ce que j'aime bien dans ce "genre" de procès c'est que les prévenus, jouent leur défense autour de "Je ne savais pas. Je faisais confiance. J'ai été trop gentil et naïf."
De la part de patrons et dirigeants, véritables animaux économico-politiques, ces démonstrations sont toujours risibles.
On l'avait vu à l'époque de Dreyfus et des procès de l'OM, pour se défendre il devait presque clamer qu'il était complètement bidon, et ne dirigeait pas vraiment.
(p-e pour çà qu'il a refait une crise d'autorité plus tard : "j'ai dû passé pour un con un temps, now je vais montrer que je suis un vrai chef d'entreprise")