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http://fr.news.yahoo.com/2/20081117/tfr-ar...ir-f56f567.html

Arrestation de "Txeroki", chef militaire présumé de l'ETA

Le chef militaire présumé de l'ETA, Miguel de Garikoïtz Aspiazu Rubina, alias "Txeroki", 35 ans, a été arrêté dans la nuit de dimanche à lundi, une "opération déterminante dans la lutte" contre l'organisation indépendantiste basque, selon José Luis Zapatero. Lire la suite l'article

"C'est une opération déterminante dans la lutte contre l'ETA parce qu'est tombé celui qui, depuis un certain temps, dirigeait les actions (...) et qui était le responsable direct de certains des derniers assassinats" attribués à l'organisation basque, a déclaré le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero.

L'arrestation du dirigeant le plus recherché de l'ETA a eu lieu dans le village de Cauterets, dans les Pyrénées (sud-ouest).

"Txeroki" était "ces dernières années le plus important chef opérationnel" et son arrestation porte "un coup important" à l'ETA, a-t-il ajouté.

Quelques heures plus tard, un ex-membre emblématique du groupe basque, José Ignacio de Juana Chaos, objet d'un mandat d'arrêt européen, a été arrêté, après s'être présenté de son proche chef devant un tribunal de Belfast.

"Txeroki" a été arrêté en compagnie d'une femme qui est "vraisemblablement sa compagne", a indiqué la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui avait annoncé l'arrestation dans un communiqué.

La ministre a précisé qu'il avait été repéré "quelques jours" avant son arrestation. "Nous avons vérifié pour avoir la certitude de sa présence et la décision d'action a été prise hier soir (dimanche)", a-t-elle déclaré.

Dans l'appartement où il a été arrêté, situé au 2e étage d'un petit immeuble, les enquêteurs ont trouvé une arme de poing, de faux documents administratifs et un ordinateur, au cours d'une perquisition qui devait durer toute la journée, selon une source proche du dossier.

"Txeroki" et la femme arrêtée avec lui ont été placés en garde à vue et devaient être transférés à Bayonne (sud-ouest) plus tard dans la journée, d'après cette source.

"Très vraisemblablement dans le cadre des accords (franco-espagnols), il sera remis à la justice espagnole", a déclaré Mme Alliot-Marie.

L'ETA, inscrite sur la liste des organisations terroristes de l'UE et des Etats-Unis, est tenue pour responsable de la mort de 824 personnes en 40 ans de violences pour l'indépendance du Pays Basque.

"Txeroki", réputé incarner la ligne dure de l'organisation clandestine, hostile au dialogue avec Madrid, aurait pris, fin 2003, la tête de ses commandos.

Il est soupçonné d'avoir torpillé un processus de dialogue engagé avec le gouvernement espagnol, en ordonnant un attentat de grande envergure à l'aéroport de Madrid (2 morts), le 30 décembre 2006.

Il est également soupçonné d'être l'auteur des meurtres de deux gardes civils espagnols à Capbreton (sud-ouest de la France) le 1er décembre 2007, a précisé Mme Alliot-Marie.

Raul Centeno, 24 ans, et Fernando Trapero, 23 ans, avaient été assassinés par balles par trois membres de l'ETA, à la sortie d'une cafétéria, alors qu'ils effectuaient une mission de renseignement.

L'arrestation de "Txeroki" "illustre une nouvelle fois l'excellente collaboration entre la France et l'Espagne dans la lutte contre le terrorisme basque", a souligné Mme Alliot-Marie.

L'Espagne et la France, pays qui constitue la base de repli traditionnelle des commandos de l'ETA, collaborent depuis les années 80 contre l'organisation basque, après des années de récriminations espagnoles contre le "sanctuaire" français.

La dernière opération policière menée en France contre l'ETA avait eu lieu le 21 mai 2008, et avait abouti à l'arrestation de Javier Lopez Peña, alias "Thierry", présenté par Madrid comme l'homme "qui a le plus de poids politique et militaire dans l'ETA".

Deux etarras présumés, arrêtés mercredi dans le sud-ouest de la France, ont par ailleurs été inculpés et écroués dimanche.

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Encore une fois, après Bagnères de Bigorre, un membre important de l'ETA est arrêté dans les Hautes-Pyrénées. B)

Qu'est-ce qu'on ferait pas pour le tourisme -_-

Il y a eu recemment une autre arrestation à Tarascon. Le type était armé et tout et personne n'en parle. C'est dingue tout ce qu'on fait pas pour la promotion du tourisme en Ariège. -_-

Pourtant, il parlait espagnol, et il aurai pu tuer des gens s'il avait été énervé... Je méprise ce "Miguel de Garikoïtz Aspiazu Rubina" qui nous vole la vedette. Ah ça, ça aurait été un ours écrasé par une charette ou un mec qui fait de l'énerrrgie rrrenouvelaple avec son cyclomoteurrr, on en aurai entendu parler !

