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Quelle est la représentativité du mouvement syndical en France ? Quasi nul car leurs discours et méthodes sont dépassés.

Vraiment très simpliste et TF1iste comme raisonnemement :ninja: Il y a pas mal de syndicats en France, et il y en a pour tous les goûts... Simplement, si les gens s'impliquaient dans un syndicat qui leur convient au lieu de brasser du vent dans leur coin, peut-être qu'il y aurait du changement et que certaines OS aujourd'hui dans l'ombre progresseraient et pourraient se faire entendre...

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Invité Patcoco
Ah ça, la visibilité médiatique des grèves, je ne te fais pas dire qu'elle est mauvaise, quand les journalistes se bornent, pour le cas de l'éducation nationale, à parler dans leur reportage de mme X qui doit poser un jours de congé pour garder ses gosses alors qu'on a une grève qui a le soutien de la majorité des parents/enseignants/élèves et qui a des raisons très claires. Mais forcement, en évitant de propager le pourquoi des grèves, on accentue l'effet "ah c'est encore pareil, ils font grèves, on sait même pas pourquoi", etc... Quand on discute avec les gens de l'image qu'ils ont de la grève, on peut avoir peur car leur représentation est bourrée d'énormités, bien souvent propagée par les lieux communs et la désinformation médiatique.

Je ne peut être que d'accord avec ça.

La réforme actuelle de l'éducation nationale me semble grave pour notre système éducatif.

Le seul problème c'est qu'il ne parle que de suppression de postes.

Ils sont bien gentil les médias mais concretement on n'en sait pas plus.

D'où ils vont supprimer ces postes (Fermeture d'école, départ en retraite, etc...).

La seule chose que je sais (j'a i eu cette info) c'est qu'il vont supprimer des (où les) maternelles pour en faire des centre de loisirs payants.

Ce qui veut dire qu'il n'y aura plus d'égalité maintenant en maternelle B)

Mais ça ils s'en cache de le dire ou alors je ne l'ai pas entendu dans les médias.

On vit dans un monde de manipulation médiatique :ninja:

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Non mais dis moi que tu le fais exprès? Tu sais lire? B)

Parce qu'elle est critiquée selon de faux arguments.

Ah ça, la visibilité médiatique des grèves, je ne te fais pas dire qu'elle est mauvaise, quand les journalistes se bornent, pour le cas de l'éducation nationale, à parler dans leur reportage de mme X qui doit poser un jours de congé pour garder ses gosses alors qu'on a une grève qui a le soutien de la majorité des parents/enseignants/élèves et qui a des raisons très claires. Mais forcement, en évitant de propager le pourquoi des grèves, on accentue l'effet "ah c'est encore pareil, ils font grèves, on sait même pas pourquoi", etc... Quand on discute avec les gens de l'image qu'ils ont de la grève, on peut avoir peur car leur représentation est bourrée d'énormités, bien souvent propagée par les lieux communs et la désinformation médiatique.

Bien sur que certains qui sont mauvais ou dépassés comme dans tout ! De là à dire que leur representativité est quasi nulle, j'aimerais bien connaitre tes sources. Je pense que t'en sais absolument rien en fait et tu serais d'ailleurs surpris.

Désolé, je ne suis qu'un modeste petit enseignant du secondaire qui regarde ce qu'il se passe autour de lui et qui remarque que lors des heures d'informations syndicales il n'y a pas un chat, qu'on ne sait jamais vraiment pourquoi il y a grève à part les classiques "défense du pouvoir d'achat", "Darcos salaud les profs auront ta peau", et les réformes c'est mal". Pas de discussions autour des textes, pas de propositions, rien.

Si les syndicats universitaires sont performants tant mieux pour les profs de fac. Pour avoir fréquenté pas mal de représentants syndicaux et pour avoir discuté avec des syndiqués, j'ai eu l'occasion de me faire une opinion sur le sujet.

Concernant les chifres du ratio salariés/syndiqués, ils existent, j'avoue ne pas les avoir cherché ce matin. Mais, il me semble que les syndiqués n'excèdent pas 15% des salariés en France. A vérifier, j'en conviens.

Que les médias aient une façon de traiter les grèves déformée, j'en conviens également. Toujours est-il qu'empecher des gens d'aller bosser, ça reste scandaleux. Que des parents soient obligés de poser des RTT ou de faire garder leurs gosses un jour de greve des profs est également scandaleux. La grève est un droit constitutionnel, la liberté d'aller travailler aussi. Et c'est normal que les médias en parlent.

