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Forrest

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Tout ce qui a été posté par Forrest

  1. Très sympa cette interview et Dominique n'a pas la langue de bois
  2. Merci pour cette réponse vraiment argumentée. Dans un débat, il n'y a rien de pire qu'un chauvin. 1/Je te retourne la question, quelle en a été l'utilité concrète ? 2/J'en viens même à me poser des questions, comme certaines théories, sur la réalité de la chose....
  3. Je ne connais pas assez la F1 pour prétendre à défendre une théorie mais de mon oeil extérieur, je trouve que c'est beaucoup d'argents dépensés pour peu d'avancées.. Surtout que tu vois que la moindre innovation est sous controle de la FIA qui n'hésite pas à revoir les copies en cas de nuisance au côté sportif de la chose... Sans compter qu'on peut également discuter sur d'autres manières de trouver des avancées technologiques. Peugeot et Citroen ils font bien des recherches (Filtre à particules, Moteur HDi, Moteur Hybrides etc...) sans aller en F1 non ? Mais je répète, je suis pas un spécialiste, je veux bien croire en une certaine utilité de l'investissement F1 encore faut il me le prouver
  4. JE parlais bien du sous groupe de ce forum
  5. Euh, pour le 4X4 tu veux dire par rapport à la F1 ou à la Smart ? Parce que par rapport à la Smart je suis sur de moi, pas un 4x4 commercialisé en 2007 est moins polluant qu'une Smart (ou alors AutoPlus est un tissu de mensonges )... Ensuite pour la F1, les progrès en matière de sécurité et de fiabilité sont indéniables, mais jamais rien n'a été fait pour l'écologie en matière automobile (enfin niveau F1). Et je te passe le nombre de déplacements routiers provoqués par la compétition (poids lourds etc..) autre que la simple course... Enfin, ma remarque était surtout pour souligner que la recherche c'est bien, mais ca dépend toujours de ce qu'on veut bien en attendre...
  6. J'attendais une théorie dans ce style ! Mais je te répondrai qu'une F1 pollue 100 fois plus qu'un 4X4 qui lui même pollue encore plus qu'une Smart qui elle même pollue plus qu'une bagnole au bioéthanol... Bref, faut aussi savoir ce qu'on veut...
  7. Et pourtant c'est pas un rose...
  8. Quand tu penses au pognon que ca coute pour un truc qui sert à rien :modevieuxcon:
  9. Pas mal en effet, le fashion homo au milieu d'une famille éleveur de chien
  10. Surtout quand on regarde Jenifer Love Hewitt
  11. J'ai tout un tas de JDM qui me viennent à l'esprit mais je préfère m'abstenir
  12. C'est juste pour vous souligner que la Wii touche un public large... Mes parents se sont éclatés au bowling et au tennis par exemple
  13. Toutes les personnes qui ne sont pas à fond dans les jeux vidéos ont trouvé les 3 jeux (que tu trouve pas terribles), énormes, et moi y compris
  14. C'est mérité pour ce joueur dont j'apprécie vraiment l'attitude. Il parle français, a choisi sa maison proche de celle de Fabinho pour pas etre isolé, n'hésite pas à faire des efforts défensifs même si c'est contre nature... Pourvu que ça dure
  15. ah oui quand même. je demande un ban. @platoche
  16. En fait, c'était Monsieur 64% Extraits Nous nous sommes tous plantés. Bjarne Riis n'aurait jamais dû hériter du surnom de "Monsieur 60". Il fallait l'appeler "Monsieur 64". En référence à son taux d'hématocrite sur le Tour de France 1996, a expliqué la semaine passée Jeff D'hont, un ancien soigneur de Telekom, à une chaîne de télévision belge. Alors, comme ça, Bjarne Riis il s'est dopé pour gagner le Tour ? Erik Zabel, en revanche, aurait essayé l'EPO mais "il a dit qu'il n'avait pas besoin de ça". Parce qu'il utilisait autre chose ? Ou bien parce qu'il serait une quasi-exception dans le gotha cycliste des années 90 ? Tous les témoignages s'accordent à reconnaître que l'usage généralisé de l'EPO et de l'hormone de croissance a fait grimper les moyennes au-delà de l'entendement (...). BJARNE RIIS NE NIE PAS C'est fou ce qu'on apprend sur la télé belge. Aujourd'hui, Riis archi-montré du doigt dirige une équipe archi-montrée du doigt, la CSC, qui a décidé de mettre en place l'hiver dernier un suivi interne de prévention. Comme du reste, T-Mobile, l'ex-Telekom. Au sein de ces formations, les moeurs pourraient changer tout doucement (...). Et alors ? Il va falloir payer jusqu'au bout, non plus seulement assumer le passé mais en