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Gollum

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Tout ce qui a été posté par Gollum

  1. Il faudrait revoir le détail de ses prestations mais je n'ai pas vraiment souvenir de cette timidité. Mais il sera un élément de base de la saison prochaine, oui.
  2. C'est ça. Indiscutablement généreux - ça reste l'essentiel, pour moi - et toujours aussi peu inspiré dans ses passes ou frappes, ce qui n'est pas franchement nouveau. Là où il pèche vraiment par rapport à l'avant blessure, c'est sur sa capacité d'élimination... Ça ira mieux la saison prochaine, s'il est toujours là.
  3. Surtout que trois départs annoncés (ou pressentis) en défense - Diarra, Mawissa, Costa - c'est au moins un de trop dans un légitime souci de stabilité.
  4. Bluffant, en effet, notamment au pied. Hier soir, il fait un festival en la matière. Maintenant, quand tu vois les titulaires en 10-12-13, tu te dis quand même que c'est compliqué de le titulariser à ces postes . Oui, c'est un Stade assez différent de ses devanciers sous Mola, je trouve. Moins de garanties en défense, la faute à trop d'attentisme dans ce domaine. Mais en contrepartie, j'ai rarement vu un Stade aussi toxique en attaque. Le moindre ballon peut aller à dame et les joueurs eux-mêmes sachant ce potentiel, ils sont tentés d'en jouer plus. Ya pas si longtemps, les ballons de récup au sol nourrissaient des transitions offensives souvent fatales à l'adversaire. Là, on a un plutôt un Stade qui fait le jeu, qui gagne à posséder, avec des possibilités de franchissement partout, à commencer par devant, entre Mauvaka, Willis et Meafou pour ne citer que les plus impressionnants. Il me tarde la finale contre le Leinster, bien entendu, et la tournure du duel en conquête. Bon, contre le Leinster, il faudra aussi apporter un supplément de concentration/engagement dans les rucks parce que les Irlandais mettront très rapidement la main sur la balle. Bref, il faudra sans doute être plus que parfait mais ce que montre le Stade à chacune de ses sorties ne témoigne d'aucune limite .
  5. Je ne veux pas qu'il parte .
  6. Oui. Top coaching de Novell, en effet, ce qui n'a pas toujours été le cas. Tout était décidément au diapason d'une énorme performance.
  7. Lui, c'est peut-être la plus grosse progression de l'effectif. Jusqu'à peu, il était un joueur satisfaisant d'appoint mais il est en train de prendre une dimension supérieure. Je n'ai même pas besoin de son incroyable conduite de balle et de sa passe décisive à Dallinga pour en être convaincu, mais ça ne gâche évidemment rien .
  8. Je ne crois pas que Casseres soit monté en puissance. Je crois au contraire qu'il a toujours été aussi bon. Enfin, l'essentiel est qu'il mette aujourd'hui tout le monde d'accord...
