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taz

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Tout ce qui a été posté par taz

  1. taz

    Rugby 2021 - 2022

  2. Quelle trajectoire lui 😁 !
  3. Toutes les fois où ils ont sorti un truc sur nous, je crois que ça ne s'est jamais fait.
  4. Les mecs ils vont être présentés au public ce soir dans un Stadium plein comme un oeuf, ils vont halluciner
  5. ok avec ça, je pense aussi.
  6. taz

    Le sexisme

    Je ne suis pas braqué, j'ai très bien compris la démarche qu'il y avait derrière, non pas de è_é mais d'autres. Je ne suis pas froissé.
  7. Peut-être que le timing est trop court oui. Je ne sais pas le discours qui est tenu au joueur, et ça ne m'intéresse pas. Mais on ne peut que constater que le club semble peiner à prolonger ses cadres (notamment au milieu), ou alors c'est bouclé pour certains et ils attendent pour l'annoncer. Mais j'y crois moyen.
  8. taz

    Le sexisme

    J'ai encore le choix d'échanger en privé avec elle si elle est ok. Après tu penses ce que tu veux.
  9. taz

    Le sexisme

    Si t'as une question sur ce sujet, envoie-moi un MP, j'y répondrai avec plaisir.
  10. taz

    Le sexisme

    Je ne sais pas pourquoi tu me cites, je ne crois pas avoir échangé avec toi récemment avant que tu sois bannie.
  11. LA DEPECHE TFC - PSG : un mercredi soir pour rêver ! Le Stadium accueille le club parisien et sa pluie de stars DDM et AFP 4 minutes C'est une rencontre a priori déséquilibrée qui va se tenir mercredi 31 août (21h, 5e journée de Ligue 1) entre le promu et le champion en titre, ultra-favori et impressionnant cette saison. Mais à Toulouse comme à Paris, on se donne le droit de rêver. Il n’y a plus de division d’écart entre le TFC et le PSG, mais encore un monde. Ce mercredi soir, le champion de Ligue 2 reçoit le champion de Ligue 1 et son armada de stars, dont certaines devraient être laissées au repos. Paris vise grand, Paris vise continental et la Ligue des champions démarre mardi prochain aux lendemains d’une semaine à trois matchs. On comprendra Christophe Galtier : Toulouse n’est pas Turin. Mais qu’on ne s’y trompe pas, même avec un PSG remanié, la classe d’écart ne sera pas comblée. Prudents, on a demandé à Philippe Montanier de s’exprimer sur une rencontre "déséquilibrée sur le papier"… "Et sur le terrain", a-t-il complété. "Il y aura deux types d’adversaires dans la saison, sait l’entraîneur toulousain. Ceux très au-dessus de nous, et ceux qui font partie de notre championnat." Qu’attendre, alors, d’une confrontation entre un Paris programmé pour l’Europe et un Toulouse destiné à la bataille pour ne pas descendre ? "On doit y aller sans pression" répond le défenseur Rasmus Nicolaisen, qui sourit à l’évocation du trio d’attaque parisien : "Ce sera dur, évidemment. C’est la première fois que je vais jouer contre une équipe aussi forte", admet le Danois, et l’écrasante majorité de ses coéquipiers pourraient en dire autant. "Ils ont une équipe exceptionnelle, il faudra rester très compact pour éviter de concéder trop d’occasions." La force du collectif à opposer à la supériorité individuelle Face à une équipe seulement accrochée par Monaco dimanche dernier, qui restait sur 17 buts inscrits en trois rencontres, et dont plusieurs joueurs peuvent légitimement prétendre soulever la Coupe du monde en décembre prochain, Philippe Montanier n’a pas d’as dans sa manche. À l’écrasante supériorité individuelle des Parisiens, il n’aura qu’à opposer la force d’être ensemble : "Notre défense sera plus collective qu’individuelle", souligne le coach qui s’apprête à abandonner le ballon aux techniciens parisiens. "On sait qu’on n’aura pas la possession face au PSG. Il faudra être très intelligents, et coordonnés lorsqu’on récupérera la balle, parce que c’est aussi une équipe très habile dans le pressing. Le but sera d’être le plus uni possible dans toutes les phases de jeu, de jouer notre chance à fond et de profiter de ces matchs pour se donner à fond devant notre public." Ce mercredi soir, ils seront 31 700 à garnir les tribunes du Stadium à guichets fermés pour un match dont on ressent déjà les vibrations depuis plusieurs jours. "Nous avons travaillé toute l’année dernière pour préparer ce match" dit Branco van den Boomen. Le TFC y travaille depuis plus longtemps encore, et après deux ans de purgatoire, le club toulousain a à nouveau le droit de rêver. C’est déjà une victoire en soi, et il faudra peut-être s’en contenter. LA DEPECHE - ARTICLE 2 INTERVIEW. TFC-PSG : "Ce match sera un moment marquant de ma vie" confie Ratao le buteur toulousain, avant le choc face aux stars parisiennes DDM - MICHEL VIALA 8-11 minutes Après un parcours