NicoPaviot Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Il était tout petit, avec une longue barbe blanche, les yeux très fermés, la peu ridée et bronzée. Il était accroupi dans une sorte de cave, éclairé à la faible lueur d'une torche. Il faisait bruler de l'encens. Les murs étaient pourpres et sombres. Il me faisait un peu peur. genre lui?
elkjaer Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Il était tout petit, avec une longue barbe blanche, les yeux très fermés, la peu ridée et bronzée. Il était accroupi dans une sorte de cave, éclairé à la faible lueur d'une torche. Il faisait bruler de l'encens. Les murs étaient pourpres et sombres. Il me faisait un peu peur. Va voir sur le topic "forumer qui es-tu", la taille est peut-être la seule chose sur laquelle j'ai dis la vérité . Les petits c'est toi et Rémi. Je tiens par ailleurs à te signaler que j'ai l'habitude de facturer mes interventions dans les rêves des autres avec un bonus de 50% s'il est question de sexe. Je t'envoie la facture ce matin mais je compte sur toi pour ne jamais avoir à te facturer le bonus.
Piou Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Si ça peut te rassurer t'étais pas particulièrement excitant. Mais merci quand même
elkjaer Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Si ça peut te rassurer t'étais pas particulièrement excitant. Mais merci quand même Je ne mets mon string léopard que losque j'interviens dans les rêves de femmes.
Zitoun Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Il était tout petit, avec une longue barbe blanche, les yeux très fermés, la peu ridée et bronzée. Il était accroupi dans une sorte de cave, éclairé à la faible lueur d'une torche. Il faisait bruler de l'encens. Les murs étaient pourpres et sombres. Il me faisait un peu peur.
Casimir Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Je ne mets mon sting léopard que losque j'interviens dans les rêves de femmes. Tu connais du beau linge
elkjaer Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Tu connais du beau linge Ca me coûte de le dire mais: joli!
Casimir Posté(e) 21 janvier 2010 Posté(e) 21 janvier 2010 Ca me coûte de le dire mais: joli! Pourquoi?
GuyMoquetteStMaclou Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 J'ai fait le remake du Project Blair Witch cette nuit. En fait ce serait la suite du film, on va dire une dizaine d'années après, en 1453. J'étais avec des potes du lycée, et des filles que je connais, on avait rendez-vous pour le concert de Kasabian qui avait lieu à 14h heure locale (ninja:). Je revois donc ces potes du lycée "comment ça va blablabla", nous sommes 6, on sort de la ville (dans le style Toulouse au Moyen-Age) pour aller chercher à manger, de l'autre côté des remparts des petites collines comme on peut voir dans les films médiévaux, le soleil d'été qui tape sur nos nuques. Au loin une rivière relativement large (suffisamment pour ne pas pouvoir la traverser en sautant) et au milieu des pierres sur lesquelles on peut sauter pour passer de l'autre côté sauf que ces pierres s'enfoncent. Le groupe se scinde en deux, les trois premières personnes sont passées et nous, les trois autres restantes, ne traversons pas car les pierres s'enfoncent dans l'eau. On décide alors de chercher un autre point de passage en longeant la rivière. Je dis alors aux deux personnes avec moi de continuer à longer la rivière et moi, pendant ce temps, je retourne en ville pour essayer de regrouper tout le monde avant le concert de Kasabian. Il est alors 13h30. Je réunis quelques personnes puis je retourne à l'extérieur de la ville pour chercher les autres. Je longe la rivière pensant retrouver mes deux acolytes mais je ne les retrouve pas. En revenant en direction de la ville (ce que je pensais faire alors) je rencontre un paysan qui travaille la terre (un paysan au temps du Moyen-Age) portant une fourche et des sabots. Le soleil cogne fort, je sue comme un boeuf et là l'homme me propose une petite gourde fabriquée avec le cuir d'une vache. Je bois quelques gorgées puis je lui demande s'il a vu passer deux personnes le long de la rivière. Je lui explique que le groupe a été séparé et qu'on ne sait pas où se trouvent les trois premiers. Il me répond que oui il a vu deux personnes et m'indique alors une direction qui coupe à travers champs, droit devant moi. Je lui demande où ça mène, il me répond "vers la ville". Je tourne ma tête vers la gauche et je vois deux femmes qui me regardent, à une dizaine de mètres de moi, vêtues de noir et assises sur des escabots. La première doit avoir 25 ans tout au plus mais