  9. Jouissif. J'ai hier regardé les 5 premières mn d'un match annoncé comme amical, hésitant entre poursuivre et basculer sur l'autre duel parigo-toulousain du soir, entre les deux Stade. Puis survient le but de Mbappé, annonçant l'une de ces exaspérantes soirées de gala au cours desquelles le petit sparring-partner toulousain va servir de paillasson aux stars parisiennes, son Altesse Kylian en tête. Mon choix est fait, je vais donc regarder un "vrai" match, de rugby, se concluant d'ailleurs de la plus belle des manières. Mais je parviens à ne pas connaître le résultat de PSG-Toulouse et hop, à me le replayer ce matin. J'ai bien fait. Quel bonheur, et à tous les niveaux, jeu comme résultat, ce qui est suffisamment rare pour être signalé . La mémoire d'une trentaine de matches étant inévitablement incertaine, on ne peut pas être sûr que c'est notre meilleur match de la saison (en L1) mais ça y ressemble bigrement. Pour moi, c'est du calibre de Liverpool même si, bien entendu, il vaut mieux prendre le PSG en tout début et toute fin de saison qu'au coeur de l'exercice. Certes donc, le PSG était en mode "gestion", avec une équipe 1 bis. Mais on ne m'enlèvera pas de l'idée que la performance du TFC a, hier soir, atteint le grandiose. C'est évidemment indiscutable quant au résultat mais c'est aussi d'une qualité inouïe sur le plan football. Devant les caméras de Canal, c'est assez rare pour être signalé. Hier soir, d'ailleurs, le TFC s'est rappelé à ses bonnes constantes de la saison : gagner en étant mené, battre un gros (trois victoires chez les trois premiers du championnat quand même ), prolonger une invraisemblable série de victoires à l'extérieur. Mais jamais je n'avais vu le TFC aussi constant, aussi bon sur 90 minutes, aussi insensible aux temps faibles ou à des entrées/sorties de joueurs plus souvent déstabilisantes qu'avantageuses. Et jamais je n'avais vu le TFC aussi proactif en première période, donnant carrément une leçon de football au champion tout au long du premier acte, déployant des mouvements collectifs aussi tranchants que soyeux, témoin ce bijou de sortie de balle pour effacer le pressing parisien et permettre à Dallinga d'égaliser rapidement. J'ai vu des Parisiens hagards, courir après un ballon insaisissable, merveilleusement utilisé par des Toulousains bluffants de précision. Un véritable bijou. La deuxième période se joue de façon plus traditionnelle, plus en contre et en transition, mettant cette fois en exergue la rapidité des replis défensifs toulousains, jouant comme si leur survie en dépendait. Je ne suis pas sûr que beaucoup d'équipes soient aussi motivées par une dixième place que cette formation téféciste mais ce qui est certain, c'est que nos joueurs ont donné un sens au mot "professionnalisme" - agaçant probablement leurs adversaires, sur ce plan aussi... - en y ajoutant un talent dont Gboho est le symbole. Il reste un match mais quoi qu'il advienne, ce TFC mérite toute la reconnaissance de ses supporters et de ses amoureux. Une saison de plus, durant cette ère RedBird dont on espère qu'elle va continuer. Un maintien acquis avec une facilité déconcertante, une capacité incroyable à élever son niveau de jeu dont témoigne son beau parcours en coupe d'Europe, ce TFC aura été le moins lisible de la période récente, souvent agaçant, toujours déconcertant mais au final, convaincant. Et hier soir, enthousiasmant. On se projette donc déjà sur la saison prochaine, avec un mercato qui nous confrontera à son lot d'informations anxiogènes car beaucoup de joueurs importants vont partir et comme chaque été, ça nous mettra inévitablement les boules. Mais c'est le foot et le TFC récoltera sous forme de pépettes, les dividendes de sa belle saison, en constituant une équipe capable de faire fructifier l'héritage de ses devancières. C'est tout ce que l'on se souhaite. En attendant, encore bravo .
  10. Tellement vrai. J'avais parié avec @Ekelund que Paris atteindrait la demie, cette année... parce qu'Ugarte (et Vitinha). Mais Enrique préfère Ruiz . Danilo est le meilleur DC parisien mais Enrique continue de lui préférer Beraldo (dont je ne voudrais pas au TFC) . Contrairement à la défaite à domicile contre Barcelone, je suis pas sûr que ça aurait changé quoi que ce soit ce coup ci, ne serait-ce que parce que Dortmund a admirablement défendu. Mais bon, Enrique préfère un jeu de passes léchées à deux à l'heure qui perd à un foot de transition qui gagne. À sa décharge, cependant, j'ai rarement vu le PSG commettre autant d'erreurs techniques que mardi dernier (que de contrôles foirés ). Je fais partie de ceux qui pensent que le départ de Mbappé est une bonne chose pour les deux parties. Mbappé ira apprendre le foot de haut niveau à Madrid. Et Paris pourra enfin songer à constituer une équipe de foot plutôt qu'un squad de Harlem Globe Trotters. Mais dans cette nouvelle configuration et pour la première fois de l'ère Qatari, le problème de l'entraîneur pourrait se poser assez rapidement... Une pensée, enfin, pour ce pauvre Marquinhos. Fondamentalement, c'est un vrai bon voire top défenseur. Mais quand tu connais son historique avec Paris et que tu le vois concéder ce corner débile mardi, tu anticipes forcément ce qui va venir. C'est vraiment Mr Maffre...
