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Topic Dopage


Mister Yellow

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Le soigneur Belge Willy Voegt a avoué que quand il envoyait une injection "pot belge" (amphet, coke et héro) a ses coureurs, il s'en mettait une aussi, c'est juste une histoire de toxicomanie passé la frèle question des perfs!

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Dehiba rattrapée par l'EPO

Information L'Equipe : l'échantillon A de la recordwoman de France du 1.500 mètrès, Hind Dehiba, présente des traces d'EPO et a été déclaré positif par le laboratoire antidopage de Châtenay-Malabry (LNDD).

L'athlète française avait été contrôlée le 23 janvier dernier par l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) sur instruction de l'IAAF, à l'issue de la garde-à-vue qu'elle avait subie en compagnie de son mari, Fodil, et d'une troisième personne dans les locaux de la douane judiciaire de Vincennes. Tous trois avaient été arrêtés le 22 janvier par la douane de Roissy à leur arrivée sur le sol français en provenance des Etats-Unis. - Damien RESSIOT (L'Equipe)

  • 1 mois plus tard...
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12/03/2007 - Cyclisme - Dopage

L'affaire Puerto classée

La justice espagnole a classé sans suite la vaste affaire présumée de dopage «Puerto» Les autorités considèrent qu'au moment des faits, il n'existait pas en Espagne de loi réprimant pénalement le dopage. Le juge d'instruction madrilène chargé du dossier, Antonio Serrano, a donc délivré un non-lieu aux cinq personnes qui étaient poursuivies dans ce dossier. Le Dr Eufemiano Fuentes, le personnage principal de ce scandale présumé de dopage sanguin, est évidemment concerné par ce non-lieu.

«Au contraire des législations française et italienne (...), il n'y avait pas au moment des faits de loi dans la législation espagnole réprimant pénalement les pratiques liées au dopage», indique le juge espagnol dans un procès verbal. Il n'y avait que la justice administrative sportive qui pouvait prononcer des éventuelles sanctions pour dopage. Mais la Fédération espagnole de cyclisme a elle aussi classé provisoirement l'affaire Puerto en octobre dernier car le juge Serrano avait interdit l'utilisation de documents qui pourraient permettre de sanctionner les coureurs impliqués.

Ce lundi, la Fédération a pris bonne note de la décision du juge : «Nous n'avons pas encore en mains propres la décision», a déclaré le secrétaire général de la RFEC, Eugenio Bermudez. «Quand nous l'aurons nous l'analyserons et nous prendrons une décision», a-t-il ajouté. «Cela dépendra aussi de ce que va faire le parquet», qui a la possibilité d'interjeter appel de la décision du juge.

Cette affaire, considérée comme le plus grand scandale lié au dopage dans le cyclisme espagnol, avait éclaté en mai 2006 avec l'interpellation de cinq personnes: le docteur Eufemiano Fuentes, ancien médecin des équipes espagnoles Kelme et Once, Manolo Saiz, manageur de l'équipe espagnole Liberty, le directeur sportif adjoint de l'équipe espagnole Communauté de Valence, Ignacio Labarta, un médecin de Madrid, José Luis Merino, et un coureur de VTT, Alberto Léon.

En marge de cette décision, les coureurs et les équipes, présents sur Paris-Nice, ont observé ce matin une minute de silence juste avant le départ de la première étape en signe de protestation. (Avec AFP)

:unsure:

  • 3 semaines plus tard...
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Information L'Equipe : Le nageur australien Ian Thorpe, 24 ans, détenteur de cinq titres olympiques, onze titres mondiaux et vingt-trois records du monde, aujourd'hui retraité, a subi en mai 2006 un contrôle antidopage ayant révélé des valeurs anormales de testostérone et d'hormone lutéinisante (LH), toutes deux inscrites dans la liste des produits interdits.

Après instruction de son dossier analytique, renforcé par des analyses supplémentaires, l'Agence australienne antidopage (ASADA) a décidé de classer sans suite cette affaire, faute de certitudes scientifiques. Un avis que ne partage pas la Fédération internationale de natation (FINA), qui, comme le Code mondial lui en donne le droit, vient de faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) afin de relancer l'instruction du dossier Ian Thorpe.

