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connemara

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Surtout que franchement, ce qu'ils ont fait, c'est pour moi pire que télécharger pour soi de la musique en P2P. Eux en ont tiré profit et c'est encore plus grave vis-à-vis de l'artiste...

C'est clair. Et puis leur argument à deux balles de "on a pas fait exprès" ne tient pas une seconde la route. Quand on organise des manifestations publiques on sait qu'il y a des règles à respecter : droits d'auteur, délcaration à la préfecture etc.

Et puis nul n'est censé ignorer la loi, certainement pas le parti au pouvoir. :blush-anim:

ça me débecte tout ça. :angry:

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Surtout que franchement, ce qu'ils ont fait, c'est pour moi pire que télécharger pour soi de la musique en P2P. Eux en ont tiré profit et c'est encore plus grave vis-à-vis de l'artiste...

avec tous ce qu'ils font pour la france, ils peuvent de temps en temps avoir des manquement non -_-

:grin:

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«Je pars pour protéger la Société générale»

Le PDG de la Société générale de 1997 à 2008, président de conseil depuis un an, Daniel Bouton a choisi de démissionner. Il explique cette difficile décision dans un entretien au Figaro.

LE FIGARO. - Pourquoi avez-vous décidé, aujourd'hui, de démissionner de la présidence de la Société générale ?

Daniel BOUTON. - J'ai effectivement remis ma démission. Le conseil d'administration élira le 6 mai prochain un nouveau président. Je me suis en fait régulièrement posé la question de mon départ depuis l'affaire Kerviel, en janvier 2008. À l'époque, j'avais présenté ma démission au conseil, qui l'avait refusée. Il avait été décidé que je conduirais l'augmentation de capital, qui a été un succès malgré les circonstances. Puis, en mai 2008, un nouveau directeur général a été nommé, Frédéric Oudéa, tandis que j'ai conservé la présidence dans le but de créer les conditions d'une transition harmonieuse. Or, Frédéric s'avère être un directeur général de grande qualité. Je suis donc aujourd'hui certain que je peux partir en laissant la Société générale entre de très bonnes mains.

Mais vous partez cependant aussi sous la pression des attaques régulières dont vous avez fait l'objet depuis quinze mois

Je fais le choix de m'en aller maintenant pour protéger la banque. Je suis devenu la cible d'attaques incessantes qui finissent par nuire à cette entreprise à laquelle je suis très attaché. Comme tout dirigeant, j'ai ­certainement commis des erreurs et j'ai pu être maladroit, je le reconnais. Mais les critiques dont je suis la cible me sont devenues insupportables et il faut pour la banque ramener la sérénité. Si mon départ peut y contribuer, tant mieux.

Comment avez-vous vécu les critiques venues de la classe politique ?

Il faut distinguer deux périodes. Pour la première, consécutive à la fraude Kerviel, je préfère ne pas faire de commentaires Pour ce qui s'est passé depuis la catastrophe Lehman Brothers en septembre dernier, je crois surtout qu'il est indispensable que banques et pouvoirs publics travaillent main dans la main. En France, heureusement, le système continue de fonctionner correctement : les banques financent effectivement l'économie, sans rupture brutale du crédit, et en bonne collaboration avec René Ricol et ses équipes. C'est cela qui important. Et c'est d'ailleurs à cela que je travaille, passionnément, depuis plusieurs mois.Alors, oui, les critiques contre les banques me semblent malvenues. Même si nous avons commis des erreurs. Et même si je comprends combien la tentation du bouc émissaire peut être forte en période de crise aiguë, comme celle que nous traversons.

Comment expliquez-vous que la Société générale ait été plus particulièrement visée ?

Il existe clairement une hypersensibilité depuis l'affaire Kerviel. Et je regrette de n'avoir pas su mieux convaincre l'opinion, notamment les jeunes sur Internet, qu'il ne s'agissait de rien d'autre que d'une vulgaire fraude commise par un dissimulateur de grand talent qui a mis en risque des dizaines de milliards d'euros.

Mais il n'y a pas eu que cela. Plus récemment, ce sont les stock-options des dirigeants - les vôtres - qui ont défrayé la chronique J'ai fait une erreur : celle de ne pas avoir refusé ce plan de stock-options. Le comble étant que les options sont à mon sens les instruments les mieux adaptés à la situation actuelle : elles permettent d'associer, sans trop grever les coûts de l'entreprise, des milliers de personnes à la traversée de la tempête. D'autres banques de la place avaient d'ailleurs fait ce même choix.

Lors de ces différents épisodes, avez-vous, vous et la banque, été soutenus, par vos pairs, par la place, mais aussi par vos concurrents ? Ou ceux-ci ont-ils été tentés de profiter de la situation ?