  11. Quand je vois le visage défait de Le Bris, je me dis que j'ai de la chance d'avoir le luxe d'éprouver un peu de peine pour notre adversaire. C'est peu dire que le TFC ne sort pas sa prestation la plus convaincante de la saison mais sa victoire dit quelque chose d'éclatant : elle dit sa marge sur le maintien, que les Lorientais auront bien du mal à envisager (au point où ils en sont, j'imagine qu'ils signeraient pour un barrage). À la MT, je disais pourtant que tout se passait comme d'habitude car tout est toujours comme d'habitude avec ce TFC et dans ce comme d'habitude, il y a une première MT ratée. Dans ce domaine, le TFC du jour n'a pas fait les choses à moitié. On va même tâcher d'oublier - pour notre bien-être et parce que le résultat le permet - cette première MT qui n'est pas "honteuse" (le terme doit être réservé à bien pire) mais qui est "épouvantable". Une sorte de néant, une nébuleuse de joueurs toulousains courant dans le vide, perdant leurs duels et ratant leurs frappes et leurs contrôles. Mais une prestation pas assez affligeante, faut-il croire, pour permettre à l'adversaire de nous punir à la hauteur de ce que l'on aurait peut-être mérité. Peut-être que Nicolaisen suffit à l'expliquer : on a beau être habitués, remettons-en une couche : quel joueur, quel capitaine L'avantage d'une première période aussi pathétique, c'est de forcer Novell à changer son fusil d'épaule. Le 343, rappelons-le, se justifie d'abord par l'éclosion de Mawissa et le recrutement de Gboho. Quand ni l'un ni l'autre ne sont là, ça n'a plus grand sens. Novell a donc eu le bon goût de revenir à un 433 - trois milieux axiaux, enfin - nettement mieux adapté aux ressources du jour. De surcroît, c'est Suazo qui fait les frais de cette réorganisation ; or, notre Chilien est clairement dans l'un de ses mauvais jours même si, au terme de la première période, je pense qu'on aurait pu sortir à peu près n'importe quel Toulousain (j'aurais épargné Nicolaisen, Spierings et Restes). Du coup, si je n'ai (évidemment ) pas été emballé par le choix de Schmidt pour le remplacer, je me suis dit qu'il était compliqué de perdre au change. En outre et surtout, Schmidt a fait bien mieux que remplacer un joueur défectueux : il a réellement apporté sa patte, dans son registre (le soutien) voire un peu plus dans le duel (ça ne va pas très loin mais il y a un léger mieux). Et son entrée coïncide avec la supériorité soudaine de notre côté droit (que la sortie de Keben va accentuer). Quand l'adversaire rend les armes sur le plan du combat - et clairement, les Lorientais ont joué par intermittence en seconde période, renonçant au pressing et surtout, aux replis - alors Schmidt peut faire valoir sa compréhension du jeu et son pied droit (dont le bijou de passe décisive à Cissoko est exemplaire). Et comme Novell a ensuite le bon goût de faire sortir deux poids morts (Keben et Donnum) et de faire rentrer trois joueurs intéressants, pour une fois (donc pas comdab ), la réorganisation de l'équipe l'a bonifiée (bien que je puisse comprendre la déception palpable de Spierings). Pour autant, je nous ai encore trouvés bien trop vulnérables sur les percussions de Ponceau, en particulier. C'est récurrent et pénible, de se faire ainsi transpercer au milieu et quand on joue à trois axiaux, c'est peu justifiable. Mais bon, Lorient n'avait pas les ressources pour nous bousculer au-delà de quelques raids sporadiques. Pas de pression étouffante, pas de vitesse dans les enchaînements, pas de précision suffisante. On a donc gagné sans bien jouer et c'est ce qui ne rend le résultat du jour que plus impressionnant. Car il nous arrive d'être sévères - moi le premier - mais nous sommes officiellement maintenus à trois journées de la fin et cette saison, je n'ai pas vraiment vu les défauts ou les fragilités que j'ai vues de l'autre côté, aujourd'hui. Au foot plus qu'en tout autre domaine, quand on se contemple, on se désole. Quand on se compare, on se console. Un grand bravo pour ce maintien en L1, finalement obtenu fingers in the nose ou pas loin .
