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connemara

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Posté(e)
en tout cas ce à quoi je pensais c'est des licence Socio :grin:

C'est possible. :blink:

La formation en stats est nulle dans pas mal de facs en socio. C'était pas le cas il y a 30 ans.

Posté(e)
C'est possible. :birthday:

La formation en stats est nulle dans pas mal de facs en socio. C'était pas le cas il y a 30 ans.

Attends leur prof c'est le mec qui fait le site de prediction statistique des classements en L1 :pompom:

Posté(e)

Drame du voisinage à Empalot où un locataire excédé par le bruit a eu la gorge tranchée par son agresseur qui organisait une fête chez lui.

Égorgé pour un conflit de voisinage

Des relations de voisinage ont pris fin dans un bain de sang, jeudi soir, dans le quartier d'Empalot, à Toulouse où un locataire, Pascal Baudouin, 46 ans, venu frapper à la porte de son voisin du dessus pour faire cesser la musique et le bruit a été égorgé. Sa compagne, Patricia Kiene, âgée d'une cinquantaine d'années, a été grièvement blessée au couteau et transportée à l'hôpital Rangueil. Le meurtrier présumé, un homme de petite taille, Francis Guiliani, ancien militaire de 41 ans, a été arrêté par les policiers sur les lieux du drame, jeudi peu après 23 heures. C'est dans un immeuble situé au numéro 14 de la rue des Mouettes, face à la future mosquée d'Empalot, que cette tragédie s'est jouée en quelques minutes devant des locataires terrorisés. « C'était comme un film d'horreur, genre massacre à la tronçonneuse », raconte, un voisin, encore sous le choc de cette soirée cauchemardesque.

Jeudi, peu avant 23 heures, dans son appartement du second étage, Francis Guiliani organise une petite fête avec quatre autres amis. Excédé par le bruit, Pascal Baudouin, dont les relations avec l'ancien militaire ne sont pas au beau fixe, monte avec sa compagne Patricia et sonne à la porte de son voisin pour faire cesser le tapage. Le couple est accueilli à coups de couteau de cuisine par Francis Guiliani qui tranche la gorge du locataire avant de s'en prendre à son amie. Le visage en sang, Pascal Baudouin descend les marches de l'immeuble et s'effondre à l'extérieur devant les portes d'entrée. Selon des témoins, le tueur présumé aurait asséné plusieurs autres coups de couteau à la victime. Prévenus par les locataires affolés, les secours arrivent et tentent de ranimer Pascal Baudouin, qui malheureusement succombe à ses graves blessures. Francis Guiliani, surnommé « Doudou » dans le quartier, est interpellé par les policiers dans le même temps. Présentant un taux de 0,5 gr d'alcool dans le sang (le taux limite autorisé), le suspect est toujours en garde à vue. Interrogé par les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale, il aurait reconnu une partie des faits ayant du mal à tout expliquer. Selon des proches, cet homme se trouvait dans un état de « surexcitation », au moment de la tuerie. Pascal Baudouin était agent hospitalier et travaillait en tant qu'employé à la blanchisserie centrale des hôpitaux de Toulouse, zone Thibaud.

« Il était comme un fou avec son short déchiré et son couteau à la main »

« C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase Il me disait, un jour je vais le tuer Mais de là à ce qu'il commette un tel massacre, je n'arrive pas à le croire. » Sous le choc, une voisine à peine à croire au terrible scénario. Même si les relations entre le suspect et la victime se sont détériorées au fil des mois pour des histoires de bruit et de tapages nocturnes, entre autre, rien ne laissait présager un tel épilogue. « Je promenais mon chien vers 22h30 quand je l'ai vu brandir son couteau. Il était comme un fou avec son short déchiré, je suis vite rentrée chez moi car j'ai eu peur », témoigne Sonia (photo), l'une des voisines.

