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Sebal

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Tout ce qui a été posté par Sebal

  1. "Les minutes défilent vite" qu'il nous dit l'autre...
  2. Ah bah ça a failli tiens... Jaune devant marron derrière.
  3. Alors là va falloir faire fort pour tout gâcher
  4. Gelabert et Kamanzi c'est une souffrance...
  5. On n'y est pas en ce début de seconde période... Et pourtant Metz c'est vraiment faiblard à souhait...
  6. On va encore passer une mi-temps à faire de la Puget je sens...
  7. Une cabine à faire la une d'un Faites entrer l'accusé...
  8. Y'a de ces pets... Si ça continue ils sont à 10 avant la mi-temps les messois.
  9. Il s'est tout fait tout seul là Sierro, bien joué!! Allez si on pouvait tenir pour une fois!
  10. L’intelligence situationnelle 👌
  11. T’as oublié Nolan Roux
  12. Bon ben voilà si Lyon en plante un on est dans la charrette pour la trêve 🥳
  13. C’est pas serein serein l’arrière garde monégasque…
  14. Les transversales de Donnum c’est quelque chose
  15. Comment on peut faire 10min aussi propres pour verser dans le nimp’ ultime derrière…
  16. C’est bien joli de laisser jouer mais à force de pas tenir le match il va finir par y avoir une blessure… Donnum ramasse sévère.
  17. Entre l’intervention de Mawissa, le centre de Gelabert et la finition de Magri, c’était du plus que parfait cette action la vache!!!
  18. Y’en a qui sont étonnés ici, vraiment? 😂
  19. Rennes avec leur effectif qui paraissait bien propre sur le papier c'est pas folichon comptablement...
  20. À Toulouse, « l'ambiance est plus bizarre que normale » avant le déplacement à Lyon Plongés dans une situation plus précaire depuis le week-end dernier, après les événements qui ont suivi la contre-performance face à Lorient (1-1), le TFC et son entraîneur Carles Martinez Novell ont tenté de recoller les morceaux cette semaine. Les éclats de voix entendus dans le vestiaire toulousain il y a une semaine après le match nul frustrant concédé à domicile face à Lorient (1-1) ont beau avoir été brefs, leur violence a jeté un froid. Consécutifs à une série inquiétante de sept matches sans victoire (4 nuls et 3 défaites) du TFC, désormais aux potes de la zone rouge en Ligue 1, ces vifs échanges entre le président Damien Comolli, le staff et les joueurs ont eu pour première conséquence de maintenir une ambiance pesante autour du club. Mais différentes initiatives ont permis d'apaiser les tensions en interne. Après les deux jours de repos accordés au groupe en début de semaine, qui ont été « bénéfiques mentalement », selon l'entraîneur Carles Martinez Novell, tout le monde s'est retrouvé mercredi à la reprise de l'entraînement, pour une réunion de conciliation. L'occasion pour chacun de donner son ressenti sur les difficultés actuelles et pour Thijs Dallinga en particulier, mécontent d'avoir été remplaçant face aux Merlus. Il s'en était plaint publiquement et il a présenté ses excuses pour sa sortie médiatique jugée maladroite. « Le dossier est clos. Avec l'adrénaline, on peut se tromper et prendre de mauvaises décisions », estimait son coach vendredi. « Il a fait une erreur et il le sait. On a tout mis à plat », ajoutait Gabriel Suazo, insistant sur les nécessités de « se serrer les coudes » et de « rester hermétiques aux mauvaises ondes ». « Pour reconstituer les liens », un dîner avec l'ensemble du groupe, direction et familles comprises, a aussi été organisé jeudi soir. Des temps de partage jugés constructifs par la plupart des participants, même si, selon plusieurs témoins, tous ne sont pas convaincus de leur impact sur la durée. « Je me sens soutenu par le club et mes joueurs » Carles Martinez Novell, l'entraîneur de Toulouse À court terme, cela s'est traduit par des séances de qualité en préparation du déplacement à Lyon. Ce qui n'a pas empêché le ton de monter vendredi avec le staff. « C'était tendu, confirme un habitué du Stadium et familier de son environnement. L'ambiance est plus bizarre que normale. »Comme si certains pressentaient la fin prochaine de Martinez Novell, pourtant pas menacé dans l'immédiat et qui ne laisse pas grand-chose transparaître au quotidien. « Comme dans toutes les familles, on passe par de moins bonnes journées, ne niait pas le technicien espagnol (39 ans), cible de premiers sifflets en tribunes à l'annonce de son nom, de railleries sur les réseaux sociaux et même de sondages auprès des supporters pour réclamer son départ. Le plus important est de trouver la meilleure solution ensemble pour retrouver ensuite le bon chemin. (...) Je comprends tous les enjeux, mais il faut rester unis. Et je me sens soutenu par le club et mes joueurs. » Pour combien de temps encore si la mauvaise série de Toulouse se poursuit ?
  21. Le père Cherki il fout pas un pied devant l’autre depuis le début de la saison, il nous sortira une masterclass dimanche
  22. Y’en a qui ont un doute sur ça franchement?
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