De façon constante, j'ai connu le soutien exceptionnel de milliers de collaborateurs de la Société générale. Je les en remercie profondément. Cela a été, à titre personnel, extrêmement important. Cela prouve aussi combien la cohésion des salariés dans cette banque est puissante.Quant à ce qui relève de la place, il faut distinguer les époques. Dans la foulée immédiate de l'affaire Kerviel, quand la survie de la Société générale aurait pu être menacée, la solidarité a été sans faille. L'ensemble des banques internationales a reconnu l'extrême résistance de la Société générale face à un sinistre de cette ampleur.Ensuite, au printemps 2008, certains ont pu espérer un découpage, ou même la disparition de notre banque Enfin, depuis septembre dernier, il existe une très forte unité de vues entre banques françaises quant à la façon d'affronter collectivement la crise.

Vous avez évoqué les erreurs des banquiers. Quelles sont-elles ?

Nous n'allons pas refaire aujourd'hui l'histoire de la crise. Je ne citerai donc que deux exemples. D'abord, le subprime. Début 2007, la plupart des banques dans le monde, et leurs autorités de tutelle, avaient conscience que le cycle du crédit touchait à sa fin. Mais nous n'avons pas vu cette béance dans le système, et dans sa régulation, qu'était la capacité offerte à n'importe quel établissement aux États-Unis de distribuer des crédits hypothécaires à n'importe qui. Ensuite, à la Société générale et ailleurs, nous utilisions des systèmes de mesure du risque extrêmement sophistiqués mais viciés par une erreur conceptuelle : ils n'intégraient pas l'hypothèse d'une crise de liquidité à grande échelle comme nous l'avons connue.

Comprenez-vous les mesures d'encadrement des rémunérations des banquiers et de réforme de celles des opérateurs de marché qui ont été décidées au niveau politique ?

S'agissant des dirigeants, nous sommes manifestement engagés dans une chasse aux symboles. Pour ce qui concerne les opérateurs de marché, la réforme me paraît d'autant plus valide qu'à la Société générale j'avais moi-même demandé, dans la rémunération des cadres supérieurs, la prise en compte d'éléments de risque et l'éta­lement des paiements. Nous étions l'une des deux banques dans le monde à avoir un tel ­système, que nous devons désormais élargir à davantage de collaborateurs.

Craignez-vous que l'on aille trop loin dans la remise en cause du secteur financier ?

Ce qui a été fait depuis dix ou quinze ans ne doit pas être piétiné. De formidables opportunités de développement ont été créées pour l'économie mondiale. La croissance, pendant cette période, a permis la création d'une classe moyenne dans beaucoup de pays. Le risque, aujourd'hui, c'est que ce mouvement s'interrompe. La crise actuelle signifie que, chaque jour, 100 000 emplois sont détruits dans les pays émergents. Le vrai danger est là. Et notre devoir, c'est de nous assurer que ne se produira pas un retour aux protectionnismes, un retour à un monde où les hommes, les biens et les flux financiers ne circuleraient plus.

Quel bilan, rapide, faites-vous de vos années Société générale ?

Celui, justement, d'avoir participé à ce développement, de l'avoir accompagné en soutenant et finançant nos clients français et étrangers. Certains pays connaissent aujourd'hui des difficultés. Mais j'ai une grande confiance dans leur capacité à retrouver, sitôt les palliatifs à la crise mis en place, le chemin d'une croissance plus forte que dans les pays développés. La stratégie de la Société générale a été d'investir sur ces nouveaux marchés les bénéfices réalisés par nos réseaux français - Société générale et Crédit du Nord - et par la formidable machine à résultats qu'est notre banque de marchés. Nous avons ainsi construit une base de développement en accompagnant l'émergence d'une classe moyenne. J'en suis particulièrement fier. Mon autre grande satisfaction, c'est l'adhésion des salariés ainsi que le recrutement de dizaines de milliers de jeunes de toutes origines. À la Défense, dans la même tour, se côtoient chaque jour les traders et les collaborateurs du réseau. Cette cohésion-là est propre à la Société générale. Et elle a même résisté à Jérôme Kerviel ! Nos 160 000 salariés peuvent être fiers de leur maison. C'est un beau navire, avec un bon capitaine, armé pour affronter la période extrêmement ventée du moment.

Quels sont vos projets pour l'avenir ?

Je vais d'abord prendre quelques mois, pour réfléchir et pour consacrer du temps à mes petits-enfants. Ensuite, je compte de nouveau être utile à l'économie de mon pays mais ce ne sera pas forcément là où l'on peut l'attendre.