son nez crochu, ses cheveux noirs et son regard peu amical lui en font paraître dix de plus. La deuxième est plus vieille, un nez crochu, des cheveux grisonnants et une verrue sur le menton. Je me retourne vers le paysan qui veut absolument me montrer son "petit jardin". Je le suis, et après quelques pas il me montre où il fait pousser ses salades, ses tomates, ses pommes de terre. Je lui dis ensuite que je dois y aller et je le laisse là. Le concert de Kasabian ne va pas tarder à commencer et je suis en retard. Je ne trouve pas mes deux compagnons et je ne retrouve plus la ville alors que je suis la direction donnée par le paysan. Le soleil tape de plus en plus, je transpire, je suis comme aveuglé par la lumière, et j'ai l'impression de m'être perdu. Je continue droit devant moi et après quelques minutes de marche je retombe à mon point de départ, je suis en face du ruisseau, à l'endroit où nous n'avons pas pu passer auparavant. Je longe le ruisseau puis remonte la petite colline. Je devrais normalement retrouver le paysan à cet endroit précis sauf qu'il n'y est plus. Les deux femmes ont disparu, et le "petit jardin" du paysan n'existe plus. J'ai l'impression de tourner en rond et en même temps de tomber sur un nouveau lieu à chaque fois. Le vent se lève et j'ai de moins en moins confiance en moi, je doute, j'essaye de me souvenir par où je suis passé et comment j'ai fait pour me retrouver là mais je me rends vite compte que je suis bel et bien perdu. Alors que je me sens de plus en plus seul, que le vent se lève et que les nuages couvrent petit à petit le soleil rendant ainsi la lumière plus qu'inquiétante, je repense à tout ce qui s'est passé et je deviens paranoïaque... ou réaliste. Nous étions six au début. Trois d'entre nous n'ont pas pu passer la rivière et les trois autres devant nous ont semé. Puis je perd mes deux compagnons, je ne retrouve plus leur trace et je tombe sur ce paysan. Maintenant que j'y repense ça prend une tournure inquiétante... ce paysan ressemblait comme deux gouttes d'eau au père de Leatherface dans Massacre à la tronçonneuse. Il m'a fait boire quelque chose et je n'ai même pas vérifié si c'était de l'eau ou pas, et puis ces deux femmes ressemblaient beaucoup à deux sorcières se jouant de leur nouvelle victime. Elles étaient vraiment hideuses. Maintenant je me sens perdu et j'ai l'impression d'être suivi. Je tourne en rond, les lieux changent et j'ai comme l'impression que la forêt veut me garder. Je n'arrive pas à m'en échapper, je transpire de plus en plus, j'ai peur, je ne reconnais plus rien, je suis suivi, je suis seul, je suis perdu, je vais mourir. C'est un peu long mais ça faisait un bail que j'avais pas fait un tel rêve. Un petit mélange entre Blair Witch, Massacre à la tronçonneuse, Ne vous retournez pas, Les piliers de la terre et Kasabian. La photo de la vieille femme est tiré de Ne vous retournez pas avec Donald Sutherland. Je crois bien que ce film m'a choqué, j'en ai des frissons de peur chaque fois que j'y repense.
Yoda Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 J'ai fait le remake du Project Blair Witch cette nuit. En fait ce serait la suite du film, on va dire une dizaine d'années après, en 1453. J'étais avec des potes du lycée, et des filles que je connais, on avait rendez-vous pour le concert de Kasabian qui avait lieu à 14h heure locale (ninja:). Je revois donc ces potes du lycée "comment ça va blablabla", nous sommes 6, on sort de la ville (dans le style Toulouse au Moyen-Age) pour aller chercher à manger, de l'autre côté des remparts des petites collines comme on peut voir dans les films médiévaux, le soleil d'été qui tape sur nos nuques. Au loin une rivière relativement large (suffisamment pour ne pas pouvoir la traverser en sautant) et au milieu des pierres sur lesquelles on peut sauter pour passer de l'autre côté sauf que ces pierres s'enfoncent. Le groupe se scinde en deux, les trois premières personnes sont passées et nous, les trois autres restantes, ne traversons pas car les pierres s'enfoncent dans l'eau. On décide alors de chercher un autre point de passage en longeant la rivière. Je dis alors aux deux personnes avec moi de continuer à longer la rivière et moi, pendant ce temps, je retourne en ville pour essayer de regrouper tout le monde avant le concert de Kasabian. Il est alors 13h30. Je réunis quelques personnes puis je retourne à l'extérieur de la ville pour chercher les autres. Je longe la rivière pensant retrouver mes deux acolytes mais je ne les retrouve pas. En revenant en direction de la ville (ce que je pensais faire