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RobespierreDorsini

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Tout ce qui a été posté par RobespierreDorsini

  1. Un cran en dessous des punchlines de Diarra quand même
  2. On a enfin un système qui permet d'espérer des résultats
  3. Zakaria a déjà un jaune. Mais ça m'étonnerait que Bastien lui donne le second.
  4. Dommage Magri On se crée quelques occasions quand même
  5. https://www.lequipe.fr/Football/Article/Yann-gboho-toulouse-avant-j-etais-sanguin/1449357 Yann Gboho (Toulouse) : « Avant, j'étais sanguin » Grand espoir du football français, l'ancien Rennais avait un peu disparu des radars, depuis deux ans et demi. Jusqu'à ce que Toulouse décide de le rapatrier en France, pour 2,5 M€, le 8 janvier. Fort de l'expérience emmagasinée lors de son exil à l'étranger, Yann Gboho (23 ans) s'est déjà imposé dans le onze du TFC. « Signer à Toulouse, est-ce une manière de renouer le fil avec le football français ? Un peu. Toulouse me correspond aussi. Avant de venir, j'ai vu quelques-uns de ses matches de Ligue 1 et, surtout, en Ligue Europa. C'est une équipe qui joue au ballon. C'est pour cette raison que je ne comprenais pas pourquoi le TFC se trouvait classé si bas (14e avant cette journée). Avez-vous compris depuis ? Cette équipe manque de confiance et n'est pas assez tueuse. Il faut progresser sur ces points car, je le répète, Toulouse est une équipe qui joue au football. C'est ce qui me manquait à l'étranger. « J'avais un jeu d'enfant » Yann Gboho, attaquant de Toulouse Que retenez-vous de vos expériences hors de France ? À Rennes, j'étais dans un cocon. Et je suis parti jeune, seul. J'aurais pu me perdre. D'autant plus qu'au début je n'étais pas content d'aller aux Pays-Bas (Vitesse Arnhem, 2021-2022), puis en Belgique (Cercle Bruges, 2022-2024). Mais je ne nourris aucun regret. J'ai pris ce que je devais prendre et, même si j'ai vécu des moments difficiles, ces deux ans et demi m'ont fait du bien. Ils m'ont permis de grandir. Avant, j'avais un jeu d'enfant. J'étais un joueur dans les pieds, à qui il manquait de la profondeur et du physique. Quand je suis arrivé au Vitesse Arnhem, mes dirigeants m'ont d'ailleurs prévenu que, si je ne défendais pas et que je ne travaillais pas mon jeu sans ballon, je ne jouerais pas. Que ce soit aux Pays-Bas ou en Belgique, ce n'étaient que des longs ballons et du pressing à haute intensité. Un autre monde, par rapport à ce que je connaissais, à Rennes. Qu'est-ce qui n'a plus fonctionné en Bretagne ? Quand j'ai commencé à jouer avec les pros, l'équipe gagnait. Quand cela n'a plus été le cas, automatiquement, c'est le jeune qui sort. Après avoir remplacé Julien Stéphan au poste d'entraîneur (le 4 mars 2021), Bruno Genesio ne m'a jamais donné ma chance. Comme j'étais assez impulsif et très énervé, j'en ai souffert. Avant, j'étais sanguin. Aujourd'hui, je me suis calmé. Je gère mes matches. Je connais mieux mon corps. Je sais quand il faut accélérer et je suis plus lucide dans mes choix. « Franchement, si (la Belgique) m'a permis d'évoluer dans mon jeu sans ballon, je ne me suis pas régalé » Yann Gboho, attaquant de Toulouse Comment expliquez-vous vos statistiques moyennes ? C'est un peu dû à mon manque de concentration devant le but. Je me précipite trop. Je dois aussi me montrer plus froid dans mes dribbles. Cet axe de progression passe-t-il par un travail mental ? Oui. Depuis la Belgique, je visualise mes actions avant le match. J'ai également essayé de travailler avec un préparateur mental la première année. Mais j'ai arrêté. Je n'en ai pas trouvé l'utilité. En Belgique, j'effectuais beaucoup de pressing. On courait, on courait et on donnait le ballon. Je m'époumonais et donc je n'avais plus de lucidité. Si c'était déjà un peu pareil aux Pays-Bas, c'était puissance mille en Belgique. Franchement, si cela m'a permis d'évoluer dans mon jeu sans ballon, je ne me suis pas régalé. C'était plus de pressing que de jeu. À quel poste préférez-vous évoluer ? J'ai été formé comme numéro 10 à Rennes et j'ai joué sur le côté gauche. Cela m'importe peu. Mes datas au niveau de la dernière passe et de la percussion avec le ballon ont plu aux dirigeants de Toulouse. Maintenant, mon objectif, c'est d'être plus décisif. »
  6. Ce système est quand même beaucoup plus intéressant que le 4-3-3/4-2-3-1
  7. ASM 1-1 TFC : Magri
  8. Tagliafico qui fait à peu près 3 fautes sur la même occasion
  9. Le pire, c'est que l'Allemagne est elle aussi en train de céder aux même sirènes que la France, alors que les supporteurs sont absolument contre... Je suis à peu près sûr que l'on verra de belles affaires de corruptions d'ici quelques années autour de ces sociétés commerciales. Un peu comme après le choix du Qatar pour la CdM 2022.
