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Nico12

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Tout ce qui a été posté par Nico12

  1. Je serai vraiment dégouté de le voir partir..
  2. Bonjour, Je cherche deux places pour un ami toulousain ce soir. Si jamais n'hésitez pas à me contacter !
  3. La toute première il part aux fraises et est sauvé sur sa ligne par Suazo.
  4. Je viens de revoir le match plus tranquillement qu’au stade et je confirme que ses sorties sur corners c’est quand même suicidaire 🤣
  5. l'essentiel À plus de 6 000 kilomètres de Toulouse, l’ancien latéral droit du TFC, formé à Rennes sous les ordres de Montanier, s’apprête à vivre la finale avec plusieurs heures de décalage horaire et espère une issue favorable pour les Violets. Steven, vous avez quitté Toulouse en 2021 et opté pour le numéro 31 lors de votre arrivée à Colombus… Oui, c’est par rapport à Toulouse, il y a un lien. C’est pour témoigner de mon amour pour cette ville. Le club (Colombus Crew, NDLR) m’a demandé plusieurs fois si je voulais changer, mais non, je suis resté avec le même numéro. Vous avez déjà connu plusieurs finales, comment s’y préparer ? Quand tu es plus jeune, le fait d’avoir la pression, la ville qui est derrière toi… C’est compliqué de s’y préparer. Ça m’est arrivé avec Montanier lors de ma première finale avec Rennes contre Guingamp (en 2014) et on avait perdu. Avec l’âge, on apprend à mieux préparer ce genre de matchs Quels sont les souvenirs que vous gardez sous les ordres de Montanier ? Une très bonne expérience. Il m’a permis de jouer à plusieurs postes, latéral droit, latéral gauche et même excentré. J’ai eu une très bonne relation avec lui, c’est pour ça que je suis vraiment content de ce qu’il fait à Toulouse. Ça ne me surprend pas du tout. J’avais déjà confié que c’était un très bon choix de le prendre. Cette finale de Coupe de France, comment vous l’aviez préparée ? On était dans une période un peu compliquée en championnat. Inconsciemment, tu penses beaucoup à la finale. Même les entraînements, tu n’as pas envie de te blesser, tu fais le strict minimum. Généralement, ce n’est pas très bon car ce n’est pas une très bonne préparation. Toulouse, c’est tout le contraire. Leurs matchs de championnat se sont bien passés, ils se sont bien préparés, je ne les vois pas perdre. Pas du tout. Et le coach Montanier, quel était son discours avec cette échéance importante ? Il n’avait pas besoin de nous donner de motivation car si tu n’es pas motivé pour une finale, c’est compliqué. Quand je dis que la période était difficile avec Rennes, c’est parce qu’on était un peu dans la même situation que Nantes actuellement. Une fois qu’on savait qu’on était en finale, on a dégringolé au classement. Au niveau du discours, il a toujours été le même. Il nous a demandé de jouer cette finale, de ne pas se mettre de pression et de la gagner. Guingamp a été très bon sur cette finale. C’est un regret de ne pas l’avoir connu en tant qu’entraîneur à Toulouse ? (Réflexion) Oui, un petit peu. C’est vrai que j’y ai pensé. Le fait de l’avoir connu en étant jeune et de savoir qu’il est maintenant à Toulouse, sachant que je me sentais très bien au TFC, c’est un petit regret. Je suis très content de ce qu’il fait parce qu’il le mérite. On avait une très bonne relation, il savait me pousser. Il était « H24 » sur mon dos, il disait que j’avais beaucoup de qualités mais que je me reposais beaucoup sur mes acquis. C’est là-dessus qu’il m’a beaucoup poussé. C’est sûr que Philippe Montanier, j’aurais été content de l’avoir à Toulouse. C’est un véritable meneur d’hommes ? Philippe parle anglais et espagnol. Il est très proche de ses joueurs et donne tout pour eux. Il discute