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VioletSmurf

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Tout ce qui a été posté par VioletSmurf

  1. Je suis allé sur un forum de l'AZ pour voir, premier post que je lis : Je me suis étouffé avec mon riz en lisant. Mais première pierre à l'édifice de ce mercato
  2. On prend les paris... Un arrière gauche signera en page 69 !
  3. Que vient faire Ali ici ?
  4. C'est vrai que Marcelo est libre pour jouer à gauche !
  5. C' est sur le nombre de joueurs enregistrés pour jouer une compétition
  6. https://www.google.com/amp/s/www.lephoceen.fr/amp/infos-om/mercato/qui-est-agustin-almendra-que-l-om-suivrait-pour-le-mercato-170114 I'm y a 3 ans mais ça donne des infos sur le type de joueur
  7. Il a tellement été blessé qu'il doit encore en avoir un peu sous le capot. (sur les 10 matchs où il ne sera pas blessé évidemment). Il avait faillit venir ici il y a 5/6 ans si je me souviens bien non ?
  8. Pelissier libre, on vire Philou?
  9. Il faut créer le sujet N1 du coup non ? Par contre, je crois qu'ils payent le stade à 50/50 avec la mairie. Les impôts vont augmenter 🤨
  10. Le RAF est en N1 l'an prochain pour taper les ragondins ? 🥲
  11. INTERVIEW. Janis Antiste : "les vidéos au Capitole après le titre du TFC, c'était magique" Janis Antiste avec le TFC lors du premier match de la saison DDM - XAVIER DE FENOYL / Publié le 13/06/2022 à 10:37 L'ancien attaquant du TFC, désormais à La Spezia en Italie, évoque sa saison et la réussite de son club formateur. Au bout d’un an en Italie, quel bilan dressez-vous? Ça a été une sacrée expérience. Partir en Italie, découvrir un nouveau championnat, une nouvelle langue, c’est quelque chose. Ça a très bien commencé, avec du temps de jeu, des matchs contre des grosses équipes. J’ai marqué mon premier but en Serie A contre la Juventus… On arrivait à un moment où on était en haut, tout se passait bien, je fais ma première sélection en Espoirs. Puis avec le temps, ça s’est un peu effiloché : le club a eu besoin de résultats, il y a eu des changements, et mon temps de jeu a commencé à diminuer (au total, il a disputé 18 matchs en Serie A, dont 9 en tant que titulaire pour un total de 794 minutes NDLR). Donc au final, ça a été en dents de scie. Le point positif, c’est qu’on a atteint notre objectif collectif, le maintien. Après, personnellement, il y a des objectifs que je n’ai pas atteints. De buts? Les buts, les passes décisives, le temps de jeu. Ça fait partie de l’apprentissage. À partir du moment où j’ai décidé d’aller là-bas, je me concentre sur ce qui a marché. A lire aussi : Janis Antiste, du maillot violet à la Blouse Rose Vous êtes aussi champion de France avec le TFC puisque vous avez joué en début de saison. Qu'est-ce que ce titre représente pour vous? (Il rigole). Je suis champion… sur le papier! J’ai fait 3 matchs, participé au début de championnat. Peut-être que ça a compté! En tout cas, ça fait très plaisir. Toulouse, c’est mon club : ça faisait onze ans que j’y étais, j’ai connu la descente, la saison dernière, où l’on a manqué la montée de peu. Là, voir l’équipe faire le boulot, monter, et en plus de ça être championne, c’est formidable. Pour la ville, les joueurs, les supporters. J’étais super content, même si j’étais un peu déçu de ne pas être là pour le fêter avec tout le monde. Comment avez-vous vécu la soirée du titre? Avec Kelvin (Amian, ancien du TFC avec qui il évolue à La Spezia), on était en avant match, à l’hôtel en mise au vert. Quelques jours avant, j’avais reçu le maillot d’Anthony (Rouault), qu’il m’avait fait passer. Donc je l’avais avec moi pour regarder le match. Je ne le portais pas, je l’avais mis à côté de moi, parce qu’on ne sait jamais si quelqu’un rentre dans la chambre ça peut être mal interprété (rires)! On a regardé le match, on a eu quelques personnes en appel vidéo qui étaient au stade, avec qui on a pu partager le moment. J’étais très content, notamment pour Moussa (Diarra), Mamady (Bangré), ou Anthony (Rouault), avec qui j’ai de très bonnes relations encore. Une soirée magnifique. Vous avez senti l’engouement populaire au long de la saison? Oui, totalement. L’année dernière avec le Covid, on n’avait pas eu cette chance. Les supporters venaient quand même au stade, accueillir les bus, c’était incroyable. Mais là, c’était évidemment encore plus fort. Je pense que ça a beaucoup aidé l’équipe. J’ai vu les vidéos au Capitole, c’était génial, magique. Quand tu es tout en haut avec ces supporters-là, c’est exceptionnel. Maintenant, j’espère qu’ils performeront l’année prochaine. Déjà qu’ils se maintiendront, voire qu'ils joueront la première partie de tableau, l’Europe qui sait? Parce que franchement, on est une ville qui en a la capacité. Théo Faugère
