était de voir Jacqui et Olivier se tomber dans les bras. Bien sûr, il y avait la joie de gagner contre Nantes, mais derrière, il y avait aussi ce souvenir de 2009 qui remontait. Ça m’a fait énormément de bien d’assister à ce match. Je n’effacerai jamais cette demi-finale perdue, mais ça adoucit un peu."
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