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Article La Dépêche


frédéric

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me font rire la depeche comment ils chagent de cap avec l'arrivée de lolo tout de suite plus positif alala !!

On peut animer une équipe offensivement tout en étant milieu axial

message subliminal de lolo ? perso je le prefererais en ailier quand meme, vu la qualité de ses centres !! pour moreira en particulier le pied !!! et doublette avec ebondo :( = 2 superbes centreurs !!

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La Dépêche du jour

Article paru le 01/09/2005

FOOTBALL. LE JEUNE GAUCHER DU TFC, QUI N'A PAS ENCORE 19 ANS, APPARAÎT COMME UN RAYON DE SOLEIL. ITINÉRAIRE D'UN JOUEUR DOUÉ.

Alexandre Bonnet : il a tout d'un grand

Ses premières apparitions sous le maillot violet lors des matches amicaux illuminèrent les pupilles de nombreux observateurs. Ils se sont frottés les yeux et l'étincelle était toujours là. Erick Mombaerts est tombé également sous le charme à l'issue du match contre Bordeaux, «il a une capacité à déséquilibrer individuellement. Des joueurs qui jouent en contre-pied, il n'y en a pas beaucoup dans le football. C'est rafraîchissant.». Il faut dire que ce jour-là, à Agen, Alexandre entré en cours de jeu, a grandi très vite. Un premier tir des trente mètres enveloppé obligea tout d'abord Ramé à sortir le grand jeu. Puis, à peine quelques minutes plus tard, sa reprise de volée des vingt-cinq mètres se transforma en but. Pour une double saveur particulière: «Tout d'abord, c'était mon premier but face à une équipe pro. Et puis, Bordeaux c'est l'équipe que je supporte depuis que je suis tout petit. Alors marquer face à Ramé que je suis depuis tout le temps...»

Rien d'étonnant cette histoire d'amour avec Bordeaux quand on sait que l'année de sa naissance (17 octobre 1986 à la Roche-sur-Yon), Bordeaux remporta la coupe de France et que lors de la saison 1986/1987, les Girondins réussirent le doublé championnat-coupe de France. Mais maintenant qu'il est Toulousain, les supporters violets peuvent légitimement revendiquer un présage toulousain puisque le TFC était en 1986, quatrième du championnat et en 1987, troisième.

UN TECHNICIEN HORS PAIR

C'est lors de son sport études à Niort qu'il commencera à côtoyer le haut niveau des jeunes tout en insistant pour obtenir un Bac S: «C'était primordial pour moi et mes parents car on ne sait pas ce qui peut arriver par la suite. Même si ce n'était pas toujours facile.» Sa technique a rapidement prédestiné ce gaucher vers l'offensive. Milieu offensif à gauche (Erick Mombaerts l'a aussi fait jouer à droite), Alexandre peut évoluer également dans l'axe en numéro dix. Bon tireur de coups francs, son pied gauche lui donne parfois des allures de brésilien. Ses gestes préférés? «Les contrôles, les passements de jambes. Je m'amusais souvent à jongler quand j'étais petit. Je n'ai jamais vraiment travaillé, c'est venu naturellement.»

PÉPITE DE LA ROCHE

Il reste que ses seules dispositions techniques ne suffiront pas à ce niveau. D'autant que la Ligue 1 de plus en plus physique a déjà réservé quelques traitements de faveur à ce petit gabarit: « Il va falloir que je travaille au niveau musculaire et athlétique. C'est vrai que pour l'instant, je prends beaucoup de coups. Il me faut les éviter, les anticiper.» Pas de quoi cependant stopper le rêve d'Alexandre fan de Zizou et de Zambrotta, le joueur de la Juve. Contre Lille, la pépite de La Roche, a disputé avec le numéro 23,son premier match en tant que titulaire: «ce moment, je l'attendais depuis longtemps. J'avais un peu de pression. Les joueurs m'ont glissé des petits mots qui m'ont rassuré pour me mettre en confiance.» Surpris au départ d'intégrer le groupe pro, Alexandre l'est de moins en moins au regard de sa progression au sein du groupe. Alexandre serait-il déjà grand?

