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Musique


Juju2stgo

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Posté(e)
il y a une heure, VIX/15 a dit :

si c'est ce qui m'intéressait, j'aurais fait le voeux d'être Franck Mickaël ! :ninaj:

 Nul besoin de s' appeller Franck Mickaël pour ça mon petit Ruth. D'ailleurs même une farouche amazone comme Elmö17 ( qui semble être particulièrement attristée par sa relégation au second rang des obsessions de Baroque :cry: ) en est venue à profiter d'un moment d'inattention d'Ilmö92 pour jeter furtivement une cup usagée à l'ursidé patenté qu'est Sébastien Tellier.-_-

Posté(e)

Bon il parait que la musique adoucit les mœurs,

j'ai suivi quelques conseils et entamé une Therapy , niveau rougeur des pouces, le progrès sont lents mais déjà visibles :ninja:

 

  • Top ! 1
Posté(e)

 

Comme quoi, on peut faire du punk et faire des textes très brillants. Je vous recommande particulièrement ceux de leur album Trellières über alles
http://justinepunkrock.bandcamp.com/

Révélation

À nos pères en sursis, à nos mères combattantes
À nos guerres utiles, aux alliances, aux ententes
À l'histoire qui échoue dans une côte d'Adam
Aux mensonges de confort, à l'amour, à Satan
À la fin qui insiste, à chaque pas de travers
À cette fin qui résiste sous le poids du mystère
Aux mystiques, aux croyants, aux scientifiques amants
Et aux restes qui trainent dans les jardins d'enfants.

Au seul frère qui me reste
Au seul frère lui restant
Aux bombes sur Paris
À la mort évidemment.

Du détroit de Messine à la seule rue de Grandchamp
Peu importe les signes et les artifices du temps
On attend là.

À ces dieux, aux damnés, qui ne laissent que le vide
Assassins, suicidés, à ceux là qui décident
Au néant qui séduit comme le parfum des flammes
Qui caressèrent Waco et léchèrent Pompeï 
Du détroit de Messine jusqu'aux rues de Paname
Sous une balle de Mesrine, dans une bulle d'hôpital
Qu'importe le flacon du seul frère me restant
Qu'importe le poison, à la mort évidemment.

Du détroit de Messine à la seule rue de Grandchamp
Peu importe les cygnes et les artifices de leur chants
On attend là.

Pas de rappel possible à la fin de l'attente
Mais avant le silence : des sirènes rugissantes.
Il faudra bien s'y faire, peut-être même en rire
Un de nous deux verra son dernier frère mourir.

Du détroit de Messine aux fossés de Grandchamp
Du destin de David à celui des assaillants
Peu importe l'envie, peu importe le temps
Peu importe l'ennui, peu importe le sang.
Du destin d'une Messine sous la terreur du tranchant
Aux humeurs assassines du plus noble des tyrans
Peu importent les cris, peu importe le vent
Peu importe la mort, la mort évidemment.

 

Et en plus, le clip est beau !!

Posté(e)
il y a 4 minutes, Nista a dit :
  Révéler le contenu masqué

À nos pères en sursis, à nos mères combattantes
À nos guerres utiles, aux alliances, aux ententes
À l'histoire qui échoue dans une côte d'Adam
Aux mensonges de confort, à l'amour, à Satan
À la fin qui insiste, à chaque pas de travers
À cette fin qui résiste sous le poids du mystère
Aux mystiques, aux croyants, aux scientifiques amants
Et aux restes qui trainent dans les jardins d'enfants.

Au seul frère qui me reste
Au seul frère lui restant
Aux bombes sur Paris
À la mort évidemment.

Du détroit de Messine à la seule rue de Grandchamp
Peu importe les signes et les artifices du temps
On attend là.

À ces dieux, aux damnés, qui ne laissent que le vide
Assassins, suicidés, à ceux là qui décident
Au néant qui séduit comme le parfum des flammes
Qui caressèrent Waco et léchèrent Pompeï 
Du détroit de Messine jusqu'aux rues de Paname
Sous une balle de Mesrine, dans une bulle d'hôpital
Qu'importe le flacon du seul frère me restant
Qu'importe le poison, à la mort évidemment.

Du détroit de Messine à la seule rue de Grandchamp
Peu importe les cygnes et les artifices de leur chants
On attend là.

Pas de rappel possible à la fin de l'attente
Mais avant le silence : des sirènes rugissantes.
Il faudra bien s'y faire, peut-être même en rire
Un de nous deux verra son dernier frère mourir.

Du détroit de Messine aux fossés de Grandchamp
Du destin de David à celui des assaillants
Peu importe l'envie, peu importe le temps
Peu importe l'ennui, peu importe le sang.
Du destin d'une Messine sous la terreur du tranchant
Aux humeurs assassines du plus noble des tyrans
Peu importent les cris, peu importe le vent
Peu importe la mort, la mort évidemment.

Et en plus, le clip est beau !!

Et en plus c'est optimiste et ça on en a besoin en ce moment !  :ninaj:

Posté(e)
Il y a 5 heures, BrianJoubertMassacre a dit :

 

B)

 

 

je viens de comprendre l'origine de ton pseudo :ninja: 

Posté(e)
il y a 3 minutes, Nista a dit :

Je préfère Be Aggressive ! :grin: 

Bon choix :) plus en rapport avec moi dans le Forum, j'avais aussi pensé à 

The Gentle Art of Making Enemies ou Digging the Grave

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