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http://fr.news.yahoo.com/2/20081117/tfr-ar...ir-f56f567.html

Arrestation de "Txeroki", chef militaire présumé de l'ETA

Le chef militaire présumé de l'ETA, Miguel de Garikoïtz Aspiazu Rubina, alias "Txeroki", 35 ans, a été arrêté dans la nuit de dimanche à lundi, une "opération déterminante dans la lutte" contre l'organisation indépendantiste basque, selon José Luis Zapatero. Lire la suite l'article

"C'est une opération déterminante dans la lutte contre l'ETA parce qu'est tombé celui qui, depuis un certain temps, dirigeait les actions (...) et qui était le responsable direct de certains des derniers assassinats" attribués à l'organisation basque, a déclaré le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero.

L'arrestation du dirigeant le plus recherché de l'ETA a eu lieu dans le village de Cauterets, dans les Pyrénées (sud-ouest).

"Txeroki" était "ces dernières années le plus important chef opérationnel" et son arrestation porte "un coup important" à l'ETA, a-t-il ajouté.

Quelques heures plus tard, un ex-membre emblématique du groupe basque, José Ignacio de Juana Chaos, objet d'un mandat d'arrêt européen, a été arrêté, après s'être présenté de son proche chef devant un tribunal de Belfast.

"Txeroki" a été arrêté en compagnie d'une femme qui est "vraisemblablement sa compagne", a indiqué la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui avait annoncé l'arrestation dans un communiqué.

La ministre a précisé qu'il avait été repéré "quelques jours" avant son arrestation. "Nous avons vérifié pour avoir la certitude de sa présence et la décision d'action a été prise hier soir (dimanche)", a-t-elle déclaré.

Dans l'appartement où il a été arrêté, situé au 2e étage d'un petit immeuble, les enquêteurs ont trouvé une arme de poing, de faux documents administratifs et un ordinateur, au cours d'une perquisition qui devait durer toute la journée, selon une source proche du dossier.

"Txeroki" et la femme arrêtée avec lui ont été placés en garde à vue et devaient être transférés à Bayonne (sud-ouest) plus tard dans la journée, d'après cette source.

"Très vraisemblablement dans le cadre des accords (franco-espagnols), il sera remis à la justice espagnole", a déclaré Mme Alliot-Marie.

L'ETA, inscrite sur la liste des organisations terroristes de l'UE et des Etats-Unis, est tenue pour responsable de la mort de 824 personnes en 40 ans de violences pour l'indépendance du Pays Basque.

"Txeroki", réputé incarner la ligne dure de l'organisation clandestine, hostile au dialogue avec Madrid, aurait pris, fin 2003, la tête de ses commandos.

Il est soupçonné d'avoir torpillé un processus de dialogue engagé avec le gouvernement espagnol, en ordonnant un attentat de grande envergure à l'aéroport de Madrid (2 morts), le 30 décembre 2006.

Il est également soupçonné d'être l'auteur des meurtres de deux gardes civils espagnols à Capbreton (sud-ouest de la France) le 1er décembre 2007, a précisé Mme Alliot-Marie.

Raul Centeno, 24 ans, et Fernando Trapero, 23 ans, avaient été assassinés par balles par trois membres de l'ETA, à la sortie d'une cafétéria, alors qu'ils effectuaient une mission de renseignement.

L'arrestation de "Txeroki" "illustre une nouvelle fois l'excellente collaboration entre la France et l'Espagne dans la lutte contre le terrorisme basque", a souligné Mme Alliot-Marie.

L'Espagne et la France, pays qui constitue la base de repli traditionnelle des commandos de l'ETA, collaborent depuis les années 80 contre l'organisation basque, après des années de récriminations espagnoles contre le "sanctuaire" français.

La dernière opération policière menée en France contre l'ETA avait eu lieu le 21 mai 2008, et avait abouti à l'arrestation de Javier Lopez Peña, alias "Thierry", présenté par Madrid comme l'homme "qui a le plus de poids politique et militaire dans l'ETA".

Deux etarras présumés, arrêtés mercredi dans le sud-ouest de la France, ont par ailleurs été inculpés et écroués dimanche.

Il roule en Jeep, Txeroki ?

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http://www.lefigaro.fr/actualite-france/20...e-suicider-.php

-_-

Un député UMP aurait tué sa compagne avant de se suicider

lefigaro.fr (avec AFP et AP)

17/11/2008 | Mise à jour : 15:51 | .

Jean-Marie Demange, élu de Moselle s'est donné la mort lundi matin par arme à feu. Peu avant, il aurait abattu une femme avec la même arme.

