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connemara

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Posté(e)
ça fait plaisir de voir que t'as lu en détail l'article :ninja:

ok, c'est l'inconvénient de la lecture "en diagonale" :grin:

Posté(e)

Il y a vraiment des élus qui n'ont rien d'autre à branler. Encore, s'ils laissaient le choix à tout un chacun, mais même pas.

clic

Posté(e)
Il y a vraiment des élus qui n'ont rien d'autre à branler. Encore, s'ils laissaient le choix à tout un chacun, mais même pas.

clic

Et y en a d'autre qui n'ont rien d'autre à branler que d'aller sur des sites pareil ! :ninja:

Posté(e)
y'a quand même des choses plus graves :ninja:

Image.1207810353272.jpg:grin:

Il n'y a vraiment que toi pour nous degoter des histoires pareilles :wacko:

Il s'en passe des choses étranges dans ta région... ;)

Posté(e)
Il y a vraiment des élus qui n'ont rien d'autre à branler. Encore, s'ils laissaient le choix à tout un chacun, mais même pas.

clic

Comme toi, ca m'enerve à un point... les mêmes qui desertent les assemblées lors de votes capitals... :ninja:

Posté(e)
quand je vais dire au capitaine que tu ne connais pas le pluriel de "capital"... hihi :ninja:

c'est qui Félicia? ;) quand je vois que NP est déjà sur le coup :grin:

Posté(e) (modifié)
t'es pas discret quand même :ninja:

Une personne qui me persecute parce que je la repère toujours :grin:

Homme ou femme il faut choisir. ;)

Modifié par Bik
Posté(e)
la locution "une personne" est de genre feminin, je ne vois pas la contradiction :grin:

C'est pas faux. ©

Mon analyse était hâtive, et mon esprit vagabond a du vouloir fantasmer en féminisant une personne prénommée Félicia :ninja:

Posté(e)
C'est pas faux. ©

Mon analyse était hâtive, et mon esprit vagabond a du vouloir fantasmer en féminisant une personne prénommée Félicia :ninja:

A ce propos, je vous conseille de ne pas avoir un MDP trop simple, ca vous évitera quelques "vols de compte"...

Ne vous étonnez pas aussi quand des vieux compte reprennent une activité soudaine et ont des accès nocturnes de délirium... :grin: . Evitez donc d'en tirer des conclusions sur l'auteur du moment.

Posté(e)
Radovan Karadzic y trouvera une cellule individuelle identique à celle de son maître Milosevic, sous la surveillance de fonctionnaires de l'ONU : 15 m² proprets, un vrai lit, un bureau, une télévision (avec programmes en serbo-croate), un coin toilette et un interphone pour appeler les gardiens. Les chambres ne sont verrouillées que la nuit. Dans la journée, les détenus sont libres de déambuler et de socialiser à leur étage. À la sortie quotidienne en plein air s'ajoutent les activités récréatives, salle de gym, cours d'anglais, initiation à l'ordinateur, baby-foot et même poterie. Le téléphone est collectif, payant et surveillé. L'accès à Internet, cependant, est interdit, «pour raison de sécurité».

Au 1er juillet 2008, il y avait plus de 64 250 détenus (dont 28.1% de prévenus - 3.7% de femmes - 1.2% de mineurs) dans les prisons françaises, pour 50 807 places ; la surpopulation carcérale atteint des niveaux alarmants, surtout dans les maisons d'arrêt (3-4 personnes vivent sur 9 m²). Certains de ces établissements affichent une densité supérieure à 200 % (200 détenus pour 100 places)

morale de l'histoire, quitte à être hors la loi avec le risque de se faire choper par la police, vaut mieux être le commanditaire d'un génocide que le braqueur d'une banque. B)

:patroncestmatournée:

Posté(e)
morale de l'histoire, quitte à être hors la loi avec le risque de se faire choper par la police, vaut mieux être le commanditaire d'un génocide que le braqueur d'une banque. ;)

:patroncestmatournée:

Dans le même ordre d"idée, si tu veux éliminer ta belle-mère pour lui choper l'héritage, il vaut que tu la renverses en bagnole qu'en la faisant exécuter.

