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TOULOUSE, 11 juin 2007 (AFP) - 10h43

Toulouse : fuite d'acide chlorhydrique à l'usine chimique Isochem

Une fuite d'acide chlorhydrique dans l'usine chimique Isochem (groupe Société nationale des poudres et explosifs, SNPE) de Toulouse a provoqué lundi la formation d'un nuage blanc "irritant mais a priori pas toxique", a-t-on appris auprès de la préfecture et de l'usine. "Un important nuage blanc s'est formé au dessus de l'usine et s'est déplacé progressivement hors du site. La teneur en acide chlorhydrique s'est très rapidement diluée", indique la direction d'Isochem dans un communiqué, précisant que cet incident n'a fait aucun blessé" et qu'"il n'y a eu aucune pollution liquide". Vers 6H45, "une fuite d'acide chlorhydrique à 30% de concentration s'est produite sur la tuyauterie de vidange d'un bac de stockage de 100m3 situé dans la partie consacrée aux synthèses de chimie fine de l'usine Isochem", ajoute le texte. La quantité d'acide dans ce bac était d'environ 50m3. "La fuite est complétement stoppée", a indiqué à l'AFP le directeur de l'usine Loïc Lecomte en milieu de matinée. Selon le directeur de cabinet de la préfecture Francis Soutric, "il y a des odeurs, des risques d'irritation mais pas de danger toxique dans l'immédiat". Le plan d'organisation interne a été déclenché. Les pompiers ont mis des rideaux d'eau pour éviter la dispersion du produit et le personnel a été mis à l'abri. Les accès à cette usine, qui avait été endommagée par l'explosion de l'usine AZF voisine le 21 septembre 2001, ont été temporairement fermés.

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TOULOUSE, 11 juin 2007 (AFP) - 10h43

Toulouse : fuite d'acide chlorhydrique à l'usine chimique Isochem

"il y a des odeurs, des risques d'irritation mais pas de danger toxique dans l'immédiat"

plus rassurant ça n'existe pas :ninja:

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plus rassurant ça n'existe pas :ninja:

Pour ceux qui vivent au jour le jour c'est rassurant pas de doutes, Carpe Diem comme dirait un certain forumeur. :shock:

Sinon oui ça fait un peu peur :ninja:

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lundi 11 juin 2007, 22h48

Une volontaire française de MSF tuée par balle en République centrafricaine

PARIS (AFP) - Une volontaire française de l'organisation humanitaire Médecins sans frontières (MSF) a été tuée par balle lundi en République centrafricaine (RCA), à proximité de Paoua (nord-ouest), a annoncé l'organisation dans un communiqué.

Le chef de l'Etat Nicolas Sarkozy a fait part de sa "profonde émotion". Il a demandé "aux autorités de la République centrafricaine de faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame, et de tout mettre en oeuvre pour que les auteurs de ce crime lâche et odieux ne restent pas impunis", a annoncé lundi soir un communiqué de l'Elysée.

Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a également exprimé sa "grande émotion" après la mort de la jeune volontaire. "Je suis particulièrement sensible à cet évènement tragique", a écrit le ministre dans un communiqué publié par le Quai d'Orsay.

"C'est avec une immense tristesse que MSF a appris le décès d'une de ses volontaires en République centrafricaine", indique l'ONG dans son communiqué où elle souligne qu'il s'agissait de sa "première mission avec MSF".

....

:o:diable:

je la connaissais ! c'est une fille de Mme le Maire de chez moi, qui a été mon prof d'histoire au collège, et dont l'ainée était en classe avec moi :ninja:

dégouté

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:o:diable:

je la connaissais ! c'est une fille de Mme le Maire de chez moi, qui a été mon prof d'histoire au collège, et dont l'ainée était en classe avec moi :ninja:

dégouté

L'occasion (triste) de tirer un grand coup de chapeau à tous ces volontaires des organismes humanitaires (ma cousine en fait partie) qui vont jusqu'à risquer leur vie pour aider les autres, dans des contrées souvent en proie à des guerres civiles ou des luttes de clans. C'est un peu cul cul la praline de dire ça mais il faut quand même y penser de temps en temps, nous les nantis de France, le cul posé dans de confortables fauteuils devant nos claviers...

