eden31 Posté(e) 29 août 2008 Posté(e) 29 août 2008 exactement et cet investissement minime n'est pas là pour toucher les fanas et abonnés depuis des lustres, mais pour essayer d'attirer puis fidéliser un public qui ne vient pas encore : les enfants et les femmes, pour résumer par exemple, dimanche, pour fêter la fin des vacances, j'amène ma fille de 5 ans avec moi au match, et ce qui l'attire presque le plus, ce sont les animations d'avant-match : le maquillage violet (c'est bien une fille), les jeux etc... et prendre une boisson au bar du stade avec son papa pour elle ce sera une fête terrible, et c'est comme ça qu'on lui donne envie de revenir (les considérations tactiques ou la qualité du jeu à domicile, c'est pas pour encore), et qu'on rassure les mamans également (car pour encore plein de monde le foot c'est un repaire de voyous et d'abrutis plein de bière). Ma fille adore se déguiser à la maison avec mon maillot du Téf, mon écharpe du Téf, ma casquette du Téf, et secouer les drapeaux du Téf ; et son petit frère n'est pas en reste, même s'il n'a encore rien vuBref avec tout ça, je désespère pas dans quelques années amener tout ce monde au stadium (même si avec la maman va falloir être persuasuf...), et je pense que c'est le but de ces animations Merci Président alléluia!!! ton post me rend heureux car c le copié-collé de ma situation!!! rien à rajouter....même ma gamine de 2 ans et demi me parle foot quand elle me voit regarder le tèf à la télé.... ces attractions apportent beaucoup aux familles, moments de joie et n'enlève strictement rien à ceux qui ne peuvent pas en profiter... Citer
marco Posté(e) 8 octobre 2008 Posté(e) 8 octobre 2008 Depuis son bilan de fin d'année, il se fait tout discret notre cher prése.. Citer
PHILOUDU14 Posté(e) 8 octobre 2008 Posté(e) 8 octobre 2008 Depuis son bilan de fin d'année, il se fait tout discret notre cher prése.. Ouais mais alors intérieurement qu'est ce qu'il doit jubiler. Citer
violacei11 Posté(e) 8 octobre 2008 Posté(e) 8 octobre 2008 Quelqu'un sait pourquoi on ne le voit plus? On ne l'entend plus? On ne le lit plus? Citer
elkjaer Posté(e) 8 octobre 2008 Posté(e) 8 octobre 2008 Depuis son bilan de fin d'année, il se fait tout discret notre cher prése.. C'est vrai, c'est effectivement ce que je me suis dis. Cela dit il ne nous a pas habitué à intervenir à chaque match comme certains de ses collègues hystériques... Il a probablement aussi cherché à laisser au maximum Casanova s'imprégner de ses nouvelles fonctions et se faire la voix du club pour ce qui concerne le terrain. On sait que Sadran a avant tout choisi Casanova pour la relation de confiance qu'il a avec lui et on peut penser qu'ils sont sur la même longueur d'ondes. Dans ce cas pourquoi devrait-il lui aussi intervenir? De plus, les premiers matchs au stadium (avant l'AJA) avec une tactique très conservatrice des violets avec peu de spectacle en conséquence était un peu en contraditction avec ses objectifs de début de saison. Si Sadran avait pris la parole devant les médias, il est probable que le sujet de l'absence de spectacle aurait été évoqué et Sadran aurait alors soit était obligé d'utiliser la langue de bois soit de mettre un peu de pression sur les épaules de Casanova. En restant discret, Sadran a laissé Casanova libre de justifier sa tactique défensive et de continuer à travailler sur ce même projet de jeu établi durant la préparation. Maintenant, le match face à l'AJA et la présence notamment de Bergougnoux et d'un bloc plus haut est certainement liée à l'évolution normale de l'équipe, à une volonté d'assumer son classement et de répondre aux critiques du public et des médias mais aussi, qui sait, peut-être à un échange de vue entre Casanova et son Président. Citer
