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Topic Dopage


Mister Yellow

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Selon la chaîne allemande ZDF, qui affirme avoir eu accès à un document privé, Patrik Sinkewitz, contrôlé positif le 8 juin dernier à la testostérone, aurait déclaré s'être fourni en produits dopants auprès de... Paolo Bettini, le champion du monde. «Des coureurs italiens m'ont fourni ce Testogel, on peut nommer Bramati et Bettini», peut-on lire sur ce fameux document, cité dans un communiqué de la ZDF.

Paolo Bettini, ancien coéquipier de Patrik Sinkewitz à la Mapei/Quick Step, avait déjà été critiqué il y a quelques jours par le président de l'Union Cycliste Internationale pour son refus d'avoir signé «l'engagement pour un cyclisme propre» édicté par l'UCI. (Avec AFP)

Posté(e)
Bettini dopé !? Quelle surprise 45.gif

Toi aussi t'es surpris?! B)

:ninja:

Les prélèvements effectués sur Michael Rasmussen pendant la dernière édition du Tour de France auraient clairement révélé la présence de Dynepo, une EPO produite à partir de cellules humaines, sans pour autant aboutir à un contrôle positif. L'Equipe de vendredi affirme en effet que les techniciens du laboratoire de Châtenay-Malabry ont averti l'Union cycliste internationale (UCI) que la présence de cette hormone avait été révélée par le test urinaire dans les prévélèvements effectués sur le coureur danois pendant la Grande boucle.

Mais, problème : si médicalement, ces tests sont positifs, juridiquement, ils ne le sont pas. La Dynepo et ses avatars sont parfaitements connus des laboratoires antidopage, et leur signature repérable, mais ayant été créées bien après que les critères de positivité ont été élaborés, ces hormones ne peuvent mener, en l'état actuel de la législation, à une déclaration de positivité.

«Châtenay-Malaby a détecté depuis un an une dizaine de cas positifs consécutifs à la prise de Dynepo ou d'EPO biosimilaires, explique dans L'Equipe le président de l'Agence française de lutte contre le dopage Pierre Bordry, mais n'a pu les déclarer parce que les critères de positivité imposés par l'Agence mondiale antidopage sont inadaptés à la nouvelle donne du marché pharmacologique.»

Michael Rasmussen, alors Maillot jaune, avait été exclu du Tour par son équipe Rabobank le 25 juillet, officiellement pour avoir menti sur sa localisation les semaines précédant la compétition et d'avoir ainsi échappé à des contrôles inopinés. Désormais, on peut se demander si la formation n'avait pas également été informée des découvertes du laboratoire français...

Le Dynepo...ah ouais bonne idée -_-

Posté(e)

Ce qui veut dire que si Rasmussen avait continuer le tour, on aurait pas pu le destituer de sa victoire malgre un dopage avere mais pas encore repertorié :ninja:

La lutte va etre longue, on a pas fini d'en voir des cas tomber ...

Posté(e)
J'suis dégouté...Encore un petit peu plus...Jusqu'au jour où je ne vais plus regarder le cyclisme... :ninja:

Moi ça y est j'ai dépassé ce stade. Je ne regarde plus. Je suis juste les résultats, de loin...

Posté(e)
je suis a mi chemin entre FF et Faurégol...

en tout cas le championnat du monde ne veut plus rien dire pour moi!

On est échappé sur le même chemin ensemble alors... :)

Non mais moi j'attends le Tour de France 2008 avec uniquement les équipes ayant signé la charte. :grin:

Posté(e)
On est échappé sur le même chemin ensemble alors... :)

Non mais moi j'attends le Tour de France 2008 avec uniquement les équipes ayant signé la charte. :grin:

Au fait, c'est pas Bettini qui n'a pas voulu signer la charte ?

Posté(e)
Au fait, c'est pas Bettini qui n'a pas voulu signer la charte ?

Ils sont plusieurs et je sais que Rasmussen était virulent et parmi les opposants. Bettini était de ceux là. :grin:

Bref le cyclisme n'est qu'une partie émergée de l'iceberg. Le sport business est gangréné par le dopage... :)

Posté(e)

C'est la première fois depuis 1956 que je n'ai pas regardé la retransmission des CDM de cyclisme à la télé. Plus envie.

Posté(e)
C'est la première fois depuis 1956 que je n'ai pas regardé la retransmission des CDM de cyclisme à la télé. Plus envie.

Pareil, sauf pour l'année... :angry:

Posté(e)
04/10/2007

Athlé - Dopage - Marion Jones aurait avoué

Selon le Washington Post de jeudi, Marion Jones, triple championne olympique à Sydney en 2000, a reconnu dans une lettre envoyée à des amis avoir pris des stéroïdes durant les deux années qui ont précédé les J.O. de Sydney. La sprinteuse, 31 ans, y avouerait avoir pris de la THG, un produit révélé lors de l'Affaire Balco. Jones y préciserait également avoir pris ce produit sur les conseils de son entraîneur de l'époque Trevor Graham, croyant qu'il s'agissait d'un complément nutritionnel. Elle ne croyait pas, selon ses allégations, qu'il s'agissait d'un produit dopant.«Je veux m'excuser pour tout ceci, écrit-elle notamment, je suis désolé de vous décevoir de cette manière.»