Hommage et Respect à la Landaise décédée en Centrafrique.

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L'occasion (triste) de tirer un grand coup de chapeau à tous ces volontaires des organismes humanitaires (ma cousine en fait partie) qui vont jusqu'à risquer leur vie pour aider les autres, dans des contrées souvent en proie à des guerres civiles ou des luttes de clans. C'est un peu cul cul la praline de dire ça mais il faut quand même y penser de temps en temps, nous les nantis de France, le cul posé dans de confortables fauteuils devant nos claviers...

Hommage et Respect à la Landaise décédée en Centrafrique.

+1

Ces gens sur le terrain qui donnent au quotidien et qui plus est souvent au péril de leur vie ont bien plus conscience de la situation et des choses qui vont mal que beaucoup de dirigeants.

Respect à eux.

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MONTRABÉ. L'ACCIDENT S'EST PRODUIT, HIER, SUR UN CHANTIER.

Deux heures sous le pigeonnier effondré

« Le dernier blessé qui part dans l'ambulance est un miraculé ! » Pour ce sapeur-pompier qui regagne le camion, mais aussi pour quelques badauds, ainsi que de proches voisins, l'accident qui s'est produit, hier, à Montrabé, chemin des Andalouses, a connu un épilogue inespéré. Des ouvriers travaillant sur un chantier ont bien failli perdre la vie après l'effondrement d'un pigeonnier du XIXe siècle d'une hauteur dépassant 10 mètres. L'accident s'est produit en début d'après midi alors que les hommes consolidaient les alentours de la construction de briques aux côtés de laquelle des logements devaient sortir de terre prochainement. Puis c'est le drame. « J'ai vu le pigeonnier s'effondrer en deux secondes. Il y a eu un grand boum et plus rien. Seulement un énorme nuage de poussière. J'ai pensé qu'il y aurait des morts », confie un riverain choqué.

C'est aussitôt l'affolement. Un des ouvriers a le temps de s'écarter, mais il sera blessé. Deux autres sont ensevelis. Le premier, âgé de 22 ans, sera extrait des gravats au bout d'une heure. Le second, un homme de 27 ans, en revanche, est coincé sous un mètre de briques et de terre. Il y restera deux heures. L'inquiétude est à son comble pour les équipes présentent sur le chantier. C'est au final le chien de l'équipe cynophile de la caserne Buchens qui repérera l'endroit exact où se trouve le blessé. L'homme sera alors extrait en vie par les sapeurs pompiers des casernes Vion et Rouffiac qui ont mobilisé une trentaine d'hommes. Comme les deux autres ouvriers le dernier blessé sera transporté au centre hospitalier de Purpan. Hier, en fin de journée, les pelleteuses commençaient le déblaiement. L'enquête gendarmerie devra maintenant déterminer les causes exactes de cet impressionnant accident.

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Lété, le marché des transferts bat son plein mais les clubs français nont pas les moyens dattirer les meilleurs. Christophe Mongai, lagent de Bakary Sagna et de Mario Yepes, nous explique pourquoi.

Christophe Mongai, comment jugez-vous le début du marché ?

Déjà, ça na pas été facile de travailler avec la valse des entraîneurs. Comment voulez-vous proposer des joueurs à quelquun qui nest même pas en place ? Tout le monde a pris du retard. Il ny a pas que moi. Maintenant que les bancs sont remplis, ça va saccélérer.

Mais par rapport aux autres années, quelques transferts ont quand même été effectués

Je suis daccord mais, contrairement aux dernières saisons, les clubs se sont dabord portés sur des joueurs de complément. Les joueurs majeurs nont pas encore bougé, à part Ribéry (Ndlr : linterview a été effectuée avant le transfert de Bodmer et Keita à Lyon). Aujourdhui, ça a bien démarré, mais nous nen sommes quau « premier » marché. Le deuxième interviendra après quelques journées de championnat, quand les coachs feront les premiers réajustements. Et enfin, il y aura le dernier marché, peut-être le plus important, qui se passera dans les cinq derniers jours : cest à cette période que lon voit généralement les plus gros transferts. Cette année encore, cela devrait se dérouler ainsi.