Le TAS, s'il accède à cette demande, génèrerait bien évidemment un certain malaise autour du fantastique champion que fut le nageur australien. Une suspicion qui pourrait s'avérer inutile, en dépit de résultats analytiques troublants, puisqu'en l'état actuel des connaissances scientifiques, il n'existe guère de moyens d'aller plus loin sur ce dossier. A moins que la FINA ne possède d'autres éléments à charge.

Damien RESSIOT

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En fait, c'était Monsieur 64%

Extraits

Nous nous sommes tous plantés. Bjarne Riis n'aurait jamais dû hériter du surnom de "Monsieur 60". Il fallait l'appeler "Monsieur 64". En référence à son taux d'hématocrite sur le Tour de France 1996, a expliqué la semaine passée Jeff D'hont, un ancien soigneur de Telekom, à une chaîne de télévision belge. Alors, comme ça, Bjarne Riis il s'est dopé pour gagner le Tour ? Erik Zabel, en revanche, aurait essayé l'EPO mais "il a dit qu'il n'avait pas besoin de ça". Parce qu'il utilisait autre chose ? Ou bien parce qu'il serait une quasi-exception dans le gotha cycliste des années 90 ? Tous les témoignages s'accordent à reconnaître que l'usage généralisé de l'EPO et de l'hormone de croissance a fait grimper les moyennes au-delà de l'entendement (...).

BJARNE RIIS NE NIE PAS

C'est fou ce qu'on apprend sur la télé belge. Aujourd'hui, Riis archi-montré du doigt dirige une équipe archi-montrée du doigt, la CSC, qui a décidé de mettre en place l'hiver dernier un suivi interne de prévention. Comme du reste, T-Mobile, l'ex-Telekom. Au sein de ces formations, les moeurs pourraient changer tout doucement (...). Et alors ? Il va falloir payer jusqu'au bout, non plus seulement assumer le passé mais en souffrir. Quatre ans après les faits, la chaîne danoise DR TV s'intéressait au taux hématocrite de Riis en 1995, monté à 56,3% en juillet.

Après le reportage belge de la semaine dernière, la réaction de Riis était prévisible : "Pour moi, tout cela appartient au passé et je ne souhaite pas être tenu responsable chaque fois que quelqu'un trouve intéressant de ressortir une vieille histoire qui remonte à dix ans. Je crois vraiment que le futur est beaucoup plus intéressant que le passé." Prudent, Bjarne Riis ne nie pas farouchement. La réaction de Patrick Lefévère à ce documentaire belge respire le même agacement : "Vous voulez quoi au juste ? Vous voulez que chaque coureur se mette à genou et se confesse ?"

DAUTRES FONT LEUR "COMING OUT"

Lefévère commence à avoir l'habitude. En janvier dernier, le journal flamand Het Laatste Nieuws l'a accusé de "trente ans de dopage", d'abord en qualité de coureur, puis directeur sportif chez Mapei, et enfin manager chez Quick-Step. Lefévère a porté plainte pour diffamation (...)

Plusieurs de ses collègues managers sont d'anciens coureurs. La plupart ont eu des démêlés avérés avec le dopage. D'autres, plus ou moins à demi-mots, comme Eric Boyer en 2005, ont choisi de faire leur "coming out". Pour bien signifier qu'ils réprouvaient ces pratiques et marquer qu'une page se tourne. Pour bien accompagner l'époque. La période en question est à l'inquisition permanente. Alors que les suiveurs s'étranglaient de voir Lance Armstrong écraser un septième Tour de France en 2005, c'est son cas positif du Tour 1999 qui est remonté à la surface. Tandis que le vainqueur de l'édition 2006 reste en suspens, que la culpabilité de Landis est temporisée par des plaidoyers d'experts et une procédure juridique à venir, la télé belge ressort du bocal le Tour 1996.

ENTRE CULPABILITES ET SUSPICIONS

(...)