avec tout le monde, même celui qui joue moins ou qui est blessé. À Rennes, il a eu pas mal de nationalités aussi. Ça ne me surprend pas du tout que dès la première année, il ait réussi à faire monter le club en Ligue 1. Vous vous attendiez à ce type de renouveau depuis le rachat du club ? Non, ça ne me surprend pas. Le travail qu’à fait le président est extraordinaire. Même si des joueurs sont en fin de contrat, des joueurs vont être amenés à partir, je pense que ça ne bougera pas car il y a du très bon boulot qui est fait en interne. Après la blessure de Rhys Healey, certains ont dû se dire que ça allait être compliqué, mais Thijs Dallinga est arrivé et est au même niveau. Je ne me fais pas de soucis.” Aujourd’hui, un an après sa remontée, le TFC est à un match de l’Europe… Je me rappelle, en Ligue 2, le premier discours de Damien Comolli, c’était de remonter en Ligue 1 et de retrouver l’Europe. J’espère vraiment qu’ils vont gagner ce match car on était à 5 minutes de retrouver la Ligue 1 lorsqu’on a perdu contre Nantes. Même si j’en veux énormément à l’arbitre qui n’a pas sifflé ce penalty. Ça nous aurait permis d’être en Ligue 1 bien plus tôt. Je sais que Brecht Dejaegere il l’a encore en travers donc j’espère qu’il va faire en sorte de gagner ce match. Pour vous aussi, ce TFC-Nantes a un goût de revanche ? Ce match à un goût très très très amer. Surtout par rapport à la saison qu’on avait faite. En plus, les supporters n’étaient pas présents aux matchs durant la saison. Ils nous témoignaient régulièrement de leur amour et venaient nous voir avant les matchs. Aujourd’hui, voir le Stadium comme ça, l’ambiance… C’est très beau. J’espère que ce sera la fête au Capitole. D'autant que Nantes est dans une période compliquée en championnat... Le maintien du TFC a été acquis très tôt donc c’est sûr que ça enlève un poids comparé à Nantes, qui est l’équipe sous pression. La situation de Nantes va jouer grandement. Inconsciemment, ça joue car les résultats ne sont pas bons, la spirale est négative. Tu commences le match, tu es craintif et tu es déjà sur le reculoir. C’est tout l’inverse de Toulouse, qui est maintenu et réalise une très bonne saison. Le jeu est très fluide et porté vers l'offensive. Nantes a beaucoup plus de pression que Toulouse. Ils vont peut-être avoir cet excès de confiance, se dire qu’ils l’ont déjà gagné l’année dernière et vont commettre plus d’erreurs. Comment jugez-vous les performances de votre successeur, Mikkel Desler ? Très, très, très bonnes. C’est là où je dis que le président a été très fort, c’est que toutes les personnes qu’ils recrutent, au-delà des qualités sportives, répondent présent dans le comportement. Mikkel Desler, je suis fan. J’ai pu discuter avec lui quand je suis venu au Stadium. Je lui ai dit que ce qu’il faisait était très bien et que j’aimais la façon dont il jouait. On comprend que vous continuez de suivre régulièrement le TFC... Je ne rate aucun match. Le seul moment où c’est compliqué, c’est lorsqu’on est en déplacement. Généralement, c’est le dimanche en plus donc c’est parfait. Je suis à la maison, tranquille. Je discute toujours avec les joueurs, tout le monde.. Un vrai supporter. Avec le décalage horaire, la finale sera bien avant mon match donc j’aurai le temps de la regarder. Un pronostic pour cette finale ? Je vois bien un 2-0 : coup de pied arrêté, passeur Branco van den Boomen, et but de Rasmus Nicolaisen. Farès Chaïbi pour le second but. Un message pour les joueurs ? Tout simplement, faire ce qu’ils ont fait cette saison, donner tout ce qu’ils ont. De toute façon, la Ville de Toulouse et tout le monde seront fiers d’eux quoi qu’il arrive. Qu’ils n’aient aucun regret et qu’ils foncent tête baissée.
