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Les grands classiques loupés


Nijni

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Je suis pas du tout à l'aise avec les films violents. American HistorX, j'ai pas pu continuer par exemple. Fight Club aussi, j'ai vraiment pas aimé.

Ce que je n'aime pas chez Tarantino, c'est cette façon de "surjouer" toute scène violente. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me dérange.

Alors je te laisse imaginer Orange Mecanique. J'ai vu ce film quand j'avais 22 ou 23 ans, et honnêtement ça m'a pertubé. C'est pour moi typiquement le genre de films qui n'a aucun, mais alors aucun intérêt, et je pèse mes mots. L'histoire ne me semble qu'un pretexte pour véhiculer de la violence. Je ferais presque un parallèle avec les pornos où le scénario est secondaire (je sens que je vais me faire lyncher après ces remarques mais pas grave j'assume complètement). J'irais même plus loin en disant que ce genre de films pousse certains types à la dérive, tant ils sont violent dans leurs images et leurs idées.

Bref, une bonne daube à ranger avec Cannibal Haulocaust & Co.

Sachant que le but du film au-delà de sa qualité cinématographique intrinsèque est justement d'introduire une gêne chez le spectateur alors c'est bien que le film est réussi. Après on peut refuser le film en bloc et rester avec ce sentiment de gêne ou réflechir un peu sur le pourquoi de cette gêne. Même chose avec 2001 qui fait fuire la plupart des spectateurs mais qui outre que son aspect visuel très réussi mérite qu'on s'attache à en trouver les clés. Jusqu'à Eyes Wide Shot, Kubrick n'a quasiment tourné que des

Quant à la Grande Vadrouille, je ne dirais qu'une chose: "y a pas d'hélices hélas. C'est là qu'est l'os".

Modifié par elkjaer
Posté(e)

Très bel article rédigé par un internaute qui a du faire un beau copier-coller d'un journaleux à qui le film avait plus :ninja:

Plus sincèrement, le problème de ce film alors est qu'il est tellement philiosophique et suggéré dans ss idées, que je suis à peu près certains que 90 % des personnes qui l'ont vu n'en ont pas compris le sens (si ton article est bien le sens réel du film, ce qui n'est pas une certitude). Je fais bien sûr partie de ces gens là.

Non très sincèrement, la fascination que succite ce film reste pour moi un grand mystère.

Posté(e)

J'ai adoré Eyes Wide Shut. Un esthétisme incroyable.

@Ekelund: je partage ton analyse sur la violence des films (je ne parle pas du copier-coller sur la critique :ninja: )

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Casimir, pour la partouze, ça te dérange si je touche que toi ? :ninja:

Tu pourras aussi remonter le moral de Calimero Nijni :ninja:

Modifié par Casimir
Posté(e) (modifié)
Très bel article rédigé par un internaute qui a du faire un beau copier-coller d'un journaleux à qui le film avait plus :ninja:

Plus sincèrement, le problème de ce film alors est qu'il est tellement philiosophique et suggéré dans ss idées, que je suis à peu près certains que 90 % des personnes qui l'ont vu n'en ont pas compris le sens (si ton article est bien le sens réel du film, ce qui n'est pas une certitude). Je fais bien sûr partie de ces gens là.

Non très sincèrement, la fascination que succite ce film reste pour moi un grand mystère.

ben si t'as vu le film en entier, y'a pas besoin d'être Einstein pour en comprendre la philosophie générale.. :ninja:

quand tu vois qu'à la fin le "héros", devenu non-violent par le biais d'une méthode ultra-violente imposée par la société, et réintégré à la société dite "normale", est à son tour victime de ce qu'il faisait subir aux autres, tout ça par des personnes dites elles-même normales et parfaitement intégrées à la société, je crois que le message est clair...

Modifié par Ekelund
Posté(e)
Orange Mecanique est une daube et puis c'est tout :ninja:

t'as aimé les oiseaux se cachent pour mourir ? :ninja:

Posté(e)
Quant à la Grande Vadrouille, je ne dirais qu'une chose: "y a pas d'hélices hélas. C'est l'a qu'est l'os".

:ninja: Ma réplique culte !

Ce film est truffé de moment très drôles, et on nous ressort chaque fois les mêmes... Le coup du vélo par exemple (idem pour Le corniaud et la scène de la 2CV...). C'est pénible, alors que par exemple, lorsqu'il prend la tête de Bourvil pour une citrouille dans le camion, eh bien ça on le montre jamais. :o

Dis elkjaer, avec Casimir on fait une partouze, y aura peut-être pioupiou et Nijni, ça te dis ? :ninja:

Posté(e) (modifié)
Tu pourras aussi remonter le moral de Calimero Nijni :ninja:

Oui, je vois que ma proposition de vous rejoindre est passée inaperçue ! :o

Edit : aaahhh non c'est bon il ne m'a pas oublié :ninja:

Modifié par Nijni
Posté(e) (modifié)
J'ai adoré Eyes Wide Shut. Un esthétisme incroyable.

@Ekelund: je partage ton analyse sur la violence des films (je ne parle pas du copier-coller sur la critique :ninja: )

Première scène d'Eyes Wide Shut où la démonstration de ce qu'est un grand réalisateur: en quelques secondes de la vie quotidienne d'un couple, on sait déjà très exactement où les deux protagonistes en sont de leur relation.

Dis elkjaer, avec Casimir on fait une partouze, y aura peut-être pioupiou et Nijni, ça te dis ? :ninja:

Vous faites ça à quelle heure? Ah je suis bête, à 12h12 évidemment! Malheureusement je peux pas. A cette heure je donne un cours de thaï à Laurent Magdanne.

Modifié par elkjaer
Posté(e)
Pas vu Le Seigneur des Anneaux, ni aucun Star Wars, et aucune envie de commencer :ninja:

:confus:

Pas vu : Star Wars

:ninja:

Posté(e) (modifié)
ben si t'as vu le film en entier, y'a pas besoin d'être Einstein pour en comprendre la philosophie générale.. ;)

quand tu vois qu'à la fin le "héros", devenu non-violent par le biais d'une méthode ultra-violente imposée par la société, et réintégré à la société dite "normale", est à son tour victime de ce qu'il faisait subir aux autres, tout ça par des personnes dites elles-même normales et parfaitement intégrées à la société, je crois que le message est clair...

Kubrick avait un coté assez nihiliste assez effrayant et je comprends que des gens aient du mal à supporter ça. Il n'y a pas d'espoir ni d'échappatoire dans ses films c'est totalement flippant

Si on fait abstraction du message, ou plutôt de son absence la plupart du temps, et des scénarios à l'emporte pièce, c'est surtout un immense styliste. Quand on revoit Shining, on comprend que la seule chose que l'intéresse c'est de faire ds travellings avant et de foutre les jetons avec ça. C'est ce qu'il monbtre d'aiolleurs dans la dernière image où on voit la caméra s'approcher lentement de la photo prise en 1926 où apparait un Nicholson pas né à l'époque. ça ne signifie rien mais ça colle la chair de poule...

Modifié par Louvin
Posté(e) (modifié)
pas même le temps d'éditer vous êtes durs

:grin: ça dégaine vite par ici. Tu t'es pas vexé au moins ? ;)

Modifié par Yoda

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