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arnahud

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Tout ce qui a été posté par arnahud

  1. Je le verrais plus partir en Belgique (qui l'a beaucoup suivi quand on était en L2) ou ailleurs en europe (Championship au hasard) mais en toute sincérité je ne vois pas ce qu'il amènerait à Saint Etienne qui ne démarre pas bien du tout, qui a besoin de certitudes et qui a pourtant des joueurs d'une autre qualité footballistique (Lobry, Bouchouari, Appiah, Charbonnier voire même Cafaro...). Pour moi dans cette rumeur rien ne va ça sent plus l'agent qui lance des perches pour "puber" son joueur sur le marché. Ado me semble plus être un bourrin avec beaucoup d'énergie et un super mental. Un joueur dont on ne connait toujours pas le poste de prédilection (devant devant? sur l'aile?) pas super doué techniquement mais très explosif.
  2. https://www.lesviolets.com/actu/mercato-une-piste-en-ligue-2-pour-ado-onaiwu,68235.html Absent du groupe à Nantes pour la reprise du championnat, les jours d'Ado Onaiwu sont peut-être comptés au TFC. Barré par Dallinga, Magri et Begraoui, le Japonais est loin dans la hiérarchie. A en croire Peuple-Vert.fr, Saint-Etienne ferait partie des clubs intéressés pour s'attacher les services du joueur, auteur de 12 buts au total sous le maillot violet (Ligue 2 + Ligue 1). Le club stéphanois où le président exécutif n'est autre que Jean-François Soucasse cherche à se renforcer après son mauvais début de saison (défaite face à Grenoble et Rodez). Avec une valeur estimée à 1,5 million d'euros par Transfermarkt, Onaiwu sera libre en juin prochain et si le TFC souhaite récupérer une indemnité de transfert, c'est maintenant ou jamais... ça me semble totalement WTF, je ne vois pas du tout Ado redescendre en L2 maintenant qu'il a un peu fait son trou en europe pas plus que Saint Etienne s'intéresser à lui ayant pu l'observer de très près (ça ne coute pas grand chose en scouting).
  3. Ca date mais interview croisée avec Francky Tabanou dont je souhaitais prendre des nouvelles (un joueur loin d'être con et dont la chute de carrière à partir du moment où il signe avec Swansea est incompréhensible, il aurait dû être retraité genre cette année et il ne fait plus rien dans le foot depuis 2019) => https://www.ouest-france.fr/sport/football/la-fff-et-la-lfp-se-foutent-de-lutter-contre-lhomophobie-le-cri-du-cur-de-Tabanou-et-belgacem-c45c6666-fa3c-11ed-9dad-48744aab688c Printemps 2009 : les U19 du Toulouse Football Club affrontent ceux d’Ajaccio. Alerté côté gauche, le jeune milieu de terrain Franck Tabanou déboule sur son aile, crochète son adversaire, voit un coéquipier seul au second poteau et lui adresse un centre millimétré. Ce coéquipier démarqué s’appelle Ouissem Belgacem. Le latéral droit, venu apporter le surnombre en attaque, reprend le centre d’une reprise de volée qui finit sous la barre. Treize ans plus tard, les deux ex-membres du centre de formation du Téfécé ont épousé des trajectoires bien différentes. De 2009 à 2019, Franck Tabanou, 34 ans, a réalisé une carrière de footballeur accomplie, cumulant 231 matches de Ligue 1 à Toulouse, Saint-Étienne et Guingamp. Ouissem Belgacem, 35 ans, n’est lui jamais passé professionnel. Devoir cacher en permanence son homosexualité a fini par l’épuiser. En 2021, il a raconté son histoire dans le livre « Adieu Ma Honte ». Deux ans plus tard, son histoire a été adaptée dans une série qui est disponible sur MyCanal depuis ce jeudi 1er juin. Avant cela, les deux hommes ont accepté d’échanger par visio pour Ouest-France pendant près d’une heure. Ils racontent l’évolution de leur amitié, évoquent, aussi, la question taboue de l’homosexualité