  12. L'unijambiste est un critère data ?
  13. En voyant ça https://www.footmercato.net/a973623314199471841-dncg-les-chiffres-catastrophiques-des-clubs-de-ligue-1 et ça https://www.foot-national.com/ligue-1/ligue-1-les-budgets-des-20-clubs-de-l-elite-francaise-660409 Je n'y crois pas trop au 18 ou 19ème budget. Surtout que la première année si j'ai bien compris tout le monde va recevoir 16M du CVC donc pas d'handicap par rapport aux autres qui pour certains qui vont être obligé de l'utiliser pour boucher les trous...
  14. Je crois que c'est Gerry Cardinal qui disait qu'il veut être présent dans un club de chaque ligue européenne importante, donc des achats il va y en avoir d'autres ! Je ne pense pas que ça ai d'influence sur Toulouse si ce n'est une amélioration des outils et échange d'infos sur des joueurs à recruter selon les budgets de chacun
  15. Source : Klitouris 👀
  16. Né en France, grandi en Belgique, joue aux Pays Bas et représente l'Algérie. Ca correspond aux critères de recrutement !
  17. Il ne faut pas en faire tout un œuf...
  18. Van den Boomen, le serial passeur de L2 Avec ses stats affolantes, notamment en passes décisives, le milieu néerlandais Branco van den Boomen, dégoté par l'algorithme du Toulouse FC, incarne la réussite du promu. Après une première saison correcte (5 buts, 7 passes), Branco van den Boomen a été un artisan majeur de la remontée de Toulouse en Ligue 1 (12 buts, 20 passes). (Stéphane Mantey/L'Equipe) Emmanuel Bojan, à Toulousemis à jour le 13 mai 2022 à 10h00 commenter partager « Ohé, ohé, ohé, ohééé, Brancooo, Brancooo ! » Ivre de joie, le Stadium ne se trompe pas d'idole au moment de célébrer l'accession de Toulouse en Ligue 1, lundi 25 avril, après un vingt-deuxième succès contre Niort (2-0). Seul le meilleur buteur de L2, l'Anglais Rhys Healey (20 buts), existe aussi dans les choeurs des supporters, qui lui ont dédié un refrain, Healey's on fire, your defense is terrified, sur l'air de Freed from Desire de Gala. Mais l'oeuvre du numéro 8 du Téfécé apparaît trop magistrale pour être concurrencée. Le prolifique milieu de terrain néerlandais vient d'ajouter une vingtième passe décisive à son oeuvre de la saison, record de la Division égalé*, grâce à un centre puissant et brossé, téléguidé sur la tête plongeante d'Ado Onaiwu. Ce soir-là, quiconque ne l'avait jamais vu évoluer a pu se rendre compte de sa palette : transversales tendues ultraprécises à la Beckham ou à la Kroos, passes en profondeur ciselées, frappes lourdes et corners diaboliques qui ont fait résonner les montants. Avec un taux d'implication de plus de 50 % sur les buts toulousains (82) cette saison (20 passes, 12 buts et une quinzaine dont il est à l'origine), Van den Boomen, 26 ans, a littéralement marché sur la Garonne en 2021-22. Fan de Bergkamp et de Zidane « Mon père était entraîneur dans le club où j'ai débuté (RKVVO, à Veldhoven, dans la banlieue d'Eindhoven), il coachait des gamins de 5 ans et m'a intégré avec mon neveu, alors que nous n'avions que 3 ans, rembobine VDB. J'étais fan de Bergkamp et Zidane, je jouais sur le terrain en herbe à côté de chez moi, ou sur le béton, dans la rue. Les autres enfants connaissaient mon père, alors ils me laissaient jouer mais ils étaient plus costauds que moi. Et comme je n'étais déjà pas un joueur rapide (sourire), j'ai appris à jouer et penser vite, en une ou deux touches. Cela a été fondamental, tout a commencé là pour moi parce qu'en club, on s'entraîne, allez, deux fois par semaine pendant une heure... Moi, je pratiquais six heures