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Gollum

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  1. Disons que ça donne un peu la vision que Chocobares, Mallia, Ahki ni Capuozzo ne sont sélectionnables. Et devant, on est aussi un peu en-dedans compte tenu de l'absence de Willis...
  2. Je comprends. J'ai naturellement été agacé moi-même. Mais Lyon se fait sortir par une N3. Rennes par une L2. Et combien de prestations indignes, sanctionnées par une piteuse élimination, n'avons-nous souffert les saisons précédentes, pour ne pas savourer cette qualification et se remémorer le travail d'orfèvre des 25 premières mn, qui aura (malgré tout) suffi à tuer le match ? La satisfaction et la reconnaissance doivent dominer, à mon avis .
  3. Une promenade de santé pendant 85 mn et puis cette ombre au tableau... Bon, j'ai pas franchement tremblé dans les dernières minutes mais c'est quand même fou de laisser revenir un adversaire qu'on a éteint pendant tout le match et qui aurait dû revenir chez lui la valise pleine de pions... Mais bon, l'essentiel est fait et ça reste donc du très bon boulot, a fortiori au vu de l'hécatombe que constituent ces seizièmes (non mais l'OL... ). Si ça voulait bien rigoler au tirage, vu qu'il y a du menu fretin à prendre, on pourrait se reprendre à vibrer... Car parmi les deux enseignements du match, même si le score du jour ne le reflète pas vraiment, quelque chose me dit que cette équipe toulousaine a une marge assez dingo sur la plupart des équipes de foot du pays... Laval, c'est un sixième de L2, ils ont joué le coup sérieusement et pourtant, ils se sont fait bouffer dans des proportions qui m'ont étonné, par ce TFC 1bis. Notre club a un comportement à la hauteur de ses ambitions et ses ambitions sont elles-mêmes à la mesure de son savoir faire collectif. Son bloc compact, sa capacité de jeu rapide et son punch devant sont à peu près injouables au-dessous du niveau auquel elle a décidé d'évoluer. Reste le point noir, celui qui bloque pour passer le fameux "palier". J'ai même rarement vu une équipe toulousaine dont la déficience est aussi claire et ciblée, comme une évidence pour le club et la cellule de recrutement : cette équipe mériterait de remplacer Dallinga. Entre la nonchalance de nos joueurs à la finition (Babicka, Gboho, Magri), l'absence de déplacements pertinents dans la surface et même si nos passeurs ne sont pas particulièrement inspirés, on se dit que l'être qui nous manque pourrait tout changer. Espérons que niveau mercato, ce ne soit pas dry january... Mais bravo pour cette belle ouvrage, presque parfaite à quelques minutes près .
  4. Exact. Il s'est donc trompé dans un premier temps. C'est donc une parfaite illustration de ce à quoi sert (et doit servir) le VAR .
  5. Je me disais que son profil n'était pas très "Stade", qui préfère des ailiers vifs à des ailiers costauds. Mais je me disais que ses perfs plaidaient pour lui. Sa blessure alliée à son âge peut avoir rebattu les cartes. Et la décision peut venir en partie du joueur car la destination me laisse quand même songeur. Je ne doute pas des ambitions de Provence mais ça reste une rétrogradation.
  6. Pas de marge... sur un parcours d'outsider . Mais une marge plutôt considérable sur le maintien, qui était au coeur de nos préoccupations il y a seulement quelques semaines. Le foot a ceci d'étrange qu'un motif de satisfaction absolument essentiel, suscitant il y a peu les incertitudes les plus inquiètes, passera bientôt pour quelque chose d'ordinaire. Mesurons le chemin parcouru en quelques semaines .
  7. Oui, c'est très grave que l'arbitre ait suivi sa conviction première avant de faire appel à la VAR. Il aurait mieux valu qu'il attende que le jeu continue quelques minutes avant de revenir sur l'action. D'ailleurs, ce serait encore mieux qu'il n'y ait plus d'arbitre du tout et que la VAR prenne le temps de tout arbitrer à distance . Plus sérieusement, on va donc reprocher à cet arbitre d'avoir fait un choix (inévitable) et d'avoir ensuite la lucidité (voire l'humilité) d'utiliser l'outil à sa disposition pour le remettre en cause, quand quantité d'arbitres préfèrent leur égo à l'équité du jeu, en prenant pour le coup des décisions iniques qu'ils refusent de questionner ? Ou alors on peut remettre en cause la VAR et revenir au temps béni des pénos (ou non pénos) totalement fantaisistes et des hors jeux oubliés, quand un match de foot pouvait se jouer sur l'arbitraire plutôt que l'arbitrage, indépendamment de ce qui se passait sur le pré dans les règles du foot . Quant au HJ passif et aux décisions d'arbitrage qui semblent injustifiées parce que, comme par hasard, elles ne collent pas à nos intérêts, je recommande sempiternellement l'expérience de pensée suivante : imagine que Strasbourg ait marqué le même but avec Emegha planté hors jeu devant Restes pour l'empêcher d'intervenir. Voilà. Difficile à dire après deux matches. Mais si tu veux parler de sa nonchalance apparente, oui, ya comme un air .
