Aller au contenu

Olivier Sadran


Invité JC Runingman

Messages recommandés

Posté(e)

:grin::ninja: - 50% POUR LES JOUEURS DU TFC :shock::huh:

ALBI (81) - L'HÔTEL GOLF ET SPA ALBI-LASBORDES OUVRIRA EN 2 008. LES TRAVAUX DÉMARRENT EN JANVIER AVEC 63 CHAMBRES, BALNÉO, PISCINE ET RESTAURANT.

35 emplois pour recevoir le gratin du sport

Ce projet n'en est plus un. Les travaux du futur hôtel Golf et Spa Albi-Lasbordes démarrent au mois de janvier. Ils devraient se terminer au début de l'année 2 008 pour que l'hôtel de grand standing ouvre au public dans la foulée. Le complexe de 5 600 m2 qui s'étend sur une surface de 8 000 m2 offrira 63 chambres en R + 2, 58 places de parking, un restaurant avec 146 couverts, une salle de séminaire et un espace de balnéothérapie de luxe au premier étage. À disposition de la clientèle, un hammam, un sauna, une piscine couverte et des cabines de soins comprenant des douches à fusion, baignoires à bulles, massages, etc. 35 emplois devraient voir le jour pour cet ensemble qui flirte avec les quatre étoiles. L'hôtel, baptisé Golf et Spa, se trouve à deux pas du golf de Lasbordes. Le terrain se trouve en dehors de la servitude de protection des monuments historiques mais l'architecte des Bâtiments de France avait été informé du projet. Par courtoisie.

SPORTIFS ET ÉTRANGERS

L'objectif des deux associés toulousains de la société Saco, Olivier Sadran et Thierry Colson, le futur directeur de l'hôtel, n'est plus un secret.

Le complexe Golf et Spa est ouvert à toutes les clientèles. Françaises, bien sûr, mais aussi étrangères par le biais de tour operators ainsi qu'aux sportifs de haut niveau, désireux de se remettre en forme avant une compétition de golf ou un match de rugby ou de foot.

Le complexe, qui a pris un peu de retard, était sur les rangs pour accueillir l'équipe australienne dans le cadre de la Coupe du monde de rugby. C'est râpé. Dans la limite des places disponibles, les particuliers qui viendront se faire un parcours sur le week-end seront bienvenus. « Ils auront, bien sûr, accès, à toutes nos installations, explique Thierry Colson. Tout comme ceux qui souhaiteront se relaxer quelques heures dans les cabines de soins ».

Pascal Delande, le directeur du golf, voit d'un bon il l'arrivée de cet hôtel et de ses futurs clients qui viendront bien faire quelques trous pour tuer le temps.

Le restaurant du golf, qui ne tourne pas à plein régime, devrait opter quant à lui pour une formule brasserie afin de laisser le champ libre au resto de l'hôtel. 146 couverts, ça laisse de la marge

source ddm

Posté(e)
:grin::ninja: - 50% POUR LES JOUEURS DU TFC :shock::huh:

ALBI (81) - L'HÔTEL GOLF ET SPA ALBI-LASBORDES OUVRIRA EN 2 008. LES TRAVAUX DÉMARRENT EN JANVIER AVEC 63 CHAMBRES, BALNÉO, PISCINE ET RESTAURANT.

35 emplois pour recevoir le gratin du sport

Ce projet n'en est plus un. Les travaux du futur hôtel Golf et Spa Albi-Lasbordes démarrent au mois de janvier. Ils devraient se terminer au début de l'année 2 008 pour que l'hôtel de grand standing ouvre au public dans la foulée. Le complexe de 5 600 m2 qui s'étend sur une surface de 8 000 m2 offrira 63 chambres en R + 2, 58 places de parking, un restaurant avec 146 couverts, une salle de séminaire et un espace de balnéothérapie de luxe au premier étage. À disposition de la clientèle, un hammam, un sauna, une piscine couverte et des cabines de soins comprenant des douches à fusion, baignoires à bulles, massages, etc. 35 emplois devraient voir le jour pour cet ensemble qui flirte avec les quatre étoiles. L'hôtel, baptisé Golf et Spa, se trouve à deux pas du golf de Lasbordes. Le terrain se trouve en dehors de la servitude de protection des monuments historiques mais l'architecte des Bâtiments de France avait été informé du projet. Par courtoisie.

