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Ok pour les PPR mais ils sont récents et si mes souvenirs sont exacts ils ne prévoient que des aménagements pour les édifices de particuliers bâtis dans des zones à risque (genre ajout de trappes d'évacuation dans les étages ou le toit en cas d'inondation). J'ai bon ?

Je pense que ce plan s'applique à toutes les constructions dans les zones à risques ! J'ai cru lire aussi que la prise en compte était relativement vieille.

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Aie... :ninja:

Ok pour les PPR mais ils sont récents et si mes souvenirs sont exacts ils ne prévoient que des aménagements pour les édifices de particuliers bâtis dans des zones à risque (genre ajout de trappes d'évacuation dans les étages ou le toit en cas d'inondation). J'ai bon ?

:grin: j'ai fait des PPR

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Oui d'ailleurs par "procédure disciplinaire" il faut probablement entendre "mesures visant à rétablir une certaine discipline afin de continuer d'assurer un soutien efficace et sans failles au pouvoir en place mais de manière moins ostentatoire". Bref, rien de nouveau sous le soleil.

Surtout que Libé qui relaie l'info, c'est pas un journal d'opinion :thumb:

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AZF. Débats autour d'un l'hélicoptère fantôme...

On sait que deux hélicoptères sont passés dans le secteur avant et après l'explosion. Mais y en avait-il un troisième ? Oui, assure la défense, sans convaincre la partie civile.

C'est la grève au lycée Bellefontaine. Les profs râlent, les mamans grognent, les élèves font semblant de s'inquiéter. France 3 et M 6 sont venus filmer le mouvement. Et tout à coup, c'est l'explosion. Et dans le brouhaha, on devine le ronron d'un rotor

Ces documents ont été précieusement conservés depuis 7 ans et demi. Car ils témoignent de la présence d'un hélicoptère. Mais quel hélicoptère ? Denis Heitz était militaire dans l'armée de terre. Il venait de poser son Puma sur la base de Francazal, lorsque l'équipage a ressenti l'explosion. Après son témoignage, on va lui passer le film de France 3 Mais dans la salle d'audience, il n'entend pas les bruits de la machine. On lui propose de réécouter. Avec un casque

« Oui, dit-il, j'ai entendu le bruit caractéristique de mon appareil au roulage. Rrrrreeeuh ! »

Là, on imagine bien le Puma.

« Vous avec entendu le bruit d'un Puma Et vous en avez déduit qu'il s'agissait du vôtre ! » observe Me Daniel Soulez-Larivière. Ce Puma est aussi mystérieux qu'un félin de Patagonie.

Deux experts sont venus à la barre. Ils ont analysé le son enregistré. Ils reconnaissent la « signature » d'un Puma. Sa griffe ? Ils devinent même deux phases, un vol stationnaire, l'autre en descente. Mais pour eux, il paraît difficile d'entendre au collège de Bellefontaine, un hélico qui atterrit à Francazal, à 3,7 km de là

Plus d'échelle depuis Belmondo

Patrick Naylor, professeur à l'Imperial College de Londres, cité par la défense, explique sensiblement la même chose, mais avec un fort accent british. Pour lui, passé 1200 mètres, il est très difficile de percevoir le grognement caractéristique de l'appareil

Conclusion de Me Soulez-Larivière : il y avait un autre Puma, à ce moment-là, au-dessus de Bellefontaine, et on n'a jamais retrouvé le pilote

Un hélicoptère ? Tout le monde l'aurait vu, surtout les employés d'AZF ! conteste Me Stella Bisseuil.

Un deuxième pilote est venu à la barre, le lieutenant-colonel Thierry Chapelier, de la gendarmerie nationale. Lui a décollé cinq minutes après l'explosion, pour une première inspection. « Avez-vous traversé le panache de fumée ? » demande Me Jean-Luc Forget.

« Oui, je suis passé par-dessous le nuage. Il n'y avait pas de turbulences. »

« Si un hélico était passé au moment de l'explosion, il aurait eu toutes les chances de se crasher, non ? » interroge Me Alain Lévy.

« Oui, je n'aurais pas voulu être ce pilote qui accepte que quelque chose explose en dessous ! »

« Aviez-vous une échelle de corde ? » demande Me Forget.

Le militaire, qui entraîne entre autres le GIGN, répond avec le sourire : « Depuis Belmondo, on n'utilise plus d'échelles de corde ! »

Et puis si Bébel avait été là, il aurait empêché l'explosion.

C'est quoi cette histoire ? :blink:

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Le petit Mathys est né hier sur l'A 25, à Steenwerck

Béatrice Trêve: «Aujourd'hui, tout le monde est aux petits soins avec moi. Plus tard, on racontera la vraie histoire à Mathys.» Béatrice Trêve: «Aujourd'hui, tout le monde est aux petits soins avec moi. Plus tard, on racontera la vraie histoire à Mathys.»

| INSOLITE |

Intervention hors du commun, hier matin, pour deux agents de la directio

n interdépartementale des routes. Sur l'A25 embouteillée, Alex Lefebvre et Manu Debreu ont assisté à la naissance du petit Mathys. Lui et sa maman, domiciliés à Eecke, se portent bien.

PAR RAPHAËLLE REMANDE ET MARIE JANSANA

hazebrouck@lavoixdunord.fr Prénom : Mathys date et lieu de naissance : 9 avril, sur... l'A 25. Peu après 7 h 30, hier matin, sa maman Béatrice Trêve, originaire d'Eecke, lui a donné le jour, sur l'autoroute au niveau de Steenwerck. Pris dans un embouteillage, elle et son mari n'ont pu atteindre à temps la maternité d'Armentières. Un accouchement sans assistance qui s'est bien terminé. « Si ça avait été mon premier, j'aurais paniqué », témoigne Béatrice Trêve, bientôt 30 ans et déjà maman de deux petites filles.

