Invité Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 Hep, besoin d'aide : Je cherche l'édition du Monde n°19191, du samedi 7 Octobre 2010 (07/10/06). En Pdf, gratuit ou payant. Enfin payant, moins de 4 quoi. Merci. tu cherches un article précis? Citer
HaGu Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 (modifié) Hep, besoin d'aide : Je cherche l'édition du Monde n°19191, du samedi 7 Octobre 2010 (07/10/06). En Pdf, gratuit ou payant. Enfin payant, moins de 4€ quoi. Merci. ça l'air pas mal ici edit : 2006 ou 2010 ? Modifié 6 décembre 2010 par HaGu Citer
Milky Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 (modifié) tu cherches un article précis? Oui, Page 18, le casseur de codes. ça l'air pas mal ici edit : 2006 ou 2010 ? 2006. Pfff je suis con aussi moi. désolé, merci. Modifié 6 décembre 2010 par MilkyWay Citer
HaGu Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 MW? c'est bon le truc de hagu? nan moi j'ai trouvé assez facilement celui de 2010, pas 2006 raté Citer
Flolynyk Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 MW? c'est bon le truc de hagu? Va le goûter toi-même, on ne veut pas lire des choses comme ça sur un forum de foot ! Citer
Invité Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 Kono, c'est briseur de codes! Le Monde Copyright 2006 Le Monde October 7, 2006 Section: Portrait Jacques Stern Briseur de codes Le père de la cryptologie moderne française reçoit ce vendredi la médaille d'or du CNRS. Pionnier dans la " science du secret " de renommée internationale, il était à l'origine mathématicien Avec sa voix douce et son air affable, Jacques Stern cache bien son jeu. Le récipiendaire de la médaille d'or du CNRS 2006, professeur à l'Ecole normale supérieure - dont il dirige le laboratoire d'informatique -, est un démolisseur. Un redoutable briseur de codes. Ce mathématicien de formation, passé tardivement à l'informatique, a fait des ravages dans une discipline longtemps régie par l'empirisme : la cryptologie. Cette " science du secret ", dont il a décrit l'histoire et les principes dans un ouvrage limpide, est depuis l'Antiquité un art de la guerre. La cuirasse, c'est la cryptographie, c'est-à-dire le codage et l'écriture secrète. L'épée, c'est la cryptanalyse, qui vise à briser le code pour accéder au message caché. Jacques Stern excelle dans les deux armes, avec peut-être une prédilection pour la seconde. " Comme un détective, il observe des phénomènes mathématiques isolés et est ensuite capable de les unifier dans une théorie ", explique David Naccache, un de ses anciens étudiants passé par Gemplus, le géant de la carte à puce, aujourd'hui revenu à la recherche universitaire. L'élève se souvient avoir vu le maître trouver la brèche d'un système en quelques minutes. Ce qui l'a frappé chez Jacques Stern, c'est sa disponibilité vis-à-vis des jeunes qu'il lance dans la bataille. " Dans les autres disciplines, on se bat contre la nature. Ici, c'est contre un être humain, qui peut être retors. Il n'y a pas de règle codifiée, note encore David Naccache. Son tableau de chasse est impressionnant. " Fatalement, certains de ses confrères et amis en font les frais. " C'est de bonne guerre ", convient Jean-Jacques Quisquater (université de Louvain), dont un protocole fut cassé en 1998 par Jacques Stern et un de ses élèves. Le chercheur belge ne lui en porte pas rancune. Il a accueilli dans son laboratoire l'un des fils de Jacques Stern, Julien, qui a fait une thèse en cryptologie avant de fonder avec son frère Alexandre une entreprise de conseil et sécurisation des échanges électroniques, Cryptolog. " J'ai peut-être eu le tort d'offrir un ordinateur à Julien pour ses 8 ans ", sourit