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Comolli avait indiqué que la Data fonctionnait très bien pour les postes offensifs, mais que c'était moins le cas pour les autres postes car il y avait des paramètres supplémentaires à prendre en compte. Le data peut être une aide mais je pense que l'avis du recruteur aura plus de poids que sur les autres postes.
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Le poste de gardien est vraiment spécifique. Je ne suis pas certain que la Data influe autant nos recruteurs que sur les autres postes.
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TFC 3 AJA 1. Dallinga, VDB, Ratao
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https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-trophee-des-champions-2023-a-toulouse-plutot-qu-a-bangkok/1398946
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[Arrivée Officielle] Cesar Gelabert - MO - CD Mirandes
nwardez a répondu à un ResetBulshit de nwardez dans Mercatos 2023-2024
Article Dépêche On le sait officiellement depuis vendredi 26 mai : ça va bouger dans les grandes largeurs au sein de l'effectif 2023-2024 du Toulouse FC. Puisque les six joueurs en fin de contrat en juin* partiront sous d'autres cieux. Notamment le fameux trio flamand dans l'entrejeu Dejaegere-Spierings-van den Boomen, qui faisait la force des Violets depuis trois saisons. Un premier milieu espagnol, formé au Real Madrid, doit signer dès l'ouverture du marché estival, samedi 10 juin. Découverte. Le malheur des uns... S'il n'avait pas été victime à deux reprises d'une rupture des croisés (en juin 2018 et janvier 2022), César Gelabert ne s'apprêterait peut-être pas à rallier l'île du Ramier. Peu importe : la cellule de recrutement téféciste a sauté sur l'occasion et la convaincante data du joueur évoluant depuis deux ans en D2 ESP à Mirandés pour l'attirer dans ses filets. Un contrat de 4 ans l'attend Selon nos informations, même si ce n'est pas signé, c'est tout comme. Le dossier est bouclé et l'affaire entendue entre les deux parties. À savoir le numéro 10 et son nouveau club puisque le jeune homme âgé de 22 ans est libre (sinon, coté à 700.000€ sur le site spécialisé Transfermarkt). Sauf revirement de situation de dernière minute, Gelabert (1m82-73kg) s'engagera en faveur des Violets une fois le mercato lancé (10 juin-1er septembre) pour une durée de 4 ans. Et, donc, contre zéro indemnité de transaction. Élève de Raul à la Castilla Né à Palencia, 235km au nord de Madrid, César Gelabert offensif droitier passé par Alicante a été formé chez les Merengue entre les U17 – catégorie où il devient international (8 sél., 2 buts) – et la célèbre Castilla, équipe réserve auprès de laquelle, pour situer la chose, un certain Zinédine Zidane fit ses premières armes d'entraîneur. Mais c'est Raul coach qu'a eu la future recrue du Tef pendant deux ans (2019-2021). Pisté par l'OL Lors de la première de ses deux saisons sous la coupe de l'ancien buteur de la maison blanche, le prometteur fils de Juanmi (défenseur central au FC Séville du début des années 2000) attise les convoitises. Il sera notamment supervisé par les Gunners d'Arsenal, le Borussia Dortmund et... l'Olympique Lyonnais. Qui, à l'époque, aurait même formulé une offre au Real ! Faux-lent à la technique ciselée Avant le dernier match ce week-end (ce samedi soir, 18h30, à Albacete), celui qui peut également évoluer milieu relayeur au sein d'un 4-3-3 [en clair, en lieu et place de Branco van den Boomen] sort d'une saison à 2 buts et 4 passes en 25 rencontres de Liga 2 (1.602min de jeu). En Espagne, on le compare à l'international de la Roja (13 sél., 3 buts) Guti, gaucher, meneur reculé à Madrid entre 1996 et 2010 avec, à la clé, 5 Liga et 3 Ligue des champions. Dont une des qualités premières était le positionnement entre les lignes et la passe qui élimine. Ailier, ça lui va aussi Mais on dit César Gelabert également habile dans le un-contre-un, susceptible d'éliminer par le dribble malgré son côté faux-lent. À preuve : il peut évoluer un cran plus haut et excentré, ailier droit ou gauche ! Vous avez dit polyvalent... En résumé : quand bien même en matière de transferts il s'agit toujours de "juger sur pièce", le renfort attendu présente beaucoup d'atouts. Il a en tout cas tout d'une bonne pioche qui, venant de l'autre côté des Pyrénées, ne devrait de surcroît pas avoir trop de difficultés à s'adapter. (*) En plus du gardien Dupé et des trois milieux flamands, l'attaquant britannique Healey et la sentinelle grecque Tsingaras sont dans le même cas de figure : ils ne seront plus liés contractuellement au Téfécé d'ici un mois. -
Je mets l'article dans le topic du joueur.