À combien s'élèvent vos indemnités de départ ?

Zéro !

Je dis ouf à la dernière phrase...

Modifié par pioupiou100282
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Grippe mexicaine - La Californie en alerte avec un décès suspect

Mardi soir, Barack Obama a exhorté le Congrès à débloquer 1,5 milliard de dollars pour renforcer les capacités de réaction des Etats-Unis face à une potentielle aggravation de l'épidémie de grippe mexicaine. Il faut dire que les dernières nouvelles peuvent paraître alarmantes pour les pouvoirs publics. Les autorités en Californie (ouest) enquêtent sur les causes d'un décès récemment constaté dans la région de Los Angeles et qui pourrait être lié à la grippe porcine, tandis que l'état d'urgence a été proclamé dans l'Etat américain le plus peuplé. Des analyses sont en cours pour déterminer les causes de la mort d'une personne dans le sud-est du comté de Los Angeles, tandis que la grippe porcine a été écartée comme cause d'un décès initialement qualifié de suspect par l'institut médico-légal régional, selon les autorités sanitaires.

Jusqu'ici, sur une soixantaine de cas aux Etats-Unis, 11 ont été identifiés en Californie, qui partage avec le Mexique l'une des frontières les plus franchies au monde: dix dans le sud de l'Etat et un dans la région de Sacramento, la capitale administrative à 800 km au nord de la frontière. Face à cette menace, le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger a proclamé mardi l'état d'urgence, mesure "qui va permettre de soutenir et de faciliter la riposte de notre département de la santé publique face à cette épidémie", a indiqué son bureau. "Bien qu'il n'y ait pas de raison de s'alarmer, la priorité du gouverneur est de limiter la propagation de la grippe porcine et cette action représente une nouvelle étape pour renforcer les capacités de réaction de Californie", selon la même source.

Et c'est qui qui est au sud est de Los Angeles, c'est bibi :grin:

J'ai déjà un pote qui se fait rapatrier en Slovaquie dans 2 jours à cause de la grippe porcine ...

Moi je me casse dans 4 jours .... -_-

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C'est moi ou y a quand même non-respect de la présomption d'innocence dans le procès Viguier?

Il n'a pas été jugé coupable encore...

Bon ceci dit, il cumule les petits détails louche :

Du sang dans la baignoire, du sang retrouvé dans le salon, le matelas du clic-clac où elle dormait qui disparait, un jogging le jour de la disparition alors qu'il n'en faisait jamais, dire auprès de ses élèves que le crime parfait existe, etc etc

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C'est moi ou y a quand même non-respect de la présomption d'innocence dans le procès Viguier?

Béh déjà ce que je pige pas, c'est un procès de Cour d'Assises pour meutre, alors que pour un meurtre, faut un corps... Soit la loi a changé, soit il y a un truc que j'oublie... :ninja:

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Il n'a pas été jugé coupable encore...

Bon ceci dit, il cumule les petits détails louche :

Du sang dans la baignoire, du sang retrouvé dans le salon, le matelas du clic-clac où elle dormait qui disparait, un jogging le jour de la disparition alors qu'il n'en faisait jamais, dire auprès de ses élèves que le crime parfait existe, etc etc

Régloz :ninja:

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Je me sens un peu vexé de pas comprendre une blague nulle... :ninja:

Dalloz est un éditeur de codes et d'ouvrages juridiques :lol2:

Vu que je n'ai pas compris le regloz de Caramel j'ai corrigé son post avec Dalloz vu qu'il parlait de l'affaire Viguier.

Ces ariégeois, faut tout leur expliquer... :ninja:

Modifié par Yoda
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Dalloz est un éditeur de codes et d'ouvrages juridiques :lol2:

Vu que je n'ai pas compris le regloz de Caramel j'ai corrigé son post avec Dalloz vu qu'il parlait de l'affaire Viguier.

Ces ariégeois, faut tout leur expliquer... :ninja:

Effectivement elle est nulle. :ninja:

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Béh déjà ce que je pige pas, c'est un procès de Cour d'Assises pour meutre, alors que pour un meurtre, faut un corps... Soit la loi a changé, soit il y a un truc que j'oublie... :ninja:

Bah non, souviens toi l'année dernière, le mec qui a été jugé pour le meurtre d'une héritière sur la Côte d'Azur, alors qu'on a jamais vu de corps...J'étais persuadé qu'il serait disculpé, sur ce simple fait, mais non, même pas. Le faisceau de preuves convergentes a suffit... :ninja:

Voila, l'affaire Agnelet : http://afp.google.com/article/ALeqM5j9MAij...AgU_n4Pj4OSPVFg

Modifié par BigBros
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