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Décès de Puskas : Kopa ému Rédaction Football365 - vendredi 17 novembre 2006 - 13h27 L'ancien partenaire de Ferenc Puskas au Real Madrid, le Français Raymond Kopa a fait part sur RTL de sa profonde tristesse en apprenant le décès du Hongrois. « Ca a été mon idole. Ferenc Puskas, je l'ai découvert en 1953 avec l'Equipe Nationale de Hongrie, c'est la que j'ai découvert un très grand joueur, a expliqué sur RTL Raymond Kopa. J'ai eu le privilège de le voir arriver au Real Madrid, j'ai eu la chance de jouer au moins un an avec lui. Je me souviendrai toujours de son arrivée, avec bien sûr son poids. On l'appelait à l'époque le « major galopant ». Au Real Madrid, à son arrivée, on l'appelait le « major bedonnant ». Bien sur les journalistes à l'époque trouvaient que les dirigeants du Real avaient fait une très mauvaise affaire. Moi au contraire, () je le défendais, j'ai toujours dit que la classe, il l'avait, et effectivement pendant trois années consécutives, Puskas a été le meilleur buteur du Real Madrid. » Kopa parle également d'un homme attachant: « A Madrid sa maison c'était une réunion de passagers, il recevait beaucoup de monde chez lui, des gens en difficulté, des hongrois bien sur en particulier. Du coté cur il était exceptionnel, pour moi c'est une grande perte pour le football mondial. »
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je suis en plein dedans, c'est hyper detaillé et bien écrit, réaliste sinon je viens de finir : Alain Fournier (1886-1914) "le grand meaulnes" Henri-Alban Fournier, dit Alain-Fournier «Comment rattraper sur la route terrible où elle nous a fuis, au-delà du spécieux tournant de la mort, cette âme qui ne fut jamais tout entière avec nous, qui nous a passé entre les mains comme une ombre rêveuse et téméraire ? «Je ne suis peut-être pas tout à fait un être réel.» Cette confidence de Benjamin Constant, le jour où il la découvrit, Alain-Fournier en fut profondément bouleversé ; tout de suite il s'appliqua la phrase à lui-même et il nous recommanda solennellement, je me rappelle, de ne jamais l'oublier, quand nous aurions, en son absence, à nous expliquer quelque chose de lui. Je vois bien ce qui était dans sa pensée : «Il manque quelque chose à tout ce que je fais, pour être sérieux, évident, indiscutable. Mais aussi le plan sur lequel je circule n'est pas tout à fait le même que le vôtre ; il me permet peut-être de passer là où vous voyez un abîme : il n'y a peut-être pas pour moi la même discontinuité que pour vous entre ce monde et l'autre». Henri-Alban Fournier naît le 3 octobre 1886 à la Chapelle-d'Angillon, dans le Cher. Son père, instituteur, est nommé à l'école d'Epineuil-le-Fleuriel en 1891 et Henri en sera son élève jusqu'en 1898, avant d'entrer en sixième au lycée Voltaire à Paris. En 1901, Henri-Alban Fournier, qui songe alors à devenir marin, poursuit ses études de seconde au lycée de Brest dans le but d'entrer à l'École Navale. Mais, il renonce rapidement à ce projet et rejoint finalement, à la fin de l'année 1902, le lycée de Bourges afin d'y passer son baccalauréat qu'il obtiendra six mois plus tard. A la rentrée 1903, l'adolescent s'inscrit au lycée Lakanal de Sceaux afin de préparer le concours d'entrée à l'École Normale Supérieure. Il y fait la rencontre de Jacques Rivière, qui deviendra son meilleur ami (leurs correspondances, l'une des plus belles de la littérature française, seront publiées entre 1926 et 1928) puis son beau-frère lorsqu'en 1909 il épousera Isabelle Fournier, la s¿ur cadette d'Henri-Alban. En 1906, Fournier échoue dans ses projets scolaires. Il tente alors, l'année suivante, une ultime année de Khâgne, au lycée Louis Le Grand mais encore une fois, il échoue au concours d'entrée à l'Ecole Normale Supérieure. C'est durant cette vie de lycéen que se déroule un événement qui sera déterminant dans la vie sentimentale et littéraire d'Alain Fournier ; en effet, le 1er juin 1905, en sortant du Grand Palais, il croise une jeune fille d'une grande beauté qu'il suit à distance jusqu'à son