chaotique qui l’a mené du Brésil à la Slovaquie en passant par le Japon et l’Ukraine, le Brésilien Rafael Ratao est un homme heureux à Toulouse, où il s’apprête à jouer l’un des plus beaux matchs de sa carrière. Confessions. Vous accueillez le PSG ce soir. Qu’attendez-vous de cette opposition, qui paraît assez déséquilibrée sur le papier ? Évidemment, le PSG est favori. Ils ont tellement de grands joueurs… Mais notre dynamique de début de saison a été assez bonne (interview réalisée avant la défaite à Nantes NDLR). Nous avons une équipe jeune, motivée, et nous avons gardé la base de la saison dernière, nous nous connaissons. Alors tout est possible, on peut difficilement prévoir ce qui se passera sur le terrain. Une chose est sûre : on y va pour bien jouer et faire un bon résultat. Comment appréhende-t-on un tel match face à des si grands joueurs ? Il y a un petit côté "rêve de gosse" ? Oui, totalement. Je vais jouer pour de vrai face à des joueurs que j’utilisais sur les jeux vidéo ! Jamais je ne l’aurais imaginé. Je viens du Brésil, j’ai connu des moments difficiles. Rencontrer ces joueurs, quelque part, c’est un marqueur de réussite. Donc ce soir sera un soir vraiment particulier pour moi, quelque chose qui marquera ma carrière et que je garderai en mémoire toute ma vie, c’est certain. Plus spécifiquement, vous croiserez la route de Neymar, votre compatriote… C’est très marquant, puisqu’il est Brésilien, le meilleur en activité. Il a joué au Brésil avant de partir pour l’Europe, forcément on voit des parallèles. Je lui souhaite un très bon match, et que le meilleur gagne. Mais j’aimerais pouvoir bien jouer aussi ! À Troyes, vous avez célébré un but de la même manière que Neymar le même week-end, en mimant des oreilles de lapin. Quelle était la signification de ce geste ? Je n’avais pas vu que Neymar l’avait faite aussi ! Ce jour-là, c’était la fête des pères au Brésil. L’histoire derrière la célébration, c’est que j’étais dans un parc avec ma femme et ma petite fille, et on s’était amusés à faire ce geste, qui est assez courant au Brésil quand on joue avec les enfants. Et je lui ai dit : ‘‘je vais marquer deux buts, et je ferai cette célébration pour toi.’’ Bon, finalement, je n’en ai mis qu’un (rires). Mais j’imagine que Neymar l’a fait pour les mêmes raisons. Que pouvez-vous nous dire de vos premières années de footballeur au Brésil ? Vous pensiez déjà à faire une carrière en Europe ? Le résumé de mes premières années, c’est qu’il y a eu des hauts et des bas. J’ai commencé très jeune, à Ponte Preta en première division à 17 ans, et très vite, j’ai connu beaucoup de changements. Je changeais de club tous les deux mois. Ma carrière a basculé quand j’ai décidé d’aller en Europe. Bien sûr, au Brésil, le côté technique est développé. En Europe, j’ai découvert une culture tactique, et j’ai aussi appris énormément sur la nécessité de bien se préparer. "Ce que je vis aujourd’hui est un aboutissement de quatre ou cinq années. Il y a du travail derrière" Votre première expérience à l’étranger n’est pas en Europe mais au Japon… Oui, au Japon puis en Corée. En partant là-bas, je savais que j’allais découvrir une culture très différente. Il y avait aussi une grande passion autour du foot, donc là-dessus, je m’y retrouvais. Déjà là-bas, j’ai commencé à prendre conscience de l’importance de tout ce qui est hors terrain, comment prendre soin de soi pour être performant. Et quand je suis arrivé en Ukraine, tout a été plus simple. Cette étape en Asie a été bénéfique. La culture japonaise ou coréenne est très différente de la culture brésilienne. Comment s’est passée votre intégration ? Ça a été difficile au début. Je ne parlais pas la langue, les locaux sont un peu plus froids. J’ai eu la chance d’avoir quelques coéquipiers brésiliens, qui ont facilité mon intégration. Mais en regardant dans le rétro, je réalise que c’est une expérience qui m’a endurci, et m’a permis de prendre confiance pour d’autres défis qui allaient arriver plus tard. Vous parlez de l’importance de tout ce qui est hors football, de prendre soin de soi… C’est quelque chose que vous avez mis du temps à intégrer ? Oui, un petit peu. C’est vraiment en Europe que j’ai compris que je ne pouvais pas me contenter de capitaliser sur mon talent technique, qu’il était important de respecter la tactique que le coach met en place, et d’être bien physiquement. Cette prise de conscience s’est faite progressivement, à chaque fois que je changeais de club, j’accumulais un peu plus d’expérience. Quand je suis arrivé à Toulouse, je pense que j’avais la bonne mentalité. Aujourd’hui j’ai un psychologue, un nutritionniste, un coach personnel, et il y a tout ce que je fais chez moi, les bains