  12. 1. Oui, je suis au courant et je ne suis franchement pas fan (mais les résultats tendent à me démentir, dont acte). 2. Non, pas vraiment. Avant Gboho, on était relégables ou pas loin.
  13. Ben c'est notre seul attaquant valable. C'est déjà con, dans l'absolu, de sacrifier un attaquant à un milieu mais mettre Casseres sur le banc pour titulariser Donnum ou le fantôme d'Aboukhlal, je vois pas bien la finalité...
  14. Bon, comdab, le TFC a tout faux en première MT. On va (toujours comdab) revenir avec d'autres intentions mais quand même, si on fait le décompte des premières périodes minables de la saison, celle-ci est bien placée. Comdab, Novell n'aide pas ses joueurs en maintenant un système qui n'a pas lieu d'être (trois attaquants sans Gboho, ça sert à quoi ?) mais je dois dire qu'à ce degré de nullité des joueurs titularisés, la question est moins de tactique que de dignité. Au-delà du score final, c'est à leur maillot que les joueurs toulousains doivent une revanche (en dehors de Nicolaisen, exemplaire... comdab). Bon, finalement, avec le TFC, tout est toujours comdab.
  15. Schmidt passe son temps à trottiner et en effet - mettons cela à son crédit - il suit les actions et sert de relais. C'est mieux que rien et je suis effectivement sévère quand je dis qu'avec lui, on joue à 10. Contre une équipe dominée et jouant bas, il pourrait même avoir son utilité. D'ailleurs, sur le contre que foire Babicka, il n'est pas très loin - il a le temps de suivre - et si Babicka lui avait donné le ballon, peut-être en effet parlerait-on d'un autre match. Mais décider de le faire rentrer à 20 mn de la fin, c'est justement peser sur le scénario du match. Pourquoi ? Parce que Schmidt ne va jamais - j'insiste : jamais - au contact. C'est une sorte de Mbappé du milieu. Il peut récupérer un ballon sur une passe foirée ou parce qu'un coéquipier a chargé l'adversaire mais c'est tout. Donc, tu sais que quand Marseille a le ballon, le récupérer va être très compliqué. De sa part, impossible de compter, par exemple, sur le genre d'interception que réussit Casseres dans les pieds d'un milieu marseillais qui aurait pu fournir un bon ballon de contre à Babicka (mais Casseres rate la passe). Du coup, tout l'avantage d'un milieu à trois (que tente Novell en fin de match avec la triplette Schmidt-Casseres-Sierro) se retrouve annihilé dans la mesure où tu continues de jouer avec deux récupérateurs, et sans bénéficier d'une flèche devant susceptible de bonifier un éventuel ballon de contre. Alors ce n'est pas "la réponse" à ta question dans la mesure où, je vais le répéter, on peut perdre sans Schmidt et gagner avec lui. Mais je pense que sa rentrée coïncide avec le pari que fait Novell sur une fatigue marseillaise permettant au TFC de mettre le pied sur le ballon et de jouer tranquillement à deux à l'heure (seule configuration justifiant la présence de Schmidt). Hélas, les Marseillais n'étaient pas assez fatigués pour que ça se passe comme ça, notamment quand il s'est agi pour eux de revenir au score. Donc, alors que Novell ne fait rentrer Schmidt que très tard à Rennes, contre Marseille, il lui donne un temps de jeu qui pèse sur le match. Mais cela ne dédouane évidemment en rien Costa de sa bévue (et de son match compliqué), cela va de soi.