Jacques Stern. Lui-même n'est pas né dans une famille de scientifiques. Ses grands-parents, juifs d'Europe centrale et de Salonique, ont émigré en France à la fin du XIXe siècle. Installés à Paris, ses parents tenaient un commerce de vêtements. Son père fut prisonnier de guerre, sa mère déportée en Allemagne. " Ils ont souffert, commente le fils, mais n'ont pas perdu confiance dans le pays que leurs parents avaient choisi, ni dans l'avenir. " L'avenir, c'était lui, enfant unique né dans l'après-guerre, abonné aux prix d'excellence, qu'un prof de maths oriente vers Louis-le-Grand et sa prépa scientifique. Il y gagne le goût pour ce qu'il pressent de la recherche. Mai 68 ? " J'ai beaucoup discuté, mais je n'étais pas dans la rue. " Admis à Polytechnique, il préfère rejoindre Normale-Sup (ENS). Après sa thèse sur la théorie mathématique de l'indécidabilité et un an à Berkeley (San Francisco), marié à une juriste spécialiste de droit international, il est bombardé à la chaire de mathématiques de l'université de Caen. Le jeune prof s'épanouit au contact d'étudiants peu nombreux et motivés - un peu le contraire de ce qu'il perçoit de l'université de masse d'aujourd'hui. Mais la vie de mathématicien l'use. " On produit dans la douleur, on ne peut penser à rien d'autre ", lâche cet amateur d'opéra disert, qu'on imagine mal aujourd'hui en génie torturé. A l'époque, une obsession s'impose : créer utile. Après mûre réflexion, ce sera l'informatique, " cette mécanisation de l'abstraction ", et en particulier la cryptologie. En maths, sa spécialité - prouver que quelque chose est impossible - n'a " aucun intérêt pratique ". Mais en cryptologie, " si on peut garantir que l'adversaire est dans l'impossibilité d'accéder à des données, la preuve devient utile ", résume-t-il. Avec la logique, sa spécialité d'origine, il contribue à l'émergence d'une discipline sortie de la clandestinité dans les années 1970, sous l'impulsion de chercheurs, essentiellement anglo-saxons, soucieux de sécuriser les échanges de données. Naissent alors de nouveaux protocoles permettant de signer les messages, de chiffrer les données et de s'assurer de leur intégrité, autant de briques nécessaires à l'édification du commerce électronique. En France, le monde académique ignore la discipline. Tout ou presque est à construire. D'abord " squatteur " à l'ENS à la fin des années 1980, Jacques Stern ne tarde pas à attirer des thésards, " brillants ". " Il a fait école, c'est le père de la cryptologie française moderne ", assure David Naccache. Jacques Stern est donc aussi un bâtisseur. Il a lui-même produit des algorithmes de cryptage, qui sont utilisés dans certaines applications en ligne. L'un d'eux, dit à connaissance nulle, permet de reconnaître un secret sans le connaître. Il est aussi l'auteur, seul ou en réunion, de plusieurs schémas de chiffrement à clé publique, sur la petite dizaine existant dans le monde. Le chercheur a aussi contribué à la démocratisation des moyens de cryptologie. " On les trouve partout, dans tous les ordinateurs ", note-t-il. En 1999, une loi en a libéré l'usage par les particuliers, après une longue résistance de la défense et de la police, qui voulaient conserver le monopole de cette technologie classée " arme de guerre de deuxième catégorie ". L'année précédente, le gouvernement lui avait demandé un rapport, encore secret aujourd'hui, sur le sujet. " Il avait prôné une libéralisation raisonnable et a été suivi au-delà de ses espérances ", révèle le général Jean-Louis Desvignes, qui était alors responsable du Service central pour la sûreté des systèmes d'information, successeur du Service du chiffre. " Mon chef de laboratoire de cryptologie