  6. ENTRETIEN. Finale de la Coupe de France Toulouse - Nantes : Damien Comolli explique comment le TFC est devenu une référence Le président Damien Comolli, fou de joie après la qualification pour la finale. DDM - MICHEL VIALA Toulouse Football Club, Sport, Football Publié le 26/04/2023 à 14:08 , mis à jour à 14:59 La rédaction avec AFP l'essentielLe TFC, finaliste de la Coupe de France samedi contre Nantes, "devient une référence", estime son président Damien Comolli, homme de confiance du fonds d'investissement américain RedBird, un propriétaire "enchanté de l'évolution" du club depuis son rachat en 2020. Une finale de Coupe de France, en plus d'un maintien en Ligue 1 quasiment acquis... Auriez-vous cru cela possible à votre arrivée il y a moins de trois ans? Bien évidemment que non (il sourit). Ce n'est pas quelque chose que l'on planifie. Nous avions, en revanche, planifié de remonter le plus rapidement possible (en L1). On l'a fait la deuxième année, en étant champion (de L2). Vous évoquez le maintien, mais de notre côté, on n'a jamais construit une équipe pour jouer le maintien. Je dis cela sans aucune arrogance et en toute humilité: le défi que j'ai lancé en début de saison, c'est essayer de finir dans le top 10 (le TFC est actuellement 12e). A lire aussi : PORTRAIT. Finale de la Coupe de France Toulouse - Nantes : restaurants, Cristiano Ronaldo et marché des Carmes... on découvre Vincent Sierro, milieu de terrain du TFC Cette ambition est-elle promue par les propriétaires américains? Les objectifs, ce sont nous qui nous les fixons. Ils n'ont jamais dit 'il faut être européen' ou 'il faut gagner la Coupe de France'. Les seuls impératifs sont d'être compétitif et de ne pas perdre d'argent. Nous sommes compétitifs et cela fait trois ans que nous gagnons de l'argent. Ils sont enchantés de l'évolution. Pour eux, ce qui est important, c'est que tout le monde leur parle de Toulouse. On devient d'une certaine manière une référence: un club qui produit du spectacle, qui est bien géré, qui gagne de l'argent et qui remplit son stade. A lire aussi : Finale de la Coupe de France Toulouse - Nantes : Ratao, Suazo, Nicolaisen... Quels joueurs du TFC ont déjà remporté une coupe nationale ? Comment êtes-vous justement parvenu à réconcilier le "Téfécé" avec ses supporters? Quand je suis arrivé, il y avait une vraie fracture entre la communauté et le club, entre la ville et le club, et il fallait reconstruire. C'est énormément de travail. On a commencé à gagner rapidement en produisant un football qui correspond aux valeurs de la ville et de la région: l'audace, l'attaque et le spectacle. On est passé d'environ 6.500 spectateurs par match en moyenne lors des dernières saisons de L1 à plus de 23.000 cette saison. Notre communauté ne cesse de s'étendre, grâce notamment à un ancrage régional de plus en plus fort. A lire aussi : Finale de la Coupe de France Toulouse-Nantes : "On y va pour la gagner, clairement", Damien Comolli, le président du TFC confiant avant la finale Êtes-vous tout de même surpris par l'engouement autour de cette finale? On sera au minimum 22.000 (au Stade de France), puisque c'est le nombre de places que le club a vendues. Mais certains me disent que l'on aurait pu être 40.000. Je crois que c'est la première fois depuis que je suis au club que je suis aussi fier de quelque chose. Pas fier de nous, mais de nos supporters. Cette finale va être une transhumance venue d'Occitanie et je trouve cela extraordinaire. On m'avait pourtant dit quand je suis arrivé ici qu'il n'y avait ni passion, ni pression à Toulouse. La description que l'on m'a faite du club et de sa communauté est tellement différente de ce que nous sommes en train de vivre. A lire aussi : Finale de la Coupe de France Toulouse-Nantes : des grilles vont être installées devant les deux virages du Stade de France Les propriétaires pourraient-ils investir davantage en cas de qualification européenne, via une victoire en Coupe de France? Que l'on soit en Coupe d'Europe ou pas, le club ne remettra jamais d'argent, il n'en a jamais été question. On vit avec nos propres ressources et recettes et si on est en Ligue Europa, on essaiera de créer davantage de ressources, c'est tout. On aura une équipe la plus compétitive possible et on gardera notre philosophie, notre style de jeu. Le plus important, c'est de continuer à progresser tous les ans et faire en sorte d'améliorer les infrastructures du club (...). On continuera de promouvoir des jeunes du centre de formation et d'autres jeunes de l'extérieur. Notre ADN restera le même. Ce que je peux garantir, c'est que si on a le bonheur d'y être, on jouera notre carte à fond. Comme tout ce que l'on fait depuis que nous sommes là.