NicoPaviot Posté(e) 9 octobre 2008 Posté(e) 9 octobre 2008 Il est passé sur FR3 dans le journal... Pas de scoop, il a cassé la présentatrice comme d'hab Citer
Nijni Posté(e) 21 décembre 2008 Posté(e) 21 décembre 2008 vu sur lequipe.fr TFC : Sadran est fier de Casanova - 12:46 Dans un entretien à l'AFP, le président de Toulouse, Olivier Sadran défend le bilan de son entraîneur Alain Casanova : «Ceux qui aujourd'hui saluent le travail de Casanova sont les mêmes que ceux qui prédisaient trente-huit 0-0 au TFC cette saison, en stigmatisant notre soi-disant pauvreté dans le jeu. Moi, quand j'ai pris Alain, j'étais persuadé de retrouver des valeurs de combat, d'intégrité et de travail. En ce qui concerne les résultats je n'avais aucune certitude même si je savais que c'est un grand professionnel.» Citer
Tefeceric Posté(e) 21 décembre 2008 Posté(e) 21 décembre 2008 Il est toujours president Sadran?! Tant mieux qu'on le voit pas, c'est bon signe! Citer
Nijni Posté(e) 21 décembre 2008 Posté(e) 21 décembre 2008 Il est toujours president Sadran?! Tant mieux qu'on le voit pas, c'est bon signe! C'est aussi ce que je me disais. Je n'ai pas le souvenir de l'avoir vu/lu/entendu depuis le début de la saison. Alors que la saison passée, il prenait souvent la parole pour essayer d'éteindre le feu. On a vu les résultats... Citer
FF Posté(e) 21 décembre 2008 Posté(e) 21 décembre 2008 C'est aussi ce que je me disais. Je n'ai pas le souvenir de l'avoir vu/lu/entendu depuis le début de la saison. Alors que la saison passée, il prenait souvent la parole pour essayer d'éteindre le feu. On a vu les résultats... Il s'est exprimé quelques fois dans la saison mais vraiment pas souvent... Citer
violacei11 Posté(e) 22 décembre 2008 Posté(e) 22 décembre 2008 Je pense juste que la saison dernière l'a "remué" mentalement, et qu'il a eu trop de pression. C'est pour ça que cette année il veut prendre un peu plus de recul avec le terrain pour se concentrer davantage avec les "affaires". Citer
Phildalbi Posté(e) 22 décembre 2008 Posté(e) 22 décembre 2008 Il est toujours president Sadran?! Tant mieux qu'on le voit pas, c'est bon signe! une page entière dans la dépêche ce matin: le meilleur est a venir Citer
Elmandou Posté(e) 22 décembre 2008 Posté(e) 22 décembre 2008 et qu'et ce qui raconte d'original notre Président? Citer
sayonara Posté(e) 22 décembre 2008 Posté(e) 22 décembre 2008 Olivier Sadran a affirmé quaucun départ nétait prévu lors du Mercato. Le président de Toulouse a avoué quil ne resterait pas insensible devant une offre conséquente tout en estimant à 80%, le pourcentage que le groupe reste le même. La très bonne première partie de saison du TFC a ravi Olivier Sadran. Le président toulousain souhaite conserver lossature dun groupe en constante progression. Il ne devrait donc pas y avoir beaucoup de mouvements lors du Mercato. « Il n'est pas prévu que des joueurs partent, a-t-il déclaré dans les colonnes de la Dépêche du Midi. Maintenant, si on nous propose une somme déraisonnable La plus grosse probabilité aujourd'hui, à 80 %, c'est que personne ne part. Car le groupe progresse tous les jours. Et comme on n'a pas de besoin, il n'y aura pas d'acquisition, c'est sûr ». http://www.madeinfoot.com/infos/redirect.php?actu=5907418 Citer
