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Olivier Sadran


Invité JC Runingman

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Il y a 4 heures, Klitouris a dit :

Je vois pas votre acharnement sur Soucasse du moment qu'il est personnel administratif, et n'est plus dans une position de vice président ou il était censé gérer un Club avec toutes ces composantes.

Maintenant c'est Comolli qui va tout piloter et va s'appuyer sur un nouveau responsable recrutement et un responsable marketing, Communication.

C'est pas simplement son incompétence le problème. C'est aussi son attitude au mieux minable au pire infecté vis-à-vis des supporteurs qui incite à le voir totalement dehors.

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Il y a 23 heures, raisonnable a dit :

Comolli a besoin de Soucasse pour des démarches administratives, il le dégagera une fois qu'il n'aura pas besoin de lui.

De l'administratif t'en a un paquet en France autant laisser a Soucasse qui connait les procédures et que Comolli ne perde pas son temps à ces conneries.

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Il y a 4 heures, Klitouris a dit :

De l'administratif t'en a un paquet en France autant laisser a Soucasse qui connait les procédures et que Comolli ne perde pas son temps à ces conneries.

C est pas tres glorieux pour Soucasse, mais il aime bien  jouer la conchita de service

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Il y a 2 heures, Lopez a dit :

C est pas tres glorieux pour Soucasse, mais il aime bien  jouer la conchita de service

A la fois il a fais que ça sur le terrain du sportif, recrutement, stratégie du club c'était le néant. Donc il garde sa fonction, s'occuper tournée So tfc, partenariat avec club de la région, verifier la compta voilà pas plus.

Modifié par Klitouris
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Le 26/07/2020 à 02:33, Klitouris a dit :

A la fois il a fais que ça sur le terrain du sportif, recrutement, stratégie du club c'était le néant. Donc il garde sa fonction, s'occuper tournée So tfc, partenariat avec club de la région, verifier la compta voilà pas plus.

C est un chat noir il faut qu il dégage et vite, même pas un poste à la buvette

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  • 3 mois plus tard...

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/victime-de-la-crise-la-restauration-aerienne-en-mode-survie_2138565.html

Dans l'angle mort des aides publiques, la restauration aérienne en mode survie 

Newrest et Servair, deux géants mondiaux du "catering", sont pour l'instant passés au travers des mailles du filet des aides publiques. Leur existence ne tient plus qu'à un fil.

Partir de rien, monter un petit empire et assister à sa chute. C'est, malheureusement, souvent le lot des entrepreneurs. À 50 ans, Olivier Sadran, le fondateur de Newrest, a bien peur que ce soit son tour. Le Toulousain, qui vient par ailleurs de céder cet été la majorité de ses parts dans le club de football de la Ville Rose, assiste, impuissant, à l'effondrement du trafic aérien. Et donc au crash en direct de son activité. En trente ans, il avait pourtant fait d'une modeste société, qui fournissait des repas pour les ouvriers du métro toulousain, un leader mondial de la restauration aérienne et ferroviaire, pesant 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires, et employant 34 000 personnes à travers 58 pays ! L'illustration parfaite de ces fameuses entreprises de taille intermédiaire (ETI) qui font tant défaut à notre économie.  

Mais, à cause de la pandémie, Olivier Sadran a dû fermer ses cuisines à proximité des aéroports, et placer des milliers de salariés en activité partielle. Il a même commencé à licencier 200 personnes. "Notre métier de la main-d'oeuvre est indispensable à la continuité de secteur aérien, un avion ne peut pas voler sans nos services." Problème : dans le foisonnement des mesures de soutien mises en place par l'Etat depuis le début de la crise, le "catering" est passé au travers des mailles du filet. "Nous sommes enregistrés dans le secteur du tourisme, or dans ce cas, les aides de l'Etat sont limitées aux entreprises de moins de 250 salariés", résume le président de Newrest. 

Ne pas installer une jurisprudence

Impossible, donc, de bénéficier des exonérations de charges patronales pendant la durée de la crise sanitaire ou de renégocier ses loyers avec les gestionnaires d'aéroports. Un doute plane aussi sur la possibilité de recourir à l'activité partielle de longue durée. "Je ne suis pas en colère, mais j'avais compris que les fleurons français devaient sortir de cette crise sans conséquences majeures. Si notre exception sectorielle n'est pas vite reconnue, nous devrons licencier des milliers de personnes en janvier dans des bassins d'emplois comme la Seine-Saint-Denis, qui sont déjà en grande difficulté", prévient Olivier Sadran. 

