LeDCdeKramoizi Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 c'est un peu prendre les juges pour des endives et croire qu'ils sont influençables à souhait, mais bon. On peut faire une bonne salade avec les avocats. C'est en commençant avec des mobilisations minimes qu'on réussi à faire bouger les choses. C'est pas juste les juges qui sont visés, mais tout le système juridique et pénal. Plus les gens se mobiliserons face à la barbarie plus on peut espérer un durcissement de la loi et des peines. Si on ne fait rien, évidement, endives ou non, rien ne changera. Citer
Doberman Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Bon ben voilà, la pétition a fait son effet : http://toulouse.actu.fr/2012/07/19/toulouse-epandage-pesticides/ Citer
LeDCdeKramoizi Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Bon ben voilà, la pétition a fait son effet : http://toulouse.actu...age-pesticides/ Bravo à Joël et à tous ceux qui se mobilisent. Citer
bondurant2001 Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Bon ben voilà, la pétition a fait son effet : http://toulouse.actu...age-pesticides/ Au debut ce qui était prevu: Demain ce sera : (Epandage au Chasseur TIE) Citer
Wingeeky Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 (modifié) Pour moi, l'énergie de demain, c'est l'hydrolien Bon, j'ai un peu la flemme de développer, et surtout j'ai pas le temps De rien. Modifié 19 juillet 2012 par Wing Citer
blemishapied Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Simple curiosité : c'est quoi la différence entre ce topic et le topic sujet environnement ? de quoi tu parles ? Citer
Invité Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Pour moi, l'énergie de demain, c'est l'hydromel Ca, c'est du carburant! Citer
Ekelund Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 de quoi tu parles ? dondiego, même absent, est quand même toujours un peu présent Citer
LeDCdeKramoizi Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Pour moi, l'énergie de demain, c'est l'hydrolien Une énergie de demain sans doute, mais pas " l'énergie de demain ", car la production ne peut se faire que sur les côtes. A mon avis si on veut introduire une notion d’efficacité il faut produire au plus proche des lieux de consommation (comment feraient les mongols? ). C'est le panachage des renouvelables l'avenir, comme le fait actuellement (à une petite échelle) Enercoop. Tout en travaillant sur la réduction de la consommation (y a de quoi faire en terme de sobriété !!) et la modernisation des bâtiments, comme peut le suggérer négawatt. La meilleure des énergie c'est celle qu'on ne consomme pas. Citer
joel Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Bon ben voilà, la pétition a fait son effet : http://toulouse.actu...age-pesticides/ merci doberman, mais pour l'instant le préfet dit juste "au prochain faux pas" faut pas lacher s'il vous plaît un mail même pas besoin d'écrire, l'adresse : non.aux.pesticides@sfr.fr merci de votre soutien joël Citer
LeDCdeKramoizi Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Au debut ce qui était prevu: Demain ce sera : (Epandage au Chasseur TIE) http://www.avaaz.org/fr/petition/Petition_contre_lepandage_aerien_de_produits_TOXIQUES_en_Guadeloupe/ Citer
LeDCdeKramoizi Posté(e) 19 juillet 2012 Posté(e) 19 juillet 2012 Toujours sur le sujet: Coup de NAPALM sur la BIODIVERSITÉ L'épandage aérien de pesticides visant à protéger les cultures est interdit en France, mais les préfectures délivrent des dérogations aux agriculteurs, notamment en Midi-Pyrénées, où écologistes, apiculteurs et élus dénoncent des risques pour l'homme et la biodiversité ! "Le Sud-Ouest est particulièrement concerné par cette pratique qui est symptomatique de l'industrialisation de l'agriculture. Ces dérogations sont parfaitement inacceptables, car les épandages ont un effet très négatif: ils ne se limitent pas à la parcelle traitée", alerte l'eurodéputé écologiste José Bové. La méthode a notamment été autorisée par les préfets de Haute-Garonne, du Tarn-et-Garonne et du Gers. Les pesticides ou fongicides sont diffusés sous forme liquide ou en micro-granulés par des hélicoptères qui volent en rase-motte au-dessus des champs, essentiellement de maïs. Le