Quel profil de joueur les clubs français peuvent-ils attirer ?

Cest toujours pareil avec la France. Les clubs nont pas les moyens financiers des autres pays. Un joueur habitué à un certain niveau de vie ne reviendra jamais en France. Je viens de vivre cette situation avec Frédéric Kanoute, qui aurait pu intéresser quelques formations de Ligue 1. Je crois finalement quil va rester à létranger. Mais il faut comprendre une chose : Lyon, Marseille ou le PSG ne pourront pas faire venir de stars. Luca Toni, par exemple, naurait jamais pu signer à Ah! ah!. Lannée prochaine, il ny aura en France que des joueurs moyens, ou moyens plus.

Il ny aura donc pas de grandes vedettes ?

Il ne faut pas rêver. Sérieusement, vous voyez Makelele signer au PSG ? Soyez réalistes.

Mais alors qui ?

Si lon vise la catégorie supérieure, il y a deux types de renfort possibles : le grand joueur en fin de carrière, type Makaay (ndlr : Bayern Munich) ou alors un remplaçant. Jai lu que Simic (Milan AC) avait été approché par Marseille. Voilà typiquement le type de joueur qui peut venir. Et encore, sous forme de prêt. En France, seul Monaco peut offrir des grands salaires aux stars étrangères. Mais à lASM, lattractivité est faible.

Vous avez évoqué Lyon. Ah! ah! peut-il bâtir une grande équipe ?

Ah! ah! peut payer un transfert sans problème. Mais sur la question salariale, il aura toujours un handicap. Sa seule opportunité est de servir de tremplin aux plus talentueux des joueurs français. Un joueur comme Bakary Sagna, qui est chez nous, pourrait être attiré même si Arsenal est chaud. Mais au final, et même si Lyon est un grand club, cest toujours Arsenal qui lemportera. Pourquoi ? Pour le prestige, pour le championnat anglais et, encore une fois, pour le salaire

la L1 va devenir la deuxieme division des autres championnats européens, c'est flagrant cette année quand on voit le peu de mouvement qu'il y a, nos clubs ne font plus rever ou du moins les salaires en France

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la L1 va devenir la deuxieme division des autres championnats européens, c'est flagrant cette année quand on voit le peu de mouvement qu'il y a, nos clubs ne font plus rever ou du moins les salaires en France

A ce propos, j'ai retrouvé un article que j'avais posté il y a quelques temps ici.

Combien ça gagne un footballeur? En moyenne (pour un joueur de Ligue 1) : 24 200 euros nets par mois, après impôt et sans compter les primes de résultat. Pas mal. D'autant que ce chiffre a augmenté de 40% en deux ans. Merci qui? Merci messieurs Lamour, Breton et Méheut, respectivement ministres des Sports, de l'Economie et patron de Canal +. C'est le résultat d'une étude que vient de rendre publique l'Union financière de France Sport Conseil, banque spécialisée dans le conseil en création et gestion de patrimoine qui conseille 750 sportifs. Des chiffres qui viennent bousculer certaines idées reçues. Notamment colportées par certains dirigeants du foot français, qui imputent la fuite des crampons vers l'étranger (et donc le manque de résultats des clubs hexagonaux sur la scène européenne) au système fiscal français.

