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Deux avions de combat Rafale de la marine française se sont abîmés en mer Méditerranée, jeudi, à une trentaine de kilomètres au large de Perpignan vers 18 h15. Le pilote de l'un d'eux a pu être repêché, a annoncé la Marine nationale dans un communiqué. Lire la suite l'article

Les deux avions, qui appartiennent à la flotille 32 F stationnée à Landivisiau (Finistère), étaient embarqués sur le Charles de Gaulle et participaient à une mission d'entraînement. D'importants moyens aériens et nautiques ont été immédiatement déployés sur zone pour rechercher les deux pilotes, dont l'un a été repêché. Les opérations de recherche sont coordonnées par la préfecture maritime de la zone maritime Méditerranée et se poursuivent pour retrouver le second pilote. Ces moyens sont composés d'une vedette de la SNSM (Société nationale de sauvetage en mer), un hélicoptère de la sécurité civile de Perpignan, un hélicoptère de service public Dauphin de la base d'aéronautique navale d'Hyères, deux Dauphin et un avion de guet aérien Hawkeye du porte-avions Charles de Gaulle et un avion de patrouille maritime ATL2 de la base d'aéronautique navale de Nîmes-Garons.

Selon nos premières informations, cet accident pourrait présenter certaines similitudes avec celui qui s'est produit voici deux ans, entre deux Super-Etendard de cette même base de Landivisiau . Cet accident est le second impliquant la perte de Rafale. Le premier s'est produit le 6 décembre 2007 , et a concerné la perte d'un pilote et d'un appareil de l'armée de l'air.

Le Point

Modifié par Vincenzo
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Trois militaires français sont morts "accidentellement" dans la nuit de samedi à dimanche dans le nord-est de l'Afghanistan, annoncent l'Elysée et le ministère de la Défense, qui évoque un "orage de montagne très violent".

L'un des soldats a été "foudroyé" et les deux autres ont été emportés par une rivière en crue "alors qu'ils progressaient de nuit pour une opération destinée à frapper un réseau de poseurs de bombes", a précisé dimanche matin le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major des armées, joint au téléphone par l'Associated Press.

L'accident s'est produit dimanche matin peu avant 3h du matin heure locale à environ 60km au nord-ouest de Kaboul, selon le commandant Prazuck.

Dans un communiqué, l'Elysée précise que les trois soldats appartenaient au GTIA (Groupement tactique interarmes) Kapisa. La Kapisa est une province du nord-est de l'Afghanistan. Il s'agit d'un adjudant et d'un brigadier du 13ème régiment de dragons parachutistes de Dieuze et d'un soldat de 1ère classe du 3ème régiment d'infanterie de Marine (RIMA) de Vannes, précisent l'Elysée et le ministère de la Défense.

Environ 650 militaires français sont déployés en Kapisa où ils assurent des missions de contrôle de zone aux côtés de l'armée nationale afghane, selon le ministère français de la Défense.

Le président Nicolas Sarkozy a présenté ses "condoléances attristées" aux familles des militaires décédés et à leurs proches. Il réaffirme "la détermination de la France à oeuvrer au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan".

Le ministre de la Défense Hervé Morin s'associe également à la douleur des familles et il "renouvelle toute sa confiance à l'ensemble des troupes françaises engagées au quotidien dans cette mission exigeante au service de la paix et de la sécurité dans le monde". AP

Trois morts accidentelles, curieux non :diable:

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Pour amadouer Séoul et Washington, Pyongyang a autorisé une poignée de Nord-Coréens à voir leurs parents vivant au Sud pour la première fois en près soixante ans.

«En achetant ses cadeaux, je me suis rendu compte que je ne savais rien de lui, ni ses goûts, ni même sa taille.» Les larmes coulent sous les lunettes de Jeon Hyang-ja, en contemplant les paquets de vêtements, parfums, brosses à dents et autres présents qui s'accumulent au centre son petit appartement de Séoul.

