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marco

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Tout ce qui a été posté par marco

  1. Ils ont quand même un calendrier compliqué, je sais pas qui sera le 17e mais ça va être chaud.
  2. Il a une sacrée grande gueule lui.
  3. Pour les nantais, ça ouvre du 13 au 17 pour les abonnés apparemment, à suivre... https://forums.fcnantes.com/viewtopic.php?p=3763638#p3763638
  4. Après, il a aussi le droit de connaitre un peu l'histoire du club (ce dont j'en doute pas) au bout de 3ans. Il aura suffisamment d'offres pour faire le bon choix. Sinon, ce n'est que mon avis.
  5. Et là, c'est le drame
  6. Même pas certain qu'il soit mercredi à Milan pour leur quart de finale contre Naples... alors pour une finale coupe de France...
  7. Aller à Bordeaux.
  8. Cette haine qu'ils ont depuis le match d'Ajaccio les auxerrois...succulentes les 2 dernières pages https://forum.aja-1905.fr/viewtopic.php?f=15&t=7649&start=3960
  9. Pour moi, pas trop, il y a des trucs qui se font pas.
  10. https://www.free-ligue1.fr/matchs/30-journee/5552-resume-montpellier-toulouse-fc-09-04-2023
  11. Surtout que 2min après, il en donne un à Savanier pour un contact à l'épaule..aucune cohérence...
  12. Desler couvre aussi.
  13. Paroles d'Ex - Patrick Rampillon, entre « la belle histoire Camavinga » et les tentatives Benzema et CR7 Patrick Rampillon, l'ancien directeur du centre de formation du Stade Rennais, se souvient des générations de joueurs qu'il a fait grandir, d'Angloma à Camavinga et raconte comment il a tenté Benzema et Cristiano Ronaldo. Patrick Rampillon a dirigé le centre de formation du Stade Rennais de 1987 à 2018. (V. Michel/L'Équipe) « Quel est le premier jeune que vous avez recruté à Rennes ? Jocelyn Angloma à l'hiver 1985-1986, en post-formation à 20 ans, avant la construction du centre de formation en mars 1987. Il venait d'arriver en région parisienne et Mario Relmy, Guadeloupéen comme lui et qui jouait chez nous, me l'avait signalé. On l'a pris tout de suite. Un an après, il a même joué avec moi quand j'ai pris les pros. Et les premiers Bretons, à 14-15 ans, c'étaient Sylvain Ripoll (aujourd'hui sélectionneur des Espoirs), en 1986, et Laurent Huard (directeur du centre de formation de Saint-Étienne) en 1987. En bref 67 ans Directeur du centre de formation du Stade Rennais de 1987 à 2018 Palmarès : meilleur centre de formation de 2006 à 2011. Quel est le joueur le plus fort passé par le centre de formation de Rennes ? Quand j'étais en poste, je répondais "le prochain". Aujourd'hui, c'est trop dur... Le plus beau palmarès alors ? Vous avez formé un champion du monde, Ousmane Dembélé... Je n'ai jamais dit que j'avais formé un jeune. Un peu d'humilité. Dembélé, c'est le talent pur. Ça m'aurait embêté qu'il échoue. Il a commencé difficilement, je connais son histoire de vie... Il est arrivé chez nous en quatrième et il a fallu aider sa famille pour qu'il soit bien dans ses baskets et proche de ses parents. Quelle émotion quand un jeune recruté très tôt réussit son premier match en L1 sous tes yeux. Pour lui comme pour d'autres, tu as la larme à l'oeil. « Eduardo Camavinga, on voyait déjà ses attitudes, son placement, l'intelligence, l'état d'esprit... » Pour Eduardo Camavinga aussi, on imagine... Un gamin que l'on repère à 9, 10 ans à Fougères (Ille-et-Vilaine) avec Mathieu Le Scornet (ex-adjoint de Julien Stéphan à Strasbourg), chargé de l'école de football. Au lieu de piquer des jeunes de la région, on les laissait dans leur cocon. On l'a fait venir à l'entraînement quelques mercredis à 11, 12, 13 ans, pour voir le haut niveau. Puis au tournoi de Montaigu (Vendée) avec deux ans d'avance ! On voyait déjà ses attitudes, son placement, l'intelligence, l'état d'esprit... Et, dans la difficulté, les éducateurs du club ont toujours été proches de la famille. Ensuite, il a signé au club, puis au Real Madrid (le 31 août 2021 pour 31 M€ hors bonus). C'est la belle histoire. Ça fait du bien de travailler avec des gamins comme ça. lire aussi Toutes les Paroles d'Ex L'arrivée de joueur la plus rocambolesque ? Un jour, Daniel Rodighiero (ancien joueur du Stade Rennais) me dit : Il y a un mec de 16 ans à Joinville (Val-de-Marne) qui marque en DH, tu devrais te mettre dessus. - Je veux bien, mais des coups de fil, j'en reçois plein... Mais tu l'as vu ? - Non, non... - Mais qui l'a vu au juste ? - Le propriétaire d'un magasin de sport qui m'a dit qu'on devrait... - Écoute... Par respect pour toi, banco. J'attends Wiltord pour un essai à dix heures le matin. Il vient de Paris en train. Pas de Sylvain. À midi et demi, Marcel Boishardy, directeur du centre de formation cycliste de Rennes, m'appelle : "Patrick, j'ai un mec qui ressemble à rien, ça doit être