Oui, je sais lire. Si mon intervention vient comme un cheveu sur la soupe c'est que ça me gonfle vraiment d'entendre toujours les mêmes poncifs sur les grèves et ceux qui les critiquent. Désolé je ne le ferais plus et retournerais aux posts débiles comme j'ai l'habitude de le faire...

Bonne journée.

Vraiment très simpliste et TF1iste comme raisonnemement :ninja: Il y a pas mal de syndicats en France, et il y en a pour tous les goûts... Simplement, si les gens s'impliquaient dans un syndicat qui leur convient au lieu de brasser du vent dans leur coin, peut-être qu'il y aurait du changement et que certaines OS aujourd'hui dans l'ombre progresseraient et pourraient se faire entendre...

Tu m'excuseras mais je ne regarde pas TF1 et je regarde assez peu la télé en général.

Quant à s'impliquer dans un syndicat, encore faut-il que le discours et les méthodes ce syndicat te satisfassent, que tu te reconnaisses en lui.

Modifié par Yoda
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Désolé, je ne suis qu'un modeste petit enseignant du secondaire qui regarde ce qu'il se passe autour de lui et qui remarque que lors des heures d'informations syndicales il n'y a pas un chat, qu'on ne sait jamais vraiment pourquoi il y a grève à part les classiques "défense du pouvoir d'achat", "Darcos salaud les profs auront ta peau", et les réformes c'est mal". Pas de discussions autour des textes, pas de propositions, rien.

Si les syndicats universitaires sont performants tant mieux pour les profs de fac. Pour avoir fréquenté pas mal de représentants syndicaux et pour avoir discuté avec des syndiqués, j'ai eu l'occasion de me faire une opinion sur le sujet.

Concernant les chifres du ratio salariés/syndiqués, ils existent, j'avoue ne pas les avoir cherché ce matin. Mais, il me semble que les syndiqués n'excèdent pas 15% des salariés en France. A vérifier, j'en conviens.

Que les médias aient une façon de traiter les grèves déformée, j'en conviens également. Toujours est-il qu'empecher des gens d'aller bosser, ça reste scandaleux. Que des parents soient obligés de poser des RTT ou de faire garder leurs gosses un jour de greve des profs est également scandaleux. La grève est un droit constitutionnel, la liberté d'aller travailler aussi. Et c'est normal que les médias en parlent.

Oui, je sais lire. Si mon intervention vient comme un cheveu sur la soupe c'est que ça me gonfle vraiment d'entendre toujours les mêmes poncifs sur les grèves et ceux qui les critiquent. Désolé je ne le ferais plus et retournerais aux posts débiles comme j'ai l'habitude de le faire...

Bonne journée.

Mais par contre ca ne te dérange pas de critiquer la grève à coup de poncifs :rolleyes:

Quand à la part de syndiqués en France, quand bien même ton chiffre serait vrai, il serait encore loin de prouver quoi que ce soit en matière de représentativité, vu que les gens ne se syndiquent souvent que lorsqu'ils vont en avoir besoin (parce que, notamment dans le privé, ca peut être un frein à l'avancement de carrière d'être syndiqué, ce qui est scandaleux, et en plus ca coute un certain prix que tout le monde ne peut pas se permettre de payer tout le temps). Enfin bon, ca confirme que tu as balancé une phrase sans trop savoir, tu fais exactement ce que tu reproches dans ton post. Bravo!

Et avant de me faire traiter de partisan, je veux quand même préciser que je ne suis pas syndiqué, je ne l'a jamais été et j'ai été peu gréviste. Ca ne m'empeche pas d'être scandalisé par le traitement qui leur est reservé au plan médiatique.

Et si tu me trouve partisan, tu seras surpris de te rendre compte que je suis plutôt modéré dans mon style et qu'a gauche la tendance est à la radicalisation (à cause des pratiques des dirigeants actuels et de la dérive du PS).

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Pendant que le gouvernement détruit le système de recherche CNRS et universitaire, Sarkozy nomme Alain Bauer Professeur des Universités au Conservatoire National des Arts et Métiers. Qui est Bauer? Bauer est un "criminologue" ayant des thèses nauséabondes sur l'insécurité et le terrorisme.