dans le foot et appellent à une éducation bien plus importante de ses acteurs, à l’heure où le sujet reste clivant, incompris et mal traité. Les polémiques liées au maillot arc-en-ciel en Ligue 1, qu’ont refusé de porter certains joueurs du FC Nantes et du Toulouse FC, l’ont récemment rappelé. Franck Tabanou et Ouissem Belgacem (à droite), avec plusieurs ex-camarades du centre de formation du Toulouse Football Club. | DR Voir en plein écran Franck, au moment de faire cette passe décisive à Ouissem en 2009, vous êtes à mille lieues de connaître son homosexualité. Franck Tabanou : Et je n’aurai pas misé un euro là-dessus. Ouissem le cachait bien. Je pensais le connaître. Pas du tout, en fait. Ouissem Belgacem : Cela ne m’empêchait pas de considérer Franck comme un ami. J’ai vite appris à compartimenter la solitude de ma vie personnelle du reste. Dans le groupe, j’étais toujours dehors avec les copains, à chambrer et blaguer. Ces moments d’amitié étaient vrais. F. T. : Ouissem, c’est un peu comme Batman qui met son déguisement et le retire dans sa chambre (il sourit). O. B. : J’étais obligé. Si j’avais été faible ou introverti, ne serait-ce qu’un jour, quelqu’un aurait pu tout découvrir. F. T. : Et si quelqu’un avait su, à ce moment-là, pfff… Compliqué, pour Ouissem. Impossible, même. C’est-à-dire ? Impossible pour qui, pourquoi ? F. T. : Le football est cruel. Dans un centre, tu es épié de A à Z. Tout le monde observe le moindre moment de faiblesse de l’autre. Une faille, et tu es cuit. Les petits n’ont pas la maturité pour accueillir ce genre de nouvelles. Ils n’ont pas l’éducation, non plus. Avez-vous peur pour votre emploi face à l'intelligence artificielle ? Débattez ! Aucun éducateur ne vous sensibilisait sur le sujet à votre époque ? Les deux : Ah non. Jamais. Ce n’était pas un sujet. O. B. : Au contraire, même. Lors de l’une de mes interventions à Toulouse l’année dernière, un entraîneur de jeunes m’a dit qu’il avait l’habitude de parfois dire à ses joueurs de « se bouger le cul, car ils jouaient comme des p* NDLM insulte » pour les motiver. F. T. : C’est un manque de psychologie évident. Si un mec dans le vestiaire est gay et entend ça… D’où l’importance qu’il y ait des interventions dans les centres de formation, comme celles que fait Ouissem depuis un an. Parce que même moi, qui m’en tape de l’orientation sexuelle de chacun depuis très jeune, il m’est arrivé de dire « sale pédé » ou « on joue comme des pédés ». Pourtant, dans mon esprit, ce n’était pas une attaque envers les homosexuels. C’est difficile de l’expliquer… O. B. : Moi-même, je l’ai dit à l’époque, Franck. C’est banal comme discours. C’est un code dans un vestiaire. F. T. : C’est ça le problème. Aussi, je le disais car j’étais persuadé que ni Ouissem ni aucun de mes coéquipiers n’était homosexuel. O. B. : L’image qu’on avait d’un homosexuel à l’époque était très clichée. F. T. : Totalement. C’était le cliché de l’efféminé, de la folle. Il n’y en avait pas dans le vestiaire. O. B. : Alors que j’ai des potes à moi, hétéros, qui ont une part de féminité beaucoup plus prononcée que moi. F. T. : Et qu’il y a des gays bien plus virils que moi. Mais à l’époque, on n’était pas éduqué sur ces questions. Franck Tabanou : « Le mal-être que Ouissem a dû ressentir pendant toutes ces années… » Finalement, Franck, Ouissem vous a fait son coming out bien plus tard. O. B. : (il sourit). Je vais laisser Franck raconter. Ce n’était d’ailleurs pas très loin d’où il est actuellement, sur le canapé de sa maison en Bretagne. F. T. : C’était il y a 4-5 ans. Ouissem devait déménager à Barcelone à l’époque. Un jour, il vient me voir et me dit qu’en fin de compte, il n’y va pas parce qu’il