arno31

Alors caca culotte ?

Sur le plateau du cfc avec sergio.

Sauvé mon frère !!!

Respouchous, ventrèche, pascade avec un chabrot et le tour et joué

Très bonne analyse du clash chez Praud l'autre jour :

Ma découverte du soir :

Putain de saison quand même : 76 points + 33

La bonne vanne à la tonton Gérard en fin repas édit : Meapoulka ça date de 4 mois

Super ce topic ces dernier temps

Putain celle là elle veux vraiment ken

INFO LA DEPECHE / À l’issue de l’enquête publique, la commission a rendu un avis favorable, assorti d’une réserve, au projet de téléphérique urbain toulousain qui doit voir le jour fin 2020 entre Paul-Sabatier, le CHU et l'Oncopole Le téléphérique urbain de Toulouse qui, avec ses trois kilomètres entre Paul-Sabatier, le CHU de Rangueil et l’Oncopole, sera le plus long de France, est d’intérêt général. À l’issue de l’enquête publique qui s’est déroulée du 11 février au 18 mars, après avoir reçu 398 contributions, dont 66 % positives, la commission a rendu le 18 avril un avis favorable assorti d’une réserve et de quatre recommandations. Le préfet devrait prochainement déclarer d’utilité publique ce projet de 93 M€, maintenance comprise, prévu pour fin 2020. Les cabines de 35 places relieront trois sites majeurs en moins de dix minutes à l’heure de pointe quand le périphérique est, lui, bouché. Avec un objectif de 8000 usagers par jour, ce projet du Plan mobilité de Tisséo Collectivités se veut un maillon d’une future « ceinture sud ». station déplacée Ce nouveau mode de transport, prévu par la municipalité de Pierre Cohen mais dont l’idée revient à Philippe Douste-Blazy, n’a pas soulevé les controverses de la 3e ligne de métro. Mais il a provoqué une levée de boucliers dans la communauté éducative du lycée Bellevue, un site survolé par le téléphérique. À tel point qu’une concertation a été reprise en 2017 après l’attribution du marché au groupement piloté par Poma. Pas moins de dix alternatives au premier tracé ont été examinées. Au final, la station Paul-Sabatier a été déplacée du lycée au campus universitaire. Une solution qui a fait consensus, y compris avec l’architecte des Bâtiments de France. Pendant l’enquête, de nouvelles inquiétudes ont encore été émises par les profs et élèves surtout sur le bruit lié au passage des cabines. C’est l’objet de la réserve. La commission demande que, conformément à ses engagements, Tisséo mène des mesures de suivi acoustique et réalise, en cas de dépassement des seuils, des aménagements pour réduire l’exposition au bruit. Tisséo Ingénierie a rappelé que la technologie des trois câbles, plus coûteuse, a été choisie notamment pour minimiser le bruit. Avec un survol du lycée à 47 mètres, le projet respecte les seuils, indique le maître d’ouvrage. La commission place en tête de ses recommandations la vigilance vis-à-vis de la circulation et du stationnement aux terminus, notamment à l’Oncopole où un parking de 500 places est prévu. Tisséo n’a pas souhaité permuter le parking actuel de l’Oncopole, jugé éloigné par le personnel, et le futur parking afin de maintenir l’attractivité du téléphérique. Mais elle se dit prête à examiner la création d’un parking supplémentaire. Le survol de la ballastière n°1 Et revoilà les ballastières, ces quatre lacs artificiels creusés du temps de la Poudrerie nationale et qui contiennent, depuis la Première Guerre mondiale, 5 000 tonnes de poudre. Sous l’eau, ces bandelettes de nitrocellulose sont inoffensives. Mais à l’air et sèches, elles peuvent être enflammées. Le téléphérique survolera la ballastière n° 1, la plus au nord. Une étude de danger de la Direction générale de l’armement a conclu à la compatibilité du survol par le téléphérique. C’est aussi l’avis de la ministre des Armées en date du 22 janvier 2018, rappelle la commission d’enquête. Mais l’arrivée du téléphérique relance la question de la dépollution maintes fois demandée par Jean-Luc Moudenc et son prédécesseur Pierre Cohen. Malgré la promesse du Premier ministre Bernard Cazeneuve en 2017, le dossier est toujours au point mort. Côté sécurité, des personnels du lycée Bellevue jugent le survol source de danger. Au-delà des dispositions réglementaires respectées par Tisséo, la commission d’enquête recommande des patrouilles aléatoires de police. De même, elle souhaite des analyses régulières de l’air compte tenu des fumées des cheminées voisines du site Ariane Group tout en précisant qu’elles sont « globalement constituées de vapeur d’eau non polluante ».