  7. Nantes-Toulouse, des ultras qui ne se supportent pas En plus de trente ans, l'antagonisme entre les groupes ultras nantais et toulousains les plus radicaux, dont les clubs se croiseront samedi en finale de la Coupe de France, s'est durci au fil d'événements dramatiques. Les supporters de Toulouse, avant la réception de Nantes en match aller de barrage d'accession à la L1, le 27 mai 2021. (T. Breton/Panoramic) Simon Bollemis à jour le 26 avril 2023 à 23h19 ma liste commenter réagir partager Les plus fins observateurs scruteront les tribunes du Stade de France, sur les coups de 21 heures, samedi, quand Nantes et Toulouse ouvriront la finale de la Coupe de France. L'affiche n'a rien à voir avec un PSG-OM ou des derbys comme Lille-Lens et Lyon-ASSE. Mais elle oppose deux camps qui ont développé une certaine hostilité. lire aussiDes grilles devant les virages au Stade de France pour la finale Le premier épisode notoire de cette inimitié remonte au printemps 1991. En amont d'un déplacement à Saint-Étienne, le car transportant une cinquantaine de supporters toulousains s'embrase, à cause d'un fumigène allumé à l'intérieur. Vingt-trois passagers sont blessés et l'un d'eux succombera à ses brûlures, douze jours plus tard. Il s'appelait Denis Deltreil et avait 20 ans. C'est alors que, à contre-courant de la vague de solidarité nationale, et au moment où Toulouse et Bordeaux - rival historique de Nantes - font bon ménage, une partie des fans des Canaris tourne en dérision l'hommage, sur la base de chants détournés et de coupures de fanzine « pas très bien senties », selon un bon connaisseur du milieu nantais. D'après lui, « il n'y avait pas forcément d'antécédents, mais on était dans la culture trash ». À l'époque, les mouvements ultras et hooligans sont en plein essor en France. Ni les Indians Tolosa (1993) ni la Brigade Loire (1999), les principaux groupes ultras de chaque côté, n'existent, mais les affrontements n'ont pas attendu. « Cela coïncide avec une période où chacun se cherchait un peu des adversaires », note le sociologue Nicolas Hourcade, spécialiste du supportérisme. Des provocations nantaises après la mort de Brice Taton La provocation accentue un antagonisme naissant, bien qu'il n'y ait jamais eu de rivalité sportive ou géographique. Cette animosité reprend de l'ampleur au milieu des années 2000, une fois le « Téf » réinstallé dans l'élite. En février 2006, avant un match entre les deux clubs, des coups de barres de fer s'échangent à proximité du Stadium. Puis la tension monte en flèche après la mort du supporter toulousain Brice Taton, 28 ans et sauvagement agressé à Belgrade en septembre 2009, en marge d'un match du TFC en Ligue Europa contre le Partizan. lire aussiMémoires et cicatrices près de douze ans après la mort de Brice Taton en Serbie Là encore, le noyau dur du virage Est toulousain considère que ses homologues nantais n'ont pas honoré ce nouveau deuil. Ils l'avaient notamment fait savoir en avril 2019, quelques mois après la disparition d'Emiliano Sala. « Chez nous, on respecte les morts. RIP Emiliano », affichaient deux banderoles dans le kop occitan, qui a repris du poids ces derniers temps. La hache de guerre n'est toujours pas enterrée. Fin août 2022, lors de Nantes-Toulouse (3-1), un tag avait été découvert dans les toilettes du parcage visiteurs de La Beaujoire. « Attention Brice », était-il écrit, avec le dessin d'un homme tombant des escaliers, en référence à la chute fatale de Taton. Un hommage à Brice Taton avait été rendu dans le virage du Stadium qui porte son nom, lors de la saison 2021-2022. (N. Luttiau/L'Équipe) Ce jour-là, dans le parcage, un supporter toulousain tenait à bout de bras un drapeau siglé « Vous êtes des putains Nantes » (l'original étant « On est Nantes putain »). « Je ne dis pas qu'on est