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Nice 1-2 TFC Dallinga, Chaïbi
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TFC 3 Nantes 1. Dallinga, Ratao, Chaibi
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ACA 0-3 TFC Dallinga, Chaibi, Aboukhal
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TFC 3-2 RCL Chaibi, Dallinga, Onaiwu
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CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
Bar le Caroussel à côté de Pigalle..rempli de toulousains..C'est juste énorme.. -
CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
désolé j'ai eu un doute 😜 -
CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
Je n'ai pas dit le contraire. Je partage juste l'article pour les personnes qui ne sont pas au courant de l'antagonisme entre la BL et les IT, c'est tout. -
CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
Je viens de copier l'article 🙂 -
CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
Nantes-Toulouse, des ultras qui ne se supportent pas En plus de trente ans, l'antagonisme entre les groupes ultras nantais et toulousains les plus radicaux, dont les clubs se croiseront samedi en finale de la Coupe de France, s'est durci au fil d'événements dramatiques. Les supporters de Toulouse, avant la réception de Nantes en match aller de barrage d'accession à la L1, le 27 mai 2021. (T. Breton/Panoramic) Les plus fins observateurs scruteront les tribunes du Stade de France, sur les coups de 21 heures, samedi, quand Nantes et Toulouse ouvriront la finale de la Coupe de France. L'affiche n'a rien à voir avec un PSG-OM ou des derbys comme Lille-Lens et Lyon-ASSE. Mais elle oppose deux camps qui ont développé une certaine hostilité. Le premier épisode notoire de cette inimitié remonte au printemps 1991. En amont d'un déplacement à Saint-Étienne, le car transportant une cinquantaine de supporters toulousains s'embrase, à cause d'un fumigène allumé à l'intérieur. Vingt-trois passagers sont blessés et l'un d'eux succombera à ses brûlures, douze jours plus tard. Il s'appelait Denis Deltreil et avait 20 ans. C'est alors que, à contre-courant de la vague de solidarité nationale, et au moment où Toulouse et Bordeaux - rival historique de Nantes - font bon ménage, une partie des fans des Canaris tourne en dérision l'hommage, sur la base de chants détournés et de coupures de fanzine « pas très bien senties », selon un bon connaisseur du milieu nantais. D'après lui, « il n'y avait pas forcément d'antécédents, mais on était dans la culture trash ». À l'époque, les mouvements ultras et hooligans sont en plein essor en France. Ni les Indians Tolosa (1993) ni la Brigade Loire (1999), les principaux groupes ultras de chaque côté, n'existent, mais les affrontements n'ont pas attendu. « Cela coïncide avec une période où chacun se cherchait un peu des adversaires », note le sociologue Nicolas Hourcade, spécialiste du supportérisme. Des provocations nantaises après la mort de Brice Taton La provocation accentue un antagonisme naissant, bien qu'il n'y ait jamais eu de rivalité sportive ou géographique. Cette animosité reprend de l'ampleur au milieu des années 2000, une fois le « Téf » réinstallé dans l'élite. En février 2006, avant un match entre les deux clubs, des coups de barres de fer s'échangent à proximité du Stadium. Puis la tension monte en flèche après la mort du supporter toulousain Brice Taton, 28 ans et sauvagement agressé à Belgrade en septembre 2009, en marge d'un match du TFC en Ligue Europa contre le Partizan. Là encore, le noyau dur du virage Est toulousain considère que ses homologues nantais n'ont pas honoré ce nouveau deuil. Ils l'avaient notamment fait savoir en avril 2019, quelques mois après la disparition d'Emiliano Sala. « Chez nous, on respecte les morts. RIP Emiliano », affichaient deux banderoles dans le kop occitan, qui a repris du poids ces derniers temps. La hache de guerre n'est toujours pas enterrée. Fin août 2022, lors de Nantes-Toulouse (3-1), un tag