syndicat agricole FNSEA soutient que cette technique n'est utilisée qu'en dernier ressort et que des précautions sont prises pour éviter toute pollution. Les agriculteurs ne le font pas de gaîté de coeur, assure le président de la chambre d'agriculture de Haute-Garonne, Yvon Parayre, car la méthode est "très coûteuse", mais il s'agit de prévenir des pertes qui peuvent aller jusqu'à 30% de la récolte. Ces arguments font bondir les apiculteurs, eux-mêmes confrontés à des pertes importantes, le taux de mortalité des abeilles étant en forte augmentation en France. De 3 à 5% en 1985, il est passé à 35/40% aujourd'hui, et en Midi-Pyrénées, la mortalité moyenne est de 60%, s'inquiète Olivier Fernandez, président des apiculteurs de Midi-Pyrénées. Le chef de file des apiculteurs, à l'origine de la fronde, dénonce en outre un non respect des procédures: le refus de prévenir dans le délai légal, le défaut de balisage avant le traitement, et la pulvérisation mercredi d'un champ de maïs en pleine floraison, normalement interdite, une infraction constatée par les services préfectoraux et pour laquelle une plainte a été déposée. "C'est un coup de Napalm sur la biodiversité", lance le vice-président EELV du conseil régional de Midi-Pyrénées, Gérard Onesta. "Le problème concerne toute la France, c'est effrayant", poursuit-il, ajoutant: "La puissance publique donne une dérogation générale et systématique. C'est un scandale sanitaire majeur. Quand on épand, tout le monde en prend: les promeneurs, les enfants qui jouent dans le jardin, les animaux, les cours d'eau, les élevages. Et ce sont des produits de grande toxicité". Le député PS Gérard Bapt, président du groupe santé environnementale de l'Assemblée nationale, s'étonne aussi de la multiplication des dérogations dans l'ensemble du pays et met en avant une absence de suivi: "Qui va aller vérifier sur le terrain si le vent permet l'épandage, si les environs ne sont pas affectés", interroge-t-il. Pour M. Bapt, qui réclame depuis des mois la suspension de la circulaire prévoyant les dérogations, il y a un danger pour la santé humaine. "La DRAAF vit sur de vieux schémas d'agriculture intensive, avec une mésestimation du risque". La pyrale, parasite qui s'attaque aux pieds de maïs, peut apparaître sur des parcelles en monoculture. Aussi M. Bapt, comme les écologistes, préconise que les agriculteurs "varient les cultures" sur le même sol. Au ministère de l'Agriculture, on rappelle que "la règle c'est l'interdiction, les cas particuliers c'est la dérogation", avant de concéder que "pour l'année prochaine, il serait souhaitable de revoir les critères" qui sont à la disposition des préfets pour accorder ou non les dérogations. AFP Citer
joel Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 je viens de passer à l'instant sur rmc afin de parler de notre action, est ce que vous savez si je peux récuperer l'emission sur le net? Citer
blemishapied Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 je viens de t'entendre il doit y avoir le podcast sur le site d'RMC sans doutes . Citer
joel Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 je viens de t'entendre il doit y avoir le podcast sur le site d'RMC sans doutes . merci je vais voir, un mail : non.aux.pesticides@sfr.fr Citer
ZeStump Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 La campagne d'épandage stoppée prématurément pesticides La campagne d'épandage aérien, autorisée par un arrêté dérogatoire du préfet de région jusqu'au 30 septembre, a finalement pris fin hier matin dans le département de la Haute-Garonne. Cet arrêté qui reste toutefois en vigueur porte sur une surface totale de 8 000 hectares dans la région et concerne essentiellement 1 500 ha de maïs semence dans le département. Les premiers épandages réalisés mardi avaient donné lieu à un procès-verbal dressé par la Draaf (direction régionale de l'agriculture et de la forêt) à l'encontre du semencier responsable de l'opération en raison de l'état de floraison déjà avancée d'un champ de maïs traité. Hier matin, Yvon Parayre, président de la chambre d'agriculture de la Haute-Garonne, confirmait que les derniers épandages venaient d'être réalisés, et que la campagne de traitement qui devait