SPORTIFS ET ÉTRANGERS

L'objectif des deux associés toulousains de la société Saco, Olivier Sadran et Thierry Colson, le futur directeur de l'hôtel, n'est plus un secret.

Le complexe Golf et Spa est ouvert à toutes les clientèles. Françaises, bien sûr, mais aussi étrangères par le biais de tour operators ainsi qu'aux sportifs de haut niveau, désireux de se remettre en forme avant une compétition de golf ou un match de rugby ou de foot.

Le complexe, qui a pris un peu de retard, était sur les rangs pour accueillir l'équipe australienne dans le cadre de la Coupe du monde de rugby. C'est râpé. Dans la limite des places disponibles, les particuliers qui viendront se faire un parcours sur le week-end seront bienvenus. « Ils auront, bien sûr, accès, à toutes nos installations, explique Thierry Colson. Tout comme ceux qui souhaiteront se relaxer quelques heures dans les cabines de soins ».

Pascal Delande, le directeur du golf, voit d'un bon il l'arrivée de cet hôtel et de ses futurs clients qui viendront bien faire quelques trous pour tuer le temps.

Le restaurant du golf, qui ne tourne pas à plein régime, devrait opter quant à lui pour une formule brasserie afin de laisser le champ libre au resto de l'hôtel. 146 couverts, ça laisse de la marge

source ddm

il se gave...

Posté(e) (modifié)

Puisque vous voulez en savoir toujours un petit peu plus sur Sadran

Cockpit juin 2006 (N°65) - Zoom sur...

Des services qui décollent

15/06/2006

En seulement quinze ans, Olivier Sadran a bâti une entreprise internationale de catering de 6 000 personnes.

Olivier Sadran n’en est plus à son coup d’essai. En 1990, à 20 ans à peine, ce jeune Toulousain abandonne ses études supérieures. Son objectif est de lancer une activité de restauration pour les ouvriers du bâtiment, côtoyés lors d’un job d’été. Trois ans plus tard, cet embryon d’activité est structuré en une entreprise de restauration collective plus aboutie, Corest. « J’avais en face de moi un jeune homme très motivé qui savait déjà exactement ce qu’il voulait », se souvient Jean-Louis Thomas, responsable des marchés Professionnels et Entreprises à la Banque Populaire Toulouse-Pyrénées, qui décide alors de le suivre. Multicroissance, la filiale de capitalinvestissement de la Banque, investit 300 000 F (environ 45 000 €) dans l’affaire. En trois ans, le chiffre d’affaires atteint 3 M€ et la société est vendue au géant français de la restauration collective, Sodexho Alliance. Mais Olivier Sadran voit grand. Nous sommes en 1996, l’heure est à la déréglementation des services aériens. Mécontentes de leur activité de restauration à bord, les compagnies aériennes souhaitent externaliser ce métier pour se concentrer sur leur seule activité naturelle de transport.

Un secteur très concurrentiel

Olivier Sadran réunit 18 collaborateurs et crée Catair, une société de catering aérien installée sur la plate-forme de Toulouse-Blagnac. Deux priorités : lhygiène et la réactivité, des valeurs indispensables pour survivre dans ce secteur très concurrentiel. La Banque Populaire Toulouse-Pyrénées reste de la partie. Via les services bancaires et des financements traditionnels, bien sûr, mais pas seulement. Multicroissance entre, une fois encore, dans le tour de table de la toute jeune société et la dote des moyens capitalistiques nécessaires à son développement. En trois ans, le chiffre daffaires atteint 11,4 M.

Olivier Sadran, président du Directoire d'EIS.

Car entre-temps, Catair a élargi son réseau dunités de catering à plusieurs aéroports régionaux clés sur le territoire français : Montpellier, Toulon, Nice ou encore Strasbourg, dont la concession est gérée par Compass, le grand concurrent de Sodexho Alliance. Cest le premier contact avec le leader mondial de la restauration collective. Pas le dernier. Olivier Sadran rencontre Alain Dupuis, membre du conseil dadministration de Compass, qui entre dans le capital de Catair à hauteur de 20 %. En 2000, la multinationale britannique devient actionnaire majoritaire de la PME toulousaine, dont elle organise le rapprochement progressif avec Eurest Inflight, sa filiale internationale spécialisée dans le catering aérien et ferroviaire. Olivier Sadran reste le dirigeant opérationnel avant de prendre les rênes de lensemble, qui rayonne alors notamment sur larc méditerranéen à travers une dizaine de pays.