Ainsi, l'actualité du vélo se décline entre culpabilités et suspicions. Un coureur arrêté en possession de produits dopants va rythmer à lui seul la chronique pendant des mois. Son arrestation entraîne un article. De même pour sa garde à vue et/ou sa mise en examen, son procès et ses vicissitudes en appel. S'il revient à la compétition, blanchi ou non, il nourrira toujours dans la presse une mention à son "affaire". C'est le cas aujourd'hui de Frank Vandenbroucke, dont on apprend que le parquet général fait appel de sa relaxe. Cette même semaine, les médias font écho à l'actualité judiciaire d'ex-coureurs de Lotto ainsi que des accusés du "pot belge", pour un report de procès ou de prononcé. (...) Quand le présent ne suffit plus, on ausculte le passé.

LES ANCIENS S'INDIGNENT

Bernard Hinault ou Laurent Fignon qui s'indignent de cette nouvelle hystérie à vouloir juger chacun et chaque époque, on s'en amuse bien. Ce faisant, les anciens jettent un voile pudique sur leur carrière à eux. Et pourtant. Le coureur cycliste est devenu un salaud. Il ne peut même plus se vanter le front haut auprès de ses petits enfants au coin du feu. S'il décide de diriger une équipe, on va fouiller dans sa carrière et prouver, souvent très facilement, qu'il a cédé à la triche. Il faudrait que tous les dirigeants d'équipes ne soient pas d'anciens coureurs. L'idée circule. L'expérience a même été tentée en Espagne entre 1989 et 2006, avec un ancien prof de sport qui n'avait jamais épinglé un dossard dans sa jeunesse. Il s'appelait Manolo Saiz.

:mellow:

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A propos de dopage, j'ai entendu hier qu'il n'y avait eu que des tests urinaires lors des championnats du monde de natation... A croire que la fédération internationale ferme volontairement les yeux sur le problème.

On s'étonne de trouver un grand nombre de dopés dans le cyclisme mais c'est le sport où il y a le plus de dépistage (y compris tests sanguins, tests longitudinaux...).

  • 1 mois plus tard...
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Riis avoue à son tour

Les anciens coureurs de la T-Mobile n'en finissent plus de passer aux aveux. Après Bert Dietz, Christian Henn, Erik Zabel, Rolf Aldag, un cinquième coureur ayant porté les couleurs de l'équipe allemande, et non des moindres, puisqu'il s'agit de Bjarne Riis, a admis vendredi s'être dopé au cours de sa carrière, entre 1993 et 1998. « Je me suis dopé, j'ai pris de l'EPO, a confessé le vainqueur du Tour de France 1996 au cours d'une conférence de presse. Je m'en suis procuré et en ai pris tout seul. C'était le quotidien des cyclistes professionnels.»

« Je fais cet aveu aujourd'hui pour assurer l'avenir de ce sport», a poursuivi l'actuel directeur sportif de l'équipe CSC, qui a ensuite estimé qu'il n'était «pas digne» d'avoir remporté le Tour de France, même s'il s'est montré dans l'ensemble «fier de (ses) résultats, même s'ils n'ont pas été absolument honnêtes.»

Quelle surprise <_<

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Quelle surprise :ninja:

Oui je n'en reviens pas qu'on soit obligé de prendre des produits pour faire 3 semaine de vélo sous 35° après avoir déjà fait 10 000kms :ninja:

Ya vraiment des flemmards <_<:thumb:

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Je me souviens du Tour gagné par Riis...Quelle pantalonnade :ninja:

Monsieur 60% qu'on l'appelait ds le peloton (rapport a son taux d'hematocrite pour les non initiés).

Pour repere, chez Festina on se limitait à 54% pour mesure de santé puis la loi qui est passé n'autorise que 50% et encore c'est très élévé <_<

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Ca existe mais c'est rare au naturel...tu te trompes pas de ligne? :(

(ou alors tu prends certains medicaments)

On parle bien du taux d'hématocrite ? En fait depuis des années je tournais autour des 48/50 et sur la dernière paf je suis dopé :ninja:  Mais toutes ces prises ont été faites à jeun donc ça a sans doute influé :unsure:

  • 2 semaines plus tard...
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Henri Sannier privé de Tour de France

Le commentateur des deux derniers Tour de France ne sera pas sur la Grande Boucle. France 2 n'aurait pas aimé les propos acides d'Henri Sannier, "humilié" d'avoir été écarté des commentaires du Tour 2007, au profit de Thierry Adam. Henri Sannier devrait être remplacé par Jean-Paul Ollivier dans l'émission matinale réalisée depuis la ville de départ. Gérard Holtz devrait animer les Marches du Tour juste après l'étape et enchaînera avec son Vélo Tour. Enfin Philippe Lafon, journaliste du service des sports de la chaîne, devrait présenter le Journal du Tour à 20h20.

