Akinsson Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 en_avant_tfc a raison point barre S --> Sensationnel ES --> écrasés et soumis
Moa Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 S --> Sensationnel ES --> écrasés et soumis Déja utilisé ES>etre supreme
vins31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 S --> Sensationnel ES --> écrasés et soumis S : Suceurs ES : Empereurs et Souverains
Akinsson Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 S : Suceurs ES : Empereurs et Souverains Déjà utilisé
Moa Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 les ES ça a toujours été les loosers Non non, L>loosers Je crois que tu n'as pas compris la subtilité de notre jeu
vins31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Je crois que tu n'as pas compris la subtilité de notre jeu normal, c'est pas un ES
chronos Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 On s'en fout un peu là C'est vraiment une faute à Lucky et tu lui donnes des leçons, corrige tes fautes au lieu de corriger celles des autres, nom d'une cachuète ! http://www.leconjugueur.com/php/newconjugu...=N&verbe=foutre T'étais pas obliger de mettre ça Super et ça continue tes fautes de merdes, fais un effort nom d'une patate ! http://www.leconjugueur.com/php/newconjugu...N&verbe=obliger
bruce31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 La conscience comme présence du sujet au monde " Revenir à soi, cest revenir au monde, cest-à-dire précisément à autre chose que soi ", disait Valéry. En effet, perdre conscience (sévanouir), cest perdre à la fois le monde et soi-même, cest sabîmer dans le néant (" être, cest être perçu ou percevoir ", Berkeley). Dès lors, la conscience est la condition de toute présence : présence au monde comme à soi. Cest la conscience qui fait que, pour un être, il y a bien quelque chose (le monde comme lui-même). Cest elle qui fait quun être nest pas seulement dans le monde (comme une chose enfouie parmi les choses), mais est devant le monde (comme un sujet se tenant face à un objet). La conscience, on le voit, suppose nécessairement une distanciation, une séparation par rapport à la compacité opaque du réel. Sans ce décalage ou cette trouée (Sartre), il ny aurait ni connaissance (conscience perceptive ou psychologique) ni jugement (conscience morale). Si lon ne pouvait sécarter au moins un peu de lêtre, on ne pourrait ni le voir ni le connaître ; si lon ne pouvait séparer au moins un peu lêtre de ce quil doit être (sa valeur), on ne pourrait pas le juger normativement. Et sans doute faut-il dire avec Alain que " Toute conscience est dordre moral, puisquelle oppose toujours ce qui devrait être à ce qui est. " haut de page La conscience cest la personne, à la fois grande et misérable La conscience, en plaçant lindividu devant le monde, lui fait occuper une position unique et imprenable, une situation sans autre coïncidence quelle-même. Deux consciences, en effet, ne peuvent occuper exactement la même situation, ni fusionner (lamour lui-même, pour reprendre le poète Rilke, nest jamais que linclination de deux solitudes lune vers lautre). Cest là lirréductible solitude de toute conscience. Mais cest aussi, pour de très nombreux philosophes, la marque de la dignité de lhomme, seul être conscient et donc seul à être, à chaque fois, une personne unique et irremplaçable. En ce sens, lêtre conscient (lhomme), irréductible à une chose, suppose un respect et des droits particuliers. Cependant, de grandeur de lhomme, la conscience peut aussi apparaître comme la marque de sa misère. Car cest par elle quil se sait mortel, quil est sujet au remords (la mauvaise conscience), à la tristesse, à lennui, bref, quil est particulièrement exposé à la souffrance. haut de page Solitude et intersubjectivité La solitude de la conscience néquivaut pas à un solipsisme (où le sujet pensant constitue à lui seul toute réalité). Si autrui ne peut pénétrer totalement ma conscience, cette dernière nest pas séparée de lui. Au contraire, la conscience semble originairement ouverte sur autrui (notamment par le désir de reconnaissance) et le monde. Lintersubjectivité lui est constitutive. Cette thèse doit beaucoup à la notion dintentionnalité forgée par Husserl : " toute conscience est conscience de quelque chose ", cest-à-dire quelle est relationnelle, quelle est la visée dune extériorité à laquelle elle donne sens. haut de page Conscience et vérité La conscience fait à lhomme lobligation de se penser, lui et le monde. En ce sens, elle est à la source de toute philosophie. Ainsi Socrate, respectant linjonction du " Connais-toi toi-même ! " qui lui fût adressée par loracle de Delphes, inaugure-t-il la philosophie occidentale comme mise à lépreuve des savoirs et des certitudes, comme exercice du doute en vue de la vérité. Avec Descartes, la conscience deviendra même le fondement et le modèle de toute vérité, pour autant que la certitude dêtre conscient (être une chose qui pense), saisie à travers le cogito (" je pense donc je suis "), est la seule qui résiste à un doute radical. haut de page Les illusions de la conscience Cependant, la conscience de soi et du monde nest