À 62 ans, elle se prépare à un saut vertigineux dans le passé : ce matin, elle rencontrera son père disparu en 1948, quand elle avait trois ans, et qui depuis a refait sa vie de l'autre côté du 38e parallèle, en Corée du Nord.

La machine à remonter le temps s'est brusquement emballée au début du mois de septembre, lorsque cette vendeuse a reçu un coup de fil de la Croix-Rouge lui indiquant que son père était en vie au Nord et voulait la rencontrer. «Je veux le remercier d'avoir fait cette démarche.»

«Plus fort qu'une naissance»

Jeon sait qu'elle est une privilégiée. Elle fera partie de la centaine de Sud-Coréens sélectionnés pour retrouver les leurs samedi et jusqu'au 1er octobre sur les hauteurs du mont Kumgang, qui domine la côte orientale de la Corée du Nord. Une réunion sous haute surveillance et sans précédent depuis 2007. Un geste d'ouverture de Kim Jong-il concédé au mois d'août pour amadouer Séoul et Washington. Et une lueur d'espoir ténue pour les 130 000 Sud-Coréens qui attendent toujours une entrevue avec les membres de leurs familles, déchirées par le rideau de fer qui divise la péninsule depuis 1953.

Assis en tailleur dans sa petite maison d'un quartier tranquille de la capitale, Seok Tae Soon, 74 ans, s'apprête lui aussi à vivre l'improbable. «En Corée, on dit que le plus beau moment d'une vie est la naissance d'un enfant. Mais ce que je vais vivre est encore plus fort.» Dans quelques heures, il retrouvera un frère aîné qu'il croyait mort, emporté dans la fureur des combats, un jour d'août 1950. Ce sapeur-pompier à la retraite pourra l'embrasser et tentera pendant ce bref dialogue de rattraper cinquante-neuf ans d'absence. Il lui glissera un petit album photo retraçant les grands moments de la famille, avec en bonne place les funérailles du père dans la ville natale de Daegu. Là où l'offensive nord-coréenne avait emporté le jeune homme de 20 ans. Depuis qu'il a appris, en 2007, que son frère de 79 ans était en vie, Seok vit avec la hantise de manquer ce rendez-vous.

L'amertume de l'après

Mais déjà, Jeon et Seok redoutent l'amertume de l'après, l'absence de tout lien après cette fugitive rencontre. «Je rêve de lui souffler mon numéro de téléphone», explique Seok, comme si la dictature qui n'autorise aucun contact même par courrier pouvait laisser son frère passer des appels internationaux.

«Cette réunion risque d'être la première et la dernière», explique Jeon en serrant la photo jaunie d'un jeune et élégant soldat, qu'elle va retrouver sous les traits d'un vieillard de 92 ans. Car la vendeuse a perdu espoir de voir un jour la réunification de la péninsule.

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Stars et politiques se mobilisent pour libérer Polanski

Interpellé samedi à Zurich, le cinéaste risque une extradition aux Etats-Unis pour une affaire de moeurs vieille de trente ans. Le ministre de la Culture français s'indigne et des stars du cinéma lancent une pétition pour sa libération.

Roman Polanski, 76 ans, a été arrêté samedi en Suisse sur la base d'un mandat d'arrêt américain, puis placé en «détention provisoire en attente d'une possible extradition pour les Etats-Unis».

Le réalisateur franco-polonais, qui devait participer au Festival du film de Zurich, a été inculpé en 1977 pour avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans.

L'arrestation du cinéaste a suscité de nombreuses réactions chez les artistes tandis que Paris et Varsovie s'apprêtent à demander sa libération à Washington. Des réactions d'indignation aussi chez certains hommes politiques, à commencer par le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, qui s'est dit «stupéfait». Il a dénoncé un «piège» et fustigé «une certaine Amérique qui fait peur». Il a aussi souligné avoir évoqué le cas «avec le président (français) Nicolas Sarkozy, qui suit le dossier avec la plus grande attention et partage le souhait (...) d'une résolution rapide de la situation».

