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http://www.lfp.fr/joueur/delort-andy Tout les sites s'accordent sur cette taille, et puis quand tu le voit a côté de Jean qui culimne a un 1m70 la différence est nette ! http://media.gettyimages.com/photos/andre-Gignac-of-tigres-celebrate-with-teammate-andy-delort-after-his-picture-id626025832?s=594x594 Là à côté de Dédé Gignac, qui fait 1m85 tranquillou, il n'y a pas 15 centimètres de différence... Aprés je t'accorde qu'il fait trés trapu , mais il est plus grand que tu ne le pense
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Je parlais d'Andy
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Le jeu aérien, ça ne se joue pas qu'à la taille, bien au contraire. Griezmann à certainement un des meilleurs jeu de tête actuel de la planète foot tout en mesurant moins d'un mètre 75 et en pesant 70 kilos tout mouillé...Il y a beaucoup de facteurs qui jouent : lecture des trajectoire, timing, engagement physique, sens du placement, détente... Pour suivre ta comparaison, Toivonen est une grande gigue mais il déteste les duels physique, il saute pour sauter, mais subit plus souvent le duel en râlant qu'autre chose, là ou Delort lui adore se la donner avec son défenseur, il met les bras, joue de son cul, son dos... 1m80 pour plus de 80 kilos, ne nous y trompons pas, c'est un gabarit atypique dans le foot pro, rajoute à ça la volonté, la méchanceté dans le bon sens du terme et l'intensité qu'il met dans chaque geste et prise de balle, et on comprend qu'Andy soit un joueur injouable pour une défense.
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Le prochain mercato monégasque va être déterminant : potentiellement , dans leur attaque de folie, ils ont deux voire trois mecs qui peuvent partir et leur rapporter un fric fou (Falcao, Mbappe, Silva...) , et pour les remplacer je vois mal le club annoncer à ses supporters qu'ils n'auront "que" Corentin Jean....Donc il faut prier pour qu'ils fassent des folies cet été et s'offre une ou deux grosses stars , afin que Jean rentrant au bercail s'aperçoivent qu'on lui propose encore d'être un quatrième ou cinquième choix, et se rappelle nostalgique cette belle demi saison au Stadium ou on l'aimait tellement...De là, re-prêt d'un an voire tranfert sec et on aura tout gagner !
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C'est presque mystique un type qui fait autant d'erreur sur une saison sans quasiment jamais coûté un but Entre ses relances foirées, ses dribbles stéréotypés qui rendent des ballons dans nos trentes derniers mètres, ses "percées" balle au pied qui débouchent soit par une passe ratée, soit par un centre injouable, son placement aléatoire...Et encore il doit nous coûter la défaite hier soir tant il est aux fraises sur l'action face à Cabot...J'ai rien contre l'homme hein, mais le footballeur, j'en peux plus....Même Yago quand il joue Latéral me paraît plus valable...
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Ce déchet ne me dérange pas, dés lors qu'il correspond à des tentatives de dribbles ou de passes en profondeur, dans le sens ou il a plus un profil de "facteur X" de notre milieu que de vrai organisateur de jeu. C'est un des meilleur dribbleurs de Ligue 1 (le 4e ou 5e il me semble) , il a ça dans le sang, l'élimination, la verticalité, l'amour de la "passe létale" plus que la passe sûre donc espérer qu'il amène de la fluidité ou aide à poser le jeu c'est utopique. C'est statistiquement l'un des joueurs les plus dépossédés du ballon en Europe (!), mais c'est aussi un des tout meilleurs "passeurs clés" de notre championnat. J'ai toujours pensé qu'entouré de meilleurs éléments, il mettrait sa douzaine de passes décisives par saison, et je continue à le penser. D'ailleurs, avec Delort et Jean en plus, il est quand même présent et décisif sur 4 buts sur 5 en deux matchs... Encore ce soir, cette enchaînement feinte de corps sur le contrôle pour se mettre face au jeu, coup d'oeil haut et altier suivie d'une ouverture du gauche le long de la ligne derrière la défense, franchement pour moi c'est presque pornographique
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Ben étrangement et dés l'échauffement, j'ai eu la sensation que la pelouse allait bien mieux! Beaucoup moins de faux rebonds, les ballons roulaient bien, les conduites de balles étaient moins difficiles...
