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Musique classique, baroque, ancienne, sacrée, opéra..


kike

Messages recommandés

  • 2 semaines plus tard...
Posté(e)

vu rapido dans le pdf de Toulouse Estive (voir site de la mairie)

pour Yoda, dans le cade du festival Toulouse d'été 2009 (site pas encore mis à jour :shock: )

21 juiillet, cathédrale St-Etienne : Requiem des Rois de France :diable:

  • 2 semaines plus tard...
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Grand merci maitre, je connaissais pas, j'aime beaucoup :blush:

Le groupe Epica a produit une performance parait-il exceptionnelle lors du meme festival à Miskolvc en 2008 et le resultat est écoutable sur ce cd nommé The classical conspiracy. Vous y trouverez la voix mélodieuse de la belle Simone Simons.

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Posté(e)
Le groupe Epica a produit une performance parait-il exceptionnelle lors du meme festival à Miskolvc en 2008 et le resultat est écoutable sur ce cd nommé The classical conspiracy. Vous y trouverez la voix mélodieuse de la belle Simone Simons.

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je vais me mettre ça dans un coin de ma tête, et me dégotter ce disque :blush: encore merci, je te dirais si ça m'a plu

Posté(e)
je vais me mettre ça dans un coin de ma tête, et me dégotter ce disque :blush: encore merci, je te dirais si ça m'a plu

C'est un groupe que je connais assez peu. J'ai déjà écouté leur dernier opus 'the divine conspiracy", je ne le mettrais poas en boucle. Mais les critiques du live sont vraiment excellentes. Ils y reprennent des grands classiques du classique et de la musique de film dans une 1ere partie puis leurs propres compos dans la seconde.

Posté(e)
C'est un groupe que je connais assez peu. J'ai déjà écouté leur dernier opus 'the divine conspiracy", je ne le mettrais poas en boucle. Mais les critiques du live sont vraiment excellentes. Ils y reprennent des grands classiques du classique et de la musique de film dans une 1ere partie puis leurs propres compos dans la seconde.

j'aime bien les reprises musique de film ... par exemple "la ruée vers l'or" dans l'album de Metallica et l'orchestre symphonique :blush:

allez, j'y crois, ça va me plaire :ninaj:

  • 3 semaines plus tard...
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ce soir, 21 h30, au cloitre des Jacobins, dans le cadre de Toulouse d'été

concert de l'Orchestre de chambre de Toulouse : Hommage à Haydn

à loccasion du bicentenaire de sa disparition

Joseph Haydn (1732-1809)

Symphonie n°11 en mi bémol majeur

Concerto en sol pour violon et orchestre à cordes

Symphonie les Adieux n°45 en fa dièse mineur

6 et 8 euros :ninja:

Posté(e)
ce soir, 31 h30, au cloitre des Jacobins, dans le cadre de Toulouse d'été

Demain matin, quoi -_-

Posté(e)

très belle soirée hier avec Haydn aux Jacobins :ninaj:

rafraîchie par les averses extérieures et avec les éclairs aperçus au travers des vitraux

et exraordinaire prestation du chef Colliard, sur son Stradivarius, quand même :ninaj:

Posté(e)

Toulouse d'été ça continue

et ce soir, grande soirée à la Cathédrale St-Etienne, à 21h30 (oui, c'est bien à 21h30 :lol2: )

Requiem des rois de France

Eustache du Caurroy (1549-1609)

Missa Pro Defunctis

La Missa Pro Defunctis dEustache du Caurroy est sans conteste la messe de requiem la plus célèbre de lancien régime. Lhistoire veut quelle ait été jouée lors des obsèques dHenri IV en 1610, avant de devenir la messe de requiem officielle des rois de France.

Une messe de requiem ne peut se comprendre sans évoquer les cérémonies qui accompagnaient la sépulture dun roi de France. Entre lassassinat du Roi Henri IV, le 14 mai 1610 et sa sépulture, le 1er juillet, la France est plongée dans un mois et demi de deuil, marqué par des cérémonies officielles, des processions, et toute une pompe funèbre qui culmine dans les grandes messes de Notre-Dame de Paris, le 30 juin, et Saint-Denis, le 1er juillet. Loffice des défunts chanté par la Chapelle du roi lors de ces messes est chargé de toute lémotion et de la ferveur de la France entière.