La hausse substantielle des émoluments des footballeurs évoluant en France, s'explique par un triple phénomène. Il y a d'abord la loi Lamour, en 2004, dont la mesure la plus spectaculaire était l'instauration d'un droit à l'image collectif, permettant aux clubs d'économiser les charges sociales sur 30% des salaires. Influence pour un salaire de 1,2 million d'euros bruts par an: 106 000 euros économisés en charges patronales et 43 000 euros en charges salariales. Il fallait bien que les joueurs en profitent un petit peu. Le texte escamotait pour les clubs la taxe de 1 % sur les CDD. Cette loi, taillée sur mesure pour les foot pro a eu des bienfaits collatéraux dans d'autres sports comme le basket, le rugby et le cyclisme

Il y a ensuite la baisse de l'impôt sur le revenu (de 48,04 à 40%) pour les salariés gagnant plus de 100 000 euros par an. Economie fiscale réalisée par un footballeur gagnant 1,2 million d'euro par an: 79 000 euros (481 000 euros d'impôt sur le revenu en 2005, 402 000 euros en 2006). Un rugbyman à 300 000 euros brut par an a pour sa part économisé 12 700 euros.

Cumulés, instauration du droit à l'image collectif et baisse de l'impôt sur le revenu font singulièrement baisser la pression fiscale sur le salaire d'un footballeur gagnant 100 000 euros bruts par mois. Ce passage à la moulinette fiscale permet à son employeur d'économiser 8 900 euros par mois et au joueur de gagner 8 500 euros supplémentaires. Ces chiffres sont respectivement 2100 euros 1500 pour un rugbyman ou un basketteur émargeant à 25000 euros bruts mensuels.

Il y a enfin l'augmentation des droits télévisés du championnat de France. En 2004, pour les conserver face à la concurrence de TPS, Canal + avait mis 600 millions d'euros par saison sur la table. Une manne qui a en partie profité aux joueurs selon UFF. Pour Frédéric Schatzlé, directeur d'UFF Sport conseil: «C'est Canal qui a financé l'augmentation des salaires. Bien plus que l'Etat ou le contribuabe.» La fusion Canal-TPS pourrait faire baisser ces droits télé, lors de leurs renégociations, l'an prochain.

Compte tenu de tous ces éléments, «le marché français est-il devenu financièrement attractif pour attirer les sportifs professionnels?», interroge poétiquement UFF Sport Conseil. La réponse en chiffre: celui du salaire net mensuel après impôt d'un footballeur affichant un salaire brut de 100 000 euros. Il est de 55 700 euros pour un joueur évoluant en France. C'est moins qu'au Royaume-Uni (59 650 euros) mais plus qu'en Espagne, Allemagne ou Italie (respectivement 55 600, 55 450 et 48 800 euros). «Par rapport aux pays qui nous entourent, et si l'on ne tient pas compte de quelques grands clubs comme le Real, la Juventus ou Barcelone capables d'offrir de très hauts salaires, la France est devenue attractive», commente Frédéric Schatzlé qui souligne tout de même que pour un tel salaire, les charges patronales restent nettement plus élevées qu'au Royaume-Uni, en Espagne et en Allemagne

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Ségolène Royal annonce que François Hollande et elle se sont séparés, à une date qu'elle a refusé de préciser, dans un livre intitulé "Les Coulisses d'une défaite", à paraître mercredi. Elle y déclare également qu'elle sera "candidate au poste de premier secrétaire" du Parti socialiste si son "projet de rénovation est majoritaire" au prochain congrès. (AFP)
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Justice : Courbis admet son implication

Rédaction Football365 - lundi 18 juin 2007 - 19h52

Pour la première fois depuis l'ouverture des procès des comptes de l'OM entre 1997 et 1999, Rolland Courbis a reconnu être impliqué. Le jugement en appel s'est ouvert lundi au tribunal d'Aix-en-Provence.

Tandis que Robert Louis-Dreyfus a continué de démentir toute malversation dans l'affaire des comptes de l'OM entre 1997 et 1999, Rolland Courbis a lui reconnu pour la première fois son implication, lundi lors de l'ouverture du procès en appel au tribunal d'Aix-en-Provence.

« Je voulais trop en faire. J'ai peut-être, sans le vouloir, commis une complicité d'abus de biens sociaux. Mais je ne savais même pas ce que cela voulait dire abus de biens sociaux ! », a déclaré l'ancien coach marseillais lors de son intervention à la barre.

