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connemara

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Invité Patcoco
Posté(e)
en fait, ils ont pas apprécié la valse pour ouvrir la soirée ; je dis ça je dis rien, mais il y en a qui devrait faire attention ^_^

:ninja:

Tu l'avais mis trois fois pour qu'il comprenne bien :ninja:

Posté(e)
J'ai également du mal avec ça. Comment applaudir un homme sur lequel des doutes pèsent encore ? Je ne sais pas qui l'a applaudi, mais des amis étnt à l'Arsenal m'ont dit qu'ils applaudiraient juste parce que c'est un bon prof... Je trouve ça effrayant... ^_^

C'est pas juste un bon prof, pour l'avoir eu plusieurs fois, vous n'avez pas idée de la qualité des cours de ce mec, c'est un truc inimaginable. Forcément, ça séduit les étudiants et ça nous plonge dans une sorte de vénération qui nous fait penser que c'est d'intérêt général que ce type, fut-il un tueur, continue à donner des cours :ninja:

Un pote l'a eu pendant un an. Je me souviens pas exactement la période mais ca devait être en 2001-2002.

Il me disait pareil sur la qualité du prof. Ses cours sont passionnant.

Il a passé un oral avec lui, seul dans la pièce ( :ninja: ). Selon ses mots ce mec est une véritable tombe ! Que tu balances une énorme saucisse ou un truc super intelligent il réagira de la même façon. Il ne laisse rien transparaitre.

La bise à Mme Mouanes.

;)

-_-

Posté(e)
Publié le 08/05/2009 09:02 - Modifié le 08/05/2009 à 09:57 | LaDepeche.fr

Fonctionnaires : 35 000 suppressions de postes en 2010

Social. Le non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux entraînerait 35 000 suppressions de postes en 2010. Du jamais vu.

Les suppressions de postes de fonctionnaires devraient atteindre un niveau sans précédent en 2010. Le gouvernement prévoit de tailler dans le vif, la saignée étant susceptible de se traduire par la soustraction de 33 000 à 35 000 postes avec le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

Le ministre du Budget éric Woerth, qui a commencé cette semaine à négocier, on l'imagine âprement, avec ses principaux collègues, leur « plafond d'emploi », leur a rappelé cet objectif des 50 % de non-remplacements.

Une feuille de route fixée au gouvernement et à laquelle le Président de la République entend qu'on se tienne sans faiblir.

La résorption du déficit, encore un peu plus creusé par la crise économique qui rogne les rentrées fiscales de l'état, ne devant pas passer par la hausse des impôts, ce sera forcément par une baisse des dépenses publiques, a martelé en substance Nicolas Sarkozy dans son tout récent discours de Nîmes.

Aussi bien le Président qu'éric Woerth ne perdent pas une occasion de répéter la règle inscrite dans la Révision générale des politiques publique (RGPP) avec son cortège de coupes claires annoncées.

« Faudrait-il par exemple arrêter le non-remplacement des départs à la retraite à cause de la crise ? On ne résout pas une crise, aussi importante soit-elle, en créant des dépenses pérennes pour 30 ans », a ainsi déclaré lundi encore éric Woerth, lors d'un colloque.

« La modernisation de la fonction publique est indispensable. Avec les nombreux départs à la retraite, il y a une opportunité démographique unique de la réaliser sans drame : s'arrêter n'aurait aucun sens », ajoutait-t-il dans la foulée.

Or, l'application stricte de la doctrine risque de faire très mal. D'autant que l'effort sera inégalement réparti, la mobilisation dans différents secteurs (la justice avec les prisons, l'enseignement et la recherche pour ne citer que les plus chauds) n'augurant pas de diminutions d'effectifs.

Et ladite règle n'a jamais été appliquée à la lettre depuis qu'elle a été édictée en 2007, à l'orée du mandat sarkozien (voir ci-dessous).

L'amenuisement des effectifs n'a pas suivi le rythme des départs à la retraite des agents publics qui s'est pourtant accéléré ces dernières années avec l'arrivée en fin de carrière des baby boomers.