porter sur 1 500 hectares était stoppée après seulement 250 hectares traités. La floraison du maïs ne permettant plus désormais de poursuivre plus avant les opérations. Elle reprendra toutefois début août lorsque le maïs ne sera plus en fleur. «Mais cette deuxième vague qui portera sur 500 hectares se fera avec des moyens de lutte biologique en introduisant dans les champs des insectes prédateurs de la pyrale du maïs», précise Yvon Parayre. Les 1 250 hectares de maïs semence qui ne sont pas traités sont effectivement un peu plus vulnérables, explique en substance le président de la chambre d'agriculture qui estime entre 20 % et 70 % le risque de manque à gagner encouru par les propriétaires de ces cultures non traitées. B. dv. T'as été entendu par le préfet Citer
Ekelund Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 (modifié) en fait il faudrait déjà limiter (par règlementation) la culture du mais -> économie substantielle d'eau (comparé à n'importe quelle autre culture) et moins de pesticides, ça serait tout benef Modifié 20 juillet 2012 par Ekelund Citer
ZeStump Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 en fait il faudrait déjà limiter (par règlementation) la culture du mais -> économie substantielle d'eau (comparé à n'importe quelle autre culture) et moins de pesticides, ça serait tout benef Tout à fait surtout dans nos régions à la sécheresse estivale marquée... Mais les agriculteurs doivent gagner davantage avec cette culture... Citer
FranckProvostIV Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 je viens de t'entendre il doit y avoir le podcast sur le site d'RMC sans doutes . C'est dommage car sans trois ou quatre bafouillages coupables, Joel aurait pu apparaître comme quelqu'un de très sûr de lui. Citer
blemishapied Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 C'est dommage car sans trois ou quatre bafouillages coupables, Joel aurait pu apparaître comme quelqu'un de très sûr de lui. je l'ai trouvé pas mal, bonne élocution, sans les blancs de christophe jakubyszyn c'était parfait Citer
FranckProvostIV Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 je l'ai trouvé pas mal, bonne élocution, sans les blancs de christophe jakubyszyn c'était parfait Ah bon? Je ne l'ai pas entendu évidemment mais je pense que jamais Joel n'a dû avoir plus de 14 lorsqu'il devait réciter une poésie devant toute la classe. Citer
LeDCdeKramoizi Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 en fait il faudrait déjà limiter (par règlementation) la culture du mais -> économie substantielle d'eau (comparé à n'importe quelle autre culture) et moins de pesticides, ça serait tout benef Pour ça faudrait déjà consommer moins de viande (de bœuf notamment) et de produits laitiers. Citer
GG Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 en fait il faudrait déjà limiter (par règlementation) la culture du mais -> économie substantielle d'eau (comparé à n'importe quelle autre culture) et moins de pesticides, ça serait tout benef Tu veux dicter l'assolement des paysans ? Tu es courageux Non, restons sérieux, c'est irréaliste. Par contre à la rigueur tu peux limiter les pompages en rivière en été, suivant les niveaux d'eau. Cela limitera implicitement les surfaces en maïs ... Citer
Ekelund Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 Tu veux dicter l'assolement des paysans ? Tu es courageux bah, y'a même pas besoin de dicter quoi que ce soit en y réfléchissant... vu que ces chers paysans carburent aux subventions de tout poil (département, région, europe), si on sucre les subventions pour ceux qui cultivent le mais, je peux te dire que la production va prendre comme par enchantement un sacré plomb dans l'aile tout d'un coup Citer
GG Posté(e) 20 juillet 2012 Posté(e) 20 juillet 2012 bah, y'a même pas besoin de dicter quoi que ce soit en y réfléchissant... vu que ces chers paysans carburent aux subventions de tout poil (département, région, europe), si on sucre les subventions pour ceux qui cultivent le mais, je peux te dire que la production va prendre comme par enchantement un sacré plomb dans l'aile tout d'un coup Ah bah t'es pas courageux, tu es naïf en fait Citer
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