Ahahaha ;)

Posté(e) (modifié)
Alerte à la surchauffe informatique

LE MONDE | 23.06.07 | 14h24 Mis à jour le 23.06.07 | 14h24

Ce seront les zones industrielles du XXI e siècle, sans ouvriers et reliées par fibre optique. Elles commencent tout juste à s'étendre près des grands barrages

hydroélectriques du nord-est des Etats-Unis. Bientôt, elles pourraient encercler les centrales nucléaires en construction dans les pays émergents. Sur des

milliers d'hectares, ces complexes concentreront la puissance de la nouvelle industrie dominante : l'informatique en ligne. Dans leurs blocs de béton,

hermétiques aux curiosités du monde extérieur, les conglomérats du Web triomphant, les Google, Microsoft, Yahoo ! ou Ask.com, entasseront des dizaines de

milliers de serveurs, capables de mémoriser des milliards de mails, textes, films, musiques et de les retrouver en un clin d'oeil.

Pourquoi chercheront-ils à placer ces usines réinventées si près de sites de production électrique ? Parce que les lois de la physique ont commencé à rattraper

un secteur économique qui prétendait les avoir abolies. Entre 2000 et 2005, la consommation électrique des centres informatiques a doublé, atteignant 45

milliards de kilowattheures, soit un total annuel de 7,2 milliards de dollars à l'échelle de la planète. Aux Etats-Unis, cela ne représente encore que 1,2 % de la

consommation nationale, selon une récente étude publiée par un chercheur de Berkeley (Californie). Mais si rien ne vient corriger la tendance, la consommation

totale des serveurs aura progressé de 76 % en 2010. Et encore, cette étude, financée par le fabricant de microprocesseurs AMD, ne donne sans doute qu'une

estimation minimale de l'ampleur de cette explosion. Elle ne prend pas en compte les derniers centres de Google, dont la population exacte des serveurs, aux

alentours de 450 000 unités, est tenue secrète.

"Notre cher ordinateur fait partie des appareils les plus inefficaces jamais inventés, écrit le spécialiste Timothy Prickett Morgan. Le plus gros de l'électricité qui

le nourrit est relâché sous forme de chaleur, de bruit et de lumière." Selon Urs Hölzle, vice-président de Google, "un PC gâche environ la moitié de son énergie,

et un serveur en gaspille un tiers". Longtemps, cette dépense en pure perte est passée inaperçue dans les budgets des centres de données. Le monde de

l'informatique suivait aveuglément la loi de Moore : la puissance de calcul doublait tous les ans, ou presque, le coût des composants ne cessait de baisser.

L'inefficacité énergétique des systèmes n'inquiétait personne.

C'est désormais une priorité, et pas seulement à cause de la hausse du prix de l'électricité. Dans leur incessante miniaturisation, les processeurs ont approché

leurs limites physiques, ce qui se traduit par un échauffement intense. Depuis quelques années, leurs constructeurs ont dû les diviser en puces "multicoeurs"

pour éviter qu'ils n'atteignent la température du Soleil vers 2015.

Dans les centres de données, où le nombre de serveurs n'a cessé d'augmenter, la chaleur ne s'est pas réduite pour autant. Les dépenses de climatisation ont

encore accru le montant de la facture d'électricité. Le phénomène a été amplifié par le recours massif des mastodontes du Web à des appareils bon marché,

beaucoup moins économes en énergie que les calculateurs hauts de gamme. Bientôt, l'acquisition d'une de ces machines à prix cassés sera moins onéreuse que son utilisation durant une seule année.

Avec plusieurs coups d'avance, Google tente de contourner la difficulté par la géographie. L'entreprise vient d'édifier dans l'Oregon, au bord du fleuve Columbia, le précurseur des grands centres de données à venir, avec leurs dispositifs d'évacuation de l'air chaud bien visibles. En amont du site, un barrage hydroélectrique fournit aux ordinateurs une source d'approvisionnement ininterrompue et bien moins chère que dans les centres urbains. Bientôt Microsoft et Yahoo ! implanteront leurs propres installations près d'autres barrages, plus au nord.