Tablant sur le départ à la retraite de 68 500 fonctionnaires d'état, en 2010, les fonctionnaires de Bercy ont donc calculé que l'application rigoureuse de la « norme » des 50 %, conduirait mathématiquement à cette fourchette de 33 000 à 35 000 suppressions de postes. Trois fois plus qu'en 2007 et près de 50 % de plus qu'en 2008

En vue des prochaines journées d'action voilà qui apportera de l'eau au moulin du « G8 syndical » dont l'union paraissait faiblir. La défense du service et de l'emploi public est au cur de leurs revendications. Jean Savaric

Coupes claires : toujours plus

Plus de 11 000 postes de fonctionnaires avaient déjà été supprimés en 2007. Ce chiffre avait doublé en 2008, près de 23 000 postes disparaissant. Après l'éducation (- 11 200 postes), c'est la Défense qui avait payé le plus lourd tribut aux réductions d'effectifs (6 037). Les locataires du ministère des Finances, Christine Lagarde et éric Woerth, venaient ensuite avec 2 600 suppressions inscrites dans le contrat de modernisation de Bercy. Et Michèle Alliot-Marie, à l'intérieur, perdait 2 300 emplois. Jean-Louis Borloo était un peu moins mal loti à l'écologie, au développement et à l'aménagement durables avec 1 200 suppressions de postes. Seules l'éducation et la justice échappaient à la « règle » du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Au total, pour 2008, le taux de non-remplacement avait plafonné à 33 %, les ministres ayant fait de la résistance. En 2009, avec 30 500 suppressions, ce taux était passé à 44 %. Et en 2010, avec un nombre de départs à la retraite prévus du même ordre (un peu moins de 69 000) on arriverait donc à 35 000 suppressions avec la stricte application de la « règle » des 50 %.

Peu de ministères y couperont

Peu de ministères devraient échapper à l'application de la règle du « 1 sur 2 », le non-remplacement de la moitié des départs à la retraite dans la fonction publique, constamment rappelée par l'élysée, en dépit d'une crise qui paraît pourtant appeler un retour de l'état protecteur et employeur.

Universités -Elles auraient dû renoncer à 450 postes l'an prochain, mais ne devraient en perdre en définitive aucun. Même si la fronde continue dans les facs, où on lui demande de renoncer à ses réformes, la ministre Valérie Pécresse a bel et bien reculé devant la mobilisation des enseignants chercheurs.

éducation nationale- Elle n'appliquera pas non plus la « règle » à la lettre. Là, on remplacera encore 62 % des départs à la retraite cette année.

Bref, pour atteindre en 2010 l'objectif assigné par le sommet de l'état, certains ministères devront consentir un surcroît d'effort.

Justice -Même situation et mêmes effets ici qu'à l'éducation : à la Justice (2 054 départs prévus en 2010), l'exaspération manifestée de façon massive et musclée, partout en France par les personnels de la pénitentiaire devrait se traduire globalement, au final, par un maintien des effectifs dont les personnels ne se satisfont pourtant pas, les mesures annoncées étant, selon eux, sans rapport avec l'accroissement de la population carcérale (lire ci-dessous).

économie- Bercy devrait montrer l'exemple avec un taux qui, comme en 2009, pourrait avoisiner 55 % de non-remplacement des départs à la retraite.

Défense, écologie, Quai d'Orsay- Les militaires seront encore en première ligne. Et le ministère du Développement durable de Jean-Louis Borloo ne devrait pas y couper. Pas plus que les fonctionnaires des Affaires étrangères sous la tutelle de Bernard Kouchner.

Ceux qui travaillent dans la fonction publique vont en chier dès l'année prochaine. :shock:

Posté(e)
on en chie déjà :shock:

C'est clair moi comme maitre de conférences, je pense un tiers de mon temps à faire de la saisie avec un bac + 8 parce que les secrétaires sont débordées. Et l'autre qui veut supprimer des postes dans l'enseignement sup et augmenter les heures de cours... :)

Posté(e)
C'est clair moi comme maitre de conférences, je pense un tiers de mon temps à faire de la saisie avec un bac + 8 parce que les secrétaires sont débordées. Et l'autre qui veut supprimer des postes dans l'enseignement sup et augmenter les heures de cours... :unsure:

quant à moi je peux pas prendre mes congés à cause du boulot, la badgeuse explose, et je suis obligé d'ouvrir un compte épargne temps

Posté(e)
quant à moi je peux pas prendre mes congés à cause du boulot, la badgeuse explose, et je suis obligé d'ouvrir un compte épargne temps

c'est quoi un compte épargne temps? lorsque je bossais au ministère comme cadre, je faisais 50 heures par semaines au moins mais je ne pouvais récupérer que 20 heures par mois maximum.

Posté(e)
C'est clair moi comme maitre de conférences, je pense un tiers de mon temps à faire le con sur un forum de foot avec un bac + 8 parce que les secrétaires sont débordées. Et l'autre qui veut supprimer des postes dans l'enseignement sup et augmenter les heures de cours... :ninaj:

c'est pas faux :unsure:

Posté(e)
c'est quoi un compte épargne temps? lorsque je bossais au ministère comme cadre, je faisais 50 heures par semaines au moins mais je ne pouvais récupérer que 20 heures par mois maximum.

c'est un compte où tu mets tes jours de congés que tu ne peux pas prendre afin de ne pas les perdre définitivement. Après tu peux prendre ces congés quand tu veux. J'avoue ne pas comprendre ce transfert puisque finalement cela revient au meme. Sinon il m'arrive de perdre aussi des recups faute de pouvoir les prendre.