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On le ressentai du Stadium, gestion trés intelligente de Mr l'arbitre, qui a beaucoup laisser jouer, a gérer intelligemment les quelques grosses fautes et début d'altercations, a sanctionner quand il le fallait...ça fait du bien d'un coup !
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Ouaip, sinon mise à jour de ses stats : il en est à 7 buts (oui oui moi je compte toujours celui contre Guingamp ) en cadrant 8 tirs cette saison, et en tentant 13 en tout. Il a également marqué tout ses buts dans le jeu, en étant titulaire seulement 14 fois. Martin lui en a marqué donc 8, mais en 20 titularisations, et en comptant trois penalty. Quand aux stats de tirs...il lui a fallu 27 tirs cadrés sur 65 tentatives pour marquer ce total. La différence entre un vrai attaquant, et un mec qui avait rien à faire dans l'axe
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Et voilà ça commence
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Personnellement, c'est pas tant sur son utilisation de la balle qu'il m'a inquiété hier que sur son efficacité défensive et à la récupération, surtout dans les 20 premières minutes ou il s'est énormément fait bouger et dans le jeu aérien à été défaillant. Ensuite il s'est bien rattrapé, et a fait une deuxième mi temps de haut niveau comme le reste de l'équipe Aprés je te rejoins sur le fait que beaucoup le juge faible techniquement alors que c'est complètement faux. C'est même notre milieu défensif le plus sûr balle au pied avec Bodiger, et il s'applique énormément à jouer avec sobriété et simplicité. Aprés il est excellent dans la lecture de jeu et dans son placement, ce qui explique qu'il soit aussi fort a la récupération. Maitenant c'est un vrai gratteur de ballon, qui est là pour couper ou pourri les actions adverses, pas un 8, donc ceux qui le jugent sur sa capacité ou non de faire des transversales de 50 mètres se trompent dans leur jugement.
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Meunon, il y en a plein sur le forum qui t'expliqueront qu'il valait mieux mettre 8 millions sur un inconnu d'un championnat mineur que 6 sur Delort Les mêmes certainement qui considèrent que Toivonen est inutile sur un terrain de foot...
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S'il vous plaît Président, on sait que l'arrivée de notre beau gitan vous a coûté, mais si vous pouviez encore faire un petit effort pour conserver Oscar un petite saison de plus, les supporters vous remercieront.
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Quelques remises, des ballons grattés devant, un but de vrai attaquant...merci Président
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Oui, mais encore une ou deux faute d'enc*** qui lui coûte le prochain match...
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Mouais, je te trouve gentil, moi personellement et peut être parce que c'est probablement le joueur du Tef que j'ai le plus admirer, je suis d'autant plus dur avec lui
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Entre son talent et ses qualités physiques naturelles, ça reste quand même une putain de feignasse, toujours a jouer sur ses acquis au lieu de se bouger...quel gâchis...
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Un passage sur l'aile lui permettrai aussi de retoucher un peu plus la balle dans des situations plus favorables, de pouvoir de nouveau combiner, percuter, tenter des choses, bref retrouver un peu de football. Il est pas mauvais dans la passe, plutôt bon dans les percussions, capable de combiner avec ses coéquipiers...Le refoutre sur un côté avec de vrais attaquants avec qui travailler dans l'axe, ça pourrait lui redonner du plaisir à jouer et de la confiance, parce que pour l'instant , ces deux niveaux, c'est zéro.
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Ba vu la promesse qu'il lui avait fait en début de saison et l'obstination de ces dernières semaines à le maintenir dans l'axe, ça me paraissait pas si évident Je le voyais plus mettre Delort et MB en pointe et décaler Jean sur l'aile...
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Dupraz dans l'équipe de ce matin, qui ouvre grand la porte pour mettre Martin sur l'aile : "Je suis convaincu qu'il peut être efficace à ce poste, en rentrant sur son pied droit."