  10. Il fait vraiment tout à l'envers sur l'action : résister au raffut au lieu de tomber quand il y a faute, puis tomber 1 seconde après le raffut quand c'est évident qu'il a perdu la balle De toute façon, Rumsas l'avait dans le pif dès le coup d'envoi
  11. Les journalistes font ce que les rédactions leur demande de faire. Et s'il ne le font pas, les directions de chaîne trouvent vite quelqu'un qui accepte leurs conditions. Voilà pourquoi c'est avant tout des journalistes peu consciencieux qui peuplent les rédactions. Après, je suis d'accord, la réponse de Diarra est parfaite et les joueurs de foot devraient plus souvent se permettre de recadrer comme il le fait, sans s'agacer, les journalistes qui ne s'intéressent qu'à Mbappé. Dommage qu'il n'y ait qu'un seul Moussa Diarra
  12. Pas vraiment, si l'on indique que tout ce qui n'est pas assez clair favorise l'attaque, en gros en jugeant que le doute doit toujours tomber du même côté, on s'évite cette technoscientisation de la règle qui, à la base, n'a jamais eu vocation à être jugée au millimètre.
  13. Tout à fait d'accord. J'ai déjà dit que je trouvais la règle du HJ actuelle en décalage avec l'esprit du foot. Il faudrait, à mon sens, que l'attaquant soit entièrement devant le défenseur, c'est-à-dire avec clairement aucun membre au même niveau, pour qu'il soit HJ. Tout comme le ballon doit avoir entièrement franchi la ligne pour être considéré comme hors du jeu. De plus, on verrait plus de buts
  14. Dønnum raffuté à l'entrée de la surface : que dalle. Coups de coude dans le visage : pas de jaune. Faute d'un lisboète, Costa sort : carton pour Restes. Plus globalement, le Benfica a pu mettre une intensité assez haute sans être gêné par l'arbitre. Nous, non. On a été arbitré de matière stricte, pas Lisbonne. Le problème vient de là. L'arbitrage aurait été ok si les deux équipes avaient eu droit au même arbitrage. Pour moi, la main est aussi liée au contact avec Aursnes qui ne joue pas le duel. Sans ça, la main de Costa n'est pas sur la trajectoire de la balle. Et totalement d'accord sur la VAR. L'effet de halo induit par le mode de fonctionnement de l'outil vidéo est ridicule. Ce n'est pas tant la vidéo le problème, que le mode d'application de l'arbitrage vidéo.
  15. De tous les systèmes employés par Novell, c'est le plus intéressant, le meilleur en transition rapide, et globalement celui où l'on s'ennuie le moins. C'est aussi celui qui a ramené des points en début de saison. Bien mieux que son 4-3-3 ou 4-2-3-1 qui reprend trop les principes de Montanier. Problème, l'embouteillage au milieu rend compliqué sa mise en place. Ça fout du monde sur le carreau. On se retrouve avec Spierings, Sierro, Casséres, Schmidt et Gélabert pour 2 places, en considérant que Skyttä rentre en ailier comme il a pu le faire sur certains matchs. Ça crée aussi un problème sur les ailes, avec Gboho, Babicka, Dønnum, Cissoko et Skyttä pour 4 places. En le voyant du. bon côté, ça fait travailler fort la concurrence, ce que semble apprécier Novell. Mawissa est le DC de qui ?