Bauer n'aurait aucune chance d'être recruté dans un établissement d'enseignement supérieur par voie normal mais pas de problème avec Sarkozy, on le nomme par décret.

Le personnel du CNAM est en train de se mobiliser pour essayer d'éviter l'intégration d'un fasciste qui n'aura même pas passé le concours.

http://www.marianne2.fr/Bauer-nomme-au-Cna...te_a173756.html

Bauer nommé au Cnam par décret sarkozyste

L'ex Grand Maître du Grand Orient, par ailleurs conseiller apprécié à l'Élysée, vient de se faire attribuer une chaire créée sur mesure au Conservatoire des Arts et métiers. Le Conseil de perfectionnement a approuvé aujourd'hui ce diktat présidentiel. Non sans susciter quelques bémols dans l'institution.

Bauer nommé au Cnam par décret sarkozyste

Il y a au moins un reproche que l’on ne saurait émettre à l’endroit de à notre Président : l’ingratitude. C’est ce que doit penser Alain Bauer aujourd’hui. Sur proposition du ministère de l'Enseignement supérieur, le Conseil de perfectionnement du Cnam (Conservatoire des Arts et métiers) vient d'approuver, à une courte majorité (14 voix contre 12), la création d’une chaire de criminologie sous sa responsabilité. Une belle sinécure permettant de percevoir pour moins d’une centaine d’heure par an, un salaire de professeur d’université, le tout pour un poste à vie. En ces temps de crise, ce n'est pas forcément à négliger, même pour un cumulard.

Pourtant, on ne peut pas dire, à découvrir la somme des activités de l’impétrant, qu’il avait vraiment besoin de ce nouveau poste. Alain Bauer est d’abord le patron d'une société de conseil en matière de sécurité et de gestion de crise, un business en progression notoire. Un job qui devrait le prendre à plein temps lorsque l’on constate la liste impressionnante de ses clients sur le site de cette société, AB associate : mairies de grandes villes, collectivités locales, établissements publics (comme celui de la Défense par exemple), entreprises publiques, etc.

Mais ce n’est pas tout : en matière d’enseignement, Alain Bauer n’est pas un novice puisqu’il dispense des cours dans plusieurs universités et instituts de formation (Paris 1, dont il a été vice-président, Paris II, Paris V, Ecole de la gendarmerie, Ecole nationale de la magistrature, sans parler de certaines universités étrangères, américaine ou chinoise). Enfin, Alain Bauer a réalisé récemment une mission pour le rapprochement des instituts de formation sur la sécurité.

La chaire est faible

Sa nomination n’est pas allée de soi au sein de l’institution. Il existe deux voies pour accéder au poste de professeur titulaire de chaire au Cnam. La première est calquée sur le recrutement des professeurs d’université : une commission de spécialistes valide ou nom la candidature en évaluant l’apport scientifique du candidat. La seconde est beaucoup plus politique : le ministère de l'université dispose d’un « droit de tirage » pour créer une chaire « sur mesure » pour le profit d'un bénéficiaire désigné par l’administration. C’est ainsi que, voici quelques années, Bernard Kouchner est devenu professeur aux Arts et métiers. Mais si le ministère est fondé à imposer une chaire et son titulaire, la procédure impose tout de même un examen consultatif de la nomination par le Conseil de perfectionnement, puis le Conseil d’Administration de l’établissement.

Mardi 13 janvier, on a donc discuté, deux heures durant, du « cas Bauer » au Conseil de perfectionnement qui réunit une trentaine de membres. Le moins qu’on puisse dire est que la décision du ministre Valérie Pécresse – qui s’est elle-même fait imposer la nomination par l’Élysée – n’a guère séduit les scientifiques de la maison. D’abord parce que le Cnam n’a pas forcément vocation à intervenir sur les questions de sécurité. D'autant que, précisent les contestataires, qu’il ne s’agit pas, avec le projet de Bauer de former des professionnels de la sécurité mais de plutôt de dispenser « un vernis sécuritaire » à des cadres qui n’en ont pas forcément besoin. Ensuite, plusieurs enseignants-chercheurs ont émis des doutes sur la compétence scientifique de Bauer et sur ses conceptions de la sécurité.

Copinage ou franc-maçonnerie ?