Ce lundi, c'est Jack Lang, ancien ministre de la Culture, qui a exprimé à son tour sa stupéfaction. A ses yeux, cette arrestation est un «acte (qui) paraît inimaginable et disproportionné». «J'espère qu'une solidarité active s'organisera au cours des prochaines heures pour que la liberté soit rendue à ce grand créateur européen», a déclaré le député PS du Pas-de-Calais, en faisant part de son «soutien amical à Roman Polanski».

Bellucci, Costa-Gavras et Wong Kar-Wai soutiennent Polanski

Chez les artistes, qui réclament dans une pétition la libération immédiate de Roman Polanski, la colère domine. «Les cinéastes et auteurs français, européens, américains et du monde entier, tiennent à affirmer leur consternation», indique le texte, ajoutant qu'il leur semble «inadmissible qu'une manifestation culturelle internationale, rendant hommage à l'un des plus grands cinéastes contemporains, puisse être transformée en traquenard policier». «L'arrestation de Roman Polanski dans un pays neutre où il circulait et croyait pouvoir circuler librement jusqu'à ce jour, est une atteinte à cette tradition : elle ouvre la porte à des dérives dont nul aujourd'hui ne peut prévoir les effets», ajoutent-ils.

Parmi les premiers signataires, figurent Costa-Gavras, Wong Kar-Wai, Fanny Ardant, Ettore Scola, Marco Bellocchio, Giuseppe Tornatore, Monica Bellucci, Abderrahmane Sissako, Tony Gatlif, Pierre Jolivet, Jean-Jacques Beineix, Paolo Sorrentino, Michele Placido, Barbet Schroeder, Gilles Jacob, et Bertrand Tavernier. Le texte est également signé par la Cinémathèque Française, le Festival de Cannes, la Société des auteurs compositeurs dramatiques (SACD), l'ARP (Auteurs, réalisateurs et producteurs) et le groupe 25 images.

Source

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Par contre j'ai lu qu'il avait plaidé coupable :ninja:

il a plaidé coupable pour relations sexuelles avec mineure mais pas pour viol...

par contre, je ne comprends pas qu'on fasse un foin de cette affaire, il y a certainement des arrestations et des extraditions bien plus dégueulasses...

ou des connards comme le fils khadafi qui s'en sortent mieux, mais ça silence radio ;)

Modifié par elmö
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En plus c'est le procureur qui a demandé ce mandat, la fille agressée souhaite même que le procès s'arrête car elle a en marre de tout ce tintamarre.

Bon après tout les trucs de soutien jveux bien, mais enfin ca reste quand même un violeur de gosses...

Sinon j'adore le Bal des vampires :ninja:

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En plus c'est le procureur qui a demandé ce mandat, la fille agressée souhaite même que le procès s'arrête car elle a en marre de tout ce tintamarre.

Bon après tout les trucs de soutien jveux bien, mais enfin ca reste quand même un violeur de gosses...

Sinon j'adore le Bal des vampires :ninja:

Rien n'est prouvé qu'il l'a violé.

Attention à la présomption d'innocence. De Villepin va porter ça devant les tribunaux si tu continus...

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il a plaidé coupable pour relations sexuelles avec mineure mais pas pour viol...

par contre, je ne comprends pas qu'on fasse un foin de cette affaire, il y a certainement des arrestations et des extraditions bien plus dégueulasses...

ou des connards comme le fils khadafi qui s'en sortent mieux, mais ça silence radio ;)

ca reste un innocent qui évite les USA depuis plus de 20 ans :ninja:

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ca reste un innocent qui évite les USA depuis plus de 20 ans :ninja:

son innocence ou sa culpabilité, je m'en tamponne !!!

ce qui me chiffonne, c'est qu'on en fasse un foin juste parce que c'est quelqu'un de connu, merde il s'est pas fait enlevé par un commando tchétchène quoi ;)

le seul intérêt de cette affaire selon moi, c'est de savoir pourquoi la suisse collabore avec les E-U sur ce dossier, parce que c'est pas trop dans les us et coutumes du pays...

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