sujet Posté(e) 14 mars 2009 Posté(e) 14 mars 2009 pas d'accord avec certains messages. dans certains pays pour avoir droit en plus de la retraite à une petite retraite complémentaire il faut être adhérent d'un syndicat, et donc ça donne 80 % de syndiqués. avec la société de consommation et l'individualisme de mai68, le français est devenu égoïste et donc n'a pas le sens de la solidarité pour adhérer à un syndicat. en france les trois plus gros syndicats sont très politisés. c'est un mélange des genres. la politique il y a des partis pour ça; et il y a une bonne dizaine de partis donc il y en a quasiment pour tous les goûts. certaines organisations syndicales avancent masquées car en réalité elles passent la moitié de leur temps à faire de la basse politique politicienne et polémique et ... une chose qu'on ne dit pas assez c'est que depuis 1967 il y a dans le secteur privé au moins cinq syndicats, et certains sont moins politisés que d'autres. je suis à la fois dans un syndicat (qui lui en général évite de sortir de son rôle) et dans un parti politique, et évidemment je fais attention à ne faire aucune récupération, aucune confusion. bon ça fait une dizaine de lignes sans une vanne, il est temps de revenir au foot, "le foot c'est nul" ! Citer
Flolynyk Posté(e) 14 mars 2009 Posté(e) 14 mars 2009 Baroque dit la même chose que moi Et moi qui pensais que t'étais quelqu'un de presque normal! Citer
golgol Posté(e) 14 mars 2009 Posté(e) 14 mars 2009 Le chanteur, auteur-compositeur-interprète, Alain Bashung est mort cet après-midi à l'hôpital Saint-Joseph à Paris, à l'âge de 61 ans. Malgré le cancer du poumon qui le rongeait, il était parti en tournée l'an dernier avec son album Bleu pétrole, mais ses derniers concerts, prévus en février et mars ont été annulés. Le 28 février dernier, il était apparu trés affaibli lors des Victoires de la musique où il a remporté trois trophées, devenant ainsi l'artiste le plus primé de l'histoire de cette cérémonie http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/ac...-est-mort.shtml Citer
Caramel Posté(e) 14 mars 2009 Posté(e) 14 mars 2009 Ce qui crédibilise vraiment les célébrations telles que les Victoires de la Musique... Qu'il repose en paix. Citer
chronos Posté(e) 15 mars 2009 Posté(e) 15 mars 2009 Hortefeu est en train de dire que si la France était moins touchée par la crise que les autres pays c'était grâce aux premières actions du gouvernement actuel Citer
Bengijol Posté(e) 15 mars 2009 Posté(e) 15 mars 2009 Hortefeu est en train de dire que si la France était moins touchée par la crise que les autres pays c'était grâce aux premières actions du gouvernement actuel ya eu des actions ??? à part les annonces de notre président il y a quelques temps à la télévision. Citer
chronos Posté(e) 15 mars 2009 Posté(e) 15 mars 2009 ya eu des actions ??? à part les annonces de notre président il y a quelques temps à la télévision. Non mais les premières actions d'avant crise, la fiscalité, les heures supp tout ça Citer
Bengijol Posté(e) 15 mars 2009 Posté(e) 15 mars 2009 Non mais les premières actions d'avant crise, la fiscalité, les heures supp tout ça ah ok j'avais mal saisi la notion de premières actions Citer
FF Posté(e) 15 mars 2009 Posté(e) 15 mars 2009 Non mais les premières actions d'avant crise, la fiscalité, les heures supp tout ça L'entendre parler des heures supplémentaires alors qu'à l'heure actuelle les entreprises licencient à tour de bras, ça fait bizarre Citer
kike Posté(e) 17 mars 2009 Posté(e) 17 mars 2009 (modifié) il me semblait qu'il y avait un topic sur le sujet, mais .... http://www.lexpress.fr/actualite/high-tech...use_745851.html Une loi absurde et scandaleuse Par Jacques Attali, publié le 10/03/2009 18:50 - mis à jour le 13/03/2009 14:07 Comme en agriculture, où les riches céréaliers de la Beauce se sont depuis longtemps cachés derrière les pauvres agriculteurs de montagne pour obtenir des subventions, les industries du cinéma et de la musique mettent en avant quelques créateurs et chanteurs, bien vus des puissants, afin de maintenir d'indéfendables rentes de situation. Qu'on puisse, dans la France de 2009, présenter et faire voter au Parlement, avec les voix de toute la droite et d'une partie de la gauche, une loi aussi indigne que celle qui est en débat cette semaine à l'Assemblée nationale, sur le téléchargement Internet, est un signe de plus que les élites politiques et économiques de notre pays ne comprennent plus rien à la jeunesse, à la technologie, à la culture. Un pays où les mots divertissement, art, spectacle, commerce et chiffre d'affaires sont employés de façon indifférenciée. Surveillance générale Cette loi vise à surveiller ceux qui téléchargent gratuitement de la musique ou des films, à leur envoyer une semonce puis une amende, ou à leur interdire l'accès à Internet. Cette loi est absurde et scandaleuse. Absurde, parce que plus