Plus connu sous le nom de « Doudou », Francis Guiliani était aussi connu pour ses surprenants changements d'humeur. « Un jour, on a bu le café chez lui et tout d'un coup, sans aucune raison apparente il a mis tout le monde dehors », se souvient encore un locataire. « Quand il parlait, il avait l'air absent. Il rentrait souvent dans des colères noires. » Jeudi soir, c'est sans doute cette colère intériorisée qui s'est transformée en sentiment de haine à l'encontre du voisinage. « Il était torse nu, comme Rambo avec son couteau dans une main et une queue de chien dans l'autre main », poursuit Kouider, un locataire. Comme lui, tous sont toujours choqués après les événements tragiques de jeudi soir. Un jeune de l'immeuble : « Il y a des enfants ici qui ont entendu des cris. Certains ont vite compris la portée de ce drame. On regrette que les pouvoirs publics n'aient pas dépêché des médecins ou des psychologues auprès des plus jeunes. »

Posté(e)
rire franchement là je vois pas :ninja:

Si parce que tous les jours ou presque y'a un concours de l'histoire la plus édifiante...

C'est bien triste.

Posté(e)
Curieuse société ...

:Qui hésite entre en rire ou en pleurer:

ce qui est marrant c'est que les journalistes n'hésitent pas à balancer les noms quand il s'agit de patricia, francis ou pascal B)

Posté(e)
ce qui est marrant c'est que les journalistes n'hésitent pas à balancer les noms quand il s'agit de patricia, francis ou pascal B)

Un grand +1 :ninja:

Posté(e)
ce qui est marrant c'est que les journalistes n'hésitent pas à balancer les noms quand il s'agit de patricia, francis ou pascal :)

Je comprends pas ce que tu veux dire. :confus:

Un grand +1 :(

idem :confus:

Posté(e)
Je comprends pas ce que tu veux dire. :)

idem :(

quand ils ont des prénoms venant du continent africain, curieusement ils les taisent....

Posté(e) (modifié)
ah bon?! :ninja:

j'ai pas cette impression... et vous en concluez quoi du coup?!

c'est simplement que par le passé (c'était arrivé il y a une quinzaine d'années mais je ne sais plus avec quel journal...) des associations ont attaqué un média parce que ce dernier avait cité le nom du gars dans une affaire semblable à celle postée au dessus, en affirmant que celà constituait un amalgame à connotation raciste (parce que le gars s'appelait Mouloud Ben Fakri ou un nom du genre...).

ce qui est quand même débile car soit on a le droit de citer les noms (que ce soit Ben Fakri ou Durand) soit on n'a pas le droit... :)

Modifié par Ekelund
Posté(e)

Je n'ai jamais remarqué ça. Khaled Khelkal par exemple c'était bien son vrai nom. Fofana c'était son vrai nom. Il y a un gars qui a été jugé pour viol et torture en décembre dernier et effectivement son nom était masqué (le pire c'est que je le connaissais!). C'était un rebeu. mais de là à généraliser c'est extreme comme point de vue.

Posté(e) (modifié)
j'ai pas cette impression... et vous en concluez quoi du coup?!

le fait de mentionner le nom de la personne pourrait consister en une espece de mis au pilori de la personne et encore pous grave de sa famille tout entiere.

Pas forcement que ce soit la volonte propre ou du journalisme ni de sa redaction mais plutot que cela decoule du jugement porte par les gens connaissant la personne, etc...

bon j'ai pas le temps de developper au taf mais donner le nom d'un agresseur au journal ca fait un peu "Voila votre cibles les gars"

le gars a merde mais bon ca ne doit pas forcement rejaillir sur toute l'entourage, on sait comment les ragots se passent et les amalgames rapide. Nous ne sommes plus au moyen-age ou quand un mec se suicidait c'était la honte sur 3 generations pour toute sa famille.

Certes pour un suicide ou pour tout autre crime l'environnement a un role/influence mais n'est pas totalement lie. Comme d'habitude il s'agit de faire la part de choses, donc en effet soit on nomme tout le temps soit jamais.

je pense que c'était ce genre de "derives malsaines" qui était sous-entendu avec peut etre en plus la touche le citoyen lambda on hesite pas a charger tandis qu'un homme plus influent on passe l'affaire sous silence (plus ou moins).

Modifié par BenBDF
Posté(e)
le fait de mentionner le nom de la personne pourrait consister en une espece de mis au pilori de la personne et encore pous grave de sa famille tout entiere.