est avec quelqu’un. J’étais content pour lui, je le félicite. Là, il me dit que ce quelqu’un n’est pas une fille. O. B. : Tu as eu un sacré coup de chaud, Franck (rires). F. T. : Oui, car j’étais très surpris. Ça faisait plus de dix ans qu’on se connaissait. Mais ça s’est vite effacé et a laissé place à la fierté qu’il se confie à moi. C’était gratifiant, surtout que ça faisait des années qu’il vivait avec ce secret et ce mal-être. J’avais l’impression qu’il était soulagé de l’annoncer. Il pouvait enfin vivre sa vie, réellement. Parce que s’inventer des meufs, ce n’est pas une vie. O. B. : Sa réaction était sincère car il m’a très vite dit qu’il voulait rencontrer mon copain, me posait des questions sur notre histoire. Une amitié se mesure sur la durée et se prouve dans les faits. Franck l’a fait. Notre relation est devenue plus forte. Il n’y avait plus cette boule au ventre à chaque fois que je le voyais, à penser au moment où on parlerait des filles. Ouissem Belgacem a raconté son histoire dans le livre « Adieu ma honte », paru aux éditions Fayard en 2021. Une série relatant son histoire est disponible sur MyCanal depuis le 1er juin 2023. | DR Voir en plein écran Appréhendiez-vous de lui dire, Ouissem ? O. B. : Je pense qu’avec Franck, j’avais espoir que ce soit moins difficile, parce qu’il n’y avait pas ce bagage religieux que d’autres peuvent avoir. Attention, je ne fais pas une généralité. Il y a des proches religieux avec qui l’annonce s’est très bien passée. Mais il y en a certains pour qui la religion ajoute une couche de complexité pour appréhender la nouvelle. Au moins, avec Franck, j’étais sûr qu’il n’y aurait pas ça. Aussi, j’ai toujours trouvé Franck à l’aise dans sa sexualité. Il a su très vite qui il était. Donc la différence ne le dérange pas. F. T. : Je confirme. Moi, c’est simple : je m’en tape. Tu fais ce que tu veux, tant que tu es bien avec toi-même. O. B. : Avant de lui dire, je me souviens de petites scènes, de petits détails, où je sentais que Franck était un mec ouvert d’esprit, notamment d’un dîner à Grenade (où Tabanou a joué en 2016-2017) avec sa femme et ses enfants. Il y avait un serveur, qui était gay, et qui me faisait des sourires. Franck m’avait dit : « Il te drague. Vas-y. » Avec aucune méchanceté, aucun jugement. F. T. : Je ne m’en souviens pas ! O. B. : Et moi ça m’a marqué. Cette phrase, mine de rien, était très importante. J’étais hyper attentif à la façon dont mon entourage parlait de ça avant de leur annoncer. Je les testais, parfois. Franck, comment avez-vous réagi lorsque Ouissem vous a parlé de son projet d’écrire sa vie dans un livre ? F. T. : J’ai trouvé que c’était une super idée. Je lui ai tout de suite dit qu’il s’embarquait dans un combat avec ce livre. J’ai été parmi les premiers à le lire. O. B. : C’était important pour moi de le faire lire en amont aux personnes citées. Je pense notamment aux quatre du centre de formation de Toulouse qui sont devenus professionnels : Franck, Moussa Sissoko, Étienne Capoue et Cheikh M’Bengue. Je ne voulais pas qu’ils se sentent trahis. Aucun ne m’a demandé de supprimer un passage. F. T : Même si je n’avais pas aimé un passage, qui suis-je pour lui demander de le changer ? C’est son histoire. Comment avez-vous accueilli cette histoire, justement ? F. T. : J’étais choqué. Je ne pensais pas qu’il avait mis un tel stratagème en place pour cacher son homosexualité. Le mal-être qu’il a dû ressentir pendant toutes ces années… Incroyable. O.B. : Je crois même que tu m’avais dit que tu n’aimais pas trop lire d’habitude mais que tu avais lu mon livre très rapidement. F.T : De ouf. (il s’absente quelques secondes et revient en montrant le livre « Adieu ma honte » à l’écran. Ouissem sourit.) Franck Tabanou : « On ne leur a pas demandé d’aller sur un char à la Gay Pride ou de zouker avec des mecs, mais de soutenir des gens qui se font violenter car ils sont homosexuels » Mi-mai, la 35e journée de Ligue 1 était dédiée à la lutte contre l’homophobie. Les joueurs portaient un maillot spécial pour l’occasion, avec leur numéro floqué de couleur arc-en-ciel. Plusieurs d’entre eux ont refusé de l’arborer et de jouer. F. T. : Ce sont des attitudes que je ne comprendrais jamais. On ne leur a pas demandé d’aller sur un char à la Gay Pride ou de zouker avec des mecs. On leur demande de soutenir des gens qui se font violenter car ils sont homosexuels. Ces comportements, et leur justification sur un prétendu droit à la liberté d’expression ou à la croyance personnelle, c’est du n’importe quoi. Les mecs confondent tout et se trompent de combat. Imaginez qu’il y avait une journée avec un maillot dédié aux musulmans victimes de violence et que je dise : « Ah non, croyance personnelle, je ne le mets pas. » Aucun rapport, mon frère. O. B. : On doit tous être contre les violences, en fait. F. T. : Contre les violences, le mal-être des autres. Que tu sois musulman, gay, chinois… Pareil. Encore une fois, les mecs se trompent de débat. O. B. : Je pense que c’est important de donner la parole à des joueurs professionnels, comme Franck. Avec ce qu’il s’est passé lors de ce week-end-là, beaucoup vont imaginer que le football est homophobe, que les footballeurs pensent tous comme ceux qui ont refusé de porter le maillot. Alors que ce n’est pas le cas. F. T. : Il ne faut surtout pas généraliser. Le foot est un milieu très viril, machiste, où il faut montrer qu’on est fort, ne pas exposer ses failles, oui. Mais il n’est pas homophobe. O. B. : De mes souvenirs de vestiaire, je suis d’accord avec Franck. Je n’étais pas entouré d’homophobes. Peut-être que 10 % du vestiaire l’était. Mais la majorité reste silencieuse. F. T. : Le problème, c’est qu’on met en avant cette minorité qui fait du bruit. On relaye ses bêtises. Quand des membres de centres de formation voient ce que pensent ces joueurs professionnels, qu’ils considèrent souvent comme des exemples, c’est encore plus compliqué après… Les médias ont donné trop d’échos à ces propos. Il y a aussi des footballeurs qui sont ouverts d’esprit, conscients de ce sujet. Franck Tabanou a été formé à Toulouse avec Ouissem Belgacem, avant d’évoluer avec l’équipe première du Téfécé de 2009 à 2013. | ARCHIVE AFP Voir en plein écran Si les médias donnent l’impression de ne parler que d’eux, c’est aussi parce que la majorité des autres joueurs est silencieuse, que très peu de joueurs prennent position sur ces sujets. Pourquoi ? F. T. : Ils ont peur de se mouiller. C’est vraiment dommage. Si les grands joueurs internationaux prenaient position, ils auraient tellement plus d’impact que les 5-6 joueurs de Ligue 1 qui n’ont pas voulu mettre le maillot. O. B. : (dépité) Ah ça, c’est sûr… Mais pourquoi ne le font-ils pas ? Quel est le risque ? F. T. : Pour les internationaux, il n’y en a pas ! C’est pour ça que c’est dommage. Les mecs sont titulaires, installés. Ils ne vont pas perdre leur place. O. B. : Je suis totalement d’accord. F. T. : Si on pousse le vice, c’est même bien de parler de ça en termes d’image ! Mais ils ne prennent pas de risque. Chacun ses priorités… O. B. : Après, il y a des exceptions, comme Valentin Rongier qui s’est exprimé sur le sujet. Et j’ai trouvé ça super. F. T. : Un mec comme Rongier, international, qui joue à l’OM, c’est super important qu’il puisse parler. Il faut que ce genre de mec parle. O. B. : Je pense, aussi, que les autres joueurs ne prennent pas de risque