  16. En première MT, tu te passes de Casseres, notre meilleur joueur la semaine précédente à Rennes. Autre choix de Novell qu'il est loisible de questionner. Et comme par hasard, oui, on fait une mauvaise première période. Mais avec les mêmes joueurs, on entame plutôt bien la seconde. Ça se passe toujours comme ça avec Novell même si dimanche, le mieux de seconde période ne va pas péter bien loin par rapport à d'autres matches. Quant au fait que "si on a reculé en fin de match, c'est peut-être lié au scénario", voilà en l'occurrence un "si" qui ne veut rien dire. C'est quoi "le scénario" ? Un synonyme de fatalité ? Il appartenait justement à Novell de prendre acte du scénario pour tenter d'en tirer avantage sachant que l'OM se découvrirait, en effet (mais à sa décharge - si l'on veut... - il avait fait sa connerie avant en faisant entrer Schmidt avant qu'on prenne le score) Enfin, comme je l'écris dans un post précédent, on peut gagner ou perdre avec Casseres, on peut gagner ou perdre sans Schmidt et peut-être même qu'on peut gagner avec Schmidt (il arrive même qu'on gagne un match de foot à 11 contre 10). Oui, en foot, tout est possible et c'est bien pourquoi, quand les choses ne se passent pas tout à fait comme souhaité, on recourt à des "si". C'est assez légitime sur un forum de foot. D'autres préfèrent réciter les Évangiles selon Saint Carles, ça se défend aussi mais quand on se fait égaliser à la dernière seconde par une équipe sur les jantes, ce n'est pas forcément plus pertinent que d'échafauder quelques "si".
  17. C'est intéressant comme théorie... Qu'on l'applique au foot US je veux bien mais au foot de chez nous . Donc tout ne serait que "stat", responsabilité directe, instant t. Plus de dynamique d'équipe, plus même de sport "collectif". Schmidt est effectivement de l'autre côté, fait ce qu'il fait de mieux - regarder les autres jouer - et cela ne pèserait pour rien dans la dynamique de fin de rencontre... Le problème n'est pas son cas individuel. Le problème est de savoir ce que le faire rentrer à la place de Spierings apporte à l'équipe. Et ça, c'est un choix du coach que je n'ai d'ailleurs vu défendu par personne, ici (un peu @FrenchTuch mais sans grande conviction). Pour gérer la fin de match, soit tu joues avec trois milieux harceleurs susceptibles de récupérer des ballons pour lancer notre seul vrai attaquant de contre. Soit tu joues à deux milieux, bas et compact pour lancer non pas une mais deux solutions de contre. Avec Schmidt, on a joué avec un joueur effectif de moins, positionnés dans une sorte d'entre deux passif qui a distendu notre bloc. On peut trouver que le but marseillais n'a rien à voir avec ça et que ce serait une fâcheuse coïncidence. Moi, au contraire, j'y vois une possibilité laissée à l'adversaire de revenir (d'autant que les Marseillais ont évidemment pris la mesure du danger que Schmidt représentait pour eux...). On aurait pu se faire égaliser voire perdre sans Schmidt et avec Cissoko. Ou gagner avec Schmidt. La question n'est pas là. Il s'agit de juger le signal que le coaching de Novell envoie à son équipe comme à l'adversaire. Et de remarquer que son coaching se traduit souvent par des points perdus en fin de match. J'espère juste qu'il en prendra conscience, au plus tard dès le début de la saison prochaine...