Le député UMP Jean-Marie Demange s'est apparemment suicidé par arme à feu lundi matin à Thionville, en Moselle, après avoir semble-t-il tué sa compagne qui était sur le point de le quitter.

Il était 11h30 quand ce médecin angiologue de 65 ans s'est rendu au domicile de Karine A., «où il a commis l'irréparable», d'après une source proche de l'enquête.

Après l'avoir exécutée avec un pistolet automatique, il aurait retourné son arme contre lui et se serait donné la mort d'une balle dans la tempe, selon la préfecture de Lorraine et les enquêteurs.

À en croire ses proches, le parlementaire était «très perturbé» depuis qu'il avait perdu la mairie de Thionville, ville de 47.000 habitants du nord de la Moselle dont il était maire depuis 1995 et qui avait été gagnée en mars par le socialiste Bertrand Mertz.

«Je suis bouleversé par ce drame humain», a déclaré le maire PS, qui s'est rendu à l'appartement de la commune où les deux corps ont été rapidement découverts par des voisins.

(AFP)

«Un échec personnel»

«Il avait été très affecté par la perte de la mairie qu'il vivait, douloureusement, comme un échec personnel», a indiqué François Grosdidier, président de l'UMP de la Moselle.

«Lorsqu'on le croisait à Paris, on le sentait hagard», a ajouté François Grosdidier, également député de la 1ère circonscription de la Moselle.

«Jean-Marie Demange était un de mes collègues que j'appréciais, qui était actif, il avait eu du mal à se remettre d'un échec aux municipales à Thionville, et visiblement ça l'avait beaucoup affecté», a expliqué Dominique Paillé, porte-parole de l'UMP interrogé par téléphone sur i-Télé. «Je ne sais s'il y a un lien entre les éléments dramatiques desquels nous parlons et cet échec aux municipales mais quoiqu'il en soit, c'est une perte pour l'UMP, et c'est un drame, un drame pour sa famille, un drame pour la famille de la femme qu'il a malheureusement assassinée. C'est un événement comme on aimerait ne jamais avoir à en vivre».

Jean-Marie Demange avait été réélu député en 2007. Un poste qu'il a occupé sans interruption depuis 1986. A l'Assemblée nationale, il était notamment membre de la commission des Affaires étrangères et du groupe d'études sur les énergies. Sa suppléante, Anne Grommerch, devrait lui succéder.

Modifié par kaizer franz
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rockyap326x500tf4.jpg

-_-

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/20...e-suicider-.php

B)

Un député UMP aurait tué sa compagne avant de se suicider

lefigaro.fr (avec AFP et AP)

17/11/2008 | Mise à jour : 15:51 | .

Jean-Marie Demange, élu de Moselle s'est donné la mort lundi matin par arme à feu. Peu avant, il aurait abattu une femme avec la même arme.

Le député UMP Jean-Marie Demange s'est apparemment suicidé par arme à feu lundi matin à Thionville, en Moselle, après avoir semble-t-il tué sa compagne qui était sur le point de le quitter.

Il était 11h30 quand ce médecin angiologue de 65 ans s'est rendu au domicile de Karine A., «où il a commis l'irréparable», d'après une source proche de l'enquête.

Après l'avoir exécutée avec un pistolet automatique, il aurait retourné son arme contre lui et se serait donné la mort d'une balle dans la tempe, selon la préfecture de Lorraine et les enquêteurs.

À en croire ses proches, le parlementaire était «très perturbé» depuis qu'il avait perdu la mairie de Thionville, ville de 47.000 habitants du nord de la Moselle dont il était maire depuis 1995 et qui avait été gagnée en mars par le socialiste Bertrand Mertz.

«Je suis bouleversé par ce drame humain», a déclaré le maire PS, qui s'est rendu à l'appartement de la commune où les deux corps ont été rapidement découverts par des voisins.

(AFP)

«Un échec personnel»

«Il avait été très affecté par la perte de la mairie qu'il vivait, douloureusement, comme un échec personnel», a indiqué François Grosdidier, président de l'UMP de la Moselle.

«Lorsqu'on le croisait à Paris, on le sentait hagard», a ajouté François Grosdidier, également député de la 1ère circonscription de la Moselle.

«Jean-Marie Demange était un de mes collègues que j'appréciais, qui était actif, il avait eu du mal à se remettre d'un échec aux municipales à Thionville, et visiblement ça l'avait beaucoup affecté», a expliqué Dominique Paillé, porte-parole de l'UMP interrogé par téléphone sur i-Télé. «Je ne sais s'il y a un lien entre les éléments dramatiques desquels nous parlons et cet échec aux municipales mais quoiqu'il en soit, c'est une perte pour l'UMP, et c'est un drame, un drame pour sa famille, un drame pour la famille de la femme qu'il a malheureusement assassinée. C'est un événement comme on aimerait ne jamais avoir à en vivre».