car ils ne se sentent pas concernés. Toi, Franck, tu me connais. Je t’ai raconté mon histoire. Tu as lu le livre. Tu as vu la souffrance que ça a pu provoquer pour un de tes potes. C’est loin d’être le cas de tous les joueurs. Avec ton expérience dans les vestiaires, ne penses-tu pas que lors de ces fameuses journées contre l’homophobie, certains portent le maillot pour ne pas avoir de problèmes, mais finalement, ne sont pas sensibilisés et s’en fichent du combat ? F. T. : C’est sûr et certain. C’est le cas de la majorité des joueurs. O. B. : Donc c’est pour ça qu’ils ne prennent pas la parole. On en revient à ce manque d’éducation, déjà présent en centre de formation et qui perdure dans le monde professionnel. O. B. : C’est clair. Franck, toi qui as participé à plusieurs journées de lutte contre l’homophobie, en France, en Angleterre et en Espagne, on t’expliquait concrètement pourquoi ? F. T. : Jamais. On nous donnait un maillot arc-en-ciel, ou des lacets arc-en-ciel, à mettre durant 90 minutes, et basta. C’est une fois par an pour l’image. Ça fait bien. Derrière, il n’y a rien du tout. En France, la FFF et la LFP s’en foutent de la lutte contre l’homophobie ! Si Ouissem n’intervient pas dans les centres sur cette question, personne ne le fera. Ces maillots arc-en-ciel, c’est une initiative déguisée. O. B. : La LFP doit se regarder en face et admettre que cette initiative ne marche pas. Tu ne forces pas les gens à porter un maillot sans les éduquer avant. Mais comment ces instances peuvent-elles former des joueurs si les gens qui les composent ne sont pas formés ? Ce qu’il s’est passé ce week-end-là m’a montré que ça n’allait pas, et cela à tous les étages : entraîneurs, joueurs, instances… Ouissem Belgacem : « C’est le football qui fait l’éducation des footballeurs » Quinze ans après votre passage en centre de formation, est-ce toujours « impossible » aujourd’hui d’imaginer un coming out d’un jeune ou d’un joueur professionnel ? F. T. : (catégorique). Impossible, pour moi. La société a évolué, mais le monde du foot est encore trop cruel. O. B. : C’est comme si le football était une bulle, un cercle fermé où les mêmes gens se côtoient tout le temps. Donc, c’est le football qui fait l’éducation des footballeurs. F. T. : Quand tu arrives dans un centre de formation à 15 ans, tu ne connais rien de la vie. Tu écoutes juste ce qu’on te dit à la maison et au centre. Il faut donc éduquer à la racine. C’est la priorité. En revanche, chez les pros, je pense qu’il y aurait moins de problèmes. S’il y en a un qui le dit, ce sera un sacré message pour les autres. Mais, mentalement, il devra être très fort. Ouissem Belgacem et Franck Tabanou ont échangé durant près d’une heure, par visio le 24 mai 2023. | OUEST-FRANCE Voir en plein écran Ouissem, quand vous voyez tout cela, en venez-vous à être découragé ? F. T. : Je suis découragé pour lui, moi. O. B. : Après deux ans de combat, je commence à être vraiment épuisé. Je ne vais pas tenir longtemps. C’est aussi pour ça que c’était important d’adapter mon livre en projet audiovisuel. Je ne vais pas pouvoir sillonner tous les clubs toute ma vie. J’ai d’autres projets. Si cette série peut servir de base de discussion dans les centres… F. T. : Ouissem mène un combat qui va être très long, je pense. J’espère de tout cœur qu’il aboutira. Franck, on l’a dit : la très grande majorité des joueurs sont silencieux sur le sujet. Pourquoi avez-vous décidé de parler aujourd’hui ? F. T. : Parce que Ouissem, c’est mon gars. Il est sur un combat qui lui tient à cœur. Si ma petite carrière et ma petite voix peuvent l’aider, et aider les gens, c’est avec plaisir. Par écran interposé, Ouissem Belgacem sourit et l’applaudit.