par jour. Je rentrais dîner et je retournais jouer, tout tournait autour du football dans ma famille. Pas comme les ados d'aujourd'hui. À 13 ans, maintenant, ils préfèrent la PlayStation. » Ce ne sont pas grâce aux jeux vidéo mais plutôt aux data chères au nouveau propriétaire RedBird Capital Partners et au président Damien Comolli que Toulouse a débusqué Van den Boomen à De Graafschap (D2 néerlandaise), à l'été 2020, pour 350 000 euros. « C'est le tout premier joueur qu'on est allés chercher, précise Julien Demeaux, responsable données football au Téfécé. On voulait un milieu qui puisse distribuer, faire progresser le ballon, notamment en cassant des lignes. C'est comme ça que son nom est sorti de l'algorithme. » Ce dernier est affiné deux à trois fois par saison, en fonction des besoins du staff technique, et les data scientists du club peuvent même prédire, assurent-ils, le niveau qu'un joueur aura à Toulouse grâce au phénomène de « translation ». Cette politique de recrutement liée aux données d'un logiciel perfectionné se double d'un scouting classique et de l'étude de l'environnement du joueur. Une fois qu'il a signé, un service dédié du TFC s'occupe de sa famille, de l'école des enfants, des cours de français à dispenser. Cette câlinothérapie n'a pas empêché Van den Boomen d'être moins performant la première saison, sous les ordres de Patrice Garande, en 3-5-2. Le passage en 4-3-3 avec Philippe Montanier lui a rappelé des concepts plus familiers. « Des ailiers qui provoquent, écartés pour créer le plus d'espaces, un football fait de combinaisons, de possession, c'est la seule chose qu'on connaisse quand on vient des Pays-Bas, s'amuse VDB. Le 4-4-2 ou la défense, ça ne nous parle pas. Avec l'héritage de Cruyff, c'est ainsi qu'on fabrique des joueurs de foot, en 4-3-3. » « À chaque fois qu'il le pouvait, j'ai souhaité qu'il se projette un peu plus vers l'avant pour que sa qualité technique puisse déboucher sur des buts ou sur des passes décisives, précise Montanier, l'ancien technicien de la Real Sociedad (2011-2013) ou de Rennes (2013-2016). J'ai eu le plaisir d'avoir quelques « bons » joueurs, quand même, Antoine Griezmann ou Ousmane Dembélé, mais Branco coche beaucoup de cases, il fait partie vraiment des joueurs très complets. Il n'est pas seulement un passeur décisif. C'est aussi un maître à jouer, qui donne le tempo sur le jeu collectif. » Un milieu capable d'adapter ses passes au profil de ses attaquants, dans le dos des défenseurs pour Healey, dans l'espace pour Nathan Ngoumou, dans les pieds pour Rafael Ratao. Un milieu nommé joueur du mois de février et de mars en L2 qui affole les statistiques (voir infographie), comme le nombre de passes clés délivrées avant un tir. « Ça me permet de me rendre compte que ce n'est pas juste une part de chance. Ça signifie plus de choses que les passes seules. C'est dur de se dire à soi-même que c'est bien, je préfère que ce soient les autres qui trouvent que je fais une super saison, mais je ne peux pas dire que c'est mauvais », glisse, dans un sourire, le Batave volant. Gonflé de confiance, sans jamais se sentir « en surrégime », il a déjà trouvé sur coups de pied arrêtés un partenaire buteur à 14 reprises (encore un record à cet échelon) : « Cette saison, j'ai l'impression qu'on peut marquer sur chaque coup franc ou corner, c'est une sensation agréable. » Dans le jeu aussi, sa palette fonctionne. « Quand il n'est pas là, j'établis un contact visuel avant de déclencher mon appel. Avec Branco, je n'ai même pas besoin de cela parce que je sais