Invité Patcoco Posté(e) 22 décembre 2008 Posté(e) 22 décembre 2008 Le président Olivier Sadran : « Le TFC doit être un club citoyen » Etat d'esprit, solidarité, équité, les Mots de Casanova font mouche. Olivier SadranJ amais le TFC n'avait si bien réussi sa première moitié de saison, mais ce que nous avions souligné, en termes comptables, la semaine dernière s'accompagne désormais de formidables promesses, dans le jeu. Il y a un monde entre le début de saison des joueurs de Casanova et ce qu'ils osent aujourd'hui. L'entraîneur du TFC, qui admet que « les questions du début de saison étaient légitimes avec seize départs, peu d'arrivées sauf des joueurs en difficulté dans leurs clubs, un nouveau staff, un entraîneur sans expérience, etc. », a dit samedi soir qu'il avait entière confiance dans son groupe, promis au plus bel avenir. On veut le croire et on le croit. Mais on veut, aussi, le voir. Car la plus grande force du club toulousain sera non pas de finir troisième, quatrième ou cinquième et de se faufiler ainsi dans la cour des grands, mais bien de conserver à la fois ses jeunes joueurs, objets de convoitises à peine déguisées, et ses cadres, venus se relancer dans la quiétude de l'île du Ramier. L'intérêt de tous demeure de réussir une grande saison. Cela passe, aussi, par l'acquisition de cette expérience du haut niveau, comme le demande Mauro Cetto, samedi soir, au sortir du vestiaire: «C'est beaucoup, beaucoup, beaucoup de frustration. On a fait beaucoup d'efforts pour revenir à égalité, puis pour prendre l'avantage. Et, comme à Lille, on prend un but à la dernière minute. On se met en difficulté sur coups de pied arrêtés. Il faut être plus intelligents, savoir garder le ballon plus loin de notre but. Nice a marqué sur ses deux seules occasions, c'est rageant, car je crois qu'on méritait largement la victoire. On a beaucoup eu le ballon, on a beaucoup attaqué, on a joué parfois très bien...Ca va gâcher le week-end, pas les vacances. On a fait six mois de très bonne qualité. Après les vacances, il faudra repartir pour six autres mois au même niveau pour rester en haut du classement». Les 31 points d'ores et déjà dans la cagnotte téféciste ont un effet dynamisant sur le comportement des joueurs. Ils se lâchent. Ils tentent des coups. Et se rient des pronostics d'avant-saison, quand les questions étaient plus nombreuses que les certitudes... Ce type d'équipe, que personne n'attend, est très dangereux... pour ses adversaires. Car Alain Casanova, dont les débuts sont remarquables, ne rendra pas la main. Plusieurs de ses joueurs ont fait, ou font encore, un séjour en réserve. Dans l'antichambre, pour ne pas utiliser un terme religieux. Preuve qu'il n'y a plus de privilèges, que tout le monde est logé à la même enseigne, que les efforts sont absolus et partagés. N'est-ce pas là la parfaite définition d'une équipe? -------------------------------------------------------------------------------- Président, on imagine que vous êtes comblé par cette première partie de saison ? « Je le suis effectivement, avant tout par le plaisir de retrouver la vie en commun et le goût du sport qui ont expliqué mon engagement à l'époque, en 2001. Je sais aussi qu'en termes de points, le club a battu son propre record alors que nous n'en sommes qu'à notre sixième saison de L1, et c'est extra ». Vous attendiez-vous à ça ? « On ne sait jamais réellement où on va, car il faut respecter le sport, sa part d'incertitude, son alchimie des collectivités. Au 1er juillet dernier, je ne savais absolument pas où nous en serions le 20 décembre, et notre stratégie ne consistait qu'à retrouver ce goût de l'effort, cette joie du sport » Cela ne suffit pas. « J'ai assumé mon rôle d'actionnaire quand il y a eu des obligations de trésorerie. Tout le monde oublie que nous avions perdu 7 m entre un budget bâti sur la dixième place et le classement final, dix-septième. Et nous avons également investi 11 m sur le marché des transferts, pour développer notre jeu. Aujourd'hui, le budget sera de 32 ou 33 m , mais je sais déjà, pourtant, qu'il y aura un léger déficit ». Alors même que la situation financière du club a été assainie ? « Mais les revenus télés fluctuent suivant votre classement de la saison et celui des cinq dernières années. Ensuite, Toulouse est la ville où il y a le plus de recettes