sortait de ses pattes ", lâche encore le général. Dans l'industrie, la défense, l'université, la descendance de Jacques Stern est assurée. Sa renommée internationale est établie. L'homme, à l'allure encore juvénile malgré ses 57 ans, sans un cheveu blanc, n'a pourtant reçu que sur le tard, en 2005, la médaille d'argent du CNRS. Que l'organisme public lui décerne dans la foulée sa médaille d'or le rassure rétrospectivement sur son choix de carrière. Certains de ses camarades de prépa, qui avaient opté pour l'X, ne sont-ils pas devenus capitaines d'industrie, pour certains " chargés de fusions imminentes " ? " Je pensais que la recherche serait la voie la plus passionnante et difficile, mais ces défis-là ne le sont-ils pas tout autant ? ", s'interroge-t-il. Drame mineur des surdoués, à qui l'excellence peut ouvrir plusieurs portes ... LANGUAGE: FR Bizarre, on dirait qu'il manque la fin... Citer
Milky Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 Kono, c'est briseur de codes! Bizarre, on dirait qu'il manque la fin... Désolé . Merci Beaucoup. Je t'aime . Citer
Invité Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 J'ai trouvé une autre source, mais il s'arrete au même mot. Bizarre. Citer
Milky Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 J'ai trouvé une autre source, mais il s'arrete au même mot. Bizarre. Ben c'est possible non ? Citer
Invité Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 Ben c'est possible non ? oui. Il manque juste le point final sur les deux. et le "..." en bas de celui que je t'ai passé m'a laissé pensé que... Mais c'est peut etre ainsi en fait. Citer
Bebs Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 Vous êtes des mines à flood Il me faut un résumé de la situation, en 2 jours d'absence ( je sais c'était 'achement bien sans moi ). Citer
Mikhaïl Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 1er match ailier 2ième match 2ieme centre 3ieme match 1er centre ( ) sacré saison Citer
tititolosa Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 Tiens Mikhaïl, demain soir apéro ch avec flof, oliv, rémi et moi, ça te branche? D'autres loseurs de motivés? Citer
Mikhaïl Posté(e) 6 décembre 2010 Posté(e) 6 décembre 2010 rah ca me dirait bien, mais j'ai un match de MMA. Non plus sérieusement, c'est po souvent sur les périodes qui m'arrange la, j'ai pas mal d'échéances niveau boulot. Mais bon, je sais qu'il y a des séances d'apero ch de retard, j'oublie pas Putain déjà minuit, chienne de vie Citer
Zitoun Posté(e) 7 décembre 2010 Posté(e) 7 décembre 2010 Tiens, je peux rechanger de pseudo. J'ai envie de revenir à Zitoun... Me tate Sinon un "FZpowaaa" serait du plus bel effet. Citer
Invité Posté(e) 7 décembre 2010 Posté(e) 7 décembre 2010 Tiens, je peux rechanger de pseudo. J'ai envie de revenir à Zitoun... Me tate Sinon un "FZpowaaa" serait du plus bel effet. FZitoun Citer
Casimir Posté(e) 7 décembre 2010 Posté(e) 7 décembre 2010 Tiens, je peux rechanger de pseudo. J'ai envie de revenir à Zitoun... Me tate Ben c'est peut-être pas une mauvaise idée en fait Citer
GandhiWallemme Posté(e) 7 décembre 2010 Posté(e) 7 décembre 2010 Je commence à mourir devant PFYC.. Citer
Bengijol Posté(e) 7 décembre 2010 Posté(e) 7 décembre 2010 Je commence à mourir devant PFYC.. j'ai dépassé les 15000 2 fois Citer
Bebs Posté(e) 7 décembre 2010 Posté(e) 7 décembre 2010 Vous êtes bien agités . T'as vu ça ? A croire qu'il y a un évènement spécial Citer
mario Posté(e) 8 décembre 2010 Posté(e) 8 décembre 2010 Tiens, je peux rechanger de pseudo. J'ai envie de revenir à Zitoun... Me tate on ne doit jamais changer de pseudo Citer
Messages recommandés
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.