Jean-Marie Demange avait été réélu député en 2007. Un poste qu'il a occupé sans interruption depuis 1986. A l'Assemblée nationale, il était notamment membre de la commission des Affaires étrangères et du groupe d'études sur les énergies. Sa suppléante, Anne Grommerch, devrait lui succéder.

Quel scoop ! -_-

Ca me rappelle une blague avec Nadine moreno... -_-

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Encore une fois, après Bagnères de Bigorre, un membre important de l'ETA est arrêté dans les Hautes-Pyrénées. -_-

Qu'est-ce qu'on ferait pas pour le tourisme -_-

Bigorre c' est un mot d' origine basque je crois ( bi: deux gorra:haut) et cette zone a été influencée par le peuple Vascon. Par conséquent, je ne vois pas en quoi la sinistre jacobine de Saint-Jean de Luz MAM est compétente pour envoyer des troupes armées parisiennes en terre gasconne, qui plus est pour expédier dans une geôle sombre et humide un grand libérateur et défenseur de la paix et de la liberté -_- . Tous à la préfecture pour protester B) .

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Bigorre c' est un mot d' origine basque je crois ( bi: deux gorra:haut) et cette zone a été influencée par le peuple Vascon. Par conséquent, je ne vois pas en quoi la sinistre jacobine de Saint-Jean de Luz MAM est compétente pour envoyer des troupes armées parisiennes en terre gasconne, qui plus est pour expédier dans une geôle sombre et humide un grand libérateur et défenseur de la paix et de la liberté -_- . Tous à la préfecture pour protester :lol: .

Pour l'étymologie, c'est plutot parce que les habitants de l'époque romaine s'appelaient les Bigorrais ou Bigerions.

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En adoptant en février une loi permettant aux mères en difficulté d'abandonner leurs enfants, l'Assemblée du Nebraska pensait simplement se mettre au diapason du reste des Etats-Unis. A une époque où démocrates comme républicains essaient de réduire le nombre d'avortements, les parlementaires espéraient contribuer au débat en proposant un refuge aux parents en détresse. Nul ne serait poursuivi pour avoir laissé un "enfant" dans un hôpital de l'Etat.

La loi est entrée en vigueur le 18 juillet. Depuis, 35 enfants ont été abandonnés par leurs parents ou leur tuteur légal. Mais, loin des nouveau-nés que la loi était censée viser, ce sont des adolescents que l'on dépose dans les hôpitaux. Du Michigan, à l'Iowa et à la Géorgie, des parents sont venus se délester de leur progéniture dans le Nebraska.

Lundi 17 novembre, le gouverneur républicain, Dave Heineman, a convoqué l'Assemblée en session extraordinaire. Les parlementaires doivent réécrire la loi en y faisant porter l'âge limite des enfants concernés. Le débat n'est pas facile. Certains élus ne veulent pas limiter la portée du texte : l'afflux de "candidats" reflète, selon eux, à quel point les besoins sont grands.

Selon le quotidien local, l'Ohama Herald, sur les 30 premiers enfants arrivés depuis le vote de la loi, 27 avaient déjà eu recours à des soins psychologiques, 28 étaient issus de familles monoparentales et 22 avaient un parent ou un tuteur qui avait fait de la prison. En septembre, un enfant de 11 ans a été laissé par sa mère adoptive, ainsi qu'un autre de 15 ans, dont la personne en charge, depuis la mort de la mère, n'arrivait plus à s'occuper. Un père, subitement veuf, a laissé 9 enfants, âgés de 1 à 17 ans. Le 22e cas a été celui d'une jeune fille de 15 ans que sa mère a déposée à l'hôpital après une violente dispute en lui disant : "J'en ai fini avec toi."

Une mère, qui a amené son fils de 13 ans avec une valise de vêtements, a eu des regrets. Elle a expliqué qu'elle avait surtout voulu que l'adolescent rebelle prenne au sérieux ses menaces. Trop tard. Une fois qu'ils ont laissé leur enfant, les parents n'ont plus voix au chapitre sur son sort. Un père a donné une interview pour s'expliquer. Il se sentait coupable de ne pas avoir réussi à procurer un suivi psychologique et médical adéquat à son fils.

A la veille du changement de la loi, un dernier enfant est arrivé de la région de Detroit. Il a été conduit par sa mère, sa grand-mère et sa tante. Il est arrivé avec des vêtements de rechange et dix dollars. Il a expliqué que sa mère était "stressée" et "ne pouvait plus s'occuper de lui".

:lol:

-_-

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