Un MBO à succès

Mais Compass ne souhaite pas conserver cette activité, trop éloignée de son coeur de métier. Le groupe cherche un repreneur. Olivier Sadran décide alors de racheter Eurest Inflight, malgré le montant élevé de linvestissement. Reste à trouver les bons partenaires. « Même sil en connaissait déjà bien les mécanismes, nous avons travaillé ensemble très en amont sur les moyens de financer en capital et en crédit une opération de cette taille », se rappelle Jean-Louis Thomas. Courant 2005, la décision est prise, et avant la fin de lannée, le montage est bouclé : une société holding est créée dans le but de racheter Eurest Inflight, rebaptisée Eurest Inflight Services (EIS), pour 92 M sous la forme dun management buy-out (MBO). Le financement ? Un apport en capital à hauteur de 40 M et, pour le solde, la souscription dune dette dun montant de 52 M, qui sera remboursée au fil du temps par les remontées de dividendes.

Lopération est un succès. Olivier Sadran a réussi à convier au sein dun tour de table les 50 premiers cadres de la société et quatre autres personnes physiques clés, comme Alain Dupuis qui devient le chairman exécutif. Ces associés réunissent à eux seuls 23 M et restent majoritaires dans laffaire. Du côté des investisseurs professionnels, Multicroissance fait appel à deux filiales de capital-développement de Natexis Banques Populaires, Naxicap Partners et Natexis Investissement, pour parfaire le financement et mener à bien lingénierie de lopération. Finalement, la Banque Populaire Toulouse-Pyrénées et les structures de Natexis Banques Populaires investissent un total de 12 M en fonds propres. La dette est rapidement bouclée. En à peine deux mois et demi et malgré une conjoncture sectorielle tendue, Natexis Banques Populaires arrange et syndique au bénéfice du holding un financement de 52 M. « La bonne coopération entre la Banque Populaire Toulouse-Pyrénées et les diverses entités de Natexis Banques Populaires financements structurés, capital-investissement ou encore syndication a permis doffrir aux dirigeants repreneurs une solution de financement globale clé en main », raconte Éric Aveillan, directeur général de Naxicap Partners.

De nouveaux relais de croissance

Aujourdhui, quinze ans après avoir effectué ses premiers pas dentrepreneur, Olivier Sadran a parcouru un très long chemin. À 35 ans, il est à la tête dune entreprise indépendante de 6 000 personnes qui a généré un chiffre daffaires de 311 M (périmètre à juin 2006). Leader de son secteur dans le bassin méditerranéen, EIS est présent dans 18 pays avec des implantations industrielles en Espagne, en Croatie, en Grèce ou encore en Tunisie et à Chypre. La société pourrait passer prochainement un nouveau cap dans sa croissance. Car, si le secteur est réputé diffcile, EIS est rentable et compétitif. Surtout, latteinte dune taille critique facilite, en raison des économies déchelle, le gain de parts de marché. Le ton est donc plus que jamais à loptimisme. « La réunion autour dun même projet de partenaires financiers, de personnalités du monde des affaires, à linstar dAlain Dupuis, et des principaux cadres de la société crée un socle solide pour le développement dEIS », ajoute Olivier Sadran. Car les projets sont ambitieux. Après un récent renforcement en Europe du Nord, avec le lancement dactivités à Amsterdam et à Londres, les objectifs sont de poursuivre la diversification géographique, notamment vers les pays émergents, et dexplorer de nouveaux métiers. La part du catering aérien, qui représente aujourdhui près des deux tiers de lactivité, est vouée à diminuer au profit de nouveaux services. Au cours des prochaines années, EIS devrait encore changer de visage.

EIS EN CHIFFRES

Secteur dactivité : catering (élaboration de plateaux-repas et de services à bord) aérien et ferroviaire

Chiffres clés : 6 000 collaborateurs et 311 M de CA (périmètre à juin 2006)

Signe particulier : leader sur le bassin méditerranéen

Client de la Banque Populaire Toulouse-Pyrénées

http://www.banquepopulaire.fr/groupe/p846_FR_Y.htm

Modifié par CiaoBye
Posté(e) (modifié)
Ca explique peut etre pourquoi, les joueurs du Téf ont leurs comptes bancaires à la Banque Pop :(

Faut la caisse d'épargne est partenaire

opteamselecteam.gif

Modifié par Toulousiano
Posté(e) (modifié)
Ca explique peut etre pourquoi, les joueurs du Téf ont leurs comptes bancaires à la Banque Pop :(