Avec son homologue Alexis Frantz, le directeur général de Servair (1 milliard d'euros de chiffre d'affaires), ils ont même monté une association professionnelle pour défendre leurs intérêts (12 500 emplois directs en France dans le secteur). Leur PowerPoint d'une quinzaine de pages sous le coude, ils ont frappé une bonne trentaine de fois aux portes des cabinets ministériels et de l'Elysée. "Le niveau d'écoute est excellent, mais on nous oppose une contrainte financière, et je peux le comprendre. En attendant, nous perdons des millions d'euros chaque mois. Si on avait pu, par exemple, rentrer dans le dispositif d'exonération de charges, Servair aurait économisé autour de 50 millions d'euros", plaide Alexis Frantz. Soit un peu moins que le montant du prêt garanti contracté par son entreprise : 66 millions d'euros. 

Si Bercy reconnaît que ces effets de seuil sont un problème à régler, le ministère de l'Economie ne voudrait pas créer une jurisprudence qui ferait tache d'huile. "Newrest et Servair sont enregistrés comme des sociétés de restauration collective et la notion d'exemption sectorielle n'existe pas en France", explique une source proche du dossier, qui justifie ainsi que les amendements proposés pour soutenir le "catering" français dans les différents projets de loi de finances aient été systématiquement retoqués. "Le gouvernement n'a pas voulu ouvrir une brèche, même si on est d'accord sur le fond", concède un député de la majorité. "Des entreprises demandent souvent que soient inscrites dans le texte des choses dont elles peuvent bénéficier en direct, au cas par cas", poursuit le député LREM Mickaël Nogal, vice-président de la commission des affaires économiques, et spécialiste de l'aérien. "Nous avons eu la chance de tenir huit mois. Mais pour espérer douze mois de vie supplémentaires, il nous faut des décisions fortes maintenant", prévient Alexis Frantz. Pour ces numéros 3 et 4 mondiaux du secteur, l'opération survie est déjà enclenchée. 

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  • 2 semaines plus tard...

J en ai toujours été convaincu, et aujourd hui plus que jamais.

Nous avons eu un Grand président a la tête du tfc, quel dommage que la flamme se soit éteinte....😥....enfin, la page est tournée, une fois de plus merci pour les saisons allant de 2001 à....2012 /14...allez 15 et eventuellement 16.....🤤

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il y a 6 minutes, Violet82 a dit :

J en ai toujours été convaincu, et aujourd hui plus que jamais.

Nous avons eu un Grand président a la tête du tfc, quel dommage que la flamme se soit éteinte....😥....enfin, la page est tournée, une fois de plus merci pour les saisons allant de 2001 à....2012 /14...allez 15 et eventuellement 16.....🤤

Je pense qu'il a eu la flamme pour diriger une entreprise dans le secteur sportif qui procure plus d'émotions que dans d'autres domaines. Flamme qui s'est éteinte. Par contre, il n'a jamais eu la flamme pour le côté populaire du foot. Indifférence et/ou mépris pour les supporters, mépris pour les média (on peut pas trop lui en vouloir pour ça par contre :ninja:) Dommage qu'il ne s'est pas entouré de personnes capable de combler ce déficit d'intérêt.

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Il serait temps de déplacer ce topic du côté de la mémoire du TFC. :grin:

J'en profite pour dire que j'ai vraiment trouvé dommage que Sadran ait décidé de faire la tête dure en voulant protéger à tout prix un staff qui n'était pas du tout à la hauteur de ce club. Je crois que son principal souci n'était vraiment pas qu'il n'ait plus eu de temps pour s'occuper du TFC ou que son intérêt pour le tfc se soit amoindri au fil des années, un grand entrepreneur comme lui ne pouvait pas gérer les deux entreprises. Son problème était son orgueil, il a voulu montrer que quoiqu'il en soit le boss c'était lui, pas les supporters et il est entré dans une logique débile jusque boutiste pour protéger des gens comme Soucasse qui n'avaient jamais fait leur preuves que ce soit au TFC ou ailleurs. La preuve est que ces gens là, Soucasse ou Arribagé ne font plus rien et je mets ma main à couper qu'ils n'officieront plus jamais dans le foot de haut niveau. 