souffrir. Quatre ans après les faits, la chaîne danoise DR TV s'intéressait au taux hématocrite de Riis en 1995, monté à 56,3% en juillet. Après le reportage belge de la semaine dernière, la réaction de Riis était prévisible : "Pour moi, tout cela appartient au passé et je ne souhaite pas être tenu responsable chaque fois que quelqu'un trouve intéressant de ressortir une vieille histoire qui remonte à dix ans. Je crois vraiment que le futur est beaucoup plus intéressant que le passé." Prudent, Bjarne Riis ne nie pas farouchement. La réaction de Patrick Lefévère à ce documentaire belge respire le même agacement : "Vous voulez quoi au juste ? Vous voulez que chaque coureur se mette à genou et se confesse ?" DAUTRES FONT LEUR "COMING OUT" Lefévère commence à avoir l'habitude. En janvier dernier, le journal flamand Het Laatste Nieuws l'a accusé de "trente ans de dopage", d'abord en qualité de coureur, puis directeur sportif chez Mapei, et enfin manager chez Quick-Step. Lefévère a porté plainte pour diffamation (...) Plusieurs de ses collègues managers sont d'anciens coureurs. La plupart ont eu des démêlés avérés avec le dopage. D'autres, plus ou moins à demi-mots, comme Eric Boyer en 2005, ont choisi de faire leur "coming out". Pour bien signifier qu'ils réprouvaient ces pratiques et marquer qu'une page se tourne. Pour bien accompagner l'époque. La période en question est à l'inquisition permanente. Alors que les suiveurs s'étranglaient de voir Lance Armstrong écraser un septième Tour de France en 2005, c'est son cas positif du Tour 1999 qui est remonté à la surface. Tandis que le vainqueur de l'édition 2006 reste en suspens, que la culpabilité de Landis est temporisée par des plaidoyers d'experts et une procédure juridique à venir, la télé belge ressort du bocal le Tour 1996. ENTRE CULPABILITES ET SUSPICIONS (...) Ainsi, l'actualité du vélo se décline entre culpabilités et suspicions. Un coureur arrêté en possession de produits dopants va rythmer à lui seul la chronique pendant des mois. Son arrestation entraîne un article. De même pour sa garde à vue et/ou sa mise en examen, son procès et ses vicissitudes en appel. S'il revient à la compétition, blanchi ou non, il nourrira toujours dans la presse une mention à son "affaire". C'est le cas aujourd'hui de Frank Vandenbroucke, dont on apprend que le parquet général fait appel de sa relaxe. Cette même semaine, les médias font écho à l'actualité judiciaire d'ex-coureurs de Lotto ainsi que des accusés du "pot belge", pour un report de procès ou de prononcé. (...) Quand le présent ne suffit plus, on ausculte le passé. LES ANCIENS S'INDIGNENT Bernard Hinault ou Laurent Fignon qui s'indignent de cette nouvelle hystérie à vouloir juger chacun et chaque époque, on s'en amuse bien. Ce faisant, les anciens jettent un voile pudique sur leur carrière à eux. Et pourtant. Le coureur cycliste est devenu un salaud. Il ne peut même plus se vanter le front haut auprès de ses petits enfants au coin du feu. S'il décide de diriger une équipe, on va fouiller dans sa carrière et prouver, souvent très facilement, qu'il a cédé à la triche. Il faudrait que tous les dirigeants d'équipes ne soient pas d'anciens coureurs. L'idée circule. L'expérience a même été tentée en Espagne entre 1989 et 2006, avec un ancien prof de sport qui n'avait jamais épinglé un dossard dans sa jeunesse. Il s'appelait Manolo Saiz.
  17. J'ai vu un chouette film avec elle, ou elle a oublié les fringues
  18. Non, la dernière fois que j'ai apporté des preuves, Jneb s'en est pas remis
  19. Ma femme a une petite poitrine charmante
  20. Diego Maradona, hospitalisé depuis mercredi soir pour un malaise consécutif à un excès d'alcool, est dans un état stable, selon le directeur de l'établissement de Buenos Aires où il a été admis. Il pourrait rester en observation une semaine et accepte enfin son traitement, après avoir dû être endormi à son arrivée, puisque le champion du monde 1986 refusait de quitter le domicile de ses parents quand il s'est senti mal. Le médecin personnel de Maradona, Alfredo Cahe, après avoir immédiatement écarté l'hypothèse de la surconsommation de drogue, avait cependant lâché : «Il fume trop, boit trop et mange trop». Selon plusieurs témoignages médicaux, l'Argentin a remplacé sa dépendance à la cocaïne par une dépendance à l'alcool.
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