Louvin

Le joga bonito, il faudrait avoir les joueurs pour cela. Quand je vois les passes à trois mètres du destinataire et les contrôles en touche de dimanche, je me dis que je prefère les voir jouer long au moins comme ca le ballon est loin quand on le perd... Si on veut une animation offensive plus correcte, il va nous falloir des milieux relayeurs qui posent le pied sur la balle, voient le jeu et le positionnement, savent changer d'aile etc - des Didot ou des Chantôme. Si on perd la balle après trois passes, il vaut mieux que le latéral soit bien positionné. Pour l'instant ces jouers on ne les a pas. Et qu'on mette Durmaz ou tartempion sur les ailes, ca ne changera rien à ce manque de tenue du ballon au milieu et au fait que nos joueurs offensifs ne sont en général pas décisifs (hormis Delort depuis janvier et Braithwaite en général). Si Toivonen était moins cossard, il pourrait sûrement jouer ce rôle de patron offensif du milieu. J'ailme ce joueur mais c'est une couleuvre (cf le match de Nice)

Avec cette fameuse composition d'équipe incohérente, on a fait une des meileures demi heure de la saison à l'extérieur (où rappelons-le, on ne fait pas un résultat). Mais si tu tapes deux fois les poteaux en 20 minutes contre un Top 5 en forme, lui te punira. C'est ce qui s'est passé. Nos attaquants ont été inefficaces. C'est pas nouveau. On en est à 1 but en quatre matches (un défenseur).Durmaz n' a pas marqué depuis septembre, Les stats de Jean sont un peu faméliques si on est objectif (le centre pour Delort à Angers) et hier deux centres au second poteau quand Toivonen faisiait un appel au premier...Il est sympa et semble-t-il intelligent mais franchement il ne m'impressionne pas plus que ça, ni au centre, ni à droite. On peut critiquer l'entraineur quand il étale avec une certaine fatuité une conception sommaire du jeu mais le problème du match est que nos attaquants n'ont pas marqué quand il fallait mettre l'estocade et le problème de notre saison moyenne est un déficit criant à certains postes (latéraux, recupérateurs). Jusque là j'aurais rajouté un manque de créativité tactique offensive mais le 4-4-2 d'hier était vraiment pas mal sauf que nos super-attaquants-du-mercato ont mangé la feuille... (comme quoi il n'y a pas que Braithwaite qui foire)

Cet arrêt putain...

Six buts deux passes decisives, il est aussi decisif cette année que lors de chacune de ses deux saisons à Rennes (7 buts une passe pour chacune, j'occulte la dernière où il n'a rien fait)