Mais ces mastodontes savent bien que cette course à l'énergie n'apportera pas de solution de long terme. Sans autre effort, le mal ne fera que croître. Aux usines de l'information finiront par s'agréger les serveurs externalisés des banques, avides d'une puissance de calcul dont elles commencent à trouver la facture excessive dans leurs locaux en centre-ville. Ces déplacements massifs vers barrages et centrales seront à l'origine de substantielles économies mais aussi de redoutables effets d'image.

Ceux-ci risquent d'associer brutalement les entreprises venues d'un monde virtuel aux difficultés les plus brûlantes du monde réel : la surconsommation

d'énergie, les rejets de gaz à effet de serre et la contribution au réchauffement de la planète. Aux protestataires qui pourraient un jour se rassembler devant leurs enceintes grillagées, ces firmes ne pourront pas toujours répondre que le réseau mondial finira par réduire les voyages en avion, de colloques en réunions, ou que la vente en ligne a fait régresser les déplacements de proximité.

De fait, c'est l'ensemble des acteurs de l'informatique qui cherchent dès aujourd'hui à ne pas être accusés de gaspillage généralisé. Les poids lourds du secteur

viennent de se rassembler dans une association environnementale commune (The Climate Savers Computing Initiative) pour trouver les moyens de rendre les

ordinateurs plus économes, moins polluants. Google met aussi en avant son action en faveur de l'énergie solaire, en développant une batterie de panneaux qui

fournira 30 % de l'alimentation de son siège californien de Mountain View.

Au-delà de ces annonces médiatisées, chacun s'efforce dans son domaine d'apporter sa part de solution. Les fabricants de processeurs ou de serveurs veulent

concilier hausse de la performance et lutte contre chaleur et consommation. IBM vient ainsi d'annoncer la conception de puces dotées de milliards de

microtrous qui faciliteront la circulation du courant et donc limiteront pertes et échauffements. Les spécialistes de la climatisation affirment qu'il faudra bientôt

abandonner l'air soufflé pour passer au refroidissement par des fluides.

"Au moment d'acheter du nouveau matériel, le coût de sa consommation électrique est en train de s'imposer comme un critère plus déterminant que la

puissance de calcul", dit François Bourdoncle, PDG du moteur de recherche Exalead. Pour autant, cette prise de conscience ne produira que des effets limités si

le secteur ne change pas de philosophie, insistent nombre d'experts. Si l'informatique ne renonce pas aux mauvaises habitudes de ses années d'abondance pour revenir à "l'ordinateur frugal" de ses débuts, selon le bloggeur spécialisé Nicholas Carr. "Les serveurs utilisés par une entreprise unique ne fonctionnent que de 10 % à 30 % de leurs capacités", écrit-il. Cette sous-utilisation, liée au fait que les machines ne sont dédiées qu'à un seul programme, est la principale cause des gaspillages croissants.

Plusieurs procédés complexes ont été imaginés pour permettre aux serveurs de travailler sur plusieurs programmes à la fois, optimisant ainsi le rendement de

centres informatiques jusqu'à 80 %. Une manière d'attendre plus confortablement que la loi de Moore atteigne un jour une limite infranchissable, et que

l'invention révolutionnaire d'un autre moyen de calculer transforme les centres de données géants en nouvelles friches industrielles.

Jérôme Fenoglio

ESSOR DES PAGES INDEXÉES

Pour répondre rapidement aux requêtes des internautes, les moteurs de recherche indexent, sur leurs serveurs, un nombre de pages exponentiel. A sa création

en 2004, l'européen Exalead en comptait 300 millions. Ce chiffre est passé à 1 milliard (janvier 2005) puis 8 milliards actuellement. Celui de ses concurrents,

tenu secret, est estimé de 20 à 25 milliards pour Google, 15 à 20 pour Yahoo ! et 5 à 8 pour Microsoft.

L'ÈRE DES PÉTAOCTETS

L'informatique en ligne est passée de l'ère du téraoctet à celle du pétaoctet, le million de milliards de données traitées. Ainsi, le nouveau collisionneur de particules du CERN générera 15 pétaoctets de données à traiter par an à partir de 2009.