  8. D'autant qu'on est un peu court en troisième ligne .
  9. Le mettre au niveau de Casseres, c'est plein d'imagination . Propre, tout à fait satisfaisant, et c'est déjà énorme ! Mais évidemment en retrait de son compère du milieu - le contraire serait presque insultant pour tout le staff - et un peu trop nonchalant sur certaines interventions ou d'ailleurs, non interventions... Le métier rentre. Pourvu que ça dure !
  10. Merci pour ce retour . Comme toujours, à chaque weekend, l'arbitrage est ciblé. Parfois, c'est justifié. Mais là, je vais faire mon @ResetBulshit et le défendre bec et ongles ; les récriminations qu'il suscite relèvent d'une aigreur compréhensible de supporter mais à froid, maintenir cette position n'est plus justifiable. D'abord, il est normal que l'arbitre ne voie pas tout en temps réel, donc qu'il ne soit pas infaillible. Sinon, à quoi justement servirait le VAR ? Moi aussi, en temps réel, je vois péno indiscutable sur Gboho. Je vois un but indiscutable d'Emegha en première période. Et je vois un beau but de Magri en seconde. Et puis, dès que je revois les images (sauf sur le but d'Emegha dont le HJ est quasi indétectable, même s'il y est), je comprends que les décisions seront annulées. Inutile d'évoquer le vrai-faux péno, la faute est à l'extérieur de la surface. Mais je lis que certains contestent le "HJ passif" de Mc Kenzie alors que celui-ci, excusez du peu, est pile devant le gardien au moment de la frappe de Magri, l'empêchant éventuellement de voir le ballon et à coup sûr, de tenter la moindre intervention. Si tu siffles pas un HJ passif sur cette action, tu le siffles quand ? Perso, dès que je vois le replay, je sais que c'est mort et c'est absolument logique...
  11. Le genre de match dont une saison ne livre vraisemblablement qu'une poignée d'exemplaires... La série toulousaine devait bien cesser un jour et on aurait sans doute préféré qu'elle s'interrompe face à un cador du championnat plutôt que contre un rival direct... pour un statut d'outsider plutôt sexy, a fortiori quand on se rappelle nos débuts laborieux en championnat. Mais perdre contre cette équipe strasbourgeoise n'a rien d'infamant, d'autant que rarement score final ne m'aura semblé aussi anecdotique. Le TFC ne méritait pas de perdre, il ne méritait pas franchement le nul, il ne méritait pas de gagner non plus et il méritait un peu tout ça à la fois. Même chose pour Strasbourg, évidemment. C'était un joli match de foot, ouvert, alerte, entre deux bonnes équipes de L1, au terme duquel tout était possible. On peut donc analyser ce match à l'aune de ses faits de jeu. Ou alors, d'un point de vue plus global. Au final, la boulette initiale de Restes - car on pourra dire ce qu'on veut, invoquer les dieux du foot, engueuler la pelouse ou se lamenter de la passe de McKenzie, notre gardien est seul et total responsable de ce but - a scellé le sort d'une rencontre qui avait grand besoin d'être bien arbitrée, et l'a été grâce à un usage impeccable de la VAR. Ça aussi ça fait du bien, tant cet outil a pu être dénaturé. Bien sûr, un match à l'ancienne se serait peut-être terminé sur un 3-3 autrement profitable pour nos couleurs, en considérant la possibilité d'un come back d'anthologie après avoir été mené 3-1 par Strasbourg. Peut-être. Il n'empêche que les décisions qu'elle a contribué à prendre, en annulant deux buts et un péno, rétablissent le football dans les règles qui sont les siennes et à partir de là, tout est bien. D'un point de vue global, Strasbourg a profité des impondérables toulousains et ça lui a réussi. Pour moi, Strasbourg n'a pas battu le TFC, ce soir. Mais Rosenior a battu Novell et la différence au score se joue fondamentalement là. Je n'ai pas envie d'être sévère avec notre coach, qui fait du bon boulot et dont on peut comprendre qu'il ait cherché à valoriser Akdag, en ne changeant pas de système alors que les circonstances l'imposaient. Mais force est de constater qu'il a donné à son vis-à-vis le bâton qui lui a permis de le battre. C'est manifeste en première période - évidemment moins en seconde et ce, même avant qu'on change (enfin) de système - tant, au-delà de la glissade de Restes, les Strasbourgeois ont remarquablement mis leur vis-à-vis sous