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Pour ceux que ça intéresse, un article de l'équipe de 2013 au moment ou il émergeait avec Troyes en Ligue 1, avec des passages sur son enfance, ses qualités, ses valeurs toussa Trouvé sur un forum de l'ESTAC! Un destin à part À dix-sept ans, il joue en L 1, déjà. Forcément, on parle de lui comme d’un prodige, d’un futur très grand. Et si ses dirigeants tentent de le protéger, ils doivent se rendre à l’évidence : l’attaquant troyen, puissant dans le jeu, mature dans la vie, n’est pas comme les autres. "C’ÉTAIT UN MATIN d’hiver, glacial et piquant. Il faisait encore nuit, le réveil a sonné une fois, deux fois, dans le vide. Corentin Jean ne s’est pas levé. « Et là, je me suis dit : oh non, pas lui ! » La veille, Claude Robin, le directeur du centre de formation de Troyes, avait loué devant ses coéquipiers celui qui passe pour le petit prodige du coin, à la mentalité irréprochable : « Je suis très attentif aux garçons qui ne se lèvent pas le matin. Dans ces cas-là, je les emmène le lendemain courir à 6 h 30. Le problème, c’est que c’était la première fois pour Corentin en trois ans. Mais comme je l’avais cité en exemple, je ne pouvais pas faire autrement. Il est venu courir avec moi. » « Je m’en souviens, il faisait – 15 oC, ça réveille, sourit Jean aujourd’hui. Depuis, je n’ai plus eu de panne de réveil. » Le garçon de dix-sept ans, soumis aux regards de ceux qui attendent tout de lui, enregistre vite, apprend vite, percute vite. C’est vrai en cours (il est en terminale STG), mais également sur le terrain. En quelques mois, à Troyes, il est passé des 17 ans à une place dans le groupe professionnel, en face duquel il a chanté On va s’aimer de Gilbert Montagné, assumant parfaitement son goût pour la musique des années 1980. En véritable glouton, il prend tout, cumule les expériences en accéléré. Pour sa première apparition, en quarts de finale de la Coupe de la Ligue contre Rennes (1-2, le 29 novembre), il bouge les défenseurs bretons, marque un joli but. La semaine suivante, toujours contre Rennes mais en Championnat cette fois (2-3, le 2 décembre), il entre en jeu, cavale comme un dératé, prend un jaune puis un rouge direct. De quoi douter ? « Après son expulsion, on se demandait comment il allait réagir, s’est interrogé son père, Denis, dessinateur industriel. Mais à la fin du match, il n’était même pas marqué, il est passé très vite à autre chose. Il est comme ça, Corentin. » Sur la pelouse, il mord les mollets, se moque des CV de ses adversaires et, comme le dit sans détour Jean-Marc Furlan, « il n’a peur de rien, ce &$# ! Les tampons, il aime ça. Il est plus boucher que veau et c’est une qualité pour un attaquant ». Comme sa capacité à retenir les leçons : « Juste avant mon expulsion, j’ai eu droit à une superbe ovation du public pour ma première à la maison, je n’ai pas compris. Je voulais tout faire, tout donner, je courais partout. J’étais trop excité... » Ce n’est pas nouveau, son parcours s’accompagne depuis quelques mois d’une solide réputation de petit génie précoce, la rumeur a bruissé et Jean-Marc Furlan a d’abord essayé d’y résister. En vain : « On est dans une société où on consomme tout, très vite. C’est un peu toxique car pour progresser il vaut mieux évoluer caché. Mais lui... Je l’ai pris dans le groupe pro en début de saison et je l’ai mis “au placard” pendant trois mois mais, très vite, j’ai vu qu’il faisait jeu égal avec les pros. Au bout d’un moment, tu ne peux plus te cacher. S’il joue, ce n’est pas parce qu’il est jeune mais parce qu’il est bon. Je ne suis pas Ancelotti, je n’en ai pas eu des dizaines de jeunes joueurs, mais c’est la première fois que j’en vois un comme lui. Athlétiquement, c’est du très, très haut niveau. » À Blois, un de ses premiers clubs, on avait aussi repéré le potentiel du phénomène sans pour autant imaginer qu’il exploserait si vite au haut niveau. Pour Laurent Gatay, responsable de la préformation et qui l’a dirigé pendant deux ans, « Corentin était doué mais pas hyper talentueux sur le plan technique. Un peu comme Aly Cissokho (aujourd’hui à Valence) qui, chez