Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 (modifié) Je sais qu'il y a dans ce forum de nombreux brillants historiens Je commence par le brillant Président Félix Faure! Félix Faure (Paris, 30 janvier 1841 - Palais de l'Élysée, Paris, 16 février 1899) est un homme politique français, président de la République française (17 janvier 1895 - 16 février 1899) sous la Troisième République. Félix Faure, dont on a dit qu'il était plus célèbre par sa mort que par sa vie, mourut accidentellement au palais de l'Élysée le 16 février 1899. Ce décès brusque et mystérieux fit naître la rumeur selon laquelle il serait mort « dans les bras » d'une jeune femme. On raconte que le médecin qui arriva à son chevet demanda : « Le Président a-t-il toujours sa connaissance ? ». Un domestique lui répondit : « Non, on l'a fait sortir par derrière ». L'on apprit dix ans plus tard que la femme en question était une demi-mondaine, l'admirable Marguerite Steinheil qui fut surnommée la « Pompe Funèbre ». Clemenceau aurait dit de lui (mot rapporté sous diverses formes) : « Il voulait être César, hélas, il ne fut que Pompée », allusion au goût du président pour le faste dont les satiristes de l'époque avaient coutume de se moquer. Une vraie star! Modifié 9 août 2005 par Mister Yellow Citer
Floolf Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Je sais qu'il y a dans ce forum de nombreux brillants historiens Je commence par le brillant Président Félix Faure! Félix Faure (Paris, 30 janvier 1841 - Palais de l'Élysée, Paris, 16 février 1899) est un homme politique français, président de la République française (17 janvier 1895 - 16 février 1899) sous la Troisième République. Félix Faure, dont on a dit qu'il était plus célèbre par sa mort que par sa vie, mourut accidentellement au palais de l'Élysée le 16 février 1899. Ce décès brusque et mystérieux fit naître la rumeur selon laquelle il serait mort « dans les bras » d'une jeune femme. On raconte que le médecin qui arriva à son chevet demanda : « Le Président a-t-il toujours sa connaissance ? ». Un domestique lui répondit : « Non, on l'a fait sortir par derrière ». L'on apprit dix ans plus tard que la femme en question était une demi-mondaine, l'admirable Marguerite Steinheil qui fut surnommée la « Pompe Funèbre ». Clemenceau aurait dit de lui (mot rapporté sous diverses formes) : « Il voulait être César, hélas, il ne fut que Pompée », allusion au goût du président pour le faste dont les satiristes de l'époque avaient coutume de se moquer. Une vraie star! <{POST_SNAPBACK}> Pour une fois qu'on était en avance sur les américains Citer
Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Auteur Posté(e) 9 août 2005 ce topic va nous ramener Hasdrubald <{POST_SNAPBACK}> Serait-il le descendant de Marguerite Steinheil? Citer
NicoPaviot Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Serait-il le descendant de Marguerite Steinheil? <{POST_SNAPBACK}> Non de Eudes, fils de Robert II "le Pieux" (comprenne qui pourra) Citer
Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Auteur Posté(e) 9 août 2005 Encore une star Paul Deschanel est un homme d'État français, né le 13 février 1855 à Schaerbeek (Bruxelles, Belgique), mort le 28 avril 1922 à Paris, dont la carrière culmina avec son mandat de président de la République française, du 18 février au 21 septembre 1920, sous la Troisième République. Il fut aussi homme de lettres et élu à l'Académie française le 18 mai 1899. Paul Deschanel est resté dans l'Histoire pour les troubles mentaux, peut-être consécutifs à une grande fatigue émotionnelle, qui le frappèrent durant son mandat. La chute hors du train Au cours d'un voyage en train à destination de Montbrison, le 19 mai 1920 vers 23 h 15, s'étant penché par la fenêtre de son compartiment alors qu'il éprouvait une sensation d'étouffement, Paul Deschanel chuta accidentellement hors du wagon. Heureusement, le convoi circulait à ce moment-là à relativement faible allure (50 km/h) dans une zone de travaux à Mignerette (dans le Loiret, à une douzaine de kilomètres au nord-ouest de Montargis). Tout ensanglanté - en dépit du caractère bénin de ses blessures -, relativement hébété et vêtu de son seul pyjama, Paul Deschanel ne tarda pas à rencontrer André Radeau, ouvrier cheminot qui surveillait la zone de travaux, et auquel il se présenta comme étant le président de la République. L'image des hommes publics étant à l'époque encore peu diffusée