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Championnat Lille OSC 2 - TFC 1 / 8è journée de L1
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Toi tu vas avoir des problèmes 👀 -
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On parle du match de ce soir ici. -
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Il est trop loin et trop en retard pour intervenir. Ça s'arrête là. -
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Ça chauffe. Faut pas prendre le 3eme, on va avoir d'autres occasions. -
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Ounas c'est quand même un sacré joueur. -
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Je trouve aussi. 👍 -
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Le mec qui a interviewé Diarra n'a pas dû regarder le match. -
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Zak nous bouffe un peu la feuille devant. -
Je ne suis pas chasseur mais j'en connais quelques uns. Globalement l'apéro a tendance à disparaître avant la chasse, surtout chez les jeunes qui sont plus conscients du problème. Désormais l'apéro c'est surtout après. Mais il y a des résistances chez les anciens. Je suis d'accord que c'est tellement de bon sens de ne pas picoler avant que ça ne devrait même pas faire débat.
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Redbird qui met le TFC dans ses actifs pour le rachat de Milan 🤔🤔
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Tous les défenseurs ne sont pas sur le terrain en même temps 😉 -
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Quelle part ça représentait avant, sous Sadran ? -
ladepeche.fr INTERVIEW. Bafodé Diakité : "A Toulouse, j'ai vécu des moments exceptionnels !" Avant Lille - TFC samedi, l'ancien Pitchoun aujourd'hui au Losc se confie DDM - DDM LAURENT DARD 7-10 minutes Né à Toulouse et formé au TFC, qu'il a rejoint à 13 ans, Bafodé Diakité a pris son envol cet été pour rejoindre Lille. Ce samedi, le Pitchoun retrouve son ancien club (21 heures) : pour La Dépêche, "Bafo" revient sur les moments marquants de sa vie en violet. Comment s’est passée votre intégration au Losc? Bien ! D’abord parce que je connaissais certains joueurs de l’effectif, comme Isaac Lihadji ou Lucas Chevalier, que j’ai côtoyés en sélection. Mohamed Bayo aussi : après un match, lorsqu’il jouait à Clermont, on s’était assis, on avait parlé. On avait bien accroché. Donc j’avais ces repères. Et le Losc avait déjà un bon groupe avant mon arrivée. Quand tu as de bonnes personnes en face de toi, et que toi aussi tu n’es pas compliqué, ça se fait tout seul. Au-delà d’un changement de club, votre départ à Lille est aussi un changement de vie, pour vous qui êtes né et avez toujours vécu à Toulouse. Comment cela s’est-il passé ? En 6e, j’étais en internat à 2h30 de Toulouse, à Boulogne-sur-Gesse, et je ne rentrais que le week-end. Chaque lundi, je partais de chez moi à 4h du matin, je prenais le bus à 5h45, j’arrivais à l’école à 8h. Donc j’étais habitué à être éloigné de ma famille. C’est sûr que partir à Lille est un grand saut. Pour l’instant, ça va, je m’adapte bien. J’ai pris mon logement, tout va bien. Vous êtes titulaire depuis la 3e journée. Vous attendiez-vous à une intégration si rapide ? Honnêtement, non. Je me disais que j’aurais besoin de temps pour faire mes preuves, comme tout nouveau joueur. Mais le coach me fait confiance. Avec le maillot du Losc, qu'il a rejoint cet été AFP - DENIS CHARLET On vous sent épanoui sportivement à Lille. Après neuf ans au TFC, c’était le bon moment de partir et de relever un nouveau challenge ? Clairement. J’ai connu la descente, puis la remontée. Dans ma tête, j’avais fait le taf, on avait fait le taf avec l’équipe. Les supporters voulaient qu’on remette le TFC à sa place, et on l’a fait. Moi, mon chemin me guidait ailleurs. Au moment de la descente, je sentais qu’il fallait que j’aide le club à revenir en haut. Il le mérite. Et de la même manière, dès qu’on a atteint notre objectif, j’ai senti qu’il fallait partir. Aujourd’hui, vous reprenez du plaisir ? Jouer me fait du bien. Cela fait longtemps que je n’avais pas connu la joie d’être titulaire et d’enchaîner les matchs. C’est sur le terrain qu’on prend du plaisir. Même si on gagnait la