domicile, boulevard Saint Germain. Revenu sur les lieux, le 11 juin suivant, il l'accoste cette fois-ci dans la rue et lui murmure : "Vous êtes belle". Yvonne de Quiévrecourt ne répond pas à ses avances et s'en va vers l'église de Saint-Germain des Près, où elle assiste à la messe. Après la cérémonie, les deux jeunes gens ont enfin une longue conversation au terme de laquelle Yvonne lui avoue qu'elle est fiancée et que son destin est maintenant tracé. Yvonne de Quiévrecourt qui deviendra Yvonne de Galais dans le Grand Meaulnes se marie en 1907. L'année suivante, Henri-Alban Fournier effectue son service militaire. Après avoir suivi le peloton des élèves-officiers à Laval, il est affecté au 88e R.I., à Mirande, dans le Gers, avec le grade de sous-lieutenant. Hanté par le souvenir d'Yvonne, il rédige alors quelques poèmes et essais, ses premiers pas dans la littérature, qui seront publiés à titre posthume par son ami Jacques Rivière sous le titre Miracles (1924). Son service militaire achevé, Henri-Alban Fournier trouve à s'employer au mois d'avril 1910 en tant que journaliste à Paris-Journal et y rédige de façon régulière un « courrier littéraire ». Au même moment commence une liaison avec Jeanne Bruneau, une modiste de la rue Chanoinesse rencontrée autrefois à Bourges, qui durera jusqu'en avril 1912. Celle-ci inspirera vraisemblablement le rôle de Valentine dans le Grand Meaulnes. C'est durant cette période que Fournier, installé rue Cassini, entreprend la rédaction d'un roman autobiographique, Le Grand Meaulnes. En 1912, il quitte la rédaction du quotidien parisien pour entrer, grâce à Charles Péguy, au service de Claude Casimir-Perier, fils d'un ancien Président de la République. Le jeune homme entame alors une liaison orageuse avec l'épouse de l'homme politique, l'actrice Pauline Benda, plus connue dans les milieux artistiques de la capitale sous le pseudonyme de Madame Simone. En février 1913, Henri-Alban Fournier obtient pour la dernière fois une entrevue avec Yvonne de Quiévrecourt (mariée Vaugrigneuse), son amour de jeunesse, maintenant mère de deux enfants. De juillet à novembre 1913, La Nouvelle Revue française commence la publication de son ¿uvre romanesque, Le Grand Meaulnes, achevée au début de l'année. Elle paraît ensuite en volume (1913) chez l'éditeur Émile-Paul, l'écrivain ayant pris à cette occasion le nom d'Alain-Fournier. Sélectionné pour le prix Goncourt, Le Grand Meaulnes manque de peu le prestigieux prix littéraire, l'honneur revenant à Marc Elder et au Peuple de la Mer. Au début de l'année 1914, Alain-Fournier entame l'écriture d'une pièce de théâtre, la Maison dans la forêt, et d'un nouveau roman, Colombe Blanchet. Ces deux dernières ¿uvres demeureront inachevées. En effet, l'écrivain est mobilisé dès la déclaration de guerre, au mois d'août 1914. Il rejoint alors le front comme lieutenant d'infanterie avec le régiment de réserve de Mirande, le 288e R.I. Le 22 septembre suivant, après quelques semaines de combat, Alain-Fournier est tué au sud de Verdun, dans les Hauts de Meuse. Porté disparu avec vingt de ses compagnons d'armes, son corps est découvert en 1991 dans une fosse commune où les soldats allemands l'avaient enterré. En 1992, les 21 corps de fantassins du 288e RI exhumés du bois de Saint-Rémy dont celui de l'écrivain Alain-Fournier sont regroupés. Henri-Alban Fournier est maintenant inhumé dans la nécropole nationale de Saint-Remy-la-Calonne, dans la Meuse. Voici la dernière lettre (une carte en réalité) écrite par Alain-Fournier à sa s¿ur Isabelle, le 11 septembre 1914 «Je reçois bien tes lettres, ma chère petite Isabelle. Certaines me sont même parvenues au milieu du combat. Je suis en excellente santé. J'espère me rapprocher de Jacques avant peu. Je suis maintenant attaché à l'état-major à cheval. J'ai grande confiance dans l'issue de la guerre. Priez Dieu pour nous tous. Et ayez confiance aussi. Longuement, tendrement, je te serre avec ta Jacqueline dans mes Bras. Ton frère, Henri»
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Le truc dont tout le monde se branle...