dans la population, le cheminot se montra sceptique pensant à première vue avoir affaire à un ivrogne mais le conduisit néanmoins jusqu'à une maison de garde-barrière toute proche, où le blessé fut soigné et mis au lit par ses sauveteurs. Le garde-barrière, Gustave Dariot, impressionné par la dignité du blessé et la cohérence de ses explications, partit pendant ce temps prévenir la gendarmerie de Corbeilles. La lenteur des communications entre les divers échelons fit que, malgré les faibles distances, le sous-préfet de Montargis, M. Lesueur, ne fut prévenu par télégramme que vers 5 heures du matin. L'incident commença à avoir un retentissement certain lorsque l'on s'aperçut, avant l'arrivée du train en gare de Roanne, vers 7 heures du matin, que le président de la République avait disparu du convoi. La suite présidentielle qui attendait sur le quai de la gare et qui était menée par Théodore Steeg (1868-1950), alors ministre de l'Intérieur, ne resta pas longtemps sans nouvelles. Il lui fut rapidement transmis le contenu d'une dépêche envoyée par la gare de Montargis à celle de Saint-Germain-des-Fossés (Allier) qui expliquait succinctement le déroulement des événements survenus dans la nuit. L'incident donna évidemment lieu dans la presse de l'époque à de nombreuses caricatures, souvent cruelles, et inspira la verve des chansonniers. Tout le monde ne s'est toutefois pas laissé aller à broder de manière démesurée voire mensongère sur un incident certes curieux (et qui a frappé les esprits en raison de la notoriété de sa victime). Un « riverain » des lieux de l'accident a ainsi obtenu, plusieurs décennies plus tard, que soit apposée une stèle commémorative très sobre de l'incident, sans aucun élément de caricature, à proximité du passage à niveau et de l'ancienne maison de garde-barrière où avait été conduit Paul Deschanel après sa chute. Autre incident Le 10 septembre 1920, il descend à l'aube se promener dans le parc de l'Élysée, à demi-vêtu, discute quelques instants avec un jardinier puis entre jusqu'à mi-corps dans un bassin. Ramené dans ses appartements, il semble n'avoir conscience de rien. Citer
Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Auteur Posté(e) 9 août 2005 Edme Patrice Maurice, comte de Mac-Mahon, plus couramment appelé Patrice de Mac-Mahon, duc de Magenta, prince de Solférino, né le 13 juillet 1808 à Sully (Saône-et-Loire), mort le 8 octobre 1893 au château de la Forêt, à Montcresson (Loiret), était maréchal de France et fut président de la République française du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879. Mac-Mahon est resté célèbre pour un certain nombre de déclarations, probablement pas toutes authentiques : Lors de la guerre de Crimée qui opposait la France et l'Angleterre à la Russie, Mac Mahon prit la position de Malakoff. A un émissaire anglais qui lui conseillait de quitter la place, qu'il jugeait intenable, Mac Mahon a répondu, inventant la formule : "J'y suis, j'y reste" En voyant des inondations qui frappèrent la ville de Toulouse en 1875 : « Que d'eau ! Que d'eau ! » En passant des troupes en revue, après avoir été averti que l'un des soldats était d'origine africaine : « Ah c'est vous le nègre ? Très bien, continuez ! » « La fièvre typhoïde est une maladie terrible. Ou on en meurt, ou on en reste idiot. Et je sais de quoi je parle, je l'ai eue. » Citer
Sebal Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Je sais qu'il y a dans ce forum de nombreux brillants historiens Je commence par le brillant Président Félix Faure! Félix Faure (Paris, 30 janvier 1841 - Palais de l'Élysée, Paris, 16 février 1899) est un homme politique français, président de la République française (17 janvier 1895 - 16 février 1899) sous la Troisième République. Félix Faure, dont on a dit qu'il était plus célèbre par sa mort que par sa vie, mourut accidentellement au palais de l'Élysée le 16 février 1899. Ce décès brusque et mystérieux fit naître la rumeur selon laquelle il serait mort « dans les bras » d'une jeune femme. On raconte que le médecin qui arriva à son chevet demanda : « Le Président a-t-il toujours sa connaissance ? ». Un domestique lui répondit : « Non, on l'a fait sortir par derrière ». L'on apprit dix ans plus tard que la femme en question était une demi-mondaine, l'admirable Marguerite Steinheil qui fut surnommée la « Pompe Funèbre ». Clemenceau aurait dit de lui (mot rapporté sous diverses formes) : « Il