Philippe Lauga

Débuts à Mouchamps en Vendée dès l'âge de 5 ans puis à la Rochelle (la Jarrie) avant l'intégration du centre de formation de Niort, à partir de 15 ans.

Il est arrivé au TFC cet été. Stagiaire au centre de formation.

1,73 m pour 65 kg.

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Son itinéraire Chelsea et l'Ajax le voulaient

Heureux Toulousains qui ont pu arracher la pépite à d'autres clubs aussi prestigieux que Chelsea, l'Ajax ou Bordeaux qui le convoitaient. Les deux premiers avaient l'ntention de le faire évoluer dans leur équipe réserve. Alexandre Bonnet a finalement choisi Toulouse pour sa qualité du centre de formation, la proximité (ce n'était pas très loin de chez lui pour un premier départ) et son ambition. Le TFC l'a découvert lors d'une rencontre opposant les moins de 18 ans du club à ceux de Niort.

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Toulouse : J. Mathieu - "des détails à régler" (05/09)

Même si la quinzième place occupée par Toulouse est décevante, Jérémy Mathieu nest pas inquiet. "Il sagit de trouver nos marques le plus vite possible, mais ce nest pas évident car il y a beaucoup de nouveaux, explique Mathieu dans France Football. A nous dacquérir les automatismes pour remonter au classement." Lancien Sochalien évoque le problème de sa nouvelle équipe à domicile : "Il ne nous manque quune victoire à domicile, estime-t-il. Ce sera un déclic. Le problème, cest de réussir à faire le jeu au Stadium. Pour linstant on ny arrive pas."

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et si un jour (pourquoi pas quand on aura assurer le maintien) Mr EM pouvait tenter cela ca serait le pied

Oupsss g oublier dieuze dans la meme case que mathieu

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Un poil offensif, je trouve. D'un extrème, faudrait pas tomber dans l'autre...

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pourquoi pas ça tant que vous y etes

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Pourquoi pas? Peut-être parce que le frère de Moreira n'a pas encore signé au Tef :huh:

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Article paru le 12/09/2005

LIGUE 1. LES TOULOUSAINS CONTINUENT DE SE REGARDER LE NOMBRIL, SURTOUT AU STADIUM.

TFC : bougez-vous !

Que possèdent en commun le TFC et l'OM ? Sept matches sans victoire à domicile, série en cours. Ce qui est « normal » dans un club aussi conflictuel que Marseille (3 points sur 21 possibles) l'est beaucoup moins du côté du Stadium, où l'on bat les records de misérabilisme, voire de nullité : 1 point sur 21 possibles, contre Saint-Étienne il y a trois semaines, 2 buts marqués contre Caen en fin de saison dernière, 1 cette saison contre Saint-Étienne mais sur coup-franc, l'échec est total.

Et il dure depuis plus de six mois. Constat, pas amiable du tout.

1. La mésentente cordiale Moreira-Santos.

Ces deux attaquants ont en commun la langue portugaise, mais c'est bien, à l'heure actuelle, la seule chose. Ils évoluent dans le même registre, font les mêmes appels à partir des mêmes caractéristiques, petits gabarits qui vont vite. Faciles à canaliser puisqu'ils se gênent et qu'aucun des deux, à l'heure actuelle, ne veut (ou ne peut) jouer pour l'autre. Que Moreira décroche ou que Santos joue derrière, ce n'est pas probant.

2. Un recrutement en question.

Bien joli de densifier, pour une douzaine de millions d'euros (!), un secteur offensif plutôt faiblard la saison passée. Mais, samedi soir, Mansaré est écarté, Abdessadki et Bergougnoux sont remplaçants, Mathieu est à nouveau arrière gauche alors qu'il a été recruté pour jouer au milieu, Santos traîne une condition physique et mentale des plus moyennes (ses obligations internationales prennent trop de place), Batlles vient d'arriver.

Résultat ? On donne les clés de la maison à un gamin de 18 ans qui n'a pas coûté un centime. Heureusement que le petit Bonnet a de l'or dans les pattes. Mais il ne peut pas tout faire.