pas nécessairement la connaissance de soi et du monde. En effet, si la conscience est le lieu de toute vérité, elle est aussi celui de toutes les illusions. La principale étant, comme le montre Spinoza, quelle se croît libre ou indépendante, recueillant des effets mais ignorant les causes. Or elle est déterminée à la fois par le désir (le corps), le langage et la société. (Cela valant aussi pour la conscience morale.) Dès lors, cest seulement par lexercice de la raison et du dialogue que la conscience peut espérer se déprendre de ses illusions subjectives et atteindre luniversalité. haut de page Conscience, ivresse et lucidité On doit constater que lhomme, être conscient, cherche depuis toujours à se déprendre de la conscience ou à en modifier le régime. Pour ce faire, il na de cesse dexplorer toutes les ivresses, et de rêver parfois même de perdre toute conscience dans lanéantissement : " sengloutir sombrer / sans conscience suprême jouissance ! ", dit Isolde à la fin du Tristan de Wagner. Cependant, face à la luxuriance désordonnée des délires et des drogues, la conscience normale, certes limitée et sèche, manifestera toujours sa supériorité. " Chaque délire, chaque prestige est un monde fermé, inconcevable et inaccessible aux autres et incapable lui-même de les atteindre et de les concevoir. La conscience, au contraire, ne connaît aucun obstacle de cet ordre : assez souple pour suivre les folies dans leurs aberrations particulières, assez conquérante pour en tirer chaque fois profit et pousser plus loin son empire " (Caillois). haut de page
tfcweb Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 putain moi je passe le français mardi et l' SVT lundi ça me fait trop chier !!
bruce31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 putain moi je passe le français mardi et l' SVT lundi ça me fait trop chier !! Encore un inculte de ES
bruce31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 je te pisse à la rai mon ami Inculte et vulgaire,on ferai mieux de creer des camps pour des types comme toi
tfcweb Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Ah! ah! J'ai choisi ES car il offrait de nombreuses possiblités en ce qui concerne le développement de l'esprit critique. Les maths mon vieux a part si tu es ingénieur polytechnicien, medecin, ou prof de math ca sert à quoi ??? Comme dit mon viel ami Gad elmalech " Est ce que les racines carrés t'ont déjà sorties d'une galère ??? ". Les maths basiques ok, mais apres les vecteurs ou autres conneries similaires genre asymptote ca sert à quoi bordel ?? sérieux ??? a part si t'es archi ??? Ah! ah! voila c'était moi moisi coup de geule Ah! ah! Voila tout ca pour dire que ES est finalement bien mieux que S, sauf qu'en france faire S ca fait bien puis c'est connoté elite française. De toutes façon le système educatif français est pourri . les profs savent pas enseigner pour la majorité...
bruce31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Ah! ah! J'ai choisi ES car il offrait de nombreuses possiblités en ce qui concerne le développement de l'esprit critique. Les maths mon vieux a part si tu es ingénieur polytechnicien, medecin, ou prof de math ca sert à quoi ??? Comme dit mon viel ami Gad elmalech " Est ce que les racines carrés t'ont déjà sorties d'une galère ??? ". Les maths basiques ok, mais apres les vecteurs ou autres conneries similaires genre asymptote ca sert à quoi bordel ?? sérieux ??? a part si t'es archi ??? Ah! ah! voila c'était moi moisi coup de geule Ah! ah! Voila tout ca pour dire que ES est finalement bien mieux que S, sauf qu'en france faire S ca fait bien puis c'est connoté elite française. De toutes façon le système educatif français est pourri . les profs savent pas enseigner pour la majorité... C'est pas faux(ce qui est en gras ...),le reste.....
bruce31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Bon sinon le bac de FRancais,pile le jour de mon annif Tu penseras a moi ce jour là,en plein bac
tfcweb Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Bon sinon le bac de FRancais,pile le jour de mon annif Tu penseras a moi ce jour là,en plein bac Bien evidemment.
bruce31 Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Bien evidemment. Une petite dedicace sur ta copie ferait pas de mal
mario Posté(e) 10 juin 2006 Posté(e) 10 juin 2006 Ah! ah! J'ai choisi ES car il offrait de nombreuses possiblités en ce qui concerne le développement de l'esprit critique. Les maths mon vieux a part si tu es ingénieur polytechnicien, medecin, ou prof de math ca sert à quoi ??? Comme dit mon viel ami Gad elmalech " Est ce que les racines carrés t'ont déjà sorties d'une galère ??? ". Les maths basiques ok, mais apres les vecteurs ou autres conneries similaires genre asymptote ca sert à quoi bordel ?? sérieux ??? a part si t'es archi ??? Ah! ah! voila c'était moi moisi coup de geule Ah! ah! Voila tout ca pour dire que ES est finalement bien mieux que S, sauf qu'en france faire S ca fait bien puis c'est connoté elite française. De toutes façon le système educatif français est pourri . les profs savent pas enseigner pour la majorité...
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