marketing en France, à hauteur de 16 m , mais cette somme est partagée entre deux clubs. Si nos moyens sont corrects, ils ne seront jamais ceux de l'OM, de Lyon ou des autres » Est-ce à dire qu'il y a ici un club de trop ? « L'équation ne marche pas sur la disparition de l'un ou de l'autre. D'autant moins que nous ne nous marchons pas sur les pieds avec le Stade, que nos publics et nos sponsors sont différents. Moi, je suis un fan du Stade Toulousain et je le resterai, je ne suis pas et je ne serai jamais en opposition avec eux. Mais il est exact que nous sommes très différents avec M. Bouscatel » Les affluences du Stadium semblent en baisse. Avez-vous une explication ? « Il y a un lobbying qui veut le faire croire. Nous finissons 2008 à 18 000 de moyenne, avec une seule grosse affiche, contre l'OM. Ce qui me fait dire que nous finirons encore et comme d'habitude à plus de 400 000 spectateurs, ce qui laisse le TFC premier spectacle privé de Midi-Pyrénées ! En outre, nos recettes sont supérieures à celle de l'an dernier alors que nous avons perdu les 3 000 places de la tribune Leclerc. Je rappelle enfin que nous avons investi des millions dans l'infrastructure du Stadium, dont nous sommes le club résident, et où nous recevons d'autres collectivités en partenariat avec la Mairie de Toulouse » Mais beaucoup de personnes se plaignent de s'y ennuyer « On oublie souvent que le football d'aujourd'hui est avant tout tactique, qu'il y a un adversaire, qu'on ne peut pas faire n'importe quoi. Il y a eu des matches intéressants et des matches moyens au Stadium. Mais qui peut oser me dire qu'il s'est marré en regardant le sommet Lyon-Marseille ?» Quels seront les objectifs de la deuxième partie de la saison ? « Ils sont extrêmement clairs : pérenniser notre état d'esprit, axé sur le travail, la performance, l'équité de traitement entre les joueurs, et sur la combativité pendant un match. C'est la continuité de ce que nous avons fait jusqu'à présent, donner le meilleur de nous-mêmes tout en restant performants. Et je vous assure que c'est un véritable rêve que de vivre ça ». Êtes-vous surpris par la performance d'Alain Casanova ? « Pas du tout ! On cherchait à retrouver un cadre de vie, de citoyenneté, de comportement. Et de ce côté-là, je n'avais aucun doute avec Alain, qui est un grand professionnel, et un homme de rigueur, de travail, de solidarité, de combativité, qui a beaucoup d'humilité et qui a très bien su s'entourer. Ceux qui aujourd'hui saluent son travail sont les mêmes que ceux qui prédisaient trente-huit 0-0 cette saison, en stigmatisant notre soi-disant pauvreté dans le jeu » Si je vous dis Europe ? « Je réponds qu'un club comme le TFC doit d'abord être citoyen, intégré dans sa ville, sa région, et il l'est. Grâce à un lieu de spectacle dédié aux enfants, et complètement sécurisé : nous sommes le seul club de France à ne pas avoir une cage pour les supporters adverses. Ensuite, on doit tout faire pour rester en Ligue 1, où notre capacité financière nous situe entre la cinquième et la quinzième place. À ce niveau, il peut y avoir des années miraculeuses et d'autres catastrophiques. Mais s'il doit y avoir Europe, on l'abordera avec le même état d'esprit, avec nos moyens qui sont de pérenniser le club en L1 ». Si je vous dis mercato ? « Je réponds que ça ne veut rien dire aujourd'hui. Qu'il n'est pas prévu que des joueurs partent. Maintenant, si on nous propose une somme déraisonnable La plus grosse probabilité aujourd'hui, à 80 %, c'est que personne ne part. Car le groupe progresse tous les jours. Et comme on n'a pas de besoin, il n'y aura pas d'acquisition, c'est sûr ». Si je vous dis faites un vu, puisque c'est la période ? « Je souhaite que notre première partie de saison dure toute l'année, dans son plaisir de vie, son état d'esprit et sa combativité. Et que l'ensemble des équipes du club se comportent merveilleusement et fassent preuve d'une mentalité exceptionnelle ». La dépêche Article en entier Citer
