PaG Posté(e) Lundi à 14:40 Partager Posté(e) Lundi à 14:40 Il y a 6 heures, Piou a dit : Y a-t-il sur terre un type plus con que TiboInShape ? C'est un tarnais 1 1 1 1 1 Citer Lien vers le commentaire
Piou Posté(e) Lundi à 16:14 Partager Posté(e) Lundi à 16:14 Il y a 2 heures, Flolynyk a dit : Combien à peu près ? Plusieurs miyons. 1 1 1 Citer Lien vers le commentaire
HelloMoto Posté(e) Lundi à 20:14 Partager Posté(e) Lundi à 20:14 Il y a 3 heures, Piou a dit : Plusieurs miyons. Anciens ou nouveaux? 1 Citer Lien vers le commentaire
Ekelund Posté(e) Mardi à 03:59 Partager Posté(e) Mardi à 03:59 https://www.lepoint.fr/societe/savoie-des-enseignants-ne-souhaitent-pas-changer-le-nom-de-leur-college-pour-celui-de-robert-badinter-24-06-2024-2563774_23.php#11 Citation « Ce sera plus évocateur pour les élèves que le nom d'une personnalité qu'ils ne connaissent pas. […] Le nom de Badinter risque malheureusement pour certains élèves d'évoquer un peu trop le nom de leur supermarché préféré », ont-ils jugé. ils ont qu'à proposer Collège Tibo InShape, ça coche toutes les cases 1 1 Citer Lien vers le commentaire
Ekelund Posté(e) Mardi à 06:38 Partager Posté(e) Mardi à 06:38 (modifié) Citation Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites. Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdîtes. Tout, la haine et le deuil ! - Et ne m'objectez pas Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas... - Ecoutez bien ceci : Tête-à-tête, en pantoufle, Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle, Vous dites à l'oreille au plus mystérieux De vos amis de coeur, ou, si vous l'aimez mieux, Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire, Dans le fond d'une cave à trente pieds sous terre, Un mot désagréable à quelque individu ; Ce mot que vous croyez que l'on n'a pas entendu, Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre, Court à peine lâché, part, bondit, sort de l'ombre ! Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin. Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main, De bons souliers ferrés, un passeport en règle ; - Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle ! - Il vous échappe, il fuit, rien ne l'arrêtera. Il suit le quai, franchit la place, et caetera, Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues, Et va, tout à travers un dédale de rues, Droit chez l'individu dont vous avez parlé. Il sait le numéro, l'étage ; il a la clé, Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe, Entre, arrive, et, railleur, regardant l'homme en face, Dit : - Me voilà ! je sors de la bouche d'un tel. - Et c'est fait. Vous avez un ennemi mortel. on pourrait penser ce poème écrit en écho aux phénomènes actuels liés aux réseaux sociaux, sauf que ça a été écrit par Victor Hugo il y a 2 siècles Modifié Mardi à 06:39 par Ekelund Citer Lien vers le commentaire
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