dondiego Posté(e) 3 février 2009 Posté(e) 3 février 2009 Article : CDFLa parade à l'horizontale de Cédric "Golgoth 23" Carrasso, main tendue et ferme comme l'acier sur la reprise sans contrôle de Pagis. Le jour où les clubs anglais de milieu de tableau auront des gardiens de ce niveau, on reparlera de la moyenne de buts marqués en Premier League.
GG Posté(e) 3 février 2009 Posté(e) 3 février 2009 Pour les fans de Gravesen et ceux qui parlent espagnol , il y a une vidéo sur Youtube ! "Gravasen, el mejor jugadore del mundo" un vrai chef d'oeuvre ... Ca se revoit toujours avec plaisir
NicoPaviot Posté(e) 3 février 2009 Posté(e) 3 février 2009 Article : CDFLa parade à l'horizontale de Cédric "Golgoth 23" Carrasso, main tendue et ferme comme l'acier sur la reprise sans contrôle de Pagis. Le jour où les clubs anglais de milieu de tableau auront des gardiens de ce niveau, on reparlera de la moyenne de buts marqués en Premier League. C'est clair : http://videos.sapo.pt/Cvo0V8bDDQOp4sTYuk0N T'as un geste superbe de Torres mais qui est conclut par un vieux tir pourri et un raté incroyable du gardien. En France, le but est jamais marqué et du coup l'action a pas le même impact.
Nista Posté(e) 3 février 2009 Posté(e) 3 février 2009 C'est clair : http://videos.sapo.pt/Cvo0V8bDDQOp4sTYuk0N T'as un geste superbe de Torres mais qui est conclut par un vieux tir pourri et un raté incroyable du gardien. En France, le but est jamais marqué et du coup l'action a pas le même impact. En France, y a pas la passe! Non plus sérieusement, le tir est raté mais le gardien est honteux!
Invité Patcoco Posté(e) 4 février 2009 Posté(e) 4 février 2009 LES MOTS POUR RIEN DIRE Thibault Lécuyer - mercredi 4 février 2009 Au mercato d'hiver, on vend infiniment plus de sornettes que de joueurs. Mais pour le journaliste sportif, c'est tout un art. Mode d'emploi. Le mercato d'hiver est terminé et, comme chaque année, on se demande s'il a été inventé pour que les équipes corrigent leurs erreurs de l'été, ou pour que les journaux aient du papier à vendre pendant une période plutôt creuse. Au moins, il permet de découvrir une passionnante expression du journalisme sportif: la phrase qui ne coûte rien. Petite sur de l'assertion gratuite, fille de la spéculation hasardeuse, la phrase qui ne coûte rien peut servir dans n'importe quel article car, par essence, on peut aussi bien l'écrire que ne pas l'écrire puisqu'elle ne contient aucune information et ne demande aucun effort. Exemple n°1 "Si une belle opportunité se présente, Jean-Michel Aulas ne la laissera pas passer". (L'Équipe du 16/12) Cas typique. On imagine effectivement mal Jean-Michel Aulas laisser passer l'opportunité de recruter Lionel Messi pour trois millions d'euros, ou d'acheter une Mercedes CLK d'occasion avec 3.000 kilomètres au compteur pour 10.000 euros. C'est le principe même de la phrase qui ne coûte rien : elle tente de faire croire qu'il se passe quelque chose, alors qu'il ne se passe rien, en créant l'image du président lyonnais tapi dans l'ombre, prêt à se jeter sur sa proie. Exemple n°2 "Emerson, âgé de 33 ans, ne serait pas retenu par le Milan AC et verrait d'un bon il le challenge parisien". (Aujourd'hui Sport du 07/01) Il s'agit d'une variante : la phrase qui ne coûte rien peut également être une information invérifiable, associée à un concept nébuleux: ici "le challenge parisien", qui donne du poids au mouvement possible. Emerson ne viendrait pas jouer au PSG, il viendrait relever le challenge parisien. On comprend mieux son intérêt. Exemple n°3 "Du côté du milieu de terrain offensif Alex, le PSG compte bien activer les bonnes relations dont il jouit avec le club turc depuis l'affaire Kezman". (Aujourd'hui Sport du 07/01) Faire de la fumée sans feu nécessite un peu de savoir-faire. Notez l'utilisation de l'expression "l'affaire Kezman", qui confère un air plus mystérieux encore à l'information. Information qui se résume d'ailleurs à dire que le PSG a déjà le numéro de téléphone de Fenerbahçe. On sous-estime le