Plus que tout, beaucoup de membres du Cnam n’ont guère apprécié la méthode qui consiste à avoir publié, contre tous les usages, le décret de nomination avant même son examen par les deux instances du Conservatoire. Sans parler de la « méchanceté » de son côté « peu sympathique » évoqué en séance par certains membres du Conseil qui lui étaient pourtant favorables. Parmi ces derniers, Michel Godet considère pour sa part que si la procédure de désignation par décision ministérielle, une sorte de « tour extérieur », est contestable, « la sécurité publique est un vrai problème » et qu’il n’est pas anormal que la république récompense ses membres les plus méritants.

Plusieurs autres professeurs sont en revanche révulsés par une nomination qu’ils considèrent comme du « copinage », et voient volontiers la main du Grand Orient, dont Alain Bauer fut le Grand Maître (contesté) entre 2000 et 2003, derrière sa dernière gratification. Une pétition très motivée sur un plan scientifique, a d'ailleurs circulé en amont de la réunion du Cnam pour protester contre la création de la Chaire (voir encadré ci-dessous). Alain Bauer n'en a cure : contrairement à ses collègues profs de fac, il peut très bien se passer de leurs compliments pour disposer de son poste. Il lui suffit de plaire aux puissants en général, et au Président en particulier. Il serait sans doute exagéré de parler de république bananière en France. Mais celle des copains du président est bien en route dans de nombreux secteurs d'activité.

Modifié par Baker
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Mais par contre ca ne te dérange pas de critiquer la grève à coup de poncifs :rolleyes:

Quand à la part de syndiqués en France, quand bien même ton chiffre serait vrai, il serait encore loin de prouver quoi que ce soit en matière de représentativité, vu que les gens ne se syndiquent souvent que lorsqu'ils vont en avoir besoin (parce que, notamment dans le privé, ca peut être un frein à l'avancement de carrière d'être syndiqué, ce qui est scandaleux, et en plus ca coute un certain prix que tout le monde ne peut pas se permettre de payer tout le temps). Enfin bon, ca confirme que tu as balancé une phrase sans trop savoir, tu fais exactement ce que tu reproches dans ton post. Bravo!

Et avant de me faire traiter de partisan, je veux quand même préciser que je ne suis pas syndiqué, je ne l'a jamais été et j'ai été peu gréviste. Ca ne m'empeche pas d'être scandalisé par le traitement qui leur est reservé au plan médiatique.

Et si tu me trouve partisan, tu seras surpris de te rendre compte que je suis plutôt modéré dans mon style et qu'a gauche la tendance est à la radicalisation (à cause des pratiques des dirigeants actuels et de la dérive du PS).

:mellow:

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au passage, Sarkozy, par son mépris des assemblées representatives des français, arrive à se mettre à dos ses propres sénateurs :

http://www.degroupnews.com/actualite/n3189...html?xtor=RSS-1

Ca doit quand même être assez rare.

Mais on comprends mieux le mépris de Sarkozy envers l'assemblée quand on sait ce qu'a été ses années comme député :

http://www.eteignezvotreordinateur.com/sar...epute-faineant/

http://www.liberation.fr/politiques/010131...depute-faineant

Le même mec qui dit qu'il n'a qu'un défaut, c'est de faire les choses dans lesquelles il s'engage jusqu'au bout :rolleyes:

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De toute façon, que ça soit au niveau des grêves (France) ou de la politique internationale (Israel-Palestine), il y a toujours une minorité de gens actifs et organisés qui fonctionnent uniquement sur l'exacerbation des conflits. Il est curieux de constater, que chaque fois, les victimes (usagers, civils), sont des gens qui n'avaient rien demandé... Le tout, pour des résultats minables. Chaque fois, les gens qui d'un côté ou d'un autre, sont prêts à négocier positivement, sont mis sur la touche, quand ils ne sont pas neutralisés d'une façon ou d'une autre. Cette culture me répugne, d'autant plus qu'avec le recul, on se rend souvent compte qu'on a été manipulé, pour des trucs qui n'avaient rien à voir avec l'objectif de départ.

En tout cas, à moi, on ne m'aura pas, on ne m'aura plus.

Voilà, c'était le coup de gueule du vieux con.