Depuis les débuts de l'Affaire Balco, et malgré de nombreux témoignages en sa défaveur, Jones n'a jamais été sanctionnée, notamment en l'absence d'aveux. Elle devrait être présentée ce vendredi à un juge de New-York.



Posté(e) (modifié)
Je trouve ça plutôt rassurant que personne ait pu battre le dopé B)

cette vision n'est pas si fausse, il faudrais créer le "dopé étalon" pour les courses :boxe3:

Modifié par blemishapied
  • 2 semaines plus tard...
Posté(e)

Encore des magouilles et des luttes d'influence... On n'en sortira jamais je pense.

http://www.lequipe.fr/Aussi/breves2007/200..._151512Dev.html

16/10/2007

AMA - Jean-François Lamour démissionne

Comme annoncé lundi sur notre site, Jean-François Lamour (Photo AFP) a annoncé mardi sa démission de la vice-présidence de l'Agence mondiale antidopage (AMA) et son renoncement à en briguer la présidence lors de la conférence mondiale antidopage de Madrid (15-17 novembre). Il a regretté que l'AMA ait été «placé sous la pression des lobbies.» Elu vice-président de l'AMA représentant de la puissance publique le 20 novembre 2006, il aura été pendant quasiment un an l'ultra-favori pour succéder au Canadien Dick Pound, qui quittera la présidence le 31 décembre prochain.

Le 22 septembre dernier, l'ancien ministre français des Sports, champion du monde et olympique d'escrime à la fin des années 1980, a vu surgir un concurrent suprise, totalement inconnu de la lutte antidopage, l'ancien ministre des Finances australien John Fahey. Celui-ci est soutenu, entre autres, par les Etats-Unis. L'organisation d'une primaire ayant été décidée, semble-t-il à l'issue d'un coup plus politique que d'essence démocratique, Jean-François Lamour a préféré se retirer de la course à la présidence, craignant un coup de Trafalgar.

Lamour en concurrence avec l'AMA ?

«A l'heure où le Code mondial va devenir d'une grande souplesse, où l'on introduit une nouvelle liste où toutes les substances seront spécifiques et pourront entraîner une diminution des sanctions... Si l'on va vers plus de flexibilité, il faut du poids à l'AMA. L'avantage de ce week-end, c'est que les vrais enjeux ont été posés», avait réagi le député UMP de Paris après l'annonce de la candidature de M. Fahey.

Son retrait de la course à la présidence peut donc s'analyser de deux manières, avec des conséquences bien différentes. Soit, en substance, une volonté de tirer la sonnette d'alarme, d'expliquer qu'un camp favorable à une AMA relativement docile, une obédience d'influence anglo-saxonne et assez puissante pour imposer son candidat, progresse. «Je poursuivrai mon combat contre le dopage en dehors de l'AMA», a d'ailleurs réagi M. Lamour mardi, évoquant déjà la possibilité de participer à la création d'un «dispositif européen» parallèle, voire concurrent à l'AMA.

Soit, d'un autre côté, la manifestation spectaculaire d'une déception personnelle, d'une forte désillusion après un coup de théâtre totalement inattendu. Interrogé par L'Equipe en septembre, Scott Burns, représentant du président des Etats-Unis, estimait qu'il devait «se mesurer à son adversaire et accepter le verdict des urnes.» En s'éclipsant avant le congrès de l'AMA, Jean-François Lamour s'évite une défaite prévisible et prive son concurrent d'une légitimité démocratique - puisqu'il sera le candidat unique. Mais il se prive également d'une tribune, aussi vaine soit-elle.

Posté(e)
Unique candidat à la présidence de l'Agence mondiale antidopage (AMA), l'Australien John Fahey est revenu sur les aveux de la sprinteuse Marion Jones. «Cela me dégoûte, a-t-il commenté. J'ai regardé ses exploits aux Jeux Olympiques de Sydney et c'est vraiment déprimant d'apprendre sept ans plus tard qu'elle n'a pas réussi cela grâce à ses propres progrès».

Fahey a également reconnu avoir été impressionné par le sérieux manifesté par le gouvernement chinois face aux risques de dopage lors des prochains Jeux de Pékin.

Jonh Fahey est quasiment assuré de prendre la tête de l'AMA en janvier, profitant du désistement de Jean-François Lamour dans la course à la présidence.

Bon ben c'est reparti 20 ans en arrière avec des enfoirés qui font semblant de rien savoir jusqu'a ce qu'on leur mette le nez dedans :grin:

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