Ce qui est vraiment dommage c'est que Sadran n'a jamais compris que les supporters du TFC sont des gens vraiment charmants comparés à de nombreux clubs français de l'élite et il n'a pas su développer une relation permettant une émulation. Je sais bien que ce ne doit pas être facile quand des supporters ne comprennent pas que le rôle d'un président est d'appliquer strictement la loi dans l'enceinte sportive, mais ses erreurs ont été énormes et il n'a jamais considéré les groupes ultras comme des amis du TFC, plutôt comme des gens dont il fallait systématiquement se méfier et qu'il fallait mettre à distance.

Cependant, si la reprise du TFC se passe bien, qu'on remonte en ligue 1 et qu'on s'y installe durablement, on pourra quand même le remercier d'avoir sélectionné soigneusement les repreneurs... Seul l'avenir nous le dira. 

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Finalement et quoique ça nous coute à nous supporters , la descente en L2 et la vente  du club était la seule solution pour l'avenir. Quatre ans de suite à éviter la descente sans aucune decision permettant  d'assainir la situation du club dans le domaine sportif ( jeu, transfert etc..) ça ne pouvez plus durer . 

Comme on dit  on va mourir mais guéri . Descente en L2 avec de l'argent dans les caisses. D'habitude un club descend parce qu'il a un déficite énorme.

Pour le moment et malgré quelques craintes au début , la machine se met en route , l'organisation et les résultats suivent , tant mieux.

Toulouse mérite d'avoir un grand club de foot, mais hélas tout ne peut pas se faire en un jour , il faut etre patient

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Le 16/12/2020 à 11:38, Baker a dit :

I Je crois que son principal souci n'était vraiment pas qu'il n'ait plus eu de temps pour s'occuper du TFC ou que son intérêt pour le tfc se soit amoindri au fil des années, un grand entrepreneur comme lui ne pouvait pas gérer les deux entreprises. Son problème était son orgueil, il a voulu montrer que quoiqu'il en soit le boss c'était lui,

Franchement je ne pense pas que le problème était l orgueil; son absence de tous les médias par rapport à d 'autres présidents prouve pour moi l inverse. je pense plutôt que depuis sa reprise d'un TFC au fond du trou et l avoir ramené en coupe d'europe, pour le plus haut, CE TFC c'était son BB et qu'il y avait beaucoup de sentiment dans tout ça et qui lui était très difficile de lâcher l'affaire pour cette raison. A  la fin il ne prenait plus de plaisir et il a bien vu qu'il ne pouvait plus être un président présent et efficace d'où la cession entre ce qui semble être de bonnes mains, et pas seulement trouver un acquéreur à tout prix.

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Le 18/12/2020 à 15:18, jerome69 a dit :

Franchement je ne pense pas que le problème était l orgueil; son absence de tous les médias par rapport à d 'autres présidents prouve pour moi l inverse. je pense plutôt que depuis sa reprise d'un TFC au fond du trou et l avoir ramené en coupe d'europe, pour le plus haut, CE TFC c'était son BB et qu'il y avait beaucoup de sentiment dans tout ça et qui lui était très difficile de lâcher l'affaire pour cette raison. A  la fin il ne prenait plus de plaisir et il a bien vu qu'il ne pouvait plus être un président présent et efficace d'où la cession entre ce qui semble être de bonnes mains, et pas seulement trouver un acquéreur à tout prix.

Sans doute pas trop d'orgueil avec les médias, juste un mépris profond.

Mais il faut bien expliquer les raisons pour lesquelles il a refusé de remettre en cause Soucasse et Arribagé? A moins que ceux ci étaient très compétents? l'histoire nous dit clairement le contraire. Donc à part l'orgueil, je ne vois pas pourquoi alors que la direction faisait la quasi unanimité contre elle au niveau des supporters, il n'a pas voulu les licencier pour constituer une nouvelle équipe. 

Le fait de ne plus avoir le temps est le problème, je l'ai dit aussi mais si tu délègues à une équipe compétente, je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas...

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il y a 11 minutes, Baker a dit :

Sans doute pas trop d'orgueil avec les médias, juste un mépris profond.

Mais il faut bien expliquer les raisons pour lesquelles il a refusé de remettre en cause Soucasse et Arribagé? A moins que ceux ci étaient très compétents? l'histoire nous dit clairement le contraire. Donc à part l'orgueil, je ne vois pas pourquoi alors que la direction faisait la quasi unanimité contre elle au niveau des supporters, il n'a pas voulu les licencier pour constituer une nouvelle équipe. 

Le fait de ne plus avoir le temps est le problème, je l'ai dit aussi mais si tu délègues à une équipe compétente, je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas...