  18. Il est effectivement heureux que Novell se soit décidé à sortir Aboukhlal pour Babicka. J'ai même failli attendre en la matière. Quant à Schmidt, j'ai dit ce qu'il y avait à en dire : ce n'est pas, ce ne peut pas être un coaching sportif et Novell a donc accepté de prendre ce risque. Qu'on ne s'étonne pas que le stadium puisse être ensuite climatisé car l'OM a beau jouer avec son équipe C, D ou E, ça reste des joueurs de foot pas mal en face. Quant au but improbable de Moumbagna, je dirais que la passe décisive de Costa est tellement parfaite qu'en termes de xG ça peut se défendre. Mais ce n'est effectivement pas la faute de Novell. Je crois que certains sont traumatisés par le fait qu'on puisse adresser la moindre critique à notre coach, après les turbulences qu'il a traversées et dont il s'est au demeurant remarquablement remis. Il reste que son coaching est déficient, depuis le début de saison et qu'il semble n'apprendre que lentement, en la matière. À partir du but de Gboho, on recule parce que Novell coache pour que ce soit comme ça. Or, en fin de match, reculer nous a souvent coûté très cher. Et en jouant à 10, face à une équipe qui pousse et qui, malgré son équipe C, D ou que sais-je, possède quelques bons joueurs, cela a été le cas. Quant à ce que j'en aurais dit si le monde avait été autrement, procure toi un jeu de Gollum Fantasy et fais causer ton personnage en fonction .
  19. C'est à peu près ça. La saison dernière, j'avais une confiance solide dans le fait qu'on allait danser contre le premier "gros" venu et s'imposer contre le menu fretin. Cette saison, je sais qu'on peut battre n'importe qui, perdre contre n'importe qui et faire des matches dont le contenu est souvent décevant, voire un peu chanceux (notre orgie de poteaux favorables tend à le montrer). L'un dans l'autre, c'est assez équivalent (et le classement fait foi). Autre point commun relatif entre les deux saisons : l'an dernier, on réalise l'exploit qu'on sait en coupe. Cette saison, on montre le beau visage qu'on sait en EL. Dans les deux cas, avoir assuré un maintien assez facile avec cette charge physique/mentale supplémentaire est très méritoire pour un club comme le nôtre (d'autres, dans nos eaux, s'y seraient consommés).
  20. Le fait de livrer des premières périodes insuffisantes aussi, à ce compte là... Quant à l'erreur de Costa, elle est d'autant plus probable que l'équipe recule copieusement après avoir pris le score. "L'autre équipe au retour des vestiaires" ne dure en général qu'un quart d'heure, entre autres parce que les changements de Novell affaiblissent l'équipe (il fait aussi avec le banc qu'il a, je l'accorde bien volontiers mais...).
  21. Bon, OK. Je note donc que tu m'as déjà vu courir pendant que je faisais la sieste. Faudra qu'on en parle (mais en MP parce que ça tangente la vie privée, quand même).
  22. La saison prochaine, s'il travaille la passe et la frappe de loin, il finit en EDF . En plus de son talent balle au pied - quel dribbleur - il faut noter sa générosité, incarnée par de vrais bons retours défensifs.
  23. Propre, c'est une manière élégante de dire "transparent". Il n'a pas fait de connerie, c'est déjà ça mais sa rentrée affaiblit l'équipe. Quant à être plus offensif que Casseres, je ne vois pas bien ce qui lui permettrait de l'être. Pour être "offensif" ou quoi que ce soit, il faut déjà "courir" à la base. Et Schmidt court aussi vite et souvent que moi quand je fais la sieste. Compliqué quand même...
  24. Je pense évidemment tout le contraire . La complaisance de Novell vis-à-vis de Schmidt est aussi peu compréhensible que son animosité envers Cissoko. Bien sûr, dès lors que ça n'impacte pas le résultat, je m'en fous. Mais quand une fois de plus, on se fait égaliser parce qu'on décide de laisser le ballon à l'OM sans avoir la moindre capacité de ressortir - hormis les rushes solitaires de Babicka, ce qui n'est pas assez - il me semble compliqué de ne pas imputer au coach une part de responsabilité. De manière générale, nous avons le banc de nos moyens. OK là dessus. Mais si on regardait le détail de la saison, il y aurait clairement à redire sur le coaching de Novell (sans oublier que Montanier n'était pas fortiche là-dessus non plus). On doit reconnaître à Novell ce qui lui revient - un état d'esprit, une idée de jeu qui a donné des résultats - mais sa gestion des fins de rencontre, c'est pas tout à fait ça...
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