alors) je rencontre un paysan qui travaille la terre (un paysan au temps du Moyen-Age) portant une fourche et des sabots. Le soleil cogne fort, je sue comme un boeuf et là l'homme me propose une petite gourde fabriquée avec le cuir d'une vache. Je bois quelques gorgées puis je lui demande s'il a vu passer deux personnes le long de la rivière. Je lui explique que le groupe a été séparé et qu'on ne sait pas où se trouvent les trois premiers. Il me répond que oui il a vu deux personnes et m'indique alors une direction qui coupe à travers champs, droit devant moi. Je lui demande où ça mène, il me répond "vers la ville". Je tourne ma tête vers la gauche et je vois deux femmes qui me regardent, à une dizaine de mètres de moi, vêtues de noir et assises sur des escabots. La première doit avoir 25 ans tout au plus mais son nez crochu, ses cheveux noirs et son regard peu amical lui en font paraître dix de plus. La deuxième est plus vieille, un nez crochu, des cheveux grisonnants et une verrue sur le menton. Je me retourne vers le paysan qui veut absolument me montrer son "petit jardin". Je le suis, et après quelques pas il me montre où il fait pousser ses salades, ses tomates, ses pommes de terre. Je lui dis ensuite que je dois y aller et je le laisse là. Le concert de Kasabian ne va pas tarder à commencer et je suis en retard. Je ne trouve pas mes deux compagnons et je ne retrouve plus la ville alors que je suis la direction donnée par le paysan. Le soleil tape de plus en plus, je transpire, je suis comme aveuglé par la lumière, et j'ai l'impression de m'être perdu. Je continue droit devant moi et après quelques minutes de marche je retombe à mon point de départ, je suis en face du ruisseau, à l'endroit où nous n'avons pas pu passer auparavant. Je longe le ruisseau puis remonte la petite colline. Je devrais normalement retrouver le paysan à cet endroit précis sauf qu'il n'y est plus. Les deux femmes ont disparu, et le "petit jardin" du paysan n'existe plus. J'ai l'impression de tourner en rond et en même temps de tomber sur un nouveau lieu à chaque fois. Le vent se lève et j'ai de moins en moins confiance en moi, je doute, j'essaye de me souvenir par où je suis passé et comment j'ai fait pour me retrouver là mais je me rends vite compte que je suis bel et bien perdu. Alors que je me sens de plus en plus seul, que le vent se lève et que les nuages couvrent petit à petit le soleil rendant ainsi la lumière plus qu'inquiétante, je repense à tout ce qui s'est passé et je deviens paranoïaque... ou réaliste. Nous étions six au début. Trois d'entre nous n'ont pas pu passer la rivière et les trois autres devant nous ont semé. Puis je perd mes deux compagnons, je ne retrouve plus leur trace et je tombe sur ce paysan. Maintenant que j'y repense ça prend une tournure inquiétante... ce paysan ressemblait comme deux gouttes d'eau au père de Leatherface dans Massacre à la tronçonneuse. Il m'a fait boire quelque chose et je n'ai même pas vérifié si c'était de l'eau ou pas, et puis ces deux femmes ressemblaient beaucoup à deux sorcières se jouant de leur nouvelle victime. Elles étaient vraiment hideuses. Maintenant je me sens perdu et j'ai l'impression d'être suivi. Je tourne en rond, les lieux changent et j'ai comme l'impression que la forêt veut me garder. Je n'arrive pas à m'en échapper, je transpire de plus en plus, j'ai peur, je ne reconnais plus rien, je suis suivi, je suis seul, je suis perdu, je vais mourir. C'est un peu long mais ça faisait un bail que j'avais pas fait un tel rêve. Un petit mélange entre Blair Witch, Massacre à la tronçonneuse, Ne vous retournez pas, Les piliers de la terre et Kasabian. La photo de la vieille femme est tiré de Ne vous retournez pas avec Donald Sutherland. Je crois bien que ce film m'a choqué, j'en ai des frissons de peur chaque fois que j'y repense. Doit bien y avoir des trucs freudiens à analyser mais pour le moment je ne vois pas. J'exige l'intervention de Maitre Mario, expert en analyse de RALC.
chronos Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 Doit bien y avoir des trucs freudiens à analyser mais pour le moment je ne vois pas. J'exige l'intervention de Maitre Mario, expert en analyse de RALC. Il y a tellement d'évènements et de détails qu'il y a une infinité d'interprétation donc c'est pas la peine
Yoda Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 Il y a tellement d'évènements et de détails qu'il y a une infinité d'interprétation donc c'est pas la peine Lorsque Mario entre en transe, qu'il communique avec le grand esprit chamanique, il peut tout interpréter.
