Casimir

Bon, finalement, on ne sait absolument rien de ce qui se passe. "On se retrouve ultérieurement pour des supputations complémentaires"

Sans doute mais je pensais que la présence du ninja permettait de comprendre qu'il ne s'agissait que d'une taquinerie. Visiblement pas. J'imagine bien que beaucoup ont gardé le cap, même sans difficulté. J'aime bien les échanges avec toi. C'est constructif même si on peut avoir des positions et avis divergents.

Merci.

Si tu en auras une. Plusieurs même.

Voilà.

Ignore mes posts. Ça te fera du bien Quel fin psychologue.

Quand je pense à tous les forumeurs qui n’osent pas poster ici pour ne pas avouer que finalement ils regardent les matches

Vous êtes confiants pour France - Angleterre ?

Quel exploit. Un résultat qui en enchante beaucoup.

Ça sent le Prud'hommes. Envoie un MP à Debève si tu as des questions

Au fait, est-ce que la France a finalement fait match nul contre la Tunisie ?

Ça n'est pas rare qu'un employeur licencie pour faute grave alors que le comportement du salarié n'entre pas dans cette catégorie. C'est même très courant. Et puis, on n'en est pas encore là, si j'ai bien compris.

Kylian Mbappé a encore attiré la lumière, dimanche face à la Pologne (3-1 en huitièmes de finale de la Coupe du monde) et c'est bien normal. Il continue de s'occuper du score davantage que du contenu, de faire des Bleus une équipe qui peut se passer d'un contrôle continu sur le match pour l'emporter. Derrière la star, ça « charbonne », comme le soulignait l'infatigable Adrien Rabiot à la fin du match, une nouvelle fois premier aux nombres de sprints (57) mais cette fois devancé au kilométrage par Antoine Griezmann (11,3 km), un autre « charbonneur ». Quatre joueurs ont touché le ballon sur le but du break, le Colchonero est certes le premier d'entre eux, mais il s'agit d'un dégagement joué dans sa propre surface. L'action illustre le rôle occupé par le numéro 7 sur le plan défensif au cours d'une rencontre qui l'a amené à plus souvent se replier à hauteur de Tchouaméni qu'à l'accoutumée. Sur le plan défensif, on l'avait jusqu'à présent vu actif à la perte de balle et devant une ligne de trois milieux pour gêner les organisateurs reculés adverses. Dimanche, il a conservé ces prérogatives, mais a dû répéter les courses vers sa défense. Pourquoi ? Le temps laissé à la Pologne fait reculer les Bleus Alors que la Pologne a eu beaucoup de mal à sortir de son camp en phase de groupes, les Bleus n'ont pas particulièrement cherché à presser haut. Les Polonais ont donc eu le temps d'avancer sur le terrain et, surtout, de s'organiser. Czeslaw Michniewicz et son staff avaient bien étudié l'animation défensive atypique de l'équipe de France (détaillée ici). Celle-ci doit souvent basculer à trois sur la largeur (Rabiot-Tchouaméni-Dembélé), ce qui peut lui donner un temps de retard et exposer ses latéraux. La Pologne a donc ajouté du monde dans les couloirs. Soit elle avançait directement en les touchant, soit elle forçait le milieu français à coulisser et pouvait ensuite renverser le jeu. Dans les deux cas, le choix de ne pas presser a permis aux Polonais de manoeuvrer plus facilement. Jamais déconnecté du jeu, même en phase défensive, Griezmann devait donc se replier vers sa surface et l'a plutôt bien fait. Le jeu polonais et l'animation française obligeaient Tchouaméni à couvrir une zone immense. Ses dézonages devaient être compensés par la présence du numéro 7 de l'équipe de France. Un ajustement à la pause, et une implication jusqu'au bout La tâche était vaste et le restera si la France continue à s'organiser ainsi pour défendre. Et si le joueur de l'Atlético de Madrid a semblé moins influent dans le jeu, c'est aussi parce qu'il a perdu en liberté offensive en deuxième période, restant cantonné essentiellement à l'axe droit. Un ajustement de Didier Deschamps et son staff qui a assuré une position moins ouverte du bloc à la perte et épargné à Griezmann des courses de repli trop longues. Malgré tout son investissement et son goût pour la chose défensive, Griezmann n'est pas un expert du poste. Ses réflexes ne sont pas toujours ceux d'un milieu reculé devant sa défense. Il peut avoir tendance à réagir plutôt qu'anticiper, à l'image de l'occasion polonaise dans le temps additionnel de la première période où Kaminski est libre de recevoir le ballon dans la surface. Le Colchonero réalise l'existence du danger une fois que son adversaire a reçu le ballon et s'apprête à frapper. Il se jette alors pour le contrer. Didier Deschamps aime Antoine Griezmann, les raisons de cet amour sont nombreuses et certaines pourraient être suffisantes. Voir un meneur de jeu aussi impliqué dans sa propre surface, capable d'y redescendre jusque dans le dernier quart d'heure de jeu a quelque chose d'époustouflant. Et si la lumière a jailli sur Kylian Mbappé au moment du deuxième but, on notera qu'Antoine Griezmann avait bien fait d'appuyer sur l'interrupteur.