qu'il a déjà vu les choses, éclaire « son » attaquant, Healey. Il a une bonne conscience de ce qui l'entoure. Un peu comme Kevin De Bruyne, avant de recevoir la balle, il sait exactement ce qu'il va faire après. Pourtant, un numéro 9 est plus difficile à trouver, avec ses courses axiales vers le but, il faut trouver le dosage parfait. » Avec une gestion du risque calculée, VDB n'hésite pas à tenter ce qui correspond à ses qualités et à la volonté de l'entraîneur de créer du déséquilibre. Une analogie avec le foot US et le golf Durant les dix premières minutes d'un match, il prend le temps d'analyser le placement des joueurs adverses, leur positionnement, leur façon de presser avant de déterminer la marche à suivre, comme une faille détectée dans la défense aux échecs. « Dès qu'il y a une pause, je préviens mes coéquipiers : ''C'est là que l'espace se situe. Donc concentrez vos courses dans cette zone !'' » Il lui faut maîtriser l'espace et le temps, tel un Tom Brady ou un Aaron Rodgers, immenses quarterbacks de NFL capables de prévisualiser les mouvements du futur proche. « Au foot US, ils démarrent derrière une ligne, à l'arrêt, donc c'est plus facile de percevoir où se situe l'espace, et il y a davantage d'interruptions de jeu, argumente Van den Boomen. Dans notre sport, c'est moins haché, ça va plus vite, tu peux voir beaucoup de choses mais pas tout, car il y a des joueurs qui arrivent de derrière. Parfois, on est tellement dans l'action que le cerveau ne réfléchit pas, on joue à l'intuition, à l'instinct. » Il est aussi question de feeling pour juger de la qualité d'une passe ou d'une frappe. « Dès que le ballon a quitté mon pied, à force de répéter ces gestes, je sais direct si ça va être bon. Comme en golf, quand on contacte bien la balle. » En fin de contrat dans un an, VDB sera très sollicité cet été. « Il faudra qu'on ait cette mentalité-là la saison prochaine en L1, sinon on sera punis, se projette l'intéressé. Si on est timides, les autres équipes le verront et en tireront parti. » Son entraîneur ne voit aucun souci à son adaptation à l'étage supérieur. Son complice Rhys Healey le sent même capable de doubler son total de passes s'il se frotte un peu plus aux défenseurs. « Ce n'est pas une grande surprise de le retrouver à ce niveau. Les données nous disaient clairement qu'il avait ce potentiel-là », certifie Julien Demeaux. « Ce n'est pas anodin si je termine meilleur passeur et Rhys meilleur buteur, conclut VDB. Lui comme moi ne venons pas des meilleures Divisions dans nos pays, mais on a pu montrer qu'on était capables de faire de bonnes choses. C'est une belle histoire pour nous et le foot français. » Presque un roman d'anticipation. À dévorer avec l'accent du Sud-Ouest. * Sa 21e assistance, contre Sochaux (4-1, 20 novembre), n'a pas été créditée par la Ligue, qui l'a jugée involontaire. Zinedine Ferhat (Le Havre) codétient le record en L2 avec 20 passes en 2017-18. En L1, il appartient au Parisien Angel Di Maria avec 18 passes en 2015-16.
  19. Si Pascal Dupraz commence à faire des articles sur nous...
  20. Nicolaisen Toujours avec son béret violet 🤣
  21. On sait d'où vient son bandage. Par contre, le prix de la clôture c'est un peu dans l'abus...
  22. https://www.lequipe.fr/Football/Article/Etienne-Capoue-villarreal-mon-fils-m-oblige-a-regarder-des-matches/1327281 Si quelqu'un a l'article s'il vous plaît
  23. Ils vont sans doute en faire un épisode de leur mini série, il n'y a pas de raisons qu'ils ne le mettent pas.
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