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:rolleyes:

Je pense en tout cas sur le plan universitaire que tu ne mesures pas la gravité de la situation. Le CNRS est mort et les enseignants chercheurs verront leur travail évalué par des gens qui ne connaissent rien à leur discipline. S'ils sont mal évalué le temps consacré à la recherche leur sera supprimé. Imagine un dentiste qui évalue le travail d'un plombier. Une manière de supprimer des postes alors que les taux d'encadrement ne dépasse pas 50%. Aujourd'hui les enseignants à l'université sont obligés de faire des heures supplémentaires pour faire tourner la baraque pour combler les 50% de manque.

La situation est dramatique depuis des années et on va l'aggraver de manière décisive dans les jours qui viennent.

La grève n'est qu'un moyen pour faire pression, derrière la grève il y a des enjeux. Une bonne manière de décrédibiliser un mouvement, c'est bien de dire que les gens font la grève pour ne pas travailler. Il ne faudrait pas oublier que les jours de grève ne sont pas payés hein, et ça n'amuse personne de voir le programme de ses étudiants amputé.

Moi quand je fais grève, ça me fait chier parce que je pense aux étudiants. Mais quand il faut le faire je le fais.

Modifié par Baker
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Tu m'excuseras mais je ne regarde pas TF1 et je regarde assez peu la télé en général.

Quant à s'impliquer dans un syndicat, encore faut-il que le discours et les méthodes ce syndicat te satisfassent, que tu te reconnaisses en lui.

Comme je disais dans mon précédent post, tu as quand même l'embarras du choix...

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au passage, Sarkozy, par son mépris des assemblées representatives des français, arrive à se mettre à dos ses propres sénateurs :

http://www.degroupnews.com/actualite/n3189...html?xtor=RSS-1

Ca doit quand même être assez rare.

Non il ne me semble pas, surtout avec ce nouveau gouvernement, le sénat calme les ardeurs du parlement qui essaie de faire passé n'importe quoi.

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ouais enfin je suis pas dans un discours de cas particulier, faudrait comprendre ça. C'est la démagogie du cas particulier et de la médiatisation biaisée qui sert d'argumentation a ceux qui veulent faire reculer les droits sociaux.

Euh, ma question était réellement interrogative, et dénuée d'ironie (ayant suivi l'affaire St Lazare de très loin). :rolleyes:

Pour le reste, sans vouloir faire de la démagogie, je pense que certains citoyens sont capables de juger par eux mêmes (et non par le petit il du petit écran) de l'utilité d'une grève et du caractère abusif d'une autre. On peut malgré tout regretter qu'il soit difficile de trouver des sources fiables et objectives dans notre pays, et ce d'autant plus à l'heure de l'Internet et des "nouvelles communications".

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Invité Patcoco
Euh, ma question était réellement interrogative, et dénuée d'ironie (ayant suivi l'affaire St Lazare de très loin). -_-

Pour le reste, sans vouloir faire de la démagogie, je pense que certains citoyens sont capables de juger par eux mêmes (et non par le petit il du petit écran) de l'utilité d'une grève et du caractère abusif d'une autre. On peut malgré tout regretter qu'il soit difficile de trouver des sources fiables et objectives dans notre pays, et ce d'autant plus à l'heure de l'Internet et des "nouvelles communications".

C'est justement là le problème :mellow:

On ne sais rien sur le fond des projets, en tout cas pour moi. :rolleyes:

Ou alors je ne regarde pas où il faut :!:

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C'est justement là le problème :mellow:

On ne sais rien sur le fond des projets, en tout cas pour moi. :rolleyes:

Ou alors je ne regarde pas où il faut :!:

Est-ce la faute des syndicats ou bien est-ce lié à l'habileté du gouvernement à endormir tout le monde. Je pense que c'est surtout la deuxième solution.

Quand on voit que Pécresse, ministre de l'enseignement arrive à dire qu'il va y avoir une augmentation du budget pour l'enseignement et la recherche alors qu'elle supprime des poste d'enseignants et du personnel administratif... Ils sont très forts et les journaux ne couvrent pas de manière impartiale les mouvements.

Et je ne suis partisan vu que je suis pas syndiqué car je ne me sens pas représenté dans les syndicats actuels. Pour s'informer il faut aussi regarder les collectifs qui se forment contre des projets et qui ne sont affiliés aux syndicats. En général, le mouvement est plus large que le syndicat et arrive à fédérer des gens syndiqués comme des gens non syndiqués.