Forrest Posté(e) 4 janvier 2009 Posté(e) 4 janvier 2009 En moins de quatre ans, Newrest, la société d'Olivier Sadran, par ailleurs président du TFC, le club de foot de Toulouse, a connu une ascension fulgurante. Et elle vient tout juste de signer deux importants contrats, le premier au Liberia, avec ArcelorMittal pour des services hôteliers et de catering sur cinq sites pour plus de 500 personnes. Le deuxième avec la Bolivie, afin d'installer une base de vie à près de 4.500 m d'altitude sur la mine d'argent de San Cristobal où travaillent plus de 1.500 personnes. Un contrat qui confirme l'expertise de la société toulousaine à l'autre bout du monde. « Quand on se positionne sur de tels marchés, il faut avoir une réponse cohérente avec les populations locales. En Bolivie, nous allons recruter dans les villages indiens voisins et aider à la scolarité. Nous devons aussi gérer l'eau et les déchets générés par nos bases de vie, grâce à des entreprises partenaires », explique Olivier Sadran. Le goût d'entreprendre À 39 ans, le PDG de Newrest mesure le chemin parcouru depuis sa première entreprise. Il a moins de 20 ans quand il délaisse les bancs de l'université de sciences éco pour lancer sa première société, et fournir des plateaux-repas aux ouvriers sur les chantiers de la région. Rapidement, dès 1995, il réussit à la vendre à Sodhexo et se tourne vers les compagnies aériennes. L'ouverture à la concurrence dans les aéroports, engagée en 1996, lui ouvre les portes d'un marché quasi vierge. Il fonde alors Catair qu'il cède quatre ans plus tard à Compass, l'un des leaders mondiaux de la restauration collective. Le groupe britannique fusionne Catair avec sa propre filiale Eurest Inflight Services et confie la direction de ce nouveau pôle catering à Olivier Sadran. Lequel, aidé par une cinquantaine de cadres, le rachète à Compass en 2005? pour fonder Newrest. « 50 % de dettes, 50 % d'equity », précise-t-il, amusé du pari de l'époque. Aujourd'hui, l'entreprise a doublé ses ventes, avec 400,5 millions d'euros de chiffre d'affaires. Une centaine de cadres détient 62 % de la société, dont une part importante reste dans les mains d'Olivier Sadran. Et, pour se développer, il choisit de s'implanter dans des pays à fort potentiel et où les marchés sont encore jeunes. Une kyrielle de marques Malgré tout, Newrest est restée une PME : son siège social compte moins de vingt personnes, avec une organisation faisant la part belle aux opérationnels sur le terrain. Rigoureux dans sa gestion, Olivier Sadran l'est aussi avec ses holdings personnels, et la kyrielle de marques qu'il a mis sous sa coupe : les eaux d'Alet, les crèches d'entreprise Bébébiz ou encore le golf d'Albi. Ironie du sort, l'homme est surtout connu dans la Ville rose pour être le patron du TFC? Charismatique, mais peu connu : c'est tout le paradoxe de ce chef d'entreprise, qui veille sur une vingtaine de footballeurs, mais emploie plus de 12.000 personnes J'avais lu ça il y a un mois dans le journal La tribune, et je viens de tomber sur l'article sur le net... C'est toujours bon à savoir Citer