Pour le 1er cas et avec du bol, tu risque la correctionnelle alors que dans le 2nd cas tu passes aux assises et tu risques jusqu'à 20 an sde réclusion. B)

Posté(e)

un peu long mais très bon article B)

Paru dans le monde aujourd'hui,

"Nous avons besoin des outrances de Siné", par Jean-Marie Laclavetine

Bernard-Henri Lévy a raison : ce qui compte, ce sont les mots. La moindre des choses, quand on se livre à un réquisitoire aussi violent que le sien, serait donc de citer les phrases de Siné, afin de montrer l'évidence "odieuse, inexcusable, mortelle" de son fanatisme antisémite. Il s'en garde bien, et pour cause. S'il citait les phrases, le lecteur pourrait se rendre compte d'une autre évidence, pointée avec colère par Gisèle Halimi : dans un procès en justice, il n'y aurait strictement aucune chance pour que Siné, sur la base de ces lignes, soit condamné pour antisémitisme. La philosophie médiatique n'en est pas à une simplification ou un amalgame près pour frapper l'opinion. Inutile de discuter : on sait "ce que pensent les amis de Siné", ces "âmes glauques qui tripatouillent dans les histoires de sang, d'ADN, de génie des peuples, de race". De telles phrases n'appellent pas de réponse. Mais quelques commentaires, tout de même.

Il était prévisible que cette affaire suscite les récurrents effets de manche et sonneries de tocsin. Il n'y a là qu'un symptôme supplémentaire d'un triste état de fait : on ne respire plus, dans ce pays. La France pète de trouille, et ça ne sent pas bon. La poltronnerie de la plupart favorise l'autoritarisme de quelques-uns. Toute pensée, toute parole libres sont immédiatement soumises à un feu roulant d'intimidations, de condamnations ronflantes et sans appel. Comme le dit un proverbe japonais : "Le clou qui dépasse appelle le marteau." Malheur à celui qui critique les replis communautaristes, l'invasion massive du religieux dans l'espace public, la défaite annoncée de la laïcité dont le discours de Latran était un avant-goût, les clés des banlieues remises aux barbus par une république capitularde, l'arrogance grandissante des imams et des rabbins, la montée des intégrismes sous couvert de quête légitime d'identité, la politique israélienne ou palestinienne. Antisémite ! Islamophobe !

La rhétorique victimaire, chère à nos dirigeants, est omniprésente. Philippe Val n'est plus un patron de journal qui a licencié arbitrairement un collaborateur : il devient la victime d'une horde déchaînée dont l'oeil perçant du philosophe a saisi les motivations racistes. Ainsi Jean Sarkozy, bien fils de son père en matière d'arrogance, d'opportunisme et de grossièreté, est transformé en victime d'attaques honteuses dignes du Pilori (un journal antisémite sous l'Occupation) ou de la Milice.

Pourquoi le texte de soutien à Siné a-t-il recueilli plus de 2 000 signatures ? Bernard-Henri Lévy feint d'y voir un signe supplémentaire de la montée de l'antisémitisme en France. Les signataires se sentiront légitimement insultés par une telle accusation, qui n'est pas seulement injuste mais aveugle. Il semble que nos penseurs n'aient pas pris la mesure du sentiment d'asphyxie qui gagne de nombreux concitoyens, dans une société de surveillance mutuelle et de soumission générale. A l'heure où les humoristes graveleux et serviles imposent partout leur présence - et jusque dans l'entourage présidentiel -, nous avons besoin, un besoin vital, des outrances et des gueulantes d'un Siné. Souvenez-vous des couvertures qu'osaient publier il y a vingt ans Charlie Hebdo ou Hara-Kiri, et comparez avec ce qui se publie aujourd'hui : le chemin parcouru est atterrant.

OÙ EST L'OPPOSITION ?