Pour une tuile, c'est une tuile. :ninja:

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L'Allemand Jan Ullrich, vainqueur du Tour de France 1997, a été accusé mardi par Jef d'Hont, ancien soigneur de la formation allemande Telekom, d'avoir utilisé des produits dopants dans les années 1990. «Jan a pris de l'EPO et des hormones de croissance, je suis catégorique», a déclaré d'Hont à la chaîne de télévision allemande ARD.

«Jan devrait dire ce qui se passait à l'époque, comme les autres, Riis, Aldag l'ont fait», a indiqué l'ancien soigneur de Telekom qui a publié ses mémoires le mois dernier.

Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière en février suite à sa mise en cause dans l'affaire de dopage Puerto, en Espagne, est l'un des derniers anciens de Telekom à se taire encore. Il a toujours assuré ne s'être jamais dopé : «Je n'ai rien à me reprocher, je n'ai jamais trompé personne», avait-il affirmé en février dernier, tandis que son entourage repète depuis le début de l'affaire Telekom qu'il n'a rien à avouer.

(Avec AFP)

Posté(e)
L'Allemand Jan Ullrich, vainqueur du Tour de France 1997, a été accusé mardi par Jef d'Hont, ancien soigneur de la formation allemande Telekom, d'avoir utilisé des produits dopants dans les années 1990. «Jan a pris de l'EPO et des hormones de croissance, je suis catégorique», a déclaré d'Hont à la chaîne de télévision allemande ARD.

«Jan devrait dire ce qui se passait à l'époque, comme les autres, Riis, Aldag l'ont fait», a indiqué l'ancien soigneur de Telekom qui a publié ses mémoires le mois dernier.

Ullrich, qui a mis un terme à sa carrière en février suite à sa mise en cause dans l'affaire de dopage Puerto, en Espagne, est l'un des derniers anciens de Telekom à se taire encore. Il a toujours assuré ne s'être jamais dopé : «Je n'ai rien à me reprocher, je n'ai jamais trompé personne», avait-il affirmé en février dernier, tandis que son entourage repète depuis le début de l'affaire Telekom qu'il n'a rien à avouer.

(Avec AFP)

qu'est ce qu'on fait pas pour gagner de la thuyne. :ninja:

Posté(e)

vous avez vus zizou sur la trois hier?

j'eatit un peu jeune quand il y a eu le scandale de la juve.

Quand zizou a dit qu'il prenait de la creatine, c'est comme si on m'avait dit que le pere noel n'existe pas :ninja:

Posté(e) (modifié)

au tour de la quick step maintenant de se faire choper, je sens qu'on va avoir un tour de france passionnant ...

édit : article de l'équipe

Cyclisme - Dopage - Quick Step dans la tourmente

Des perquisitions ont été effectuées jeudi matin en Belgique auprès d'une dizaine de coureurs et de soigneurs de la formation Quick Step. «Selon les premières indications, des produits interdits ont été saisis», a déclaré le porte-parole du parquet de Courtrai à l'AFP. Des coureurs amateurs pourraient être concernés.

Ces perquisitions viennent en appui d'une enquête a démarrée en septembre 2006 suite à des «dénonciations du sénateur Jean-Marie Dedecker». A l'époque, le sénateur, par ailleurs ancien entraîneur de l'équipe de Belgique de judo, avait déclaré, sans citer de noms, que «trois coureurs belges importants avaient suivi des cures de dopage en Italie en février dernier pour un montant de 24 000 euros».

Jeudi, Patrick Lefevere, le manager de l'équipe, a expliqué à la Dernière Heures des Sports «ne pas être au courant de ces perquisitions» alors que Wilfried Peeters, le directeur sportif, a appris la nouvelle à la radio. «C'est sans doute possible, mais je pense que l'on peut être tranquille sur l'issue de cette affaire», assure ce dernier.

Modifié par All-in-vince

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