purple Posté(e) 8 janvier 2009 Posté(e) 8 janvier 2009 (modifié) Télé Toulouse (TLT): départ de Lagardère, Sadran (TFC) devrait le remplacer Le groupe Lagardère, actionnaire à 20% environ de la chaîne Télé Toulouse (TLT), en redressement judiciaire, va quitter le capital et devrait être remplacé par Olivier Sadran (président du Toulouse football club), a-t-on appris jeudi auprès de la direction. La situation de TLT, en redressement judiciaire depuis le 18 novembre à la suite d'un dépôt de bilan, doit être de nouveau examinée par le tribunal de commerce vendredi pour statuer sur la poursuite de la période d'observation ou sur une liquidation judiciaire. Selon un communiqué du président de TLT Pierre Carli (Caisse d'Epargne) et du directeur général Franck Demay, les actionnaires se sont réunis jeudi matin. Quatre d'entre eux, la mairie de Toulouse, La Dépêche du Midi, Sud Communication et la Caisse d'Epargne régionale (environ 20% chacun), "ont réaffirmé leur volonté de maintenir TLT en activité et de soutenir le projet de télévision à Toulouse conciliant proximité citoyenne, ancrage local et équilibre économique". "Ils ont pris acte de la décision du groupe Lagardère de se retirer de TLT et ont, à ce titre, sollicité Olivier Sadran, représentant du TFC, qui a répondu favorablement à cette proposition tout en conditionnant son entrée à la réussite du plan de restructuration", selon le communiqué. Lagardère avait été opérateur de TLT jusqu'en juillet 2008 avant de céder la direction aux Caisses d'Epargne. Il n'est pas précisé si M. Sadran reprendra intégralement ces 20%. La dernière mouture du plan de restructuration et d'économies de TLT, soumis par Franck Demay au tribunal de commerce à la mi-décembre, prévoyait de ramener le nombre de CDI de 36 à 24 et celui des intermittents et CDD de 13 équivalent-temps plein à 4. Interrogé par l'AFP, M. Demay a indiqué: "J'espère que le tribunal se prononcera pour la continuation vendredi". Approché pour participer au tour de table, le président de la région Midi-Pyrénées, Martin Malvy, a déclaré jeudi lors de ses voeux à la presse: "Nous n'avons pas décidé de rentrer au capital de TLT, mais nous accroîtrons de façon sensible notre part de consommation d'espace pour aider TLT dans sa démarche de reportage d'actualité". Le Monde.fr Modifié 8 janvier 2009 par purple Citer
JohanElmander Posté(e) 8 janvier 2009 Posté(e) 8 janvier 2009 Le Monde.fr C'est l'effet Sarkozy ça ... tout bon chef qui se respecte se doit d'avoir sa chaine de TV !!! Citer
flo31 Posté(e) 9 janvier 2009 Posté(e) 9 janvier 2009 Sadran devient tentaculaire, pourvu qu'il ne finisse pas comme Tapie. Citer
marco Posté(e) 15 janvier 2009 Posté(e) 15 janvier 2009 Article : [url=http://www.tfc.info/fr/Actualite/101002/Dernieres_news/42801/Olivier_Sadran_evoque_le_mercatoTfc.info]Olivier Sadran évoque le mercato Le président du TFC évoque la situation de plusieurs de ses joueurs en cette période de mercato... Le mercato sera-t-il calme au TFC ? Comme le vestiaire est sain et heureux aujourd'hui et comme il faut se reconstruire sur le plan économique, on n'a pas d'ambition pour ce mercato. Nous avons acheté beaucoup de joueurs ces dernières années. Nous souhaitons éviter les erreurs du passé. C'est l'économie qui générera la reconstruction. Nous souhaitons également donner une chance importante aux jeunes. C'est quelque chose qui n'est jamais mis en avant, mais c'est la deuxième fois depuis 2001 que le TFC est sauvé par ses jeunes. La mentalité de nos jeunes est extraordinaire. A nous de les préserver et les garder dans cet esprit là. JEREMY MATHIEU Jérémy s'est toujours comporté de façon exemplaire. Il est en train de faire une saison de très bonne qualité malgré les lieux communs qui disent que quand il ne reste qu'un an de contrat, on est déjà parti dans sa tête. Jérémy n'est pas parti, parce que nous ne l'avons pas souhaité. A partir de ce moment là, on en assume toutes les conséquences. On estimait que depuis quatre ans, il n'avait pas tout produit pour le club et que pour le côté psychologique avec les autres joueurs, il était préférable qu'il reste là. A la question, a-t-on toujours espoir de garder Jérémy, la réponse est oui ! Mais ça ne dépend pas uniquement de nous. Cela dépend également de la