nous, évoluait en jeunes dans les équipes 2 et 3, il n’était pas le plus doué mais, dans la tête, il faisait partie des plus costauds. Par exemple, il n’a jamais été pris au pôle Espoirs régional de Blois. Et je ne sais pas pourquoi... » Sa taille, sûrement (il mesure 1,70 m). Même le Stade Rennais, à treize ans, l’a recalé après un essai. Sa taille est le salut de Troyes, seul club prêt à l’accueillir dans son centre de formation. Philippe Vaugeois, le recruteur du club aubois dans la zone Lyon-Centre-Région parisienne, l’avait mentionné à Claude Robin, qui, dans la foulée, l’avait suivi à la Coupe nationale des 15 ans à Clairefontaine : « Aucun club n’était sur lui, il n’avait signé aucun ANS (accord de non-sollicitation) ! Mais quand je l’ai vu, je me suis demandé comment on avait pu passer à côté de ce joueur. Je fais attention de ne pas exagérer mais lui, il a tout. C’est un attaquant besogneux, pas avare de ses efforts. Il a une vivacité gestuelle, il crée des brèches, il n’est jamais à l’arrêt. Dans les appels, il est très intelligent. » Cette litanie de qualités, Mounir Obbadi, un des cadres de l’effectif, l’a découverte cette année : « C’est un garçon posé, sérieux, un peu réservé dans le vestiaire sans être impressionné. Mais sur le terrain, rien ne lui fait peur, il est sûr de sa force. » À dix-sept ans, il pourrait user de la bonne vieille langue de bois, seriner qu’il doit « passer les étapes une à une », mais il plante son regard dans le vôtre et, sans trembler, lâche : « Tout ce qui m’arrive, oui, ça va vite. Trop vite ? Je ne sais pas. Si j’en suis là, c’est grâce à mes parents et c’est que je le mérite, car j’ai travaillé pour. J’ai un bel avenir, j’ai de grosses qualités. » Le tout sans effronterie, sans forfanterie, juste l’assurance de ceux qui ont du talent : « Franchement, je n’ai pas peur, j’avance. Je viens de Rougeou (Loir-et-Cher), un village de 150 habitants, la campagne. J’ai la tête sur les épaules, c’est ce qui me fera aller très loin. » Petit, il a même fini par aller trop loin et trop vite pour son père. « Il est infatigable. Quand j’allais couper du bois, il venait avec moi, il prenait la brouette et il ne savait pas faire ça doucement. Quand on faisait des sorties à vélo, pareil. À sept ans, on faisait dix kilomètres, je le distançais pour voir comment il allait réagir. Et il revenait. Puis on est passés à quinze kilomètres, vingt kilomètres. Jusqu’au jour où je ne pouvais plus le suivre ! (Rires.) » Furlan, qui a lancé le Parisien Blaise Matuidi au même âge, a été confronté à la même évidence : « C’est un athlète, un gars qui participe beaucoup au jeu, peut-être trop. Et c’est un stratège qui sait quand donner la balle. Des joueurs techniques et qui vont vite, il y en a des centaines en CFA mais ceux qui savent faire très bien jouer leurs coéquipiers, capables de passer en L 1, pas beaucoup. » Corentin Jean en est. Au point d’être une future pointure internationale ? « Je ne serais pas sérieux si je répondais à cette question, avance Furlan. Qu’est-ce qui peut l’arrêter? Pas son cerveau, déjà ! Je ne veux pas lui porter la guigne, mais je ne lui vois pas de limites. » Il est programmé, il s’est peut-être programmé lui-même d’ailleurs : « Je ne peux pas être comme les jeunes de mon âge, je ne peux pas manger n’importe quoi, sortir en boîte. Je ne veux pas faire n’importe quoi avec mon corps. » Cette confiance, selon son père, Denis, il l’a acquise « à l’internat quand il était en sport-études ». Depuis, « rien ne l’affecte, selon Robin. Il est avenant, il a une faculté à être apprécié parce qu’il est naturel. C’est la clé dans le football : on se laisse avoir par l’esbroufe, par un joueur capable de réaliser un truc. Puis on attend dix matches pour revoir ce truc. Corentin, il ne vous déçoit jamais ». Contre Lyon, la semaine dernière, ce bon élève de terminale était de nouveau titulaire, Furlan n’hésite plus à le faire passer devant les supposés cadors, Marcos, Grax ou Bettiol, persuadé d’avoir dans les mains « un vrai buteur ». On retiendra pourtant un beau loupé face à Vercoutre, samedi dernier. Le natif de Blois, passé par toutes