nombre de transferts qui ont capoté faute de détenir les coordonnées du club vendeur. La phrase qui ne coûte rien donne l'apparence de la plausibilité à une information qu'on ne donne pas. Si vous avez cru au transfert d'Alex, auto punissez-vous en cherchant vous aussi à "activer vos bonnes relations". Exemple n°4 "Selon une source proche du dossier, lOlympique Lyonnais pourrait rapidement formuler une première offre de près de douze millions deuros (dès lundi?) pour Ricardo Oliveira". (Mercato365) La phrase qui ne coûte rien est une grande fan de la célèbre "source proche du dossier", cette allumeuse. Notez bien le "dès lundi", qui ne coûte rien. Pure élucubration de l'auteur qui n'en sait rien, mais aimerait bien que vous reveniez sur son site le lundi suivant. Ricardo Oliveira a finalement été transféré au Betis Séville pour sept millions d'euros. Exemple n°5 "Même sils se montrent encore officiellement très prudents, il est clair que les dirigeants lyonnais ne sont pas inactifs sur le mercato dhiver". (L'Équipe du 31/12) Cette fois, c'est en une du quotidien que la phrase qui ne coûte rien s'invite. Et elle fait face à son adversaire le plus redoutable: la réalité. Il est essentiel de nier que Lyon résistera à une poussée de fièvre acheteuse, car évidemment, sans feuilleton hivernal, pas de ventes. Dotée d'un seul "il est clair", cette phrase qui ne coûte rien est un peu faiblarde. Il aurait mieux valu écrire: "Même sils se montrent encore officiellement très prudents, les dirigeants lyonnais n'ont pu que faire le constat des lacunes de leur effectif alors que s'ouvre le mercato dhiver". Mystère, vacuité, impatience et polémique: le B-A BA. Exemple n°6 "Si le climat semble aujourd'hui propice à la poursuite de l'aventure, rien ne dit qu'au printemps, quand il dressera le bilan de sa saison et prendra connaissance des possibilités qui s'offrent à lui, Yoann Gourcuff sera certain que son avenir est en Gironde. D'ici là, le temps fera son ouvrage, dans un sens ou dans l'autre". (lequipe.fr le 26/01) Nous sommes là en présence d'un cas très particulier, la phrase qui ne coûte rien, mais s'assume comme telle. L'auteur ne dispose d'aucune information et se met à l'abri derrière un cryptique "climat propice" pour affirmer avec péremption qu'il n'est pas certain que dans plusieurs mois, Gourcuff soit certain. Tant d'incertitude, ça ne peut qu'exciter le lecteur dont la perplexité augmente à la lecture de la conclusion: "le temps fera son uvre, dans un sens ou dans l'autre". Une phrase qui signifie: "on n'en sait rien mais nous au moins, on est là pour vous dire qu'il va se passer quelque chose". Tellement vrai
GG Posté(e) 4 février 2009 Posté(e) 4 février 2009 C'est clair : http://videos.sapo.pt/Cvo0V8bDDQOp4sTYuk0N T'as un geste superbe de Torres mais qui est conclut par un vieux tir pourri et un raté incroyable du gardien. En France, le but est jamais marqué et du coup l'action a pas le même impact. Contre Nancy Gignac marque un peu le même ...
NicoPaviot Posté(e) 4 février 2009 Posté(e) 4 février 2009 Contre Nancy Gignac marque un peu le même ... c'est une frappe beaucoup plus lourde et le gardien n'est pas sur les genoux avec le ballon qui lui passe sous les mains.
GG Posté(e) 4 février 2009 Posté(e) 4 février 2009 En fait je n'étais pas allé jusqu'au bout de la video, et effectivement le dernier ralenti ne plaide pas en faveur de gardien M'enfin Gerrard met quand même une sacré praline ...
SantaMaradonansson Posté(e) 4 février 2009 Posté(e) 4 février 2009 En fait je n'étais pas allé jusqu'au bout de la video, et effectivement le dernier ralenti ne plaide pas en faveur de gardien M'enfin Gerrard met quand même une sacré praline ... Praline ou pas, un gradien digne de ce nom la sort sans trop de problème.
Mister Yellow Posté(e) 11 février 2009 Posté(e) 11 février 2009 cinq semaines sans ballon "Desjoyeaux défie Jules Verne" (lequipe.fr). Salim Arrache aussi. M. Patate "Beckenbauer trouve Ribéry «compliqué»" (lequipe.fr). Son chirurgien aussi.