  4. Les salauds! Tentative de déstabilisation avant le prochain match!
  5. Oui sur une aile très très à droite/l’est surtout. Genre vers l’Allemagne vue sa tronche sur le terrain Ce milieu en mode danse classique ça arrivera peut être fugacement. Sans doute plus en cours de match que d’emblée titulaires. Difficile de croire que l’esprit total football voire «football porn » de Carles Martinez Novell n’y ait pas pensé ou ne l’ait pas envisagé. Pour le temps que ça durera faudra être prêt ça risque d’être fou (mais surfragile et très très light en défense). Le plus beau jour de la vie de Dallinga, un peu aux antipodes du match de Nantes quoi 😅.
  6. Wow bon rétablissement à lui! C'est un coup dur! J'ai une paire de gants à lui chez moi, je viens de m'en souvenir, je ferai quelques incantations pour sa guérison
  7. C’est sûr que ça s’est vu notamment sur corners où on avait l’impression notamment sur les deux premiers tiers de la saison dernière qu’on en mettrait aucun alors qu’on les empilait en L2 (corner tête du défenseur central => but).
  8. Sierro n’est pas un 6 donc seul ce serait un énorme risque voire un suicide. Là avec Casseres on l’utilise en hybride 6-8 et ça a l’air d’être le projet mais selon moi c’est déjà assez risqué. Comme le souligne Asha sa participation défensive est précieuse et un vrai travail de l’ombre mais c’est aussi un effort malheureusement contre nature et au détriment de ce qu’il pourrait apporter en étant un relais à part entière. Bref il a un rôle très ingrat et ne me parait pas du tout s’en plaindre en ça il me parait exemplaire et méritant le statut de capitaine du club.
  9. J’étais pas spécialement contre le peno pour Nantes mais je me pose une question en lisant ton post: que veut on faire de plus pour être en phase avec les/leurs décisions ? Je veux dire par là, les types sont arbitres, ils ont des TV avec tous les angles et des images avec lesquels toi comme la plupart des gens donnez une interprétation contraire à la leur et je ne dis pas qu’elle est fausse loin de là mais factuellement ils ont tout pour prendre la bonne décision. Donc que veut on faire de plus? Au bout d’un moment il faudrait qu’il y ait un peu d’autocritique et d’honnêteté de leur côté, si effectivement ces décisions appuyées par des moyens technologiques poussés sont encore erronées en masse. On s’interroge alors soit sur les lois d’interprétation qu’on donne au techniciens (peut être que les guidelines données sont débiles et ces types contraints à l’application d’un référentiel subi) soit aux capacités des techniciens eux mêmes donc soit on challenge les règles mais ça a priori on le fait régulièrement après bien ou pas c’est un autre débat avec notamment les règles d’interprétation des hors jeux ou penos qui d’une année sur l’autre n’ont rien à voir soit on challenge ces memes techniciens. Donc on prend son courage à deux mains on documente, on note, on saque et on change si c’est insuffisant. C’est quand même fou à la fin que des types avec 27 écrans et 12 ralentis se plantent autant si c’est avéré. Le pire c’est qu’en plus les analystes ne sont pas seuls mais plusieurs à voir les images, à les interpréter et à rendre une décision ce qui dilue d’autant l’effet « oh My god quelle responsabilité si je me trompe ». Bref bien sûr qu’aucune configuration aussi étayée qu’elle fut ne permettra jamais d’être à 100% exact dans l’interprétation (quoique quand j’y pense avec des algos performants de détection par l’image et plus d’humains…mais non non non ça tue l’expertise tant valorisée et valorisable de la corporation des arbitres au profit de la « Machine » quelle horreur) mais quand même là au bout d’un moment les types passent pour des branquiniolles (oui je ne sais pas écrire ce mot donc je ne garantie pas l’orthographe). Au bout d’un moment est ce que j’ai envie d’éduquer encore et toujours des types qui sont nuls avec des moyens colossaux versus ce qu’avaient leurs homologues il n’y a ne serait ce que 10 ans ? Donnons la place à ceux qui seront plus capables. (et un bon algo de détection par l’image capable d’interpréter sous plusieurs angles et de croiser, avec un arbitre compétent pour le contrôle final, le tour serait joué pour moi)