De la Messe de mariage dHenri IV et de Marie de Médicis - créée au Festival de Musique ancienne de Lyon en 2000 - au Requiem des Rois de France de Du Caurroy, des extravagances linguistiques de Viva Napoli ! aux réparties incendiaires de Viva Venezia !, lensemble Doulce Mémoire a définitivement modifié notre perception de la Renaissance, jetant à bas toute joliesse décorative, révélant des visages parfois inattendus mais toujours fascinants de son époque de prédilection. Une abondante discographie vient saluer ce parcours sans faute.

Ensemble Doulce Mémoire

Anne Delafosse-Quentin, soprano - Hasan El Dunia, alto

Hughes Primard, ténor - Marc Mauillon, baryton

Philippe Roche, basse

Judith Pacquier, cornet à bouquin, flûtes à bec

Elsa Frank - Francis Mercet - Jérémie Papasergio :lol2: - Denis Raisin Dadre,

bombardes, doulçaines, flûtes à bec

Franck Poitrineau, sacqueboute

Bruno Caillat, percussions

Philippe Vallepin, récitant

Mardi 21 juillet

Cathédrale Saint-Etienne : 21h30 - tarifs : 8 et 6 euros

Posté(e)
Toulouse d'été ça continue

et ce soir, grande soirée à la Cathédrale St-Etienne, à 21h30 (oui, c'est bien à 21h30 :lol2: )

Requiem des rois de France

Eustache du Caurroy (1549-1609)

Missa Pro Defunctis

La Missa Pro Defunctis dEustache du Caurroy est sans conteste la messe de requiem la plus célèbre de lancien régime. Lhistoire veut quelle ait été jouée lors des obsèques dHenri IV en 1610, avant de devenir la messe de requiem officielle des rois de France.

Une messe de requiem ne peut se comprendre sans évoquer les cérémonies qui accompagnaient la sépulture dun roi de France. Entre lassassinat du Roi Henri IV, le 14 mai 1610 et sa sépulture, le 1er juillet, la France est plongée dans un mois et demi de deuil, marqué par des cérémonies officielles, des processions, et toute une pompe funèbre qui culmine dans les grandes messes de Notre-Dame de Paris, le 30 juin, et Saint-Denis, le 1er juillet. Loffice des défunts chanté par la Chapelle du roi lors de ces messes est chargé de toute lémotion et de la ferveur de la France entière.

De la Messe de mariage dHenri IV et de Marie de Médicis - créée au Festival de Musique ancienne de Lyon en 2000 - au Requiem des Rois de France de Du Caurroy, des extravagances linguistiques de Viva Napoli ! aux réparties incendiaires de Viva Venezia !, lensemble Doulce Mémoire a définitivement modifié notre perception de la Renaissance, jetant à bas toute joliesse décorative, révélant des visages parfois inattendus mais toujours fascinants de son époque de prédilection. Une abondante discographie vient saluer ce parcours sans faute.

Ensemble Doulce Mémoire

Anne Delafosse-Quentin, soprano - Hasan El Dunia, alto

Hughes Primard, ténor - Marc Mauillon, baryton

Philippe Roche, basse

Judith Pacquier, cornet à bouquin, flûtes à bec

Elsa Frank - Francis Mercet - Jérémie Papasergio :lol2: - Denis Raisin Dadre,

bombardes, doulçaines, flûtes à bec

Franck Poitrineau, sacqueboute

Bruno Caillat, percussions

Philippe Vallepin, récitant

Mardi 21 juillet

Cathédrale Saint-Etienne : 21h30 - tarifs : 8 et 6 euros

c'est pour moi ça :lol2:

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c'est pour moi ça :rolleyes:

En même temps ça veut dire qu'ils sont morts.