avait été découvert dans les toilettes du parcage visiteurs de La Beaujoire. « Attention Brice », était-il écrit, avec le dessin d'un homme tombant des escaliers, en référence à la chute fatale de Taton. Un hommage à Brice Taton avait été rendu dans le virage du Stadium qui porte son nom, lors de la saison 2021-2022. (N. Luttiau/L'Équipe) Ce jour-là, dans le parcage, un supporter toulousain tenait à bout de bras un drapeau siglé « Vous êtes des putains Nantes » (l'original étant « On est Nantes putain »). « Je ne dis pas qu'on est les gentils et eux les méchants, parce qu'on a aussi des défauts, mais c'est une question de valeurs, lâche une source proche des Indians Tolosa. Le nombre de fois où on les a vus simuler la mort de Brice Taton dans les tribunes et chanter sur lui, laisser des messages sur nos téléphones... » Sollicitée, la Brigade Loire (BL) a refusé de nous répondre. « Cette finale, c'est plutôt un Toulouse-Paris-Nantes » Nicolas Hourcade, sociologue spécialiste du supportérisme Les frictions sont surtout circonscrites aux franges les plus radicales. « 99 % des gens s'en foutent de Toulouse », sourit un fidèle de La Beaujoire, où Bordeaux, Saint-Étienne et Rennes demeurent les plus grands adversaires. En 2017, afin de justifier un arrêté, la préfecture de Haute-Garonne pointait pourtant « une forte animosité entre les ultras nantais et leurs homologues ultras toulousains ». Mais le schéma est un peu plus complexe qu'une simple opposition Indians-BL, même si elle est la plus visible aujourd'hui. Dans les années 1990, il s'agissait avant tout de duels entre hooligans, davantage présents au stade. Les groupements nantais (Urban Service, Yellow Power) ont disparu depuis, mais à Toulouse, la CamSide Tolosa entretient la rivalité. Ses capacités de mobilisation et de nuisance sont redoutées. D'autant qu'elle est réputée pour être restée très proche des hooligans de Boulogne (du nom de l'un des virages du Parc des Princes), officiellement dissous mais toujours actifs. Certains craignent une action collective dans la journée de samedi. « Cette finale, c'est plutôt un Toulouse-Paris-Nantes, en fait », souffle Nicolas Hourcade. Il y a dix jours, déjà, lors du déplacement de Nantes à Auxerre en L1 (1-2), une bagarre avait éclaté entre des membres de la Brigade Loire et des indépendants parisiens de Karsud, une filiale d'Auteuil. Preuve que l'ennemi n'est pas toujours là où on l'attend. -
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CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
Salut, tu as toutes les réponses sur le twitter du Tef 🙂 -
Je n'arrive pas à trouver le podcast. Il a évoqué quels sujets ? Edit: je viens de trouver en fait 🙂
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Lorient 2-2 TFC Dallinga, Aboukhlal
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Les T shirts des IT pour la finale peuvent être récupérés à partir de demain. Si un expat a besoin qu'on lui prenne pour lui amener à Paris c'est le moment 🙂
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Remonte un peu dans la discussion...il y avait certaines propositions qui sont peut être encore valables 🙂
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Tiens moi au courant en mp si besoin, mais ce qui est annoncé depuis le départ c'est qu'il y aura des permanences pour remise en main propre mais pas d'envoi postal. N'hésite pas. Je peux te le faire passer à Paris.
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Je peux te le récupérer si tu veux.
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CDF TFC 5 - Nantes 1 / Finale CDF 2023
nwardez a répondu à un Casimir de nwardez dans Espace supporters
Il restait 600 places ce matin. C'est quasi complet chez nous et c'est déjà très beau.. Perso je connais pas mal de monde qui attend la billetterie FFF pour disposer de 4 ou 5 places à côté.. La mobilisation est vraiment belle. -
Ils en ont également réservé 1 ou 2 pour chaque membre d'une association de supporters si j'ai bien compris.