personne ne télécharge : on regarde ou écoute en streaming, c'est-à-dire en flux. Absurde, parce que toute volonté de crypter est sans cesse contournée par de nouvelles technologies. Absurde, parce qu'on prétend interdire d'Internet toute une famille, dont certains membres en ont besoin pour leur travail, parce qu'un enfant utilise l'ordinateur commun pour écouter de la musique. Absurde, parce que les vrais artistes n'ont rien à perdre à faire connaître leurs oeuvres, ce qui leur attire de nouveaux spectateurs et les protège, à terme, contre l'oubli. Scandaleuse, parce que cette loi ouvre la voie à une surveillance générale des internautes. Le texte en débat cette semaine à l'Assemblée nationale, sur le téléchargement Internet, est indigne Scandaleuse, parce qu'elle protège les rentes de situation des entreprises des médias, qui ne sont pas incitées à apporter de nouveaux services à leurs clients (paroles des chansons, oeuvres d'artistes inconnus, films en 3 D ou autres innovations), et les privilèges des fournisseurs d'accès, qui devraient, en finançant une licence globale, assurer la rémunération des droits d'auteur, des interprètes, des maisons de disques inventives et des agents artistiques. Scandaleuse, surtout, parce que, pour une fois qu'on peut fournir quelque chose gratuitement à la jeunesse, première victime de la crise, on préfère engraisser les majors de la musique et du cinéma, devenues aujourd'hui cyniquement, consciemment, les premiers parasites de la culture. Comment la gauche, dont la mission est de défendre la gratuité contre le marché, peut-elle se prêter à une telle hypocrisie ? A la fin du XVIIIe siècle, les lois sur les droits d'auteur ont été écrites pour protéger les créateurs contre les marchands. Au milieu du XIXe siècle, telle fut aussi la raison d'être des premières sociétés d'auteurs. Voilà qu'on prétend les utiliser pour protéger les marchands contre les créateurs ! Pire même : voilà qu'on prétend transformer les artistes en avant-garde d'une police de l'Internet où sombrerait la démocratie. Cette loi sera sans doute votée, parce qu'elle est le pitoyable résultat d'une connivence passagère entre des hommes politiques, de gauche comme de droite, toujours soucieux de s'attirer les bonnes grâces d'artistes vieillissants, et des chefs d'entreprise bien contents de protéger leurs profits sans rien changer à leurs habitudes. Cela échouera, naturellement. Pour le plus grand ridicule de tous. Modifié 17 mars 2009 par kike Citer
sujet Posté(e) 17 mars 2009 Posté(e) 17 mars 2009 Et moi qui pensais que t'étais quelqu'un de presque normal! s'il était presque normal il ne pourrait pas être admis chez les roses Citer
NicoPaviot Posté(e) 17 mars 2009 Posté(e) 17 mars 2009 Hé ben, ca fait longtemps que j'ai pas été d'accord avec Attali Citer
Casimir Posté(e) 17 mars 2009 Posté(e) 17 mars 2009 il me semblait qu'il y avait un topic sur le sujet, mais .... http://www.lexpress.fr/actualite/high-tech...use_745851.html Une loi absurde et scandaleuse Par Jacques Attali, publié le 10/03/2009 18:50 - mis à jour le 13/03/2009 14:07 Comme en agriculture, où les riches céréaliers de la Beauce se sont depuis longtemps cachés derrière les pauvres agriculteurs de montagne pour obtenir des subventions, les industries du cinéma et de la musique mettent en avant quelques créateurs et chanteurs, bien vus des puissants, afin de maintenir d'indéfendables rentes de situation. Qu'on puisse, dans la France de 2009, présenter et faire voter au Parlement, avec les voix de toute la droite et d'une partie de la gauche, une loi aussi indigne que celle qui est en débat cette semaine à l'Assemblée nationale, sur le téléchargement Internet, est un signe de plus que les élites politiques et économiques de notre pays ne comprennent plus rien à la jeunesse, à la technologie, à la culture. Un pays où les mots divertissement, art, spectacle, commerce et chiffre d'affaires sont employés de façon indifférenciée. Surveillance générale Cette loi vise à surveiller ceux qui téléchargent gratuitement de la musique ou des films, à leur envoyer une semonce puis une amende, ou à leur interdire l'accès à Internet. Cette loi est absurde et scandaleuse. Absurde, parce que plus personne ne télécharge : on regarde ou écoute en streaming, c'est-à-dire en flux. Absurde, parce que toute volonté de crypter est sans cesse contournée par de nouvelles technologies. Absurde, parce qu'on prétend interdire d'Internet toute une famille, dont certains membres en ont besoin pour leur travail, parce qu'un enfant utilise l'ordinateur commun pour écouter de la musique. Absurde, parce que les vrais artistes n'ont rien à perdre à faire connaître leurs oeuvres, ce qui leur attire de nouveaux spectateurs et les protège, à terme, contre l'oubli. Scandaleuse, parce que cette loi ouvre la voie à une surveillance générale des internautes. Le texte en débat cette semaine