Et bien je pense pour le meme raison, quand tu es plus de 10 ans avec des gars au boulot , ou il y a eu des bons moments,  c est peut etre pas simple de changer d ailleurs Sadran a defendu soucasse jusqu au bout, c est peut etre ca l amitié meme si elle rend aveugle. Ceci dit il n apas defendu la cellule de recrutement , il l a même plombé . Je suis dailleurs sur que s'il ny avait pas eu de vente, 

 il y aurait eu du menage de fait a ce niveau. Apres comme je l avais dit a l epoque , quelle était la marge de manoeuvre de Soucasse a son poste? Je suis dac avec toi pour dire qu il pouvait quitter la presidence tout en conservant le club il y a quelques annees, mais pour la cause je reviens a ce que je disais plus haut.

 

Modifié par jerome69
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  • 1 mois plus tard...
Il y a 7 heures, clavicule a dit :

ouais, le gars il n avait pas de temps pour tef et il veut etre tresorier de la fédé🤮

Ca Confirme ce que je pense de lui, c'est un opportuniste qui s'est servi du tef pour ses affaires

 

Et sans lui tu n'aurais probablement aucun commentaire à mettre sur ce forum vu qu'il n'y aurait peut être plus de club à Toulouse :)

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Il y a 9 heures, clavicule a dit :

ouais, le gars il n avait pas de temps pour tef et il veut etre tresorier de la fédé🤮

Ca Confirme ce que je pense de lui, c'est un opportuniste qui s'est servi du tef pour ses affaires

 

On était bien content de l'avoir en national.

Après, il a perdu au fil du temps le feu sacré et a préféré l'équitation, mais faut pas oublier ce qu'il a apporté, même si la fin de sa période est beaucoup moins glorieuse.

 

Modifié par BrianJoubertMassacre
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Il y a 14 heures, clavicule a dit :

ouais, le gars il n avait pas de temps pour tef et il veut etre tresorier de la fédé🤮

Ca Confirme ce que je pense de lui, c'est un opportuniste qui s'est servi du tef pour ses affaires

 

Si c'est pour dire des conneries pareilles, tu peux t'abstenir en restant poli.

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  • Jeff 1
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Il y a 16 heures, Nens a dit :

Et sans lui tu n'aurais probablement aucun commentaire à mettre sur ce forum vu qu'il n'y aurait peut être plus de club à Toulouse :)

c'est possible mais qui sait ce qui serait vraiment arrivé ?

Il y a 9 heures, arno31 a dit :

Si c'est pour dire des conneries pareilles, tu peux t'abstenir en restant poli.

je vois pas en quoi c'est des conneries. 

Il y a 14 heures, BrianJoubertMassacre a dit :

On était bien content de l'avoir en national.

Après, il a perdu au fil du temps le feu sacré et a préféré l'équitation, mais faut pas oublier ce qu'il a apporté, même si la fin de sa période est beaucoup moins glorieuse.

 

je suis totalement d'accord .Il a été bien jusqu'à ce qui se sépare de Baup . Certainement le moment où il a compris que s'investir dans le club ne lui rapporterai rien de plus.

 

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EXCLUSIF - Olivier Sadran : "Je suis heureux et comblé"

Olivier Sadran, ancien président du Toulouse Football Club, était l'invité exceptionnel de l'émission 100% Club ce lundi soir sur France Bleu Occitanie. Elections à la FFF, le TFC version Comolli... Entretien.

Olivier Sadran a cédé 85% du Toulouse Football Club l'été dernier au fonds américain RedBird Capital Partners. Après une moitié d'exercice version US, l'ancien président du TFC se livre sur France Bleu Occitanie. Il évoque également son possible retour au football, puisqu'il est présent sur la liste de Frédéric Thiriez, candidat à la présidence de la FFF.

Vous êtes présent sur la liste de Frédéric Thiriez, candidat à la présidence de la FFF. Pourquoi ? 

"Frédéric me l'a demandé. J'ai fait de nombreuses années à ses côtés lorsqu'il était président de la Ligue et que moi-même j'étais au conseil d'administration. La seconde RAISON c'est que c'est quelqu'un de très sérieux. Un homme de droit, aguerri à tout ce qu'il va falloir mettre en place dans le football pour arriver à sortir de cette crise du Covid qui laisse beaucoup de traces. Le dernier point c'est que je trouve que le football amateur et le football professionnel sont en grand danger. Pas uniquement à cause de la crise du Covid mais aussi, ces dernières années, à cause d'un management légèrement autoritaire de la part de Noël Le Graët. Cela a affaibli les instances de la Fédération. Il y a énormément de problèmes en interne. Cela a aussi affaibli les instances de la LFP et du monde professionnel, ce qui a abouti en partie à la situation que l'on connait aujourd'hui." 