3. Un mental aux abonnés absents.

On a connu le TFC plus « guerrier », plus déterminé, plus volontaire. Et quand le président Sadran se prend à regretter « les vertus qu'on avait en 2001 », c'est signe que rien ne tourne comme il faut. « Le football n'est pas une question de noms, la preuve, si j'avais 36 000 Bonnet, ils joueraient », accuse Erick Mombaerts.

4. Une défense qui tourne bourrique.

Comment battre le TFC au Stadium ? Rien de plus facile. Sautez le milieu de terrain toulousain avec de grands ballons dans le dos de la défense et ça passera une fois sur deux. « Il faut savoir défendre quand on attaque », a déjà remarqué Laurent Batlles. Et si on commençait par le commencement, défendre tout court ?

5. Une attaque gentille comme tout.

Le potentiel est resté dans les vestiaires. Il y a au TFC de bons joueurs, et même quelques très bons joueurs. Mais avec deux buts en six journées, dont un sur coup-franc, le réalisme (n'oublions jamais la chance insolente qui accompagna le début de la dernière saison) n'est visiblement plus dans le catalogue des vertus toulousaines.

« On n'a jamais eu autant d'occasions, ni de possession du ballon sur les trois dernières saisons ! Samedi soir, nous avons 27 occasions de but dont 7 en première mi-temps », constate l'entraîneur toulousain. Une seule aurait amplement suffi, à la condition de démarrer le match en temps et heure.

6. Des tactiques à revoir.

La force des grandes équipes, ce n'est pas le système de jeu, mais ce qu'en font les joueurs, la façon dont ils se déplacent à l'intérieur dudit système, dont ils conçoivent leur rôle. Jusqu'à preuve du contraire, Erick Mombaerts (pris à partie par quelques supporters samedi soir) n'est pas sur le terrain. Ce n'est pas lui qui va redonner, aussitôt, un ballon chèrement disputé, ni démarrer le match à la 20e minute (en moyenne). Des « détails » qui se travaillent au quotidien, les yeux dans les yeux

Patrick Boudreault

Moreira : « Le plus dur, c'est la confiance »

Après six journées la saison dernière, Daniel Moreira comptait déjà deux buts à son actif, sa nouvelle équipe toulousaine séduisait et ébouriffait tout le monde, quand bien même elle venait de perdre injustement la première place de leader du club en Ligue 1, en se faisant battre contre toute logique à Marseille.

C'était il y a longtemps, et ce n'est plus du tout d'actualité. Depuis le début de cette saison, le football toulousain est en effet gris foncé, Daniel Moreira n'a marqué qu'une seule fois, au Stadium, un beau coup-franc contre Saint-Étienne. Et même si ce coup de patte représente 50 % du total téféciste (l'autre moitié, enfin l'autre but, c'est Santos lors de la première journée à Sochaux), on comprend bien que nul ne peut s'en satisfaire, à commencer par le premier intéressé.

« Très moyen ? Oui, mais comme tout le monde, comme l'équipe. Nous formons un tout et personne ne peut actuellement se démarquer, car les résultats ne suivent pas », répond l'ancien Lensois quand on lui évoque ce début de saison des plus médiocres.

« Je suis toujours en forme, mais nous avons changé la façon de travailler avec l'arrivée de Bernard Faure, et j'espère que ça va porter ses fruits. Cela dit, samedi soir, c'est de notre faute. On n'y est pas dans le premier quart d'heure puis on a toutes les occases en deuxième mi-temps et on ne conclut pas. Je suis certain que si on marque, ça se finit euphorique. Mais, en ce moment, on doute tous, à l'exception d'un ou deux joueurs ».

Le numéro 10 toulousain regrette simplement que « défensivement, on n'arrive pas à gérer les duels, les un contre un. Il faut continuer à travailler, à nous serrer les coudes, à mettre le bleu de chauffe pour retrouver la confiance. Car c'est ce qu'il y a de plus dur dans ce métier ».