Putain ils en on pas marre de faire nos poubelles : https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Ligue-1-le-toulousain-bessile-a-l-essai-a-bordeaux/1018535

RIP aux sardinix qui ont pris leur place plein pot il y a 6 mois

Génial : https://creapills.com/tweets-pascal-praud-claire-nouvian-20190510

Info Braxnews : Il se présenterai à la draft

Génial : https://creapills.com/camping-car-solaire-dethleffs-ehome-20190509

Putain il se fait pas chier lui : https://www.leboncoin.fr/voitures/1613726144.htm/

C'est marrant on dirait des rappeurs qui font du metal

RIP Interlagos Bolsonaro enculé

Vous l'avais kiffer la pelouse cette année ? Et bien s'en sera terminé pour la saison prochaine : Concert de Supo et Au lit + match des "doryphore" = Champs des patates Bonne soirée C'est pas parce que je suis d'origine aveyronnaise qu'il faut pas dire les vérités

Le Rodez Aveyron Football va-t-il jouer au Stadium de Toulouse pour les sept premiers matches à domicile du club la saison prochaine en Ligue 2 ? Tous les acteurs locaux de ce dossier se sont rencontrés la semaine dernière et semblent d'accord. Reste à voir si la Ligue (LFP) adaptera le calendrier pour permettre à ce dossier d'être finalisé. Les négociations sont bien engagées pour voir évoluer le Rodez Aveyron Football (RAF), fraîchement auréolé du titre de champion de France de National, au Stadium de Toulouse en début de saison prochaine. Alors que sur le plan sportif, le club ruthénois a obtenu de main de maître sa promotion en Ligue 2, second échelon professionnel du pays, il a engagé des travaux dans son enceinte de Paul-Lignon pour respecter les normes exigées par la LFP. Il faudra cependant au moins quelques mois pour que les objectifs de mise aux normes du stade soient atteints, l'équivalent des sept premiers matches du club à domicile, et en attendant, le RAF ne pourra pas évoluer dans son enceinte. Dans leur quête d'un stade provisoire homologué par la LFP, les dirigeants aveyronais ont donc rapidement prospecté pour ne pas vivre la même mésaventure que le Luzenac AP, empêché de rejoindre la Ligue 2 administrativement en 2014. Plusieurs pistes ont à ce titre été explorées, notamment à... Bastia, ou à Gueugnon. Celle menant au Stadium de Toulouse a en revanche été mise de côté initialement, à cause du coût de location de l'enceinte. Accords de principe C'est alors que les élus de la région Occitanie, notamment, sont montés au créneau, pour proposer leur aide. C'était il y a quelques semaines. "Notre rôle, en tant qu'élus régionaux, c'est de faire en sorte que le club de Rodez reste dans la région", avait confié alors Kamel Chibli, vice-président de la région Occitanie en charge de la jeunesse et des sports. "Si c'est un problème d'ordre financier, on se doit de le régler", avait-il ajouté. C'est en partie pour parler de cet aspect financier et pour régler d'éventuels points de tension comme la cohabitation avec les autres clubs professionnels toulousains, propriétaires aux yeux de la métropole, qu'une réunion s'est tenue entre les différentes parties prenantes de ce dossier la semaine dernière. Elle réunissait la métropole de Toulouse, représentée par Vincent Terrail-Novès, la région avec Kamel Chibli, le président du RAF Pierre-Olivier Murat, le TFC avec Jean-François Soucasse, ainsi que Didier Lacroix, président du Stade Toulousain. Dans l'attente de la réponse de la LFP À l'issue de cette réunion, une demande a été envoyée à la LFP pour s'assurer de la faisabilité d'une alternance entre les matches du RAF en Ligue 2 et du TFC en Ligue 1 le temps des sept premiers matches de la saison à domicile de Rodez en Ligue 2, la saison démarrant fin juillet. "Techniquement, ça doit pouvoir se faire", avance Kamel Chibli. La présidence du TFC ne s'y est pas opposée, tout comme celle du Stade Toulousain, qui pourrait néanmoins devoir patienter plusieurs mois avant de pouvoir programmer un match au Stadium. Les représentants du RAF sont ce mardi au siège de la LFP pour défendre le dossier. Si accord de la Ligue il y a, "nous nous remettrons autour de la table pour finaliser le financement", assure l'élu de la région. Le prix de la location n'a pas pu être baissé par la métropole : "Il a été voté. Il reste de 70 000 € par match", précise Vincent Terrail-Novès. Mais comme promis, "la région et le département de la Haute-Garonne s'engageront à aider le club de Rodez à boucler le financement", rappelle Kamel Chibli. À tarif égal pour le club, "il est évident que nous préférerions évoluer au Stadium plutôt qu'ailleurs", nous assure-t-on du côté des dirigeants ruthénois, qui refuse toutefois de trop s'avancer : "Trois pistes sont encore étudiées, et nous ne communiquerons officiellement sur ce sujet que dans une dizaine de jours." C'est le délai prévu pour l'obtention de la réponse de la LFP.