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Toulouse d'été ça continue

et ce soir, grande soirée à la Cathédrale St-Etienne, à 21h30 (oui, c'est bien à 21h30 :blush: )

Requiem des rois de France

Eustache du Caurroy (1549-1609)

Missa Pro Defunctis

....

ah quelle soirée mes amis -_-

un véritable régal

un ensemble musiciens-chanteurs extraordinaire, ds instruments anciens bizarroïdes comme il faut (toute la famille des doulçaines, des sortes de vieux bassons, du plus petit au plus gigantesque), un récitant véritablement habité par son rôle, bref un de mes meilleurs soirées depuis longtemps

180px-Dulcians_Brussels.jpg

la famille des doulçaines

un mélange de musique, de chants et de plain-chants, agrémenté par le récitant avec accent et pronociation d'époque, qui faisait à la fois la chronique de l'assassinat du roi et du déroulement des funérailles, l'oraison funèbre pronocé par l'évêque Cospeaux à la façon de l'époque, les annonces du héraut d'arme, la proclamation du Comte de St-Paul "Le Roy est mort, vive le Roy" etc....

magique

ça a fini par :

le héraut repris sa parole et cria à haute voix : Vive le Roy. Vive le Roy. Vive le Roy. Vive le Roy Louis treizième de ce nom par la grâce de Dieu, Roy de France et de Navarre très chrétien notre souverain seigneur bon maître, auquel Dieu doit très heureuse et très longue vie : Vive le Roy Louis

:(

le disque est là : http://www.musicme.com/#/Eustache-Du-Caurr...8490086605.html

Posté(e)
ce soir, 21 h30, au cloitre des Jacobins, dans le cadre de Toulouse d'été

concert de l'Orchestre de chambre de Toulouse : Hommage à Haydn

à loccasion du bicentenaire de sa disparition

Joseph Haydn (1732-1809)

Symphonie n°11 en mi bémol majeur

Concerto en sol pour violon et orchestre à cordes

Symphonie les Adieux n°45 en fa dièse mineur

6 et 8 euros :ninja:

Haydn!

ça fait plaisir :ninja:

Posté(e)
Toulouse d'été ça continue

et ce soir, grande soirée à la Cathédrale St-Etienne, à 21h30 (oui, c'est bien à 21h30 :ninja: )

Requiem des rois de France

Eustache du Caurroy (1549-1609)

Missa Pro Defunctis

La Missa Pro Defunctis dEustache du Caurroy est sans conteste la messe de requiem la plus célèbre de lancien régime. Lhistoire veut quelle ait été jouée lors des obsèques dHenri IV en 1610, avant de devenir la messe de requiem officielle des rois de France.

Une messe de requiem ne peut se comprendre sans évoquer les cérémonies qui accompagnaient la sépulture dun roi de France. Entre lassassinat du Roi Henri IV, le 14 mai 1610 et sa sépulture, le 1er juillet, la France est plongée dans un mois et demi de deuil, marqué par des cérémonies officielles, des processions, et toute une pompe funèbre qui culmine dans les grandes messes de Notre-Dame de Paris, le 30 juin, et Saint-Denis, le 1er juillet. Loffice des défunts chanté par la Chapelle du roi lors de ces messes est chargé de toute lémotion et de la ferveur de la France entière.

De la Messe de mariage dHenri IV et de Marie de Médicis - créée au Festival de Musique ancienne de Lyon en 2000 - au Requiem des Rois de France de Du Caurroy, des extravagances linguistiques de Viva Napoli ! aux réparties incendiaires de Viva Venezia !, lensemble Doulce Mémoire a définitivement modifié notre perception de la Renaissance, jetant à bas toute joliesse décorative, révélant des visages parfois inattendus mais toujours fascinants de son époque de prédilection. Une abondante discographie vient saluer ce parcours sans faute.