Floolf Posté(e) 12 février 2009 Posté(e) 12 février 2009 Les observations en vrac Voir Sagnol et Sagna arrêter le football la même semaine, c'est mauvais pour le côté droit de l'équipe de France. Pitié, que Ronald Zubar cesse de souhaiter "bonne chance" à Steve Mandanda quand il part en équipe de France. Si Christian Jeanpierre a prononcé Gouterriez plutôt que Gutierrez toute la soirée, c'est parce qu'il avait perdu sa sucette goût Thiriez? Incroyable à quelle vitesse une icône du football peut ressembler à n'importe quel entraîneur gueulant après les arbitres dès qu'on le met sur un banc. Avec ses gants bleus, Ribéry c'est le schtroumpf farceur? Il y a toujours beaucoup trop de cheveux dans l'équipe d'Argentine. Il faut jouer à chaque fois contre Messi pour que Christian Jeanpierre nous laisse tranquille avec Henry. La bonne nouvelle, c'est qu'on n'a pas pris de but sur coups de pied arrêtés. La réaction de Bernard Tapie : "Maradona à Marseille, c'est fait. Jardel ne devrait plus tarder maintenant". Tout ce tapage médiatique parce qu'un type est descendu d'un bus à Marseille, est allé voir un match de foot au Vélodrome, et est remonté dans son bus? Merci aux spectateurs du Vélodrome pour leur spectaculaire retournement de veste (on passe d'encouragements francs à des sifflets, des "Domenech démission" et des "olé" à chaque passe des Argentins), qui prouve bien que tous les publics français sont pitoyables. Chacun à sa façon.
marco Posté(e) 12 février 2009 Posté(e) 12 février 2009 Le match de David Astorga 5e : "Diego Maradona qui parle déjà aux arbitres. Il use de tout son pouvoir, de toute son aura pour demander des sanctions. C'est assez marrant parce que le regard qu'il porte à l'arbitre est d'une puissance extraordinaire". 8e : "Et la première passe de Diego Maradona, qui a remis le ballon avec toujours un bon toucher de balle, hein". 18e : "Diego fait ses choix hein, c'est Diego!" 34e : "Et ça a le don de faire sourire Diego Maradona, toujours debout hein, l'entraîneur de la sélection argentine". 38e : "Et Diego Maradona est furieux, furieux, furieux, il veut qu'on protège son joueur". 69e: "Et Diego, Diego Maradona, qui a régalé le public avec ce petit contrôle". 81e: "Et Agüero qui a eu droit au bisou du beau-papa presque paternel, de Diego Maradona (...) Hinnn, j'ai l'impression que c'était un petit peu plus appuyé pour Agüero".
Piou Posté(e) 12 février 2009 Posté(e) 12 février 2009 Astorga m'a fait marrer à la fin du match en voulant interviewer Diego.... On le prend pas par les épaules Diego....
vins31 Posté(e) 13 février 2009 Posté(e) 13 février 2009 Astorga m'a fait marrer à la fin du match en voulant interviewer Diego.... On le prend pas par les épaules Diego.... on le voit dans le 9eme replay d'aujourd'hui
Piou Posté(e) 13 février 2009 Posté(e) 13 février 2009 D'ailleurs ce truc des replay ça me fait marrer.... surtout l'intro :"I am Jean-Michel Aulas and I do not approve this message"
InchAlain Posté(e) 16 février 2009 Posté(e) 16 février 2009 Encore plus fort que Gravelaine : LUTZ PFANNENSTIEL
Lux Posté(e) 16 février 2009 Posté(e) 16 février 2009 Mais vous allez lui redonner des feuilles de match à bouffer, oui?
Mister Yellow Posté(e) 16 février 2009 Posté(e) 16 février 2009 Mais vous allez lui redonner des feuilles de match à bouffer, oui?
Floolf Posté(e) 19 février 2009 Posté(e) 19 février 2009 Abel Xavier. Il ne faut jamais le mettre dans l'eau, et surtout, surtout ne pas lui donner à manger après minuit.
Floolf Posté(e) 19 février 2009 Posté(e) 19 février 2009 "Dis donc Denis, soudain je flippe. Deux mecs énormes comme nous, ensemble, sur la même énorme chaîne, est-ce que ça ne va pas être trop énorme?"
Bio Posté(e) 24 février 2009 Posté(e) 24 février 2009 L'avantage de Parkinson, c'est que les infirmières ont le temps de sortir de la pièce avant que le malade ne commence à les peloter.
Mister Yellow Posté(e) 8 mars 2009 Posté(e) 8 mars 2009 jardin dédaigne Antoine Kombouaré (rmc.fr): "Ramener quelque chose de Marseille". Prends une pelle. carême Benzema Xavier Pentecôte (lequipe.fr): "J'avais faim".
Floolf Posté(e) 16 mars 2009 Posté(e) 16 mars 2009 Dans le dernier replay des CdF, le but de Gignac contre Bordeaux avec les commentaires de JPP
Piou Posté(e) 24 mars 2009 Posté(e) 24 mars 2009 "Lyon peut jouer avec un milieu à cinq (Makoun, Källström, Juninho, Keita, Benzema), avec un milieu avant-centre (Ederson), deux milieux en défense centrale (Bodmer, Toulalan), il reste tout de même deux milieux sur le banc (Mounier, Pjanic) et un milieu blessé (Fabio Santos). Le déséquilibre de l'effectif de Lyon, c'est la faute du football français qui a beaucoup trop de milieux talentueux à recruter."
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