ClarkGaybeul

Finir avec un nul serait un exploit. On défend beaucoup comme prévu et pas trop mal. Sur le plan offensif on a eu des opportunités qu’il aurait fallu concrétiser pour pimenter le match. Pour moi on a raté le coche et la 2e va être longue….

Sierro qui se sacrifie pour rattraper son erreur …. Restes va peut être sortir

Tant que Babicka fera de tels choix sur ses ballons on ne pourra pas concrétiser dans le jeu ….

Même pas peur … on a fait tourner aussi Un problème qui est présent depuis des années, c’est fatigant

https://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Le-numero-un-mondial-jannik-sinner-suspendu-trois-mois-apres-ses-controles-positifs-au-clostebol/1540207

La stratégie de Bannon est plus détaillée ici: https://www.rts.ch/info/monde/2025/article/trump-inonde-la-zone-la-strategie-de-bannon-pour-submerger-l-opposition-28779512.html Depuis son retour au Bureau ovale, Donald Trump signe des décrets à tour de bras. Derrière cette cascade de décisions se cache une stratégie théorisée par Steve Bannon, son ancienne éminence grise: "inonder la zone" pour faire suffoquer l'opposition. L'historien Lauric Henneton fait le point dans Tout un monde. Steve Bannon n'a pas duré longtemps à son poste de conseiller lors du premier mandat de Donald Trump. Le spin-doctor d'extrême droite n'a occupé cette fonction que durant sept mois seulement. Mais son influence ne semble pas avoir totalement disparu des couloirs de la Maison Blanche, de laquelle a jailli ces derniers jours un torrent de décrets présidentiels. "Je pense que vous voyez maintenant l'aboutissement de tout le travail qu'on a fait. Vous assistez à ce que j'appelle 'l'inondation de la zone' et il n'y a pas de meilleur moment pour être en vie que maintenant, quand on voit les fruits de ce grand effort", a lancé Steve Bannon dans un podcast du New York Times diffusé il y a quatre jours, dans lequel il se décrit comme "un populiste et un nationaliste pur et dur". Interviewé mardi dans l'émission Tout un monde de la RTS, l'historien français Lauric Henneton affirme que l'avalanche de décisions du 47e président des Etats-Unis suit le mode opératoire pensé par son ex-stratège. "La théorie [de Steve Bannon], c'est que les médias ne peuvent se concentrer et s'indigner que sur un seul sujet à la fois. Pour lui, si on lance quatre sujets d'un coup, les médias sont complètement perdus. Et l'opposition, selon lui, ne réside pas dans les démocrates, mais dans les médias. Sans eux, il n'y a pas vraiment d'opposition", explique le maître de conférences en histoire et politique américaine à l'Université de Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines. Une opposition qui n'a pas été étouffée Ce "déluge d'événements" provoque un "effet de noyade", note Lauric Henneton. Il estime toutefois que cette théorie néglige l'existence de groupes en désaccord avec le dirigeant républicain et qui passent à l'action. "En pratique, [l'opposition] vient essentiellement de procédures judiciaires menées par des gens qui s'intéressent à un sujet, que ce soit des associations, des avocats ou des instances au sein de l'Etat. Ils vont s'intéresser à une question en particulier, par exemple à l'avortement ou à l'immigration." Cette résistance, qui s'est préparée à l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, n'entend pas rester les bras croisés. "Des Etats ont mis de l'argent de côté pour pouvoir financer cette opposition devant les tribunaux, ce qui permet de mettre quasiment en échec, directive après directive, cette tentative de noyer la zone", illustre l'historien. "D'une certaine manière, il y a tout de même une capacité de réaction, qui est fragmentée. C'est ce qui fait sa force: chacun est un peu spécialiste de son petit bout de jardin." Lauric Henneton estime que s'opposer par voie judiciaire, en contestant la constitutionnalité des décrets, est bien plus efficace que les manifestations ou la mobilisation sur les réseaux sociaux, car cela permet de bloquer des décrets présidentiels. Empreinte durable ou agitation passagère? Quelle sera l'issue de cette confrontation entre stratégie de l'inondation et riposte judiciaire? Les institutions américaines seront-elles durablement marquées par le second passage de Donald Trump au Bureau ovale? Le chercheur se montre prudent. L'avenir reste difficile à prédire, d'autant que les intentions du président ne sont pas simples à cerner, malgré ses abondantes déclarations. Le résultat des élections législatives de mi-mandat de 2026 pourrait également changer la donne. Si les démocrates reprennent le dessus au Congrès, Donald Trump verrait sa marge de manœuvre "être bridée assez rapidement". L'historien prend également l'exemple de l'élection de Joe Biden en 2020, qui avait permis un retour à la normale du fonctionnement des institutions américaines après le premier mandat du magnat de l'immobilier. Les démocrates "peuvent emporter la présidentielle de 2028 et essayer de remettre un peu d'ordre dans la machine", envisage Lauric Henneton. Et de lancer: "Tout n'est pas forcément irréversible. Mais il est certain que les pratiques [présidentielles actuelles] ne correspondent pas aux standards attendus dans un Etat de droit, surtout de la part d'un pays prompt à donner des leçons de maintien à toutes les démocraties du monde".

Jamais à une incohérence près. 🤡

Frenchtuch du mercredi te dira qu’il ne doit plus jouer. En étant sérieux.

Il s’est étoffé physiquement je trouve. Belle récompense pour lui que d’avoir marqué ce but. Cela va l’encourager à travailler.

Ceux qui sont là depuis un moment savent bien qu’il a été critiqué l’an passé.

Le premier anglais du WE qui me fait plaisir!

Ce sera pas King Nothing malheureusement

Un fait de jeu qui nous est favorable? C’était trop demander.

C’est peut être pour cette raison que ZA se marre après coup