les gentils et eux les méchants, parce qu'on a aussi des défauts, mais c'est une question de valeurs, lâche une source proche des Indians Tolosa. Le nombre de fois où on les a vus simuler la mort de Brice Taton dans les tribunes et chanter sur lui, laisser des messages sur nos téléphones... » « Cette finale, c'est plutôt un Toulouse-Paris-Nantes » Nicolas Hourcade, sociologue spécialiste du supportérisme Les frictions sont surtout circonscrites aux franges les plus radicales. « 99 % des gens s'en foutent de Toulouse », sourit un fidèle de La Beaujoire, où Bordeaux, Saint-Étienne et Rennes demeurent les plus grands adversaires. En 2017, afin de justifier un arrêté, la préfecture de Haute-Garonne pointait pourtant « une forte animosité entre les ultras nantais et leurs homologues ultras toulousains ». Mais le schéma est un peu plus complexe qu'une simple opposition Indians-BL (*), même si elle est la plus visible aujourd'hui. (*) Sollicitée, la Brigade Loire n'a pas souhaité nous répondre. Dans les années 1990, il s'agissait avant tout de duels entre hooligans, davantage présents au stade. Les groupements nantais (Urban Service, Yellow Power) ont disparu depuis, mais à Toulouse, la CamSide Tolosa entretient la rivalité. Ses capacités de mobilisation et de nuisance sont redoutées. D'autant qu'elle est réputée pour être restée très proche des hooligans de Boulogne (du nom de l'un des virages du Parc des Princes), officiellement dissous mais toujours actifs. Certains craignent une action collective dans la journée de samedi. « Cette finale, c'est plutôt un Toulouse-Paris-Nantes, en fait », souffle Nicolas Hourcade. Il y a dix jours, déjà, lors du déplacement de Nantes à Auxerre en L1 (1-2), une bagarre avait éclaté entre des membres de la Brigade Loire et des indépendants parisiens de Karsud, une filiale d'Auteuil. Preuve que l'ennemi n'est pas toujours là où on l'attend.
  8. Il n’a pas marqué avec nous en L2 il me semble.
  9. Son problème était clairement mental.
  10. Quel but encore une fois ce soir !
  11. J'en était sûr !
  12. Célébration très moyenne en effet. Maintenant c'est de plus en plus le cas je trouve..
  13. Une victoire à Lorient serait le top du top pour nous. Méconnaissable contre Monaco.
  14. Il y va de son petit but !
  15. Beau petit but.
  16. Ses dernières sorties sont catastrophiques ... A sa décharge... il n'a pas eu de période d'adaptation, pas de préparation collective et s'est tapé un déplacement en Amsud lors de la trêve internationale ..
  17. Ce joueur manque de rythme ça s'est vue sur son action offensive. On ne peut pas lui enlever son énergie. Mais quand ton coach ne te fais pas confiance, cela ne te transcende pas .. Préférer faire jouer Onaiwu à droite alors qu'il n'apporte rien sur un côté c'est se tirer une balle dans le pied.
  18. J'ai trouvé l'ambiance énorme hier soir franchement ! Malgré le temps exécrable !
  19. Très très bon hier soir !
  20. Je l'ai regardé à l'entrainement et il a quand même du ballon. Ce joueur ou plutôt sa gestion reste un mystère.
  21. Place + hotel + train !!!!
  22. Enfin du turnover ! De très belles entrées notamment celles de Genreau et d'Ado ! Ce groupe doit tourner ... en espérant que le coach est retenu la leçon.
  23. Encore une prestation de soliste hier soir. Je ne sais pas comment ses compères de l'attaque le supporte.
  24. Exactement, le match de dimanche doit faire l'objet d'un bon turnover pour impliquer tout le groupe. On a vu hier que les jours qui joue très peu manque d'automatisme et de punch (Costa, Hamulic ...)
  25. Exactement, personnellement je lui reproche de ne jamais changé. On jouera quoi qu'il arrive en 4/3/3 et on ne s'adaptera pas en cas de résultat défavorable.. ce que je trouve décevant.
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