HEU...

je pense que le tef a peut etre sa banque a la BP mais les joueurs eux font ce qu ils veulent .. depuis quand un employé est il obligé d'avoir son compte chez le partenaire ? et puis ils seront obligés d aller faire les couses à Leclerc, d offrir une citroen a leur femme ? de manger au mois 1 fois par mois dans chaque restaurant partenaire , de jouer a pes6, .... :ninja:

je pense que le TFC a son ( ses ) comptes a BP mais pas les joueurs ... ca semblerait plus logique et encore ... rien n'es moins sur .. Sadran s'est peut etre appuyé sur le BP pour une de ses entreprises mais rine ne dit qu 'il l a fait suivre pour ses autres entreprises ... et ce serait peut etre mieux au cas où ...

c'est un avis pas une certitude ...

Modifié par pattfc
Posté(e)

Pour ceux qui ont vu jour de foot, avec un pt'it reportage sur notre président, ils ont pu voir (une fois de plus) que notre président était aussi un vrai supporter du TFC. Ces réactions après chaque faits de matchs montrent bien qu'il aurait ca place dans le virage. :thumb: On sent bien qu'il n'est pas présent au stade pour faire de la présence, qu'il est proche de cette équipe.

Sur cet aspect là, pas mal de club (notamment Bordeaux, Nantes, Marseille) peuvent nous envier un président avec autant d'engagement qui fait tout pour bâtir une équipe de haut niveau a Toulouse.

Posté(e) (modifié)
Pour ceux qui ont vu jour de foot, avec un pt'it reportage sur notre président, ils ont pu voir (une fois de plus) que notre président était aussi un vrai supporter du TFC. Ces réactions après chaque faits de matchs montrent bien qu'il aurait ca place dans le virage. :grin: On sent bien qu'il n'est pas présent au stade pour faire de la présence, qu'il est proche de cette équipe.

Sur cet aspect là, pas mal de club (notamment Bordeaux, Nantes, Marseille) peuvent nous envier un président avec autant d'engagement qui fait tout pour bâtir une équipe de haut niveau a Toulouse.

Faut pas oublier qu'il savait qu'il était filmé quand même :thumb:

Mais ça me paraissait spontané :D

Modifié par chronos
Invité tou_lou_sain
Posté(e)

C'est sûr que ça change des présidents en pardessus et gros cigare.

Merci pour tout Olivier Sadran, depuis plus de 5 ans.

Et que ça dure longtemps.

Avec un tel président rien de bien grave ne peut arriver au TFC.

Attention tout de même aux sponsors interdits.

Posté(e)

y-a-t-il des liens entre cette entreprise et le TFC ?

Un Sponsoring ?

Posté(e)
C'est sûr que ça change des présidents en pardessus et gros cigare.

Merci pour tout Olivier Sadran, depuis plus de 5 ans.

Et que ça dure longtemps.

Avec un tel président rien de bien grave ne peut arriver au TFC.

Attention tout de même aux sponsors interdits.

moi j'ai adoré la même réaction sur les 2 pénos ... d'abord le sursaut sur la faute et le petit haussement des épaules au cp de sifflet de l'arbitre du genre " ouais normal il y est" Ah! ah!

Posté(e)
Faut pas oublier qu'il savait qu'il était filmé quand même ;)

Mais ça me paraissait spontané :)

pour te rassurer c'était bien spontané

et a mon avis il n y a pas beaucoup de president de L1 qui vont faire les decrassages d apres match avec les joueurs

le we du 3 ou 4 novembre j était de passage a toulouse et toute l equipe faisait son footing apres la defaite de st etienne et qui était derniere entrain de pousser de la voix pour mobiliser son groupe "OS"

je pense que c est un plus pour le groupe de savoir que leur president est proche d'eux

Posté(e)
je pense que c est un plus pour le groupe de savoir que leur president est proche d'eux

Elie Baup lui avait reproché je croise à son arrivée d'être trop proche donc trop gentil avec ces joueurs.

Posté(e)
pour me faire l'avocat du diable, je dirais que parfois il est même trop près de ses joueurs et que ca facilite pas la gestion de certains problèmes...

il a toujours était comme ca meme dans ses entreprises apres c'est un choix de gestion en fonction de sa mentalité

maintenant que tu dises que ca ne facilite pas certaines gestion de probleme je te dirais oui et non car un boss loin de tout a d autres probleme alors quelle attitude adopter ?

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.