Certes, les journalistes ont aussi leur part dans ces dialogues insipides. Mais si les interviewés se contentaient déjà de répondre aux questions simples autrement que par des lieux communs et autres banalités, ça irait déjà mieux.
Je lisais l'interview de la skieuse Kostelic hier. Ca change, et pourtant, en y regardant de plus près, elle ne fait que répondre à des questions classiques. A la différence qu'elle oublie la langue de bois...Rien de révolutionnaire pourtant. Elle dit juste ce qu'elle pense, sans ambages.
La richesse d'un interview tient quand même bien souvent, aussi, à la qualité des réponses.