Mais il réfute, par contre, l'idée que son association avec Santos ne soit pas au point, qu'elle n'ait guère progressé. « Nous, sur le terrain, on ne trouve pas qu'on ne s'entend pas bien. On se regarde, si l'un décroche, l'autre va en profondeur. Il n'y a que trois mois qu'on est ensemble et il a manqué des matches car il a été blessé. Mais ça va venir petit à petit, j'en suis sûr. Et puis, à domicile, il faut plusieurs attaquants. Car on ne s'en sortira pas en défendant et le public nous sifflera encore plus »

PS: La depeche a cruellement raison tout de meme :ninja:

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CFA (6E JOURNÉE). MALGRÉ UNE BONNE ENTAME, LES BALMANAIS ONT CONCÉDÉ UNE NOUVELLE DÉFAITE.

Le TFC piège Balma

Quatre buts en un peu plus de vingt minutes, les choses n'ont pas traîné dans un derby très ouvert. Nullement impressionnés par l'armada toulousaine, les Balmanais ont crânement joué leur chance mais ont une nouvelle fois payé cher leurs erreurs.

Sous la baguette d'un excellent Jérôme Dupuy, ils ont pris deux fois l'avantage. On ne jouait que depuis trois minutes quand le milieu de terrain balmanais se présentait devant Benvegnu qu'il battait dans un angle fermé. Mais les Toulousains réagissaient en égalisant sur un exploit de Psaume dont c'était le retour à la compétition. Il trompait Julia d'un petit ballon piqué un peu à la manière de Thierry Henry (12e). Loin de baisser les bras, les locaux accéléraient pour reprendre les devants.

Razali talonnait pour Dupuy qui servait par-dessus la défense Magdalena qui récupérait le ballon devant Benvegnu pour la pousse au fond des filets (16e). Là encore la joie était de courte durée pour les Balmanais qui offraient l'égalisation à Mansaré sur une mauvaise relance, Julia ne pouvant rien dans un face à face avec l'attaquant toulousain (17e).

Les Toulousains se montraient plus présents en seconde période, et les Balmanais devaient commettre de nombreuses fautes. Ces derniers s'offraient une bonne occasion de reprendre l'avantage, puis d'égaliser. Mais Dupuy ne pouvait tromper Benvegnu (54e), le gardien toulousain sortant d'une claquette une frappe d'Ajas (88e). Entre-temps et malgré l'expulsion d'Akpa Akpro (77e), les Toulousains avaient marqué un troisième but sur une action personnelle de Mansaré dont le centre était repris par Pentecôte (80e).

Jorge Aibar

BALMA 2 - TOULOUSE FC 3

M-T 2-2. Arbitre M. Hamel. 200 spectateurs.

Pour Balma : Dupuy (3e), Magdalena (16e).

Pour le TFC : Psaume (12e), Mansaré (17e), Pentecôte (80e).

BALMA SC: Julia, N'Dani (Tchegnon, 72e), Azzakhnini (Bouchahda, 28e), Milhau, Renaud, Razali, Fargues, Fernandez (Testas, 50e), Ajas, Dupuy, Magdalena. Entraîneur : Camus. Avertissements : Milhau (35e), Razali (65e), Renaud (68e), N'Dani (70e), Fargues (75e).

TFC: Benvegnu, Fofana (Joseph, 83e), Leduby, Lièvre, Matejic, Sirieix, Constant, Bakar (Pérez, 61e), Psaume (Pentecôte, 72e), Mansaré, Akpa Akpro. Entraîneur : Sempé. Avertissements : Akpa Akpro (35e), Fofana (37e).

Expulsion : Akpa Akpro (77e).

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:o et bien en relisant l'article ce qui est écrit n'est en aucun point scandaleux.

hélas les faits sont là et personne ne pourra dire le contraire.

bravo à tous les optimistes qui croient enfin au nouveau départ du tef d'ici quelques temps moi perso j'ai quand meme un peu peur pour la suite :ninja:

je crois que ce genre d'article dans la presse peut finir par bouster l'orgueil des joueurs .....

ailleurs la presse en général note que le tef est décevant pire il parle sans arret d'un encephalogramme plat............

le tef n'est encore mort cérébralement mais vite allez un épisode d'urgence et on repart au combat :blink:

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Article bien pourri.