L'extraordinaire interview d'Uros dans la DH ce matin... Anderlecht Uros Spajic, le nouveau défenseur serbe d’Anderlecht, a connu d’incroyables malheurs à Toulouse. Sympa, souriant, beau gosse et intelligent : le nouveau défenseur serbe Uros Spajic (23 ans) a tout pour se faire aimer à Anderlecht. Surtout s’il poursuit sur sa lancée de dimanche. Au poste d’arrière droit, auquel il n’avait jamais joué, il s’est assez bien débrouillé contre Charleroi. Pourtant, à Toulouse, il avait perdu tout son crédit. Les supporters et la presse l’avaient enterré depuis longtemps. "Mais pas le coach", dit-il dans un français presque parfait. "Il m’a dit qu’il compterait encore sur moi si je ne signais pas ailleurs. Moi, je voulais partir. Il me fallait un club qui joue pour des trophées, où il y a de la pression, comme à l’Étoile Rouge, mon ancien club. Toulouse était trop calme. Gagner ou perdre, c’était la même chose. Mais c’était une belle expérience. J’ai joué 70 matches en Ligue 1. À 23 ans, ce n’est pas mal." On a trouvé beaucoup d’anecdotes et ragots à votre sujet. Comme votre carte rouge lors de votre tout premier match à Toulouse. "Cela commençait bien. C’est un coéquipier - Steeve Yago - qui avait commis la faute. L’arbitre a sifflé penalty et m’a adressé une carte rouge. Il m’avait confondu avec Yago, qui a pourtant une autre couleur de peau que moi. (rires) Il s’est excusé et je n’ai pas été suspendu, mais quand même." Vous avez reçu neuf cartes jaunes et deux cartes rouges cette saison-là. "J’aime aller au duel, mais je ne suis pas méchant. Les arbitres français ne sont pas les meilleurs. Et je venais de l’Étoile Rouge, où on est quand même un peu protégé par les arbitres. (rires) Cette première saison, j’ai très bien joué." Vous n’avez plus joué depuis la nomination de Pascal Dupraz comme coach. Il a sauvé Toulouse de manière incroyable... "Oui. On était déjà en D2 et il nous a sauvés. C’était un miracle. Et j’ose dire que c’est un très bon coach. Mais il m’a écarté de l’équipe… après un pile ou face." Pardon ? "Il me l’a avoué par après, pendant la préparation. Il a pris un euro, l’a jeté, et il est tombé du mauvais côté pour moi. Il fallait écarter quelqu’un et c’était moi. Par après, il m’a dit : Je ne te connaissais pas. Maintenant, je vois que tu es un bon joueur et un bon gars ." Vous avez refusé de jouer avec l’équipe réserve. "Je venais de l’équipe nationale, et je devais jouer en réserves. Mais j’étais blessé à la cheville. Je sais que les gens ne me croyaient pas, et j’ai donc montré la photo de mon scanner au coach, pour qu’il l’explique à la presse. Mais il ne l’a pas fait. Je ne voulais plus commettre la même erreur qu’en 2014-2015. J’étais revenu trop vite après une fracture au métatarse. J’avais joué avec des infiltrations. Je l’avais payé, parce que j’ai eu beaucoup de problèmes musculaires. Je n’étais pas prêt." En début de saison, vous avez reçu votre chance, contre Marseille mais Batshuayi vous a joué un sale tour. "J’étais resté sur le banc pendant 89 minutes. Puis, après une carte rouge reçue par Yago, j’ai dû monter sans le moindre échauffement. Une minute plus tard, je n’ai pas su empêcher Michy d’inscrire le 1-1. C’était la catastrophe. Je ne veux pas chercher d’excuses mais quand on monte au jeu à froid… Je m’étais excusé auprès des supporters via Twitter." Vous étiez toujours la tête de Turc. "Pas seulement moi. Nous étions quatre Serbes. Et nous parlions le serbe dans le vestiaire, c’est vrai. Les Français n’aiment pas cela. Quand ça ne tourne pas, il faut des boucs émissaires…" "Jankovic m’a conseillé ce club" Avant de signer au Sporting, Uros Spajic a passé un coup de fil à Aleksandar Jankovic, l’actuel entraîneur du Standard. Au moment du coup de fil, il était encore à Malines. "Jankovic était mon coach à l’Étoile Rouge", explique Uros Spajic. "Il a été très important pour moi. Ici, il m’a conseillé d’aller à Anderlecht. Selon lui, c’est un club pour moi. J’ai hâte de jouer le Clasico contre le Standard… Ce sera très spécial de le revoir." "Au RSCA, c’était fait en 5 minutes" Uros Spajic n’est pas naïf, il sait que Nicolas Lombaerts était le plan A de la direction mauve. "Tout s’est faitlors de la dernière journée du mercato", explique-t-il. "J’avais des offres d’Allemagne et d’Espagne. Mais quand Anderlecht s’est manifesté, j’ai directement dit oui. Cela s’est fait en cinq minutes. Puis, j’ai rejoint le club en jet privé. J’adore déjà ce club. Je suis prêté jusqu’en fin de saison, mais j’ai déjà envie de signer pour plus longtemps." "Mon ami Mitro est plus fou" Uros Spajic connaît bien les ex-Anderlechtois Milivojevic et Mitrovic. "J’ai joué avec Milivojevic à l’Etoile Rouge contre le Partizan de Mitro . Il avait marqué un but contre moi, mais on avait gagné par 3-2. Hors du terrain, on était de grands amis. Nous allions boire un verre et sortions ensemble. Mais il est plus fou que moi. Je n’ai jamais eu de coiffure comme lui. Si je l’ai appelé récemment ? Il change tout le temps de numéro !" "Successeur de Vidic ? Je reviens !" Considéré comme le successeur de Vidic (ex-Manchester United) en Serbie, Uros Spajic a joué un match en équipe nationale contre l’Arménie en septembre 2015. "Le coach compte encore sur moi", dit-il. "J’ai perdu ma place parce que je ne jouais plus du tout à Toulouse. En jouant à Anderlecht, je veux récupérer ma place. Oui, je suis venu ici pour jouer. De préférence dans l’axe de la défense…"

Pas sur qu'il aspirait à cela sportivement. Partir libre, cela requiert une analyse rigoureuse de sa valeur sportive et financière (sinon cela rebute les clubs) et de préférence aller vite (sinon tout le monde comprend vite qu'il st gourmand et attend patiemment que les prétentions tombent).