l'éteignoir, voire au supplice défensif, en ciblant notre côté gauche, au pressing (question pressing, les Strasbourgeois n'ont pas ciblé que le côté gauche...) et dans le duel. Or, effectivement, quand tu alignes Akdag-Suazo pour protéger ton flanc gauche, tu peux donner quelques idées au coach adverse... Les Strasbourgeois nous ont donc empêché de ressortir les ballons et de leur côté, se sont magnifiquement défait de notre propre pressing, il est vrai nettement moins résolu, se créant alors des espaces que notre côté gauche a payé au prix fort. On vantait la semaine dernière la maestria défensive de cette équipe toulousaine. Sans McKenzie à gauche de la défense, on a vu que c'était plus du tout la même... Mais bien sûr, pour réussir ce qu'a réussi notre adversaire, il faut de la qualité et je dois dire que physiquement et tactiquement en particulier, cette équipe strasbourgeoise m'a plutôt bluffé (elle a néanmoins quelques failles qu'on aurait pu mieux exploiter, j'y reviendrai). En somme, on peut penser qu'une défense à 4 aurait donné aux Toulousains la possibilité de se dégager du pressing des Strasbourgeois, en exploitant une solution de relance au milieu qui, pour le coup, n'existait pas. En contrepartie, les rares fois où on a pu ressortir, notamment grâce à de bons relais sur les côtés - Suazo et Donnum savent jouer au ballon - on a emmerdé la défense adverse. Les "faits de jeu" qui émaillent ce match, ce sont aussi, avant l'erreur fatale de Restes, deux superbes occases qui auraient mérité meilleur sort de notre côté (tête de Cresswell et surtout, cette frappe non cadrée d'Aboukhlal après un bijou de remise pleine course de Canvot). Le deuxième acte se joue moins sur l'aspect tactique, comme souvent. Parce que les brèches s'ouvrent, en particulier. Je comptais un peu sur une fatigue strasbourgeoise pour se refaire la cerise mais force est de constater que ces jeunes Alsaciens ont du coffre et du gaz. Ils dominent donc les 20 premières minutes de la deuxième période avant, enfin, de flancher plus nettement entre la 65ème et la 85ème, ce moment du match où on aurait pu revenir. Le tout dernier quart d'heure, arrêts de jeu compris, ne me laisse plus guère d'espoir car on pioche tandis que Strasbourg s'accroche. Il aurait fallu que Petrovic nous fasse un cadeau à la Restes pour que ça se rééquilibre (il n'en est pas si loin d'ailleurs car sur une de ses dernières interventions, je le trouve "limite") mais ça n'est pas venu. Qu'aurait-on pu faire de mieux pour inverser ce score, malheureux sans être injuste ? Passons sur le fait qu'une glissade comme celle de Restes, c'est d'abord un manque de concentration. Il y en a eu d'autres, de la part d'autres joueurs. Mais un gardien, lui, ne peut pas. Il doit "penser" à ses appuis et les assurer. Je gage que la leçon sera retenue. Plus fondamentalement, comme on l'avait fait à Lens, on a réussi à éprouver les Strasbourgeois sur le plan défensif : ceux-ci ont donc commis beaucoup de fautes, dont une a failli rapporter un péno. C'est une limite criante de notre adversaire, aujourd'hui, l'une des rares que je lui ai vues. Sur ce point, les stats pourraient être utiles et nous dire si le TFC obtient plus de coups francs que ses adversaires ; quoi qu'il en soit Strasbourg en a concédé beaucoup et un carton jaune de plus à son encontre ne m'aurait pas paru superflu. Reste que pour capitaliser sur cette impétuosité adverse, il faut être meilleur sur les CPA. Je suis un peu injuste dans la mesure où on marque sur l'un d'eux mais franchement, ce n'est pas assez. Une équipe aussi punchy que la nôtre va rapporter beaucoup de coups francs, c'est écrit. Or, je ne suis déjà pas totalement convaincu par Sierro dans ce domaine mais ce que j'ai vu ce soir m'oblige à exhorter notre président à rappeler... VdB. Sweet memories . C'est dommage ne de pas disposer de cet atout dans la perspective d'une ascension-surprise au classement. Sur le plan individuel, une fois n'est pas coutume, il y a des tops et des flops ou, du moins, des coups de moins bien. Comme je suis passé sur Restes, je vais passer sur Akdag. Il a fait ce qu'il a pu - pas grand-chose - mais il lui est demandé de suppléer un top défenseur (McKenzie) dans une défense