saison dernière, c’était forcément un peu frustrant d’être sur le banc. Même si c’est ce qui devait arriver, c’est comme ça (rires). Quels souvenirs gardez-vous de la saison dernière ? Ce sont des moments exceptionnels. Déjà, réussir une montée avec son club formateur, ce n’est pas courant. Le faire en plus avec un groupe dans lequel il y a tes coéquipiers du centre de formation, c’est presque incroyable. Les chances d’une génération de devenir pro sont très fines, on le sait. Alors en avoir autant dans l’équipe première, c’est énorme. Et en plus monter… Il n’y a rien de mieux. Comment expliquer le succès de cette génération 2000-2001, avec Amine Adli, Anthony Rouault, Manu Koné, Moussa Diarra, Nathan Ngoumou et les autres ? Tout part de l’épopée en Gambardella en 2019. On avait un groupe assez complet pour aller vers le haut niveau. Le club l’a vu et nous a fait confiance pour nous y emmener. Bafodé Diakité a rejoint le TFC à 13 ans, en 2013 DDM - VALENTINE CHAPUIS La forte amitié qui vous lie a-t-elle aussi aidé ? Je pense, oui. Parce que quand on voit qu’un de nous y arrive, on se dit « ah, moi aussi je voudrais y arriver ! » Et le fait que ce soit tes amis, tu as envie d’’y arriver avec eux, il y a un supplément de motivation. Moussa Diarra nous a parlé d’un groupe de discussion entre vous. Vous vous êtes un peu chambré cette semaine ? Non, même pas. En fait, on ne se chambre jamais ! On n’est pas dans cette attitude-là. On a fait comme d’habitude, on a continué à se parler normalement. On est juste pressés de se voir, de pouvoir se donner des nouvelles en « face à face ». Mais se chambrer, non. Vous préparez ce match face au TFC différemment ? Je vais le préparer normalement. Toulouse, c’est une étape de ma vie qui est faite. Il aura une saveur particulière, mais dans ma préparation mentale, je l’approcherai comme un match comme les autres. On est encore frustrés de notre défaite à Marseille (2-1 lors de la précédente journée NDLR), on sait que l’on doit se reprendre ce week-end. Et gagner, donc. Si vous deviez garder un moment marquant de vos neuf années passées au TFC, lequel choisiriez-vous ? Vraiment, un seul ? Je ne peux pas en garder deux ? Allez, on vous laisse un joker… Bon, s’il y a un joker... Évidemment la montée en Ligue 1 la saison dernière est un moment très fort. Puis, même si on ne l’a pas gagnée, il y a la finale de la coupe Gambardella en 2019, Enfin plutôt l’aventure Gambardella. Oui… Le fait de vivre ça avec des gens avec qui j’ai grandi, parce que c’est de ça dont on parle, avec autant d’années en centre de formation, grandir ; ça décuple les sentiments. Même si on a perdu la finale, le fait d’avoir connu ce parcours avec eux, c’est fantastique. Si je devais refaire cette aventure, bon, j’aimerais gagner la finale au bout, mais je la referais dix fois. Vous êtes arrivé au TFC à 13 ans. Avant, il y a eu le TAC (Toulouse Athletic Club), le seul autre club que vous ayez connu. Que représente-t-il pour vous ? Je n’ai pas les mots. C’est le club qui m’a donné envie de continuer à jouer au football. Parce qu’à la base, je n’étais pas vraiment dans l’idée de faire du foot en club. Je n’étais pas fan… Mais ce sont les éducateurs du TAC, tous les gens du club, qui m’ont poussé, m’ont donné cette envie. Je ne peux que les remercier. En 2021 pour les 90 ans du TAC, son premier club DDM - FREDERIC CHARMEUX Quel regard portez-vous sur le renouveau du TFC ? Beaucoup de monde attendait du changement. Les dernières années avant l’arrivée de RedBird, je ne me sentais pas forcément concerné, puisque j’étais encore au centre de formation. Mais la nouvelle direction a fait quelque chose de très beau : redonner envie aux habitants de Toulouse de venir voir jouer le TFC chaque week-end. C’est ce qu’il manquait. Vous avez été l’animateur des tribunes la saison dernière, après les victoires au Stadium. Vous sentiez l’amour des supporters ? C’est un très bon exemple pour illustrer ce que je disais. Ce lien entre joueurs et supporters a été rétabli. À la fin de chaque match, ils restaient pour ce cri de guerre devant la tribune, c’étaient des moments fabuleux, qui prouvent que la mission a été accomplie. Ces supporters méritent le bonheur, et c’est tout ce que je leur souhaite.