à l'Assemblée nationale, sur le téléchargement Internet, est indigne Scandaleuse, parce qu'elle protège les rentes de situation des entreprises des médias, qui ne sont pas incitées à apporter de nouveaux services à leurs clients (paroles des chansons, oeuvres d'artistes inconnus, films en 3 D ou autres innovations), et les privilèges des fournisseurs d'accès, qui devraient, en finançant une licence globale, assurer la rémunération des droits d'auteur, des interprètes, des maisons de disques inventives et des agents artistiques. Scandaleuse, surtout, parce que, pour une fois qu'on peut fournir quelque chose gratuitement à la jeunesse, première victime de la crise, on préfère engraisser les majors de la musique et du cinéma, devenues aujourd'hui cyniquement, consciemment, les premiers parasites de la culture. Comment la gauche, dont la mission est de défendre la gratuité contre le marché, peut-elle se prêter à une telle hypocrisie ? A la fin du XVIIIe siècle, les lois sur les droits d'auteur ont été écrites pour protéger les créateurs contre les marchands. Au milieu du XIXe siècle, telle fut aussi la raison d'être des premières sociétés d'auteurs. Voilà qu'on prétend les utiliser pour protéger les marchands contre les créateurs ! Pire même : voilà qu'on prétend transformer les artistes en avant-garde d'une police de l'Internet où sombrerait la démocratie. Cette loi sera sans doute votée, parce qu'elle est le pitoyable résultat d'une connivence passagère entre des hommes politiques, de gauche comme de droite, toujours soucieux de s'attirer les bonnes grâces d'artistes vieillissants, et des chefs d'entreprise bien contents de protéger leurs profits sans rien changer à leurs habitudes. Cela échouera, naturellement. Pour le plus grand ridicule de tous. Qu'est ce qui lui arrive? Citer
Casimir Posté(e) 20 mars 2009 Posté(e) 20 mars 2009 A la Société générale, les stock-options ne font pas la grève En dépit du code de bonne conduite du Medef, adopté par la majorité des entreprises cotées en Bourse, les dirigeants de la banque se sont vus octroyer des dizaines de milliers de stock-options. «Quand jai entendu cela, jai trouvé cela indécent parce que dans le contexte actuel, [] chaque acteur, chaque partenaire social se doit denvoyer des messages constructifs.» Le porte-parole du gouvernement Luc Chatel était remonté ce vendredi matin. La raison de sa colère? Loctroi par la Société Générale de généreuses stock-options à ses dirigeants ce mercredi. Le président de la banque Daniel Bouton en a ainsi reçu 70.000, les directeurs généraux délégués Didier Alix et Séverin Cabannes 50.000 chacun. Et le record pour le directeur général Frédéric Oudéa: 150.000! Selon Chatel, cette décision est «contradictoire avec le mode de gouvernance» proposé par le Medef. Lorganisation patronale, sous la pression du gouvernement, avait instauré en octobre un «code déthique» sur lindemnisation et le cumul des mandats des dirigeants dentreprises. Un code adopté par une majorité des grandes entreprises françaises cotées en Bourse Pour Luc Chatel, les entreprises doivent tenir compte «de lenvironnement économique du moment» et «de lensemble des salariés: si les dirigeants sen versent, il y a un plan pour lensemble des salariés». Ce jeudi, le Medef avait assuré navoir «ni les moyens ni le désir» de fixer les rémunérations des patrons qui licencient, sur fond de polémique sur la taxation des hauts revenus et sur les émoluments des dirigeants des entreprises renflouées par lEtat. Lu sur Libé.fr Citer
elkjaer Posté(e) 20 mars 2009 Posté(e) 20 mars 2009 (modifié) Il me fait bien marrer Chatel avec ses cris de vierge éffarouchée. C'est pas le gouvenrment qu'il sert qui après un grand battage médiatique sur le thème "nous allons immédiatement faire une loi contre les parachutes dorés et autres scandaleux avantages des dirigeants" a finalement décidé en catimini de laisser le MEDEF "s'autoréguler". On vit vraiment une époque formidable. Modifié 20 mars 2009 par elkjaer Citer
Casimir Posté(e) 20 mars 2009 Posté(e) 20 mars 2009 (modifié) On vit dans un système qui marche sur la tête, je préfère ne pas trop y penser ça va me foutre le moral à Z. Je vais plutôt aller réclamer à mes voisins que je ne connais absolument pas le paiement de mes dettes du poker d'hier soir. Modifié 20 mars 2009 par Casimir Citer
Yoda Posté(e) 25 mars 2009 Posté(e) 25 mars 2009 Merci la Dépêche en ligne du moment L'escroquerie de la pyramide c'est toi ? Citer
Caramel Posté(e) 25 mars 2009 Posté(e) 25 mars 2009 L'escroquerie de la pyramide c'est toi ? Je n'escroque pas les gens moi monsieur. Et de une ! Et de deux ! J'ai trouvé que l'assassinat au crucifix à Lourdes quoi ne pouvait pas s'inventer. Et de trois j'ai pu lire la mésaventure du couple (en particulier du gars) de Gaillac qui n'a pas eu beaucoup de chance... Citer
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