qui marche sur l'eau, face à un ailier particulièrement pénible. Pas simple, pour le moins. On se serait sans doute mieux sortis d'affaire si Suazo et Gboho - voire Canvot - l'avaient un peu plus aidé dans ses tâches défensives, tant il était presque palpable qu'il demandait du secours. Sa sortie coïncide avec un mieux toulousain même si, au vrai, le mieux en question commence quelques minutes avant qu'on ne passe en 442 (parce que les Strasbourgeois baissent de pied). Au fond, le joueur qui m'inspire le plus de sévérité est King. Sa sortie fait du bien parce qu'elle rappelle que si Magri n'est que Magri et que, selon toute vraisemblance, il va quitter le TFC, Magri est un avant-centre. King est un attaquant, sans doute et certains de ses raids restent spectaculaires. Mais on voit à quel point il n'est pas un avant-centre. Mais alors, du tout... Et je lui trouve une tendance fort préjudiciable à proprement disparaître certains moments du match. On aurait besoin d'un attaquant qui pèse et il est le contraire de ça, depuis un petit moment. Gboho, de son côté, se démène et continue de faire peur aux défenses adverses mais il ne réussit pas grand-chose. En contrepartie, Aboukhlal sort un vrai gros match, non seulement de par son punch et les occases qu'il se crée mais aussi, en seconde période, par la qualité de ses centres. Gros écart de forme et de rendement, donc, entre nos attaquants. À cet Aboukhlal en forme, comment ne pas associer Casseres qui, s'il ne réussit pas tout, survole les rencontres qu'il joue et irradie l'équipe de son leadership. On a réussi à remplacer Nicolaisen, ce qui est une sorte de miracle. Mais il faut brûler cent cierges pour que rien n'arrive à Casseres. Un dernier mot sur Canvot, qui a confirmé combien il était prometteur. Début de match très propre, l'un des rares Toulousains à surnager dans ce qui est un moment compliqué de la rencontre, se permettant même un geste fuoriclasse qui aurait fait le tour des plateaux télé si Aboukhlal avait eu le bon goût de convertir cette offrande en but. Passé ce premier quart d'heure, Canvot n'a pas démérité et a su rester constant et propre, toute la rencontre. Mais, il y a un petit mais qui fait partie de l'apprentissage : il trimballe un air nonchalant qui n'est pas toujours qu'un air. Il doit y faire attention : si je ne m'abuse, le deuxième but strasbourgeois (mais je peux confondre avec le "faux" troisième, annulé par la VAR) part d'une perte de balle assez ballote de sa part, à l'entrée de la surface strasbourgeoise. Certains de ses replis défensifs ont aussi manqué de tranchant. C'est le métier qui rentre, il saura corriger ces petites imperfections. Dans l'ensemble, l'équipe devra donc rester dans les dispositions mentales et physiques qui sont les siennes depuis plusieurs semaines. Le revers du jour est anecdotique et ne remet rien en cause. Ça fait juste partie des péripéties d'une saison. Je gage qu'un de ces soirs, c'est nous que les péripéties de la rencontre avantageront.
  12. Exactement. Akdag déstabilise la défense à lui seul par son attentisme (Suazo et Gboho ont cependant tardé à venir l'aider) mais le point que tu dis est fondamental. Les Strasbourgeois bloquent remarquablement nos relances alors que nous, on se consomme dans un pressing inefficace et on prend la marée derrière... En gros Rosenior a mieux bossé son match que Novell, qui n'a pas pris la mesure de ce que l'absence de Sidibé imposait. C'était pas non plus le jour pour donner un but à l'adversaire. Mais nos Toulousains ont de la ressource. Ils sont en cannes (on le savait), ils se battent, nos raids offensifs sont plutôt pas mal (voire mieux que d'habitude). Il faudrait que les Strasbourgeois aient un coup de mou en deuxième MT et qu'on soit réalistes devant. Le premier point me paraît jouable. Le second, je suis hélas moins sûr... Et naturellement, va falloir changer de schéma...
  13. qu'est-ce qu'on ramasse sur notre côté gauche...
  14. Les meilleures choses ont une fin... Strasbourg est meilleur, sans que les Toulousains déméritent mais bon, les absences font mal (en défense) et pour un coup, faudrait cadrer les frappes, ce qu'on ne fait toujours pas...
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