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Il a des cojones 2.0
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Ça sent pas bon pour NLG ce qui sort là...
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Ils sont foufous.
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La demi sera vendredi, 17h15 sur W9.
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Et en plus on prend la Pologne en demi au lieu de la Slovénie. Incroyable.
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Le même scénario que face à la Turquie. Avec le même score d'ailleurs, 77-75. Et un Italien qui rate deux lancers francs.
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Bordel cette équipe de France !!! 😱
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ladepeche.fr TFC : Rasmus Nicolaisen, le roc danois tient son rang Encore une fois très solide face aux attaquants du Stade de Reims dimanche (1-0), Rasmus Nicolaisen confirme son excellent début de saison. Une impression appuyée par des chiffres fous. Après avoir savouré la victoire face à Reims, les analystes data ont une nouvelle bonne raison de déboucher le champagne : Rasmus Nicolaisen est le joueur qui gagne le plus de duels aériens en Ligue 1. Sans doute l’avaient-ils anticipé, le Danois est au niveau de l’élite en ce début de saison. « Je me sens très bien. Je veux continuer, et être encore meilleur, amener de l’énergie dans l’équipe, » sourit le Danois qui, non content de régner dans les airs, est aussi intraitable au sol. Face au PSG le 31 août, il a remporté la totalité des duels qu’il a disputés (7) ; quatre jours plus tard à Clermont, il n’a abdiqué que sur un (13/14). Des statistiques impressionnantes (relevées par TFC Database) pour le joueur de 25 ans, qui confirment « ce que notre œil nous dit déjà, selon Philippe Montanier : Rasmus Nicolaisen réussit un excellent début de saison. » « Quand tu joues contre de meilleurs joueurs, tu dois t’adapter » Recruté l’été 2021 à Midtjylland, club danois pionnier dans l’utilisation de la data, le numéro 2 du TFC découvre pourtant cette saison le très haut niveau, comme tant d’autres joueurs de l’effectif haut-garonnais. Prêté à Porstmouth en deuxième division anglaise entre septembre 2020 et juin 2021, il n’avait jamais évolué ailleurs qu’au Danemark et à Midtjylland auparavant, mais se révèle désormais en Ligue 1, où il paraît même plus fort qu’en Ligue 2. Tentative d’explication par l’intéressé, qui avait bien contenu Kylian Mbappé lors de la réception du PSG : « Quand tu joues contre de meilleurs joueurs, tu dois t’adapter. Tu es forcément plus concentré, du début à la fin. En Ligue 2, on contrôlait tellement les matchs, ça ne nous demandait pas le même niveau d’alerte. » Encore face à Reims dimanche, Nicolaisen s’est montré intraitable, rarement pris par la vitesse du feu follet Ito et contribuant, avec Anthony Rouault et Moussa Diarra, à éteindre la pépite du début de saison, l’international Espoirs anglais Folarin Balogun. Avec 12 ballons récupérés, 80 % de duels gagnés et 15 dégagements défensifs a à nouveau régné dans son jardin du Stadium, où il avait inscrit 3 buts la saison dernière (4 au total en championnats). « Une bonne chose d’être flexibles tactiquement » « C’est facile de jouer aux côtés d’Antho et de Rasmus » souriait Diarra, l’un de ses deux coéquipiers dans la défense à trois mise en place par Philippe Montanier. « J’ai toujours été habitué à jouer à quatre en défense, mais les deux systèmes me vont. C’est une bonne chose que l’on soit flexible au niveau tactique, souligne Nicolaisen, qui rappelle que lors des trois défaites que les Violets avaient subies, ils jouaient à trois défenseurs.« Il n’y a pas de vérité » sourit-il. Il y en a tout de même une, et la data ne s’y est pas trompée : en ce début de saison, Rasmus Nicolaisen est essentiel au TFC.
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https://www.francetvinfo.fr/sports/rugby/stade-toulousain/reportage-a-toulouse-foot-hand-waterugby-un-week-end-de-sport-en-lettres-capitole_5356387.html Article sur le sport à Toulouse.
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C'est clair que la position de sa jambe droite est plus que bizarre. Il ne touche pas violemment le joueur, mais il pouvait aisément éviter de le toucher. Complètement d'accord avec toi. Les messins ne peuvent s'en prendre qu'à eux. J'espère que Boloni, quand il reverra le match, modèrera ses propos.