un footeux pour toi". Le taxi s'était trompé. Dans les 48 heures, je l'ai fait signer à Montparnasse. Ç'a été éclair. Le talent doit sauter aux yeux. C'est quoi le talent ? Ça... Ce gars avait faim de ballon, ça fait partie du talent. Par son envie, il me faisait sentir qu'il allait certainement réussir sa vie et celle de sa famille. « C'était l'image du centre de formation dont j'avais rêvé et que j'ai réussi à construire : deux joueurs (Silvestre et Wiltord) avec des histoires et des postes différents, des garçons de valeur » Les joueurs dont vous aviez la photo dans votre bureau de directeur ? Je n'ai toujours eu que des images de collectifs. Un jour, dans L'Équipe, j'en ai vu une avec Mikaël Silvestre et Sylvain Wiltord avec Manchester United et Arsenal. C'était l'image du centre de formation dont j'avais rêvé et que j'ai réussi à construire : deux joueurs avec des histoires et des postes différents, des garçons de valeur. Le joueur qui a changé les habitudes du centre ? Christian Gourcuff avait apporté un ordinateur à Yoann pour qu'il révise son bac seul dans la chambre. On organisait des études surveillées avec des profs. Faire bosser seul un gamin dans sa chambre le soir, certains peuvent y arriver, d'autres ont besoin d'être plus encadrés. On s'est toujours adapté aux talents. Sa vie d'ex International militaire (avec Platini et Bossis) arrivé à Rennes comme joueur en D2 (1979-1983), Patrick Rampillon était passé par le Stade de Reims (1976-1977) avec les Argentins Bianchi, Laraignée et Santamaria puis Saint-Étienne (1977-1979), barré au milieu par Bathenay, Synaeghel, Santini ou Larios. Responsable des jeunes dès 1983, avant la construction du centre de formation, il est nommé en décembre 1986 à la tête de l'équipe première, sans réussir à éviter la descente en D2. De 1987 à sa retraite en 2018, il a fait grandir plusieurs générations de joueurs (Réveillère, Lemoine, M'Vila, Danzé, Brahimi, T. Bakayoko, Mbia, Jacques Faty, Briand, Didot, Truffert...). Et pour les accompagner, il a aussi recruté des formateurs qui, depuis, ont fait leur chemin, comme Régis Le Bris (Lorient), Franck Haise (Lens) ou Julien Stéphan (sans club). Les pépites que vous n'avez pas pu faire venir ? À Montaigu, j'allais voir les licences de tous les joueurs. En 2004, à l'OL, je vois un jeune qui n'est pas sous contrat... Pas protégé ! J'arrive à le faire venir avec son père et son agent au centre de formation. Peut-être se sont-ils servis de nos discussions pour signer avec Jean-Michel Aulas. C'est Karim Benzema. (Sourire.) Trois ans plus tôt, je vois un attaquant de qualité avec le Portugal. J'y vais au culot, et je lui demande son statut. Sa réponse : "Monsieur, excusez-moi, j'ai déjà signé quatre ans avec Laszlo Bölöni au Sporting". Cristiano Ronaldo avait 16 ans et le Portugal était en avance sur le blocage de joueurs. « Le club a fait le calcul d'après les joueurs que j'avais fait signer en pro et qui avaient été transférés ensuite. Ça faisait une somme que les Girondins devaient payer pour me libérer. Je ne savais pas que je valais autant ! » Le transfert qui a failli se faire ? En 2000, j'ai été sollicité par M6 pour les Girondins de Bordeaux. À Rennes, c'était une période où le recrutement extérieur ("génération" Severino Lucas) prenait le pas sur la formation. J'ai rencontré Jean-Louis Triaud (alors président du club bordelais), Élie Baup (entraîneur) et j'avais trouvé les écoles pour mes filles. Le projet était pratiquement acté et je devais faire équipe avec Guy Hillion, mon homologue et concurrent du FC Nantes. On se respectait, l'idée me séduisait. Mais le Stade Rennais ne voyait pas mon départ d'un bon oeil. Le club a fait le calcul d'après les joueurs que j'avais fait signer en pro et qui avaient été transférés ensuite. Ça faisait une somme que les Girondins devaient payer pour me libérer. Je ne savais pas que je valais autant ! Bordeaux n'a pas cédé. De mon côté, j'ai obtenu une meilleure écoute vis-à-vis de la formation à Rennes. »
  14. Savanier c'est un peu le Juninho du pauvre, à chercher le CF à chaque fois. C'est dommage, sacré joueur quand il veut...
  15. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Michel-der-zakarian-montpellier-toulouse-triche-pas-mal/1390645
  16. En principe c'est sous la barre avec lui.
  17. Oui, moi aussi je les comprends, les pauvres, quel dommage.
  18. Ca pue bien comme il faut quand même..
  19. Comment ne pas voter pour ce roi. Fier de mon vote aussi.
  20. https://www.ledauphine.com/amp/sport/2023/04/02/on-sombre-trop-facilement-le-coup-de-gueule-de-laurent-guyot-apres-la-nouvelle-gifle-recue-par-le-fc-annecy
  21. Il y a pas un gars qu'avait dit que Pajot était sorti sur blessure vendredi ??!
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