mario Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 Disons que je trouve ce reve un peu trop fourni en détails, comme si le dindon avait un peu brodé son histoire pour ma part, je n'ai jamais eu souvenir d'un reve avec cette foule de détail
Bebs Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 Disons que je trouve ce reve un peu trop fourni en détails, comme si le dindon avait un peu brodé son histoire Pour inventer un truc comme ça, faut être sacrément doué quand même pour ma part, je n'ai jamais eu souvenir d'un reve avec cette foule de détail Là par contre je suis d'accord
Piou Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 Disons que je trouve ce reve un peu trop fourni en détails, comme si le dindon avait un peu brodé son histoire pour ma part, je n'ai jamais eu souvenir d'un reve avec cette foule de détail Moi ça m'arrive de temps en temps, d'ailleurs l'autre jour j'en ai également fait un très précis période Moyen-Age.
GuyMoquetteStMaclou Posté(e) 25 janvier 2010 Posté(e) 25 janvier 2010 Disons que je trouve ce reve un peu trop fourni en détails, comme si le dindon avait un peu brodé son histoire pour ma part, je n'ai jamais eu souvenir d'un reve avec cette foule de détail Si tu veux quand je me suis réveillé je n'avais pas tout les détails. Mais j'ai tellement pensé à ce rêve aujourd'hui que petit à petit certains détails me revenaient (la gueule des personnages (deux femmes et paysan), le "petit jardin" (après il ne faut pas prendre les salades, tomates et patates au pied de la lettre, mais dans mon souvenir c'était un potager). Pour le reste ça fait brodé mais c'est surtout parce que j'ai essayé de retranscrire que ce que j'ai vécu dans ce rêve et honnêtement j'ai pas la sensation d'avoir changé ne serait-ce que d'un brin le scénario. Je crois même que j'ai oublié un passage mais sans importance celui-là (en revenant dans la ville je monte au premier étage d'une tour de garde bondée de monde, j'appelle une copine que je vois au-dessus de moi pour lui dire que le concert va commencer dans pas longtemps puis je redescends, sort de la ville et retourne à la recherche des deux connaissances). En général j'essaye de penser au rêve toute la journée pour conserver le maximum de détails, plutôt que d'y penser juste en me levant puis de laisser ça de côté. ;-) Edit: il y a les paroles aussi qui peuvent laisser penser au brodage. Qu'on soit clair: dans les rêves, en tout cas les miens, je ne vois pas les personnages parler. Ce serait comme de la télépathie, les bouches restent fermées mais on se comprend. La phrase "vers la ville" du paysan est typique de ce que j'explique, dans mon rêve je le vois encore se tourner de moitié et me pointer du doigt la direction de la ville. Même en n'ouvrant pas la bouche je me souviens avoir compris "vers la ville". Je ne sais pas si c'est clair.
en_congés Posté(e) 4 février 2010 Posté(e) 4 février 2010 Tiens, j'ai oublié, j'ai rêvé cette nuit...en VOST
chronos Posté(e) 4 février 2010 Posté(e) 4 février 2010 Tiens, j'ai oublié, j'ai rêvé cette nuit...en VOST
GuyMoquetteStMaclou Posté(e) 10 février 2010 Posté(e) 10 février 2010 J'ai rêvé que je jouais aux échecs avec Planino. Moi j'étais la fille de mon avatar et je jouais contre le singe.
mario Posté(e) 10 février 2010 Posté(e) 10 février 2010 J'ai rêvé que je jouais aux échecs avec Planino. Moi j'étais la fille de mon avatar et je jouais contre le singe. Tu rêves d'être une fille dans une ambiance d'echecs, de là à dire que ta vie en tant qu'homme hetero est un echec, c'est à voir . En tout cas l'irruption du singe est curieuse, sauf qu'il represente l'animal le plus proche de l'homme avec un grand H tout en restant inférieur à lui et que beaucoup pensent encore que la femme est inférieure de l'homme avec un petit h. Creuse de ce coté là, de là à voir chez toi un shemale en puissance
Planino Posté(e) 10 février 2010 Posté(e) 10 février 2010 J'ai rêvé que je jouais aux échecs avec Planino. Moi j'étais la fille de mon avatar et je jouais contre le singe. Qui a gagné ?
GuyMoquetteStMaclou Posté(e) 11 février 2010 Posté(e) 11 février 2010 Je ne saurais te dire mais la partie fut un échec.
sujet Posté(e) 6 mars 2010 Posté(e) 6 mars 2010 la partie fut échec et mat ?! - à part ça, voici le dernier rêve du petit singe rose : " J'ai rencontré un génie ce matin vers 19h, il m'a proposé 3 boeufs mais j'ai pas d'enclos. "
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