Le gars aurait 19 ans, la question ne se poserait pas. Là il en a 17, une formation à finir, un peu de dimension physique à prendre (parce qu'honnêtement entre le match de Lyon et celui de samedi, il finit sur les rotules). Je comprends qu'on s'interroge. Passer une saison comme doublure d'un gardien de bon niveau (la question est de savoir lequel, vu la nullité des recrutements faits récemment mais Dupraz doit avoir une idée), jouer les coupes, parfaire sa formation bosser ses points faibles, se faire une caisse, ne peut être que positif. Pour le club, c'est probable, pour lui aussi. Après s'il ne le comprend pas et qu'un club met une grosse somme (mais bien grosse, c'est un jeune à potentiel, c'est cher) pour le faire jouer titulaire, qu'il parte. Mais ça m'étonnerait qu'un club investisse sur un gamin pour garder son but en n°1, les autres raisonnent comme le notre a priori et le marché des gardiens est quand même spécial. Courtois ausi a débuté à 16 ans, mais il n'est devenu titulaire qu'à 18 lors de la deuxième saison. La première, celle suivant ses débuts, il a ciré le banc de Genk et on ne peut pas dire que cela a géné sa carrière...

ca peut partir en live mais du coté de l'entraineur. Makélélé lui va rester et et je pense qu'il a vu ce que Tisseand peut faire en DC (sachant qu'en plus lui veut revenir). Si c'est Tisserand ou Wallance , je sais ce que je prefère... (et Raggi on ne peut pas le cloner...)

Premier but en Ligue 1 hier soir...

Il a été extraordinaire les minutes qu'il a passé sur le terrain. Son centre sur le but de braithwaite est un modèle, sa touche longue nous donne le coup de franc de Bodiger. Bravo Pavle on te doit largement le maintien ce soir.

Oui ça fait trop rire. Laisser entendre que l'erreur originelle est le changement de système tactique, que sa mise en place n'a été décidée que pour satisfaire les supporters qui demandaient un jeu plus plaisant, ce qui a destabilisé le système défensif, en laissant entendre par ailleurs que ça n'a servi à rien parce que les supporters ne sont pas plus venus c'est juste . C'est inédit, enfin de foirer trois ou quatre campagnes de recrutement successifs, de ne jamais le reconnaitre et de chercher cet argument là...... ça donne vraiment envie de lui taper sur la gueule même si ce n’est pas astucieux. De toute manière, j'ai plutôt l'impression que le divorce est consommé. Et c'est préoccupant parce que le club est sérieusement plombé en terme d'image par là descente qui se profile et l’évidente accumulation d'erreurs.

J'aurais aussi préféré Gillot et je n'aimais pas beaucoup Dupraz mais c'était surtout parce que l'ETG me sortait un peu par les yeux : sponsoring baroque, pas de stade , pas d'installations, pas de centre de formation (sans parler du maillot rosatre délavé), c'était franchement un club né des droits TV... Mais c'était le club de Dupraz et il le défendait. Mais ce choix au lieu de Furlan et des autres noms un peu qui ont circulé (Echouafni, le meilleur pote d'Arribagé, franchement) montre une chose. la tte petite chance de maintien qui nous reste, Sadran veut que son nouvel entraineur la joue à fond...

Il faut un nouveau coach maintenant et pas en juillet. Il reste trop de matches pour que l'effectif se croie en roue libre avec l'adjoint du fracassé à la place du fracassé et continue à perdre deux matches sur trois (et un nul au troisième). on va descendre OK mais au moins qu'on le fasse dignement, en gagnant deux trois matches avant la fin, en retrouvant du plaisir de jouer ensemble et de la performance collective. Et ça n'est pas possible avec Debève, il était l'un des cochers de l'attelage qui est parti dans le fossé. La saison prochaine se préparera aussi sur les bases des 7-8 derniers matches de celle-ci. Les laisser à Debève au motif qu'on a du temps pour trouver un coach qui plaise à Sadran serait une grosse erreur et j'ose espérer que Sadran ne la fera pas.