volonté de l'agent de Jérémy, sans doute moins forte que la notre. Cela dépend enfin de la volonté de Jérémy que je ne qualifierais pas obligatoirement de moins forte. Ce que j'ai envie de dire à Jérémy, c'est que avant de s'engager où que ce soit, il vienne me voir une dernière fois parce que je ne suis pas sur qu'ailleurs, il ait une proposition obligatoirement bien meilleure que la notre. Mais je suis sur qu'ici et dans des délais assez brefs, il connaîtra à coup sur l'équipe de France... Si j'étais lui, je réfléchirais... ANDRE PIERRE Gignac Il est sous contrat long au TFC et il se sent bien ici. C'est quelqu'un qui a franchi un pallier dans le sens qu'il donne à sa vie... La mutation de vie de "dédé" est assez impressionnante depuis six mois. Il a envie de s'inscrire ici et il le dit haut et fort. C'est sans doute pour lui, la meilleure façon de prendre encore de la confiance et d'élargir son panel technique et son expérience. Il estime que c'est ici, qu'il a le plus de chances de progresser et de s'améliorer. On n'a pas l'intention aujourd'hui de se séparer d'André Pierre Gignac. BRYAN BERGOUGNOUX Dans la vie, les années vous formatent et vous permettent d'évoluer. Les années entre 20 et 23 ne sont sans doute pas les plus faciles et surtout quand tout s'accélère... Aujourd'hui, l'investissement de Bryan est exemplaire. Nous ne nous interdisons rien vis à vis de Bryan. Ce n'est pas impossible que l'on propose un jour quelque chose à Bryan... SOREN Larsen Soren est dans le même cas que dédé il y un an... Je vous invite donc à être très prudent dans vos conclusions... Il n'a pas encore eu l'occasion de trouver ses marques. Je suis convaincu qu'il nous servira dans la deuxième partie de saison. Il n'y a que onze joueurs sur le terrain et aujourd'hui les résultats donnent entièrement raison aux compositions alignées chaque week-end. Il faut bien avoir plusieurs attaquants pour avoir un banc de qualité... HERITA ILUNGA West Ham a une option vis à vis de nous. Il faut déjà qu'ils répondent à leurs obligations financières et pour l'instant ils le font. Si jamais ils lèvent l'option et sont capables de donner les garanties sur le paiement de l'option, on laissera partir Herita Ilunga. Si ils ne peuvent pas le faire et qu'il y a d'autres propositions, on les étudiera. Si jamais aucun des deux cas ne sont mis en oeuvre, Herita reviendra. PAULO CESAR Paulo est un joueur de très très bonne qualité, qui a toute sa place dans l'effectif. Il a contribué comme tout le monde à nos 34 points, en étant titulaire quelques fois. Ce serait s'affaiblir que de le laisser partir. De plus, il n'a jamais demandé à partir, même s'il aimerait jouer davantage. PAVEL FORT C'est le seul joueur qui pourrait peut être glaner du temps de jeu ailleurs pendant ce mercato, sous la forme d'un prêt. Citer
FF Posté(e) 15 janvier 2009 Posté(e) 15 janvier 2009 Pour ceux qui se plaignent que l'on entend pas assez souvent le président, voici son point presse/voeux en 6 parties : Part 1 Part 2 Part 3 Part 4 Part 5 Part 6 Du Sadran fidèle à son habitude, calme, posé, parfois acerbe/sec dans certaines remarques, avec son petit sourire en coin... Un président qui n'utilise jamais le "je" pour s'exprimer, mais utilise toujours le "on". Citer
Coolbool Posté(e) 15 janvier 2009 Posté(e) 15 janvier 2009 Je crois que la dernière saison cauchemardesque qui a suivie une autre magique à aidé notre président à franchir lui aussi un cap. Même s'il doit avoir des défauts (comme tout le monde), on a quand même de la chance d'avoir un président qui sait garder les pieds sur terre sans manquer d'ambitions... et surtout: se sert de ses erreurs passées pour avancer et donc faire grandir le club. Citer
Messages recommandés
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.