Deux agents du service de la direction interdépartementale des routes, basé à Steenvoorde, se trouvaient au même endroit, à cette heure-là, en raison du bouchon justement. Ils s'étaient rendus sur place pour signaler le ralentissement d'une dizaine de kilomètres, causé par un camion en panne au niveau de La Chappelle-d'Armentières.

Emmailloté dans des serviettes

« Ils ont vu arriver une voiture en catastrophe qui s'est garée sur la bande d'arrêt d'urgence », témoignait hier leur supérieur Jean-Noël Boignard. « La dame avait pas mal de contractions, elle m'a dit qu'elle n'irait pas plus loin », raconte Alex Lefebvre. La voiture a été mise en sécurité devant le véhicule de patrouille. Le temps que son collègue Manu Debreu téléphone aux secours, « le bébé était déjà là ». « Le papa tenait la tête. C'était un petit gars.

» Il aide le papa à l'emmailloter dans des serviettes de toilette. « J'ai donné une couverture de survie à la maman qui avait froid et je l'ai aidée à s'allonger. Elle était assise sur le siège avant », raconte encore Alex Lefebvre, bailleulois et papa de deux grands enfants, qui avait « un peu oublié » les accouchements. Il minimise son rôle de « héros », assurant juste qu'il a fait une bonne action et aidé, avec son collègue, à rassurer les parents. « On est plus habitué à voir des bouchons ou des gens qui perdent la vie, que des naissances. Cela nous fera un bon souvenir. On souhaite à ce bébé longue vie et on félicite les parents. » Une patrouille du poste de CRS de Steenvoorde est arrivée dans la foulée, avant d'être rejointe par une équipe du SAMU d'Armentières et par les pompie rs. La petite famille a pu alors rejoindre l'hôpital. La maman est en pleine forme, comme le bébé : « C'est vrai que ça fait drôle d'accoucher comme ça, la voiture est toute petite ! Mais de toute manière, je ne voulais pas de péridurale. » Béatrice Trêve ne pensait pas qu'elle accoucherait aussi vite. Elle a ressenti les premières contractions vers 2 h. Mais a préféré attendre. « J'avoue, c'est un peu de ma faute mais je ne voulais pas réveiller mes filles aînés, qui ont seulement 4 et 2 ans. » Elle s'est finalement décidée à partir vers 7 h, et là tout s'est enchaîné. « Aujourd'hui, tout le monde est aux petits soins avec moi. Plus tard, on racontera la vraie histoire à Mathys, qu'il est venu au monde sur l'autoroute. » Un événement rare : « À ma connaissance, c'est la première fois que cela arrive, et je travaille ici depuis vingt-sept ans », souriait Jean-Noël Boignard, de la DIR, hier.

interrogé à froid, l'heureux papa a pu livrer ses impressions:

"on avait la pression, on voulait faire un truc sensationnel, faut bien avouer que Floolf avait placé la barre très haute; on savait que ce serait pas évident de trouver une idée d'accouchement qui nous permette de passer dans les pages régionales du canard nous aussi! c'est ma femme qui a eu l'idée, quand elle a senti que le petit arrivait, elle s'est retenue jusqu'à l'heure de pointe pour être bien sûre qu'on resterait coincés dans les bouchons...la suite, vous connaissez hein?!"

> Lire aussi en pages Région.

:ninja:

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et moi qui me demandait si il y aurait des courageux pour aller au bout de l'article :(

Je ne l'aurais pas fait sans l'intervention de Franfrou, mais je comptais laisser un message en rapport. Trop tard, tu as tué ma blague avant même que je n'y pense. :grin::lol2:

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Je ne l'aurais pas fait sans l'intervention de Franfrou, mais je comptais laisser un message en rapport. Trop tard, tu as tué ma blague avant même que je n'y pense. :grin::lol2:

tu n'es pas assez rapide pour etre rose -_-

travailler la souris tu dois :(

Modifié par mario
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Près de 90% des Français opposés à un vin rosé obtenu à partir de rouge et de blanc

Près de neuf Français sur dix (87%) refusent la production de vin rosé obtenu à partir de vin rouge et de vin blanc, selon un sondage Ifop paraissant dans "Sud Ouest Dimanche" et "Le Midi Libre", alors qu'un projet de directive européenne prévoit d'autoriser un tel mélange. Lire la suite l'article

Seuls 14% des Français se déclarent prêts à acheter ce type de vin coupé, selon le sondage. Une large majorité (61%) affirme même être certaine de ne pas en acheter.

L'interdiction d'utiliser le coupage pour le vin de table rosé produit dans l'Union européenne a été levée par la Commission en janvier dernier. Le rosé français pourra cependant bénéficier d'un étiquetage spécifique "rosé traditionnel" afin de le distinguer des rosés fabriqués par coupage de vins rouge et blanc, a précisé Bruxelles le 25 mars.

Le rosé produit actuellement en France est obtenu par des méthodes de vinification spécifiques à partir de raisins rouges à jus incolore ou peu coloré.

- sondage réalisé par téléphone du 2 au 3 avril auprès d'un échantillon de 1.010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. AP

:grin:

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Plusieurs personnalités qui ont affiché leur soutien à Nicolas Sarkozy pendant la campagne de 2007 sont distinguées : Vincent Bolloré, promu commandeur, a notamment prêté son yacht au président de la République juste après son élection. L'écrivain Max Gallo, également nommé commandeur, a prononcé l'un des premiers discours du quinquennat Sarkozy, le réalisateur et producteur Dominique Faruggia, soutien fervent du candidat Sarkozy est promu chevalier.

pantomine :grin:

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