de glace, les massages pour la récupération… Après avoir énormément changé de club au cours de votre carrière (le TFC est son 16e club NDLR, il était important, en arrivant ici, de vous fixer dans la durée ? C’est un des gros problèmes des "petits clubs" au Brésil : il y a quatre mois de championnat et ensuite on s’arrête, donc c’est compliqué d’avoir des longs contrats avec les clubs. C’est pour ça que je suis venu en Europe. À Toulouse, j’ai un contrat qui court encore sur plusieurs saisons (2024 NDLR), et je suis persuadé que ça m’aide à être épanoui, j’ai fait une bonne préparation estivale, un début de saison satisfaisant. Un départ d’ici n’est pas du tout à l’ordre du jour. Ce que je vis aujourd’hui est un aboutissement de 4 ou 5 ans, je me prépare pour ça, sur et en dehors du terrain. C’est un rêve qui se réalise. Vous êtes-vous fixés des objectifs personnels cette saison ? Depuis quelques années, je suis accompagné par un psychologue sportif, que je vois avant chaque match. Avec lui, je me fixe des objectifs personnels. Le premier, c’est de réussir à rester titulaire, avec un bon niveau. Et en termes de statistiques, je vise 15 buts et 8 passes décisives. Je sais que c’est ambitieux, mais j’y crois ! Vous avez été sollicité par des clubs durant le mercato, notamment São Paulo au Brésil, mais avez décidé de rester au TFC. Vous êtes heureux ici ? Être contacté par un grand club au Brésil, c’est très gratifiant. Mais oui, je suis très heureux à Toulouse. Dans un mois, ça fera un an que je suis ici, mais j’ai l’impression que ça fait 5 ans. Jouer en Ligue 1, contre de grands joueurs, c’est aussi excitant. Qu’est ce qui vous rend heureux en France et à Toulouse ? Le climat, déjà ! Et la bonne énergie qu’il y a ici. Quand tu arrives de Slovaquie, ça change… Il y a un climat léger, joyeux. Ça se rapproche du Brésil, finalement. Ça me permet d’être content et de m’exprimer sur le terrain. Il y a aussi un côté passionnel avec les supporters, ils me traitent de façon très chaleureuse. Hors foot, qui est Rafael Ratao ? Quelqu’un de joyeux, d’heureux ! Même si c’est parfois compliqué, il faut toujours essayer de prendre les choses avec le sourire. C’est important pour moi de partager, de transmettre cette bonne énergie. Je suis quelqu’un de très famille, aussi. Je suis souvent à la maison pour profiter de mes jours off avec ma femme et ma fille. J’essaye aussi de découvrir la région, les villes du coin. Et la musique ! Ça fait partie de ma vie. Quel genre de musique ? C’est assez éclectique. Ça dépend un peu du moment de la journée. Avant un match, j’écoute plutôt du funk brésilien pour me motiver.
  12. Bien sûr. Mais dans un transfert, tu le sais, y'a 2 offres : une pour le transfert et pour le salaire. Pas certain qu'on soit les plus convaincants. Perso, je pense qu'on a abandonné cette piste.
  13. Tu as raison, c'est possible. D'après ce que j'ai aperçu, ce serait 2 millions le tarif.
  14. Deminguet je le laisserais là où il est. Il tergiverse depuis des semaines, c'est son droit, mais je ne lui sens pas une grosse motivation pour venir à Toulouse.
  15. C'est lui qui est passé à côté pour s'arrêter à Rodez. 😉
  16. Évidemment qu'il y a des échecs, c'est le lot de ce métier. Mais tu m'en voudras pas d'accorder plus de crédibilité aux gens dont c'est le métier.
  17. Tu m'en voudras pas d'imaginer que des recruteurs de clubs pro en France et à l'étranger ont plus de connaissances que toi... La Bible 🙏😂
  18. Et inversement, avec ton postulat, comment des clubs de L1 peuvent le vouloir ? 😁
  19. Pas certain du tout, ce sera son tour l'année prochaine.
  20. taz

    Le sexisme

    Ah ouais, quand même... Tu vas quand même loin, trop loin, en me prêtant des attitudes que je n'ai jamais eues. De ce fait, j'arrête là avec toi.
  21. taz

    Le sexisme

    Dommage que tu aies occulté la phrase qui précédait > "Il n'y a pas de hiérarchie dans l'acceptation de ce genre de comportement." Je ne parlais pas de viol, mais de comportement sexiste en général.
  22. taz

    Le sexisme

    Aucun même. C'est pas pour autant que c'est tolérable aujourd'hui, pas plus que pour une femme. Il n'y a pas de hiérarchie dans l'acceptation de ce genre de comportement. Les femmes ne sont pas plus à plaindre que les hommes, les homos etc.
  23. Je ne connais absolument pas ce joueur. J'espère que ce sera une belle surprise.
  24. taz

    Rugby 2021 - 2022

  25. taz

    Le sexisme

    C'est pas un cas particulier, c'est un constat multiples puisque je t'ai écrit que je l'ai vécu sur plusieurs postes, et que je constate que ça augmente. Je pense que ça a été compris depuis plusieurs jours.
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