Ensemble Doulce Mémoire

Anne Delafosse-Quentin, soprano - Hasan El Dunia, alto

Hughes Primard, ténor - Marc Mauillon, baryton

Philippe Roche, basse

Judith Pacquier, cornet à bouquin, flûtes à bec

Elsa Frank - Francis Mercet - Jérémie Papasergio :smoke: - Denis Raisin Dadre,

bombardes, doulçaines, flûtes à bec

Franck Poitrineau, sacqueboute

Bruno Caillat, percussions

Philippe Vallepin, récitant

Mardi 21 juillet

Cathédrale Saint-Etienne : 21h30 - tarifs : 8 et 6 euros

Je viens de l'écouter. J'aime beaucoup cette musique qui me transporte vraiment dans un autre siècle. :)

J'ai aussi écouté l'orchestre de Louis XIII que tu signales dans le topic musique. Une chose m'étonne, c'est la présence des tambourins, elle semble trés importante dans la musique du 1er XVIIème siècle alors qu'il me semble qu'on n'en trouve plus dans la 2eme moitiè du siècle, non ?.

Posté(e)
Je viens de l'écouter. J'aime beaucoup cette musique qui me transporte vraiment dans un autre siècle. :ninja:

J'ai aussi écouté l'orchestre de Louis XIII que tu signales dans le topic musique. Une chose m'étonne, c'est la présence des tambourins, elle semble trés importante dans la musique du 1er XVIIème siècle alors qu'il me semble qu'on n'en trouve plus dans la 2eme moitiè du siècle, non ?.

je ne suis pas spécialiste, mais à mon idée, je dirai qu'il n'y a pas à cette époque de différence tranchée entre "musique de cour" et "musique populaire", c'est pour cela qu'on y trouve de la bourrée, des tambourins donc, mais aussi des vielles etc...

C'est avec Versailles que la coupure se fait, la musique à la Cour devenant aussi outil politique de grandeur au même titre qu'architecture et peinture, postes rémunérés pour les musiciens, orchestres etc, et donc se met en place la "musique moderne" (choix des musiciens, instruments, oragnisation dees ensembles, style français etc....)

on le sait peu, mais la musique à Versailles était partout, constamment, musique d'accompagnement, de concert et de ballets (Louis XIV adorait danser et était excellent danseur), une époque d'une richesse inouïe et d'un nombre de compositeur incroyable, totalement occultée et oubliée suite à la Révolution, aux historiens politisés du 19ème et à la "prise de pouvoir" de la musique classique et ses nombreux compositeurs étrangers (je ne sais plus quel compositeur allemand disait : il n'y a pas de musique française :) )

Heureusement, depuis 10/15 ans, on assiste enfin à la renaissance de la musique baroque, et notamment française, et on redécouvre des merveilles :smoke: (qui par exemple savait il y a 20 ans quelque chose de Charpentier, mis à part qu'il avait composé la musique de l'Eurovision, et encore sans savoir quand ? :confus: )

je l'ai peut-être déjà dit, mais va écumer les rayons CD de la médiathèque, il y en a de belles choses (et pas mal sur mon DD maintenant :confus: )

Posté(e)
je ne suis pas spécialiste, mais à mon idée, je dirai qu'il n'y a pas à cette époque de différence tranchée entre "musique de cour" et "musique populaire", c'est pour cela qu'on y trouve de la bourrée, des tambourins donc, mais aussi des vielles etc...

C'est avec Versailles que la coupure se fait, la musique à la Cour devenant aussi outil politique de grandeur au même titre qu'architecture et peinture, postes rémunérés pour les musiciens, orchestres etc, et donc se met en place la "musique moderne" (choix des musiciens, instruments, oragnisation dees ensembles, style français etc....)

on le sait peu, mais la musique à Versailles était partout, constamment, musique d'accompagnement, de concert et de ballets (Louis XIV adorait danser et était excellent danseur), une époque d'une richesse inouïe et d'un nombre de compositeur incroyable, totalement occultée et oubliée suite à la Révolution, aux historiens politisés du 19ème et à la "prise de pouvoir" de la musique classique et ses nombreux compositeurs étrangers (je ne sais plus quel compositeur allemand disait : il n'y a pas de musique française :smoke: )

Heureusement, depuis 10/15 ans, on assiste enfin à la renaissance de la musique baroque, et notamment française, et on redécouvre des merveilles :ninja: (qui par exemple savait il y a 20 ans quelque chose de Charpentier, mis à part qu'il avait composé la musique de l'Eurovision, et encore sans savoir quand ? :) )

je l'ai peut-être déjà dit, mais va écumer les rayons CD de la médiathèque, il y en a de belles choses (et pas mal sur mon DD maintenant :confus: )

Merci pour ces précisions. :confus:

Louis XIII aussi composait de la musique religieuse et aimait jouait de petits opéras ou des pièces théatralisées. Louis XIV a de qui tenir.