Comme le monde est devenu simple ! La vérité nous est assenée jour après jour par une armée de journalistes conformes et de penseurs autorisés, qui nous débitent à toute heure leurs discours identiques. Où est la presse libre ? Où est l'opposition ? Le seul quotidien estampillé de gauche consacre cinq pages à Carla Sarkozy pour la sortie de son disque, dont les chaînes publiques assurent la promotion. La presse satirique a trempé son esprit d'insolence dans les bénitiers communautaires. Pas un organe de presse, pas une chaîne de télévision qui soit désormais en état de faire entendre une voix discordante. Le Parti communiste a disparu entre deux lames du parquet, l'extrême gauche tapine chez Drucker, le Parti socialiste mijote au tout petit feu des ambitions triviales, les syndicats se laissent tondre la laine sur le dos.

Dans une Europe barricadée, la maison France a fermé portes et fenêtres. La police du langage surveille chacune de nos phrases. Nous vivons dans l'obscurité des vérités communes, des hypocrisies admises, des bienséances cathodiques, des peurs silencieuses, des grandiloquences convenables. Comme il est doux de pleurer ensemble à la libération d'Ingrid Betancourt, tandis qu'on laisse crever en silence Marina Petrella dans sa cellule en attendant de refiler son presque-cadavre à notre ami Berlusconi... Ouvrez ! On étouffe, ici !

Jean-Marie Laclavetine est écrivain.

Posté(e)
Notre société régresse. Ce sketch en est la preuve effroyable. Il faut quand même un talent hors du commun pour se livrer à un tel numéro d'acrobate. Quelle gifle!

tout a fait, c'était son talent d'être sur le fil du rasoir et au bout du sketch les doutes se dispersaient .

Posté(e)
je ne

pas d'accord,

le bilan de l'u.e. et le bilan de l'euro sont largement positifs, le passage à l'euro a permis à la france de gagner des marchés et des emplois, le passage à l'euro a globalement été positif pour l'emploi.

Posté(e)

Meurtre de Valentin: le "suspect principal" et sa compagne en garde à vue

AFP -

BOURG-EN-BRESSE (AFP) - Le "suspect principal" et sa compagne, un couple de "marginaux", qui faisaient l'objet d'un mandat de recherche dans le cadre de l'enquête sur le meurtre du petit Valentin à Lagnieu (Ain), ont été interpellés et placés en garde à vue dimanche après-midi en Ardèche. Lire la suite »

Posté(e) (modifié)
L'enquête sur le meurtre du petit Valentin s'est accélérée dimanche avec l'interpellation d'un homme présenté comme le principal suspect, un marginal arrêté dans l'après-midi avec sa compagne en Ardèche.

Stéphane Moitoiret, 39 ans, et sa compagne Noëlla Hego, 48 ans, identifiés grâce à des témoignages et dont les portraits robots avaient été diffusés en fin de matinée par les enquêteurs, ont été interpellés vers 15h à Dornas par des gendarmes de la brigade du Cheylard en Ardèche, selon la gendarmerie.

Stéphane Moitoiret et sa compagne, Noëlla Hego, sont considérés comme les principaux suspects, avait annoncé auparavant le procureur de la République lors d'un point-presse. Le procureur général de Lyon, Jean-Olivier Viout, qui l'accompagnait, a décrit le suspect, dont la dernière adresse connue est Clary (Nord), comme un "psychopathe".

.......

D'ores et déjà, le président Nicolas Sarkozy a adressé ses félicitations aux forces de l'ordre qui "ont su avec professionnalisme et détermination obtenir rapidement des premiers indices déterminants", selon un communiqué de l'Elysée. Le chef de l'Etat "recevra personnellement les enquêteurs à la fin du mois d'août".

Est ce bien adroit d'intervenir alors que ceux ne sont pour le moment que des suspects. Est ce que cela n'ajoute pas de pression aux enquêteurs avec les dérapages possibles que l'on a connu par le passé ( ex de richard roman accusé à tord parce qu'il était marginal d'avoir violé et tué une petite fille et acquitté en 92 et qui s'est suicidé par la suite) :rolleyes:

Modifié par mario

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