Nickoloh a répondu à un ClarkGaybeul de Nickoloh dans Le Bistrot
je viens d'acheter 17 livres de poche -
je partage ta vision, ce qui compte c'est qu'il est fait du bien au tef quand il y jouait, apres sa vie perso le regarde.
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tu sais moi j'ai lu comme ca jusqu à 16 ans, c'est comme tu dis un passage obliger
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Le truc dont tout le monde se branle...
Nickoloh a répondu à un ClarkGaybeul de Nickoloh dans Le Bistrot
choix cornelien les évadés que j'ai vu six fois et que je reverrai bien une fois de plus le bonheur est dans le pré, bon je l'ai deja vu mais je pense pas que ca me ferait du bien de revoir le pays (condom eauze) ou je bossais y a pas si longtemps nostalgiiiiiiiiie) sous le sable la meuf elle me plait pas dedan donc.... j'opte pour joyeux noel qui doit etre bouleversant -
moi y a 19 ans je pouvais pas comprendre le troisieme degré de ce genre de bouquin, et ni apprecier la qualité de l'ecriture ...etc en fait y a dix neuf ans j'aurai lu ca comme un roman sur l'aventure et les amourettes d'un ado, aujourd'hui j'apprecie l'oeuvre sous differentes facettes, et c'est beaucoup plus poignant. Je n'ai pas honte de dire que j'ai commencé a lire cette année, et je pense que d'ici la fin de l'année je vais me retirer (car trop vieux) de ce forum en general, et je ne reserverai mes post qu'aux matchs et a quelques topic dignes d'interet comme celui la . ce qui n'a pas toujours était mon cas (flood quand tu nous tient) bon la il va etre tant de prendre ma retraite. Je me sens deconnecté par rapport a certains et je comprends que des xywti ou bad honey poste moins, je crois qu'aujourd'hui je comprends ce qui se passe a l'interieur d'eux.
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parce qu il y a des gros cons dans les stades, des types qui n'ont pas de memoire
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je viens de finir le grand meaulnes d'alain-fournier, un livre sur la difficulté du passage à l'âge adulte, saisissant d'émotions , vivant par l'aventure qu'il propose, bouleversant par son côté intemporel ...à lire d'urgence pour les poètes il y a de très beau passage en prose qui flirte avec la poésie, ce qui rappelle les premiers faits d'armes de l'auteur, et dire que ce type est tombé au front au tout début de la guerre de 14... bon ma prochaine lecture sera le debut d'un cycle Balzac (dont j'ai encore vu l'ancienne maison ce soir) : je pense commencer par eugénie grandet, puis le pere goriot, le lys dans la vallée, le colonnel chabert, les chouans. ce topic me plait bien en fait, moi qui est commencé à lire des romans pour le plaisir il y a moins d'un mois
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Joueur Fabinho - Fabio Alvès Félix
Nickoloh a répondu à un Modérateur de Nickoloh dans Anciens du TFC
d'ailleurs le lien que nous avions ne marche plus,quelqu un aurait il un autre lien? -
esperons que aulas ne voudra pas le recuperer ( son pote kallstrom joue deja labas)
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pub delirante
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je n'ai jamais douté de lui, c'est mon joueur préféré depuis le national
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son modjo oui
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putain d'avatar quand meme
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en foot ca equivaut a une victoire de nancy sur le barca
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Le truc dont tout le monde se branle...
Nickoloh a répondu à un ClarkGaybeul de Nickoloh dans Le Bistrot
t'es pas loin de la verité -
Le truc dont tout le monde se branle...
Nickoloh a répondu à un ClarkGaybeul de Nickoloh dans Le Bistrot
mon sanibroyeur vient de rendre l'âme (y a un moment qu'il me faisait chier ) et j'ai une envie folle de chier... -
mais Ah! ah! quoi une faute de frappe
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il va falloir qu'il tourne un peu, car ses deux dernieres prestations montrent qu il est cramé
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Ramon est le DC de xywti à noter la réapparition de chubee dans la liste des membres, aurait il été reintégré ?