Donc, le XVIIème est bien un siècle de basculement au niveau musical.

Posté(e)
une époque d'une richesse inouïe et d'un nombre de compositeur incroyable, totalement occultée et oubliée suite à la Révolution, aux historiens politisés du 19ème et à la "prise de pouvoir" de la musique classique et ses nombreux compositeurs étrangers (je ne sais plus quel compositeur allemand disait : il n'y a pas de musique française :) )

Heureusement, depuis 10/15 ans, on assiste enfin à la renaissance de la musique baroque, et notamment française, et on redécouvre des merveilles :ninja: (qui par exemple savait il y a 20 ans quelque chose de Charpentier, mis à part qu'il avait composé la musique de l'Eurovision, et encore sans savoir quand ? :confus: )

je l'ai peut-être déjà dit, mais va écumer les rayons CD de la médiathèque, il y en a de belles choses (et pas mal sur mon DD maintenant :confus: )

cela n'a strictement rien à voir

si aujourd'hui on fait jouer Chopin en cours privé et dans les conservatoire et pas Alkan et Thalberg - pour ne citer qu'eux - c'est par manque de culture d'une part et par la présence d'un petit lobby - chaine de radio + détenteurs de droits musicaux - que l'on a pas accès à une musique classique différente

si l'on ne creuse pas les archives ou si on ne passe pas 2heures dans une boutique il est bien difficile de découvrir ces centaines de perles qui pourtant existent bel et bien

(je ne sais plus quel compositeur allemand disait : il n'y a pas de musique française :confus: )

c'est exagéré

la communauté internationale a toujours salué la qualitée française

que ce soit d'Alexandre Boëly à George Onslow en passant par Albert Roussel, Mélanie Bonis, Vincent d'Indy, Lili Boulanger, le groupe des Six ou encore plus récemment Varèse, Grisey, Boulez..

nous avons toujours fourni des artistes de qualités, des musiciens sensibles au plus proche de la musique

Heureusement, depuis 10/15 ans, on assiste enfin à la renaissance de la musique baroque, et notamment française, et on redécouvre des merveilles :smoke: (qui par exemple savait il y a 20 ans quelque chose de Charpentier, mis à part qu'il avait composé la musique de l'Eurovision, et encore sans savoir quand ? :confus: )

heuu, la musique Baroque, ça fait plus de 60 ans que c'est revenu au goût du jour

et Charpentier a fait partie des 'têtes d'affiches' à faire son come-back dès le début des années 60

je l'ai peut-être déjà dit, mais va écumer les rayons CD de la médiathèque, il y en a de belles choses (et pas mal sur mon DD maintenant :confus: )

oui ou sinon n'importe quelle fnac, virgin ou harmonia mundi est pourvu de quantités d'uvres

et si vous voulez écouter avant pour savoir quelle musique classique vous aimez, Jiwa, musicme, deezer, youtube ou dailymotion sont très bien fournis

Louis XIII aussi composait de la musique religieuse et aimait jouait de petits opéras ou des pièces théâtralisées. Louis XIV a de qui tenir.

n'exagérons pas non plus :confus:

Posté(e)

Il semble que Louis XIII chantait trés bien et devait être une excellent musicien, il était aussi compositeur et ses productions étaient jouées à la cour. Il a joué dans des pièces chantées (le terme d'opéra n'est pas approprié j'en conviens) avec d'autres membres de la cour comme cela était en usage à cette époque. Louis XIV fut également un amateur de musique et de ballets auxquels il ne dédaignait pas se joindre.

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