Le journaliste tente de soulever certains problèmes mais oublie un peu de parler de la très bonne et encourageante seconde période effectuée par le TFC.  :ninja:

Il me tarde de voir les articles de l'habituel mielleux Patrick Boudreault lorsque ça ira mieux.

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Je suis pas d'accord, c'est plutot crédible son article.

Il dit bien que l'équipe à jouer mais trop tard.

Il dit que c'est bien d'avoir des occas, mais qu'il faut les mettre.

Il faut aussi relativisé la deuxième période à 10 contre une équipe qui s'est regroupé dans ses 18. Dans ce cas de figure, un grand nombre d'occas n'a rien d'expetionel, et surtout c'est une configuration où il faut marquer.

Non je ne pense pas que l'article soit si nul que ça.

Enfin, je suis plutot rassuré par l'interview de Moreira, apparement ils ont pas baissé les bras, et si il dit vrai, y a pas de conflit avec Santos, c'est déjà bien.

JC

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Vous vous rendez compte : Moreira était DEJA à deux buts la saison dernière à la 6éme journée... alors que cette année, c'est incroyabe, il n'en a mis qu'UN seul: c'est pas possible d'avoir une telle différence !! Il y a quand même....un but d'écrt : c'est énorme ! n'est ce pas Mr Bourderault !! :ninja:

Ne vous inquiétez pas, si le TFC gagne 3 matches d'affilé (si, si faut y croire!!), la Depeche diront qu'ils jouent comme le Barça ... ils nous l'ont déjà mentionné il y a quelques temps et ça me faisait rire! Ils sont pire que les supporters siffleur du stadium... quand on gagne on est le plus beau mais quand on perd.... :o

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Je suis pas d'accord, c'est plutot crédible son article.

Il dit bien que l'équipe à jouer mais trop tard.

Il dit que c'est bien d'avoir des occas, mais qu'il faut les mettre.

C'est là qu'il est fort Boudreault, il a compris le principe du football. Alors que les joueurs, cons comme ils sont ils font exprès de mettre la ballon à côté des cages ou sur le gardien.

Il faut aussi relativisé la deuxième période à 10 contre une équipe qui s'est regroupé dans ses 18. Dans ce cas de figure, un grand nombre d'occas n'a rien d'expetionel, et surtout c'est une configuration où il faut marquer.

On a joué à 11 contre 10 à partir de la 50ème. Avant ça, on était bien revenu sur la pelouse avec au bout de quelques secondes une belle frappe de Bonnet suivie d'un corner, une autre frappe de Bonnet et Santos qui file au but lorsqu'il se fait retenir par le bras. En 5 minutes il s'était déjà passé des choses très positives. Après je ne suis pas sûr qu'il soit si facile de se créer des occasions lorsque l'adversaire est réduit à dix et défend bec et ongle sa cage pour préserver son avantage au panneau d'affichage. On a eu beaucoup d'occasion et on ne les a pas mises. La réussite n'été pas avec nous alors que Le Mans en a bénéficié. Avec un brin de réussite, je suis persuadé que ce match on l'aurait non seulement gagné, mais qu'on aurait eu une victoire relativement large. Mais c'est comme ça, c'est le foot. Pour ma part je suis pleinement rassuré et il me tarde vraiment le match de Nantes.

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Le journaliste n'a pas totalement tort, c'est sûr ça fait mal de lire tout ça, mais quand on réfléchit à ce qu'il dit, il a raison c'est tout.

Quand il dit que l'équipe a commencé à jouer à partir de la 20ième minute, c'est vrai, que le mental est absent, c'est vrai aussi.

Après qu'il tourne sa veste si les victoires s'enchaînent, il fait ce qu'il veut, mais sur cet article, je lui donne pas tort.

Par contre que des supporters s'en prennent à Mombaerts, là c'est minable, on croirait voir les supporters du PSG ou de l'OM.

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