C'est-à-dire ?

"L'appel d'offres de Mediapro a été excessivement mal géré sur un plan juridique. Je faisais partie des gens qui demandaient des cautions bancaires et des garanties un peu plus solides que du rêve. A force d'affaiblir les instances, FFF ou LFP, on arrive à une situation qui met le football français en grand danger. Amateur ou professionnel. Les deux sont profondément liés."

L'été dernier, vous disiez vouloir vous éloigner un peu du monde du foot. C'est le contexte actuel qui fait que vous voulez vous investir de nouveau ?

"Oui, un petit peu. Et aussi parce que, en toute modestie, tout ce qui arrive aujourd'hui à travers Mediapro étaient des choses prévisibles. En France, il y a toujours des gens qui disent "je vous l'avais dit". Mais pour le coup, je l'avais prédit. J'ai une expérience dans le monde du travail et du business qui est assez forte. Si Frédéric était élu, je serais ravi de l'épauler en tant que trésorier."

Vous estimez qu'il y a urgence à renouveler la tête de la FFF ?

"On ne peut pas diriger de façon autocratique comme cela. Il y a une mainmise sur l'ensemble des instances. La situation est dramatique et la pandémie n'en est pas la seule raison. Il convient, dans l'intérêt de toutes les parties, de passer la main." 

L'affaire Luzenac a marqué le mandat de Frédéric Thiriez à la LFP. Cela ne change rien pour vous ?

"Je pense que c'est une erreur d’interprétation à l'époque. On ne peut pas qualifier Frédéric Thiriez d'adversaire de Luzenac, bien au contraire. Il y avait des positions bien arrêtées au niveau de la Fédération."

Sadran : "J'étais convaincu que Comolli était très performant"

Le TFC va très bien depuis quelques mois. Quel regard vous portez sur le club ? 

"Je suis heureux et comblé. Je vis tous les matches avec beaucoup de satisfaction. J'étais convaincu que RedBird était un actionnaire très sérieux, j'étais convaincu que Damien Comolli était quelqu'un de très performant. Il fallait renouveler les choses, repartir de zéro. Changer les dynamiques parce qu'elles s'étaient complètement essoufflées. C'est fait et j'en suis ravi. Sincèrement, je trouve que le travail qui est fait au niveau de l'équipe première et du reste et de très très haute qualité."

Quels liens avez-vous avec le président Damien Comolli ? 

"Damien sait que je suis à son entière disposition. Quand il a besoin de moi, quand il veut savoir quelque chose, il m'appelle. Cela nous arrive de temps en temps quand c'est nécessaire mais de mon côté je n'ai pas à m'immiscer dans sa gestion." 

Avec un peu de recul, il fallait cette vente du TFC ?

"C'était indispensable. Le recul que j'avais pris depuis quatre ou cinq ans a été mal fait de ma part. Les relais n'avaient pas été pris et le club était arrivé à bout de souffle. Il avait besoin d'une nouvelle dynamique."

 

https://www.francebleu.fr/sports/football/exclusif-olivier-Sadran-je-suis-heureux-et-comble-1613400772

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Nous aussi on peut se narguer de dire "qu'on l'avait dit"......

Que le changement était indispensable , Mr Sadran . Et pas qu'à l'horizon  2020 .

Si vous aviez eu un peu plus de recul , On aurait pas perdu 5 ans de la vie de ce club pour finir la risée du foot hexagonal

 

Comme quoi 

Le 12/02/2021 à 16:12, Nens a dit :

Et sans lui tu n'aurais probablement aucun commentaire à mettre sur ce forum vu qu'il n'y aurait peut être plus de club à Toulouse :)

Cette phrase j'en peux plus .

Certes il a ramené le plus vite qu'on puiss le faire ,  le téf au plus haut niveau , mais strictement rien ne dit qu'avec quelqu'un d'autres, certes  avec surement beaucoup plus de temps , on aurait pas pu retrouver la ligue 1 ou 2 à un moment donné .

Même en recommençant du  plus bas

CQFD Strasbourg , Grenoble , Le mans , Bastia etc etc ....

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