A mon avis il n'a pas de came il est au chomdu. Alors le Tef ou planter des laitues, c'est à lui de voir s'il veut travailler ou pas...

Pareil. Et ca fait un an qu'il n'entraine plus, il est frais intellectuellement,il est diplomé, et franchement on a besoin d'un autre regard, même si pour le maintien c'est cuit. Je me souviens d'un vrai bon tacticien quand il était à Bordeaux.

Qu'il participe aux instances ne montre pas qu'il s'implique dans la gestion du tfc - ou au moins qu'il soit lucide sur nos manques (cf les deux derniers mercatos ratés) Pas vu le match hier mais si vous avez ressenti qu'il vibrait pour le match alors oui j'ai peut être tort- il continue de s'intéresser au club mais le gère affreusement mal. Dans notre situation cela revient au meme Donc c'est pur ca que je souhaite qu'il fasse au moins passer le message qu'il veut vendre et ce n'est qu'à ce moment là qu'on saura s' y a ou non des acheteurs et des ventes d'entreprise ou le vendeur comble les dettes avant de céder ça arrive tous les jours !(dans ce cas tu sais que tu les combles une bonne fois pour toute...) C'est pour ça que je préférerais qu'il s'en aille plutôt que mon club continue d'être gérer par une équipe dirigeante paumée

parce que s'il avait pensé que c'était 50/50 son vote aurait été différent ? c'était sa conviction et une mauvaise mesure si elle lui revient dans la tronche il devra l'assumer... Pour le reste je souhaite qu'il entame des démarches pour vendre ses parts puisque le club ne semble plus vraiment l'interesser. Et je ne pense pas qu'il n'y aura pas d'acheteurs, ca dépendra surtout du prix qu'il en demandera (qui devra être un compromis entre la situation financière à peu près saine sauf qu'on ignore l'impact de la descente et la situation sportive désastreuse)

ça s'appelle abandonner le club -comme un jouet qui vous a amusé et qui maintenant vous lasse. Tant que le Président est passioné et investi, le pouvoir unique fonctionne . Quand il ne l'est plus, cela donne ce qjui nous arrive...

Si c'est vrai qu'on est allé démarcher Digard et Vainqueur (et indépendamment du caractère plus sexy des clubs et/ou des championnats où ils jouent), on a eu le nez de cibler deux joueurs dans des clubs qui ont changé de coach en janvier - précisément le moment ou ceux qui cirent le banc reprennent espoir de jouer avec un nouveau coach

Y'a le mercato ausi. mais bon nos pistes "n'ont pas about".

C'est pas vraiment d'un entraineur à poigne dont on a besoin mais d'un cas qui connait le foot, la tactique, la gestion des hommes et la L1. Et dans ce profil, il y a Girard, Montanier, Dupraz, Baup, Gournier et probablement d'autres (reste à savoir s'ils sont libres) - il y avait aussi Antonetti et Hantz mais bon.... On ne peut pas trop faire les difficiles là où on est -il nous faut un vrai coach..

Trois matches en six jours aussi, dont deux chez les deux premiers - et trois pénos ratés. Alors oui, il est probable qu'on ne pourra pas descendre plus bas mentalement. Et dire qu'on rejoue mercredi...

Non mais lui il est à la rue complet...

L'EAG n'est pas la pire équipe de L1. Elle est cohérente, a de bons joueurs de foot (un bon gardien, un joueur qui percute- Salibur, un regulateur qui met des coups au milieu (Sankharé, un buteur). Elle était en confiance depuis sa victoire miraculeuse de samedi. Nous on venait d'en prendre 4 à Monaco en se faisat bouffer et le coach nous avait fait hara kiri au Parc avec ses changements à la npix alors q'on faisait un match cohérent pas brillant mais cohérent)/ Au niveau mental, ils étaient au taquet ,et nous il faut qu'on remonte - et ça risque de prendre deux trois matches