Pari tenu

Je trouve Maguire très bon depuis le début de cette CDM. J'aimerais connaitre ses stats mais il prend un paquet de ballons de la tête. Le niveau est très homogène, je trouve. C'est difficile de sortir une équipe du panier même si nos 11 titulaires sont peut-être ce qu'il y a de mieux au Qatar. En revanche, notre banc est trop limité. Avec plusieurs matches dans les pattes, ça peut faire la différence. C'est ce qui nous différencie des autres équipes qui ont une plus grande profondeur de banc.

A partir des 1/4, il n'y a que du beau monde. Je trouve l'EDF très fébrile défensivement mais je ne pense pas qu'il y ait d'autres solutions avec les joueurs présents et valides. Dembélé est plus défensif que jamais mais s'il traine à redescendre ça libère l'espace à droite. Les Polonais ont essayé de passer sur les cotés avec des changements d'aile et heureusement pour nous qu'ils étaient lents. Les Anglais ont des flèches, on n'a pas intérêt à trainer dans le replacement défensif. Heureusement, le milieu et l'attaque sont au top chez les bleus. Devant, c'est impressionnant. Ca devrait être ouvert. Le niveau est sensiblement équivalent entre les deux sélections avec un léger avantage pour les bleus (quand tu as KMB et OG, ça n'est pas étonnant). D'ailleurs, les retours incessants vers le centre, c'est voulu. Ca permet de densifier l'axe et d'éviter les relances vers les ailes. Ca a payé contre le Danemark. Eriksen a été asphyxié. Griezmann est très important pour compenser. Rabiot aussi. Je ne vois d'ailleurs pas comment on pourrait faire autrement.

C'était pas non plus très malin de venir à l'entrainement déguisé en Benoit Bastien

Rabiot a survolé le match. Je ne comprends pas ton analyse.

Ca c'est ce qu'écrit le journaliste. Parce que le patron dit l'avoir licencié pour avoir été insulté. Mon petit doigt me dit qu'on ne devrait plus en entendre parler

France, Espagne, Brésil…les coiffeurs n’ont pas le vent dans le dos.

Elle est jolie sur ce gif

Le nombre de touches données alors que le ballon n'est pas entièrement sorti est hallucinant. Ca m'agace à chaque fois

Non, sobre. Ça a beaucoup choqué.

Dans le dernier quart d’heure, il y a eu 9 tirs contre 1 pour le reste du temps. On a voyagé avec une équipe 2. Même pas 1 bis. C’était normal de mobiliser tout l’effectif et de reposer les titulaires. A part Areola, tous les joueurs auront joué.

L’arbitre a consulté la VAR après le coup d’envoi La FFF ne va sans doute pas porter réclamation.