Article paru dans l'édition du 24.06.07

Modifié par kike
Posté(e)

A partir de lundi, les 38 millions de titulaires de permis de conduire français (autos, poids lourds, motos, bus et autocars), pourront consulter leur solde de points à tout instant et en toute confidentialité sur le site du ministère de l'Intérieur.

Ce service baptisé «Télépoints» a été présenté mercredi à Paris par le ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie. Et devrait permettre, selon la ministre d'en finir avec les pratiques d'un «certain nombre de personnes» qui continuent à conduire sans point parce qu'elles ignoraient leur solde.

Selon le ministère, ce nouveau système «facilitera la vie des conducteurs et sensibilisera ceux qui ont perdu des points» à la possibilité d'en récupérer jusqu'à quatre en s'inscrivant à un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Un lien avec le site consacré à la sécurité routière du ministère des Transports permettra par ailleurs aux automobilistes de consulter la liste des contraventions et des délits entraînant un retrait de points.

En 2006, huit millions de points ont été retirés et 69.000 permis invalidés à la suite de la perte des douze points, alors que 1.140.000 points ont été rétablis.

Besoin de points de permis?

Je peux être au volant de votre véhicule à ce moment là...

6 points maxi à 500 l'unité ferme.

Contatez-moi :unsure:

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NAIROBI Une mère kényane a décapité mercredi son fils de 4 ans ans après qu´il eut perdu une pièce de monnaie de 10 shillings

kényans (11 centimes d´euros) dans le centre du pays, qui a connu

récemment une série de crimes violents et de décapitations, selon des

témoins et la police.

La jeune femme de 35 ans a décapité son fils avec une machette après

une dispute à propos de la perte de la pièce de monnaie, dans la région de

Gatundu, à environ 30 km au nord-ouest de la capitale Nairobi de ce pays

pauvre d´Afrique de l´Est, ont indiqué des témoins.

"Nous avons entendu des cris et nous sommes accourus pour découvrir le

garçon mort. Il a été décapité", a rapporté à la presse un habitant,

Joseph Ngare.

Un commandant local de la police, Hassan Abdi, a confirmé cet

incident. La mère "a été arrêtée et nous avons entamé l´enquête. Elle sera

présentée à la justice pour meurtre dès la fin des investigations", a

ajouté M. Abdi.

Cet incident a eu lieu dans le centre du Kenya, l´un des bastions de

la secte des Mungiki, interdite depuis 2002 et accusée d´être responsable

ces derniers mois d´une série de meurtres sanglants, dont des

décapitations.

:unsure:

Posté(e)
NAIROBI Une mère kényane a décapité mercredi son fils de 4 ans ans après qu´il eut perdu une pièce de monnaie de 10 shillings

kényans (11 centimes d´euros) dans le centre du pays, qui a connu

récemment une série de crimes violents et de décapitations, selon des

témoins et la police.

La jeune femme de 35 ans a décapité son fils avec une machette après

une dispute à propos de la perte de la pièce de monnaie, dans la région de

Gatundu, à environ 30 km au nord-ouest de la capitale Nairobi de ce pays

pauvre d´Afrique de l´Est, ont indiqué des témoins.

"Nous avons entendu des cris et nous sommes accourus pour découvrir le

garçon mort. Il a été décapité", a rapporté à la presse un habitant,

Joseph Ngare.

Un commandant local de la police, Hassan Abdi, a confirmé cet

incident. La mère "a été arrêtée et nous avons entamé l´enquête. Elle sera

présentée à la justice pour meurtre dès la fin des investigations", a

ajouté M. Abdi.

Cet incident a eu lieu dans le centre du Kenya, l´un des bastions de

la secte des Mungiki, interdite depuis 2002 et accusée d´être responsable

ces derniers mois d´une série de meurtres sanglants, dont des

décapitations.

:ninja:

beaucoup de bruit pour rien en somme :angry:

:unsure:

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