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Euh, ma question était réellement interrogative, et dénuée d'ironie (ayant suivi l'affaire St Lazare de très loin). :mellow:

Pour le reste, sans vouloir faire de la démagogie, je pense que certains citoyens sont capables de juger par eux mêmes (et non par le petit œil du petit écran) de l'utilité d'une grève et du caractère abusif d'une autre. On peut malgré tout regretter qu'il soit difficile de trouver des sources fiables et objectives dans notre pays, et ce d'autant plus à l'heure de l'Internet et des "nouvelles communications".

Le fiable et l'objectif, à l'heure de l'internet et des nouvelles communications, ça n'existe plus, je le crains. Il faudra s'habituer à ce monde composé de procureurs et/ou d'avocats, et c'est bien là mon problème. :rolleyes:

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Le fiable et l'objectif, à l'heure de l'internet et des nouvelles communications, ça n'existe plus, je le crains. Il faudra s'habituer à ce monde composé de procureurs et/ou d'avocats, et c'est bien là mon problème. :rolleyes:

Si je suis d'accord avec toi, ca veut dire que je suis un vieux con moi aussi ? :mellow:

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Si je suis d'accord avec toi, ca veut dire que je suis un vieux con moi aussi ? :rolleyes:

c'est pas être un vieux con que de recueillir le point de vue des uns et des autres et d'avoir un regard critique sur ce qu'on nous raconte. C'est aussi vrai aujourd'hui qu'il y a 30 ou 40 ans sauf qu'aujourd'hui on est submergés par les infos et il y a un tri plus important à faire. D'un côté ça représente un progrès que les gens puissent s'exprimer plus facilement (même si c'est pour dire des grosses conneries). :mellow:

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c'est pas être un vieux con que de recueillir le point de vue des uns et des autres et d'avoir un regard critique sur ce qu'on nous raconte. C'est aussi vrai aujourd'hui qu'il y a 30 ou 40 ans sauf qu'aujourd'hui on est submergés par les infos et il y a un tri plus important à faire. D'un côté ça représente un progrès que les gens puissent s'exprimer plus facilement (même si c'est pour dire des grosses conneries). :rolleyes:

Sergio ne parlait pas de faire le tri pour avoir une info, mais de ne plus trouver de fiabilité et d'objectivité pour traiter d'une info : avoir l'impression d'être perpétuellement manipulé. C'est en ce sens là que je le rejoins.

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Sergio ne parlait pas de faire le tri pour avoir une info, mais de ne plus trouver de fiabilité et d'objectivité pour traiter d'une info : avoir l'impression d'être perpétuellement manipulé. C'est en ce sens là que je le rejoins.

Ah j'avais mal compris alors. Je pense qu'on peut trouver de l'info fiable, après il faut aller la chercher mais je ne crois pas que tout le monde soit armé pour le faire (il faut du savoir-faire mais surtout du temps). Je pense qu'on trouve plus facilement de l'info aujourd'hui qu'au temps de l'ortf où la censure sévissait. La censure sévit encore mais c'est plutôt qu'elle donne l'illusion de ne pas exister. C'est ça qui est dangereux je pense.

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Ah j'avais mal compris alors. Je pense qu'on peut trouver de l'info fiable, après il faut aller la chercher mais je ne crois pas que tout le monde soit armé pour le faire (il faut du savoir-faire mais surtout du temps). Je pense qu'on trouve plus facilement de l'info aujourd'hui qu'au temps de l'ortf où la censure sévissait. La censure sévit encore mais c'est plutôt qu'elle donne l'illusion de ne pas exister. C'est ça qui est dangereux je pense.

Complètement d'accord avec toi.

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Ah j'avais mal compris alors. Je pense qu'on peut trouver de l'info fiable, après il faut aller la chercher mais je ne crois pas que tout le monde soit armé pour le faire (il faut du savoir-faire mais surtout du temps). Je pense qu'on trouve plus facilement de l'info aujourd'hui qu'au temps de l'ortf où la censure sévissait. La censure sévit encore mais c'est plutôt qu'elle donne l'illusion de ne pas exister. C'est ça qui est dangereux je pense.

Internet est un outil redoutable pour la censure. A condition de savoir faire le tri...beaucoup prennent les infos glanées sur internet pour argent comptant. Les moyens de trouver des infos fiables existent pourtant, et plus que jamais. Il faut savoir séparer le bon grain de l'ivraie, mais au moins, les sources sont diffuses.

Modifié par Casimir
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