les équipes de France jeunes, ne se cache pas : « La balle rebondit juste devant moi mais je suis attaquant, je dois la mettre au fond. J’ai vite oublié cette action. Ma force, c’est de ne pas douter. Même si je dois jouer en Ligue des champions, je m’en fous, je me donne à fond ! » Il n’en est pas là, n’a même toujours pas signé de contrat professionnel. C’est prévu pour les prochaines semaines et le contrat sera effectif à sa majorité, en juillet prochain. En attendant, son père le protège, des clubs qui rôdent, des agents qui le harcèlent (Thierry Gras le conseille depuis décembre), et planifie, dans l’idéal, une montée en puissance sans précipitation : « Quelques années avec Troyes, qui est un club familial fait pour lui, sans lequel il n’aurait pas percé. Puis un club français de première partie de tableau, un autre parmi les meilleurs français, avant une dernière expérience à l’étranger. Quatre clubs, c’est bien, je pense. » Et si, comme on peut l’imaginer, Troyes descend en Ligue 2 ? Père et fils, en chœur, assurent que « cela ne changera rien ». Corentin Jean le rappelle, il a « la tête sur les épaules », et, heureusement, une naïveté confondante quand il déclare aimer un autre joueur précoce, le Parisien Jérémy Ménez, « en tout cas son jeu. Moins sa personnalité, il est un peu trop bling-bling pour moi ». On avait compris. Source : l'équipe du 19/01/2013 Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Google+
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Malgré l'absence d'option d'achat, je ne suis pas si pessimiste pour le voir évoluer la saison prochaine chez nous. Aprés tout, depuis 2011 et l'arrivée de Robolobodelevef, on ne peut pas dire que la stratégie de l'ASM en terme de gestion d'effectif à toujours été hyper clair, entre mercato "galactiques", puis plus calmes, arrivées de grosses stars suivis de saison ou une grosse confiance est faites à la jeunesse... Pas sûr que même dans le cas d'une trés bonne demi saison avec nous, Jean ne retrouve pas au moins autant de concurrence en revenant sur le rocher l'été prochain. De là, on serait en pôle pour lui proposer un nouveau prêt d'un an, voire soyons fou en cas de bon classement du Tef en fin de saison, un transfert sec vers chez nous.
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Cela dépend a quel niveau tu places ton jugement. Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il est perfectible, mais il l'est comme un gosse de 17 ans Il fait parfois une erreur de placement, parfois une erreur de lecture de trajectoire, parfois une erreur technique...mais tout ça est plus dû a son jeune âge et est trés ponctuel, parce que intrinséquement , je ne lui trouve de vraie faiblesses nulle part, et pour moi les années passant ça va devenir un monstre...
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Mouais, ça sent l'info un peu remâché et resservit manière de faire parler. En gros ça nous dit quoi, que pour un gros chèque on le laissera partir? Rien de neuf malheureusement... De toutes manières, sur le débat de savoir si il est à sa place comme n°9; on oublie trop souvent qu'avant d'arriver chez nous, il a été formé au Danemark comme milieu offensif, et baladé derrière l'attaquant et sur les ailes jusqu'à l'an dernier. En gros il a commencé à réellement "apprendre" le rôle d'avant centre à 23-24 ans. C'est donc tout sauf un buteur. Il l'est moins que Toivonen ou même Durmaz en terme de qualité devant le but. Ces stats avant la saison dernière sont d'ailleurs édifiantes (jamais plus de 9 buts par saison, 1 seul en une quinzaine de sélections avec le danemark, et même seulement deux dans les selections espoirs danoises toutes catégories (!) Mais bon, jouer avec un ailier en avant centre, un arrière gauche et un milieu défensif sur les ailes, c'est ça la Ligue 1 touch
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Face à l'Om il a aussi été fabuleux a plusieurs reprises... En fait, il à un seul dribble (qui passe un coup sur trois), une seul manière de "centrer" , avec son coup du pied qui va au second poteau, et sinon défensivement, ça dépend de sa motivation et de son humeur.