voulait être César, hélas, il ne fut que Pompée », allusion au goût du président pour le faste dont les satiristes de l'époque avaient coutume de se moquer. Une vraie star! <{POST_SNAPBACK}> Encore une star Paul Deschanel est un homme d'État français, né le 13 février 1855 à Schaerbeek (Bruxelles, Belgique), mort le 28 avril 1922 à Paris, dont la carrière culmina avec son mandat de président de la République française, du 18 février au 21 septembre 1920, sous la Troisième République. Il fut aussi homme de lettres et élu à l'Académie française le 18 mai 1899. Paul Deschanel est resté dans l'Histoire pour les troubles mentaux, peut-être consécutifs à une grande fatigue émotionnelle, qui le frappèrent durant son mandat. La chute hors du train Au cours d'un voyage en train à destination de Montbrison, le 19 mai 1920 vers 23 h 15, s'étant penché par la fenêtre de son compartiment alors qu'il éprouvait une sensation d'étouffement, Paul Deschanel chuta accidentellement hors du wagon. Heureusement, le convoi circulait à ce moment-là à relativement faible allure (50 km/h) dans une zone de travaux à Mignerette (dans le Loiret, à une douzaine de kilomètres au nord-ouest de Montargis). Tout ensanglanté - en dépit du caractère bénin de ses blessures -, relativement hébété et vêtu de son seul pyjama, Paul Deschanel ne tarda pas à rencontrer André Radeau, ouvrier cheminot qui surveillait la zone de travaux, et auquel il se présenta comme étant le président de la République. L'image des hommes publics étant à l'époque encore peu diffusée dans la population, le cheminot se montra sceptique pensant à première vue avoir affaire à un ivrogne mais le conduisit néanmoins jusqu'à une maison de garde-barrière toute proche, où le blessé fut soigné et mis au lit par ses sauveteurs. Le garde-barrière, Gustave Dariot, impressionné par la dignité du blessé et la cohérence de ses explications, partit pendant ce temps prévenir la gendarmerie de Corbeilles. La lenteur des communications entre les divers échelons fit que, malgré les faibles distances, le sous-préfet de Montargis, M. Lesueur, ne fut prévenu par télégramme que vers 5 heures du matin. L'incident commença à avoir un retentissement certain lorsque l'on s'aperçut, avant l'arrivée du train en gare de Roanne, vers 7 heures du matin, que le président de la République avait disparu du convoi. La suite présidentielle qui attendait sur le quai de la gare et qui était menée par Théodore Steeg (1868-1950), alors ministre de l'Intérieur, ne resta pas longtemps sans nouvelles. Il lui fut rapidement transmis le contenu d'une dépêche envoyée par la gare de Montargis à celle de Saint-Germain-des-Fossés (Allier) qui expliquait succinctement le déroulement des événements survenus dans la nuit. L'incident donna évidemment lieu dans la presse de l'époque à de nombreuses caricatures, souvent cruelles, et inspira la verve des chansonniers. Tout le monde ne s'est toutefois pas laissé aller à broder de manière démesurée voire mensongère sur un incident certes curieux (et qui a frappé les esprits en raison de la notoriété de sa victime). Un « riverain » des lieux de l'accident a ainsi obtenu, plusieurs décennies plus tard, que soit apposée une stèle commémorative très sobre de l'incident, sans aucun élément de caricature, à proximité du passage à niveau et de l'ancienne maison de garde-barrière où avait été conduit Paul Deschanel après sa chute. Autre incident Le 10 septembre 1920, il descend à l'aube se promener dans le parc de l'Élysée, à demi-vêtu, discute quelques instants avec un jardinier puis entre jusqu'à mi-corps dans un bassin. Ramené dans ses appartements, il semble n'avoir conscience de rien. <{POST_SNAPBACK}> Edme Patrice Maurice, comte de Mac-Mahon, plus couramment appelé Patrice de Mac-Mahon, duc de Magenta, prince de Solférino, né le 13 juillet 1808 à Sully (Saône-et-Loire), mort le 8 octobre 1893 au château de la Forêt, à Montcresson (Loiret), était maréchal de France et fut président de la République française du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879. Mac-Mahon est resté célèbre pour un certain nombre de déclarations, probablement pas toutes authentiques : Lors de la guerre de Crimée qui opposait la France et l'Angleterre à la Russie, Mac Mahon prit la position de Malakoff. A un émissaire anglais qui lui conseillait de quitter la place, qu'il jugeait intenable, Mac Mahon a répondu, inventant la formule : "J