Pas forcement que ce soit la volonte propre ou du journalisme ni de sa redaction mais plutot que cela decoule du jugement porte par les gens connaissant la personne, etc...

bon j'ai pas le temps de developper au taf mais donner le nom d'un agresseur au journal ca fait un peu "Voila votre cibles les gars"

le gars a merde mais bon ca ne doit pas forcement rejaillir sur toute l'entourage, on sait comment les ragots se passent et les amalgames rapide. Nous ne sommes plus au moyen-age ou quand un mec se suicidait c'était la honte sur 3 generations pour toute sa famille.

Certes pour un suicide ou pour tout autre crime l'environnement a un role/influence mais n'est pas totalement lie. Comme d'habitude il s'agit de faire la part de choses, donc en effet soit on nomme tout le temps soit jamais.

je pense que c'était ce genre de "derives malsaines" qui était sous-entendu avec peut etre en plus la touche le citoyen lambda on hesite pas a charger tandis qu'un homme plus influent on passe l'affaire sous silence (plus ou moins).

je vois ce que tu veux dire, mais là le "débat" tournait plus autour du fait que les médias hésitent beaucoup plus à divulguer le nom de la personne lorsqu'il est à consonnance africaine...

Posté(e)
je vois ce que tu veux dire, mais là le "débat" tournait plus autour du fait que les médias hésitent beaucoup plus à divulguer le nom de la personne lorsqu'il est à consonnance africaine...

ouais sauf que tout le monde n'est pas d'accord. la discrimination positive sur les affaires délinquantes pour les gens issus de l'immigration africaine c'est faux.

Posté(e)
ouais sauf que tout le monde n'est pas d'accord. la discrimination positive sur les affaires délinquantes pour les gens issus de l'immigration africaine c'est faux.

le procès intenté dont je parlais plus haut est bien réel en tout cas.... :)

là je suis au taf mais j'essaierai plus tard de retrouver une source....

Posté(e)
le procès intenté dont je parlais plus haut est bien réel en tout cas.... :)

là je suis au taf mais j'essaierai plus tard de retrouver une source....

je pense qu'ils ont eu raison de porter plainte parce que forcément il y a toujours des gens qui vont interpréter ça de manière xenephobe. Ce que je conteste c'est de généraliser et de dire que si on est noir ou arabe on est tranquille pour ce qui est de l'anonymat alors que si on est français on est cuits.

Posté(e)
je pense qu'ils ont eu raison de porter plainte parce que forcément il y a toujours des gens qui vont interpréter ça de manière xenephobe. Ce que je conteste c'est de généraliser et de dire que si on est noir ou arabe on est tranquille pour ce qui est de l'anonymat alors que si on est français on est cuits.

on est d'accord :)

Posté(e)
je pense qu'ils ont eu raison de porter plainte parce que forcément il y a toujours des gens qui vont interpréter ça de manière xenephobe. Ce que je conteste c'est de généraliser et de dire que si on est noir ou arabe on est tranquille pour ce qui est de l'anonymat alors que si on est français on est cuits.

On peut être arabe ou noir et Français :)

Posté(e)
On peut être arabe ou noir et Français :)

je fais un raccourci mais si tu veux je peux te le faire plus long : être issu de l'immigration nord-africaine ou sub-saharienne contre être né de parents français.

Posté(e)

Moi je vais vous dire un truc : l'important c'est l'éthique du journaliste et de sa direction, et qu'elle ne soit pas à géométrie variable. Il faut que tout le monde soit traité à la même enseigne, quel que soit le délit, je ne parle pas de crime. Anonymat pour tous, ou divulgation du nom pour tous. Perso, je vote anonymat.

Ca touche tout le monde, autant les minorités ethniques, les occitans depuis vingt générations, que les notables car ils font vendre. Sinon, c'est la porte ouverte aux petits arrangements ou aux petites vengeances. Il y a peu, la police a surpris le fils d'une personnalité toulousaine en train de filmer avec le plus grand intérêt une voiture qui brûlait, avec son portable. Un délit, encore que, comme il s'en passe tous les jours. Et bien, notre journal local s'est empressé de divulguer le nom. On peut parier à coup sur, que s'il avait été question d'une personnalité du même bord politique de notre tout puissant organe de presse, le nom ne serait pas apparu.

Posté(e)
je fais un raccourci mais si tu veux je peux te le faire plus long : être issu de l'immigration nord-africaine ou sub-saharienne contre être né de parents français.

On peut-être Français et de parents étrangers :)

Je déconne...

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