  10. Neymar qui part en Arabie Saoudite à un moment ça en dit long sur sa conception du foot et son esprit compétitif. A aucun instant et malgré les déclarations ouvertes ou pas il n’y a eu d’arrangement ou d’aménagements pour rallier le Barca au final on part dans un championnat un peu vacances où on va palper un max comme à Paris… Comment ces joueurs là peuvent espérer laisser une trace ? Ça me donne une image de surdoués qui passent complément à côté de leur légende mais bon au final l’avenir des générations futures et de leur entourage est assuré et ça peut aussi se comprendre mais ça a quand même un côté cynique et frustrant. A peine 30 ans et déjà retraité et encore je ne compte pas les périodes de figuration/simulation au PSG.
  11. un peu aussi mais à ce moment là on se demande: pourquoi le faire entrer alors? Il y a des joueurs qui sont méritant et qui ont envie qui sont restés sur le banc. Quand je vois la gueule que tirait Mamady Bangré à la fin du match ça faisait mal au coeur...
  12. Oui à date on voit le manque d'osmose, les repères entre eux sont au minimum. A voir avec le temps mais certes pas du tout folichon sur ce match et rarement vers l'avant ou générant une avancée significative ou clé dans le jeu pour l'intégralité du trio.
  13. Sans doute parce que ces deux périodes portent la même patte si on lit un peu ce qui est sorti cet été en termes de comptes rendus de "l'inside".
  14. Ça c’est à l’appréciation de chacun et de la justice surtout encore une fois. No comment sur le cas Mendy pour moi. Il y a eu un jugement en effet.
  15. Oui c’est tout à fait vrai, il n’est pas vraiment transparent dans le sens où c’est le joueur qui a le plus de « faces à faces » même s’il échoue mais complètement au dessus en seconde vs sa première. Ceci étant il est capable de beaucoup mieux dans le jeu et le harcèlement.
  16. Ça se tient, chacun son interprétation et sa conception. Il est au stade de mise en examen pour moi ce n’est pas rien cela veut dire qu’il y a des éléments. Je l’aurais mis de côté pour à minima le protéger ainsi que le club et son image mais ce n’est peut être pas le souhait du joueur ni du club. Encore une fois ça leur appartient, je ne vois pas les choses de cette façon.
  17. Abouklhal au passage… quel rendement ! Le mec il marque tout le temps même quand il est transparent ou sans réussite pendant les 3/4 du match
  18. Ben il est sur le terrain…il fait le métier quoi. C’est surtout son club qui le fait jouer et le convoque dans un tel contexte. Ça me laisse assez perplexe.
  19. Rien du tout mais jamais de la vie pour moi. Il vient d’arriver et il change de championnat, il faut lui laisser du temps et le jugement d’aujourd’hui ne veut pas dire grand chose mais je l’ai trouvé nul. Je te retourne l’observation sur Sierro. J’ai trouvé pour ma part Genreau au dessus de ce trio qui ne volait pas bien haut c’est dire.
  20. Bravo belle opération et ça fait plaisir dans ce climat à la Beaujoire.
  21. Casseres fait vraiment un match… disons quelconque pour être poli.
  22. Oh oui l’ère Begragoal peut enfin commencer!
  23. Passe décisive de Chaïbi 😅
  24. Oh oui Rasmus fais moi l’amour !
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