  16. La LFP est quand même sacrément gênée... Côté image, ils ont tout misé sur la présence de 3 stars qui sont parties sans être remplacées, après plusieurs décennies à jouer le jeu de la concurrence au prix d'une offre éparpillée et instable. Il n'y a plus de diffuseur historique et le jeu de la concurrence ne marche plus. Que reste-t-il comme levier pour éviter la déflation ? Les droits à l'étranger, marché ultra-concurrentiel qui représente des sommes finalement modestes et sur lequel l'Arabie Saoudite grignote le placement markéting de la France. Tout cela n'est vraiment pas de bon augure. Le départ de Mbappé, une tuile pour la LFP en quête d'un acquéreur pour les droits de la L1 Rédaction 3–4 minutes Programmés en parallèle, les deux feuilletons ont animé les dernières semaines, étirant le même suspense : celui de la vente des droits de diffusion de la Ligue 1 pour la période 2024-2029 et celui, devenu récurrent, sur l'avenir de Kylian Mbappé. À l'arrivée, le capitaine de l'équipe de France a été plus rapide que Vincent Labrune, le président de la LFP, en optant pour un départ plutôt qu'une prolongation au PSG, un club où il évolue depuis 2017. Ce choix et le timing de l'annonce ne rendent pas service au patron du football professionnel français, qui se débat depuis des mois pour convaincre les diffuseurs d'acheter les droits de la L1 pour les cinq prochaines saisons. Et qui perd un argument de poids dans les négociations. Pour l'heure, après un appel d'offres déclaré infructueux le 17 octobre, Labrune négocie de gré à gré avec les diffuseurs intéressés. Une offre de DAZN insuffisante Il a en main une première offre de l'entreprise britannique DAZN, qui veut toute la L1, mais à un montant (500 millions d'euros) encore assez éloigné de celui espéré par la LFP. Dans un deuxième temps, DAZN a accepté de se contenter de six matches en exclusivité et deux en co-diffusion avec un autre acteur. Ce qui peut permettre à la Ligue de combiner une solution avec beIN Sports ou Amazon Prime Video et d'obtenir un total plus proche de ses espérances (autour de 700 millions d'euros pour les droits nationaux de la L1 et environ 900 millions en tout avec les droits à l'étranger). Ce départ de Mbappé arrive au pire moment, puisque la LFP doit encore convaincre les trois acheteurs potentiels du Championnat de France de faire un effort. Sans le crack de Bondy, la partie devient forcément plus serrée encore. Car si personne n'achète un Championnat pour un seul joueur, sa présence dans les rangs parisiens avec un nouveau contrat longue durée aurait forcément été un atout pour la Ligue 1. Déjà, l'été dernier, la LFP avait craint pareille issue. En ne levant pas l'option sur sa dernière année de contrat (jusqu'en 2025) au PSG, Mbappé avait été relégué dans le loft parisien et privé de tournée au Japon. Avec la menace d'être transféré s'il ne prolongeait pas. À cette époque, la LFP peaufinait les derniers détails de son appel d'offres, dont le lancement était prévu mi-septembre et les réponses des diffuseurs attendues un mois plus tard. Le timing de cette crise avait inquiété Labrune et ses équipes, qui avaient anticipé le départ de Messi et Neymar, mais pas celui du Français. La résolution de ce psychodrame les avait soulagés. Mais pas pour très longtemps.
  17. 🤣 Quelle énorme trompette
  18. Je ne sais pas s'il faut la garder dès le début du match, même si c'est vrai que j'ai bien aimé le système, après le garder sous le coude pour changer de système en cours de partie, ça peut être intéressant
  19. Très bon match, très bonne réponse 😄
  20. Quel enfer cet arbitrage. Tout le long du match, il n'a rien sifflé contre les locaux
  21. Y'a pas de honte, mais je ne vois pas un 5-2-3. Comme en début de saison, les latéraux sont rarement au même niveau. Y'en a toujours au niveau de la ligne de 3 derrière pour former une sorte de ligne de 4, et l'autre plus haut, au niveau des milieux de terrain. Donc ça peut aussi avoir l'air d'un 5-2-3 ou d'un 4-3-3 ou d'un 4-4-2 selon la position des ailiers, puisque les joueurs bougent de position.
  22. Benfica ne fait pas mieux que nous. C'est la Coupe d'Europe, vous avez pas envie de kiffer un peu ? 😁
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