Une petite fille de 2 ans est tombée jeudi soir de la fenêtre du cinquième étage d'un immeuble près du square de Montholon, dans le IXème arrondissement de Paris. Une chute d'une douzaine de mètres dans le vide. Elle a été sauvée d'une mort certaine par des sans-abris qui ont pu amortir sa chute.

Alerté par des cris de SDF qui se trouvaient dans un abribus, un touriste russe qui passait au même moment a pu amortir la chute de la fillette. Blessée à la tête et à la hanche, cette dernière a été hospitalisée.

Gardée par ses grands-parents, l'enfant jouait vers 22 heures avec son frère, âgé de trois ans, dans un appartement de la rue Montholon. Son frère avait ouvert la fenêtre donnant sur la rue. La fillette s'est penchée et a perdu l'équilibre.

:unsure: merci les SDF

Posté(e)

article 20minutes

La statistique qui fâche. Un enfant sur trente ne serait pas celui du conjoint déclaré. Cest la revue scientifique The Lancet» qui lâche cet obus après que des chercheurs qui étudiaient des maladies génétiques ont dû écarter 10% des échantillons en raison «de discordances de filiation».

Cest le «JDD» qui reprend linformation dimanche matin en relancant le débat sur els test de paternité. «Les progrès de la génétique ont boosté le recours à la science pour déterminer la filiation. Sans parler dInternet», relève le bihebdomadaire.

ouf heureusement que je ressemble à mon père :lol2:

:rolleyes:

Posté(e)
Le 27 février 2008, un enseignant marseillais de 47 ans assiste à un contrôle didentité à la gare Saint-Charles, à Marseille (Bouches-du-Rhône).

Comme le contrôle lui semble musclé, il intervient.

Et se met ainsi à crier, à deux reprises : «Sarkozy, je te vois», selon Le Parisien.

Des cris qui provoquent lamusement des passagers qui assistent à la scène.

Seulement, ce jour-là, les policiers ne goûtent guère lhumour de lenseignant.

Les policiers, qui se sentent gênés par lenseignant, lemmènent au commissariat et lui dressent un procès-verbal, précise Le Parisien.

Les policiers affirmant que «par la durée et la répartition de ses cris», l'enseignant a porté atteinte à la tranquillité publique, contrevenant ainsi à l'article 13-37 du code de la santé publique.

Lenseignant, qui pensait que laffaire était classée, a reçu le 20 avril dernier une convocation à comparaître, le 19 mai, devant un juge de proximité, toujours selon Le Parisien.

Selon son avocat, Me Philippe Vouland, le motif des poursuites a changé : il est désormais reproché à son client un «tapage injurieux diurne troublant la tranquillité d'autrui», délit passible d'amende selon l'article R 632-1 du Code pénal.

Me Vouland va plaider la nullité de la citation, car, explique-t-il «parler plus fort que de raison dans une gare comme Saint-Charles, en pleine heure de pointe, ne peut en aucun cas constituer une contravention».

Votez utile :rolleyes:

Posté(e)
Votez utile :rolleyes:

Pas cool. L'an dernier, j'ai essuyé des reproches de la part de la police, parce qu'en leur présence j'avais engueulé l'organisateur des soirées techno, à fond 24h sur 24, à 15 mètres de chez moi. Les murs des immeubles vibraient tout autour. Ca avait duré plusieurs semaines avant qu'il y ait une intervention. Je précise que j'habite en ville. Il a fallu presque que je m'excuse sur le coup. Je m'en suis tiré en disant que ce régime 24h sur 24, me rendait fou.

Posté(e)
Pas cool. L'an dernier, j'ai essuyé des reproches de la part de la police, parce qu'en leur présence j'avais engueulé l'organisateur des soirées techno, à fond 24h sur 24, à 15 mètres de chez moi. Les murs des immeubles vibraient tout autour. Ca avait duré plusieurs semaines avant qu'il y ait une intervention. Je précise que j'habite en ville. Il a fallu presque que je m'excuse sur le coup. Je m'en suis tiré en disant que ce régime 24h sur 24, me rendait fou.

Fallait laisser entendre que tu avais des relations à l'UMP, ils auraient nettoyé tout ce beau monde au canon à eau.

Posté(e)
Fallait laisser entendre que tu avais des relations à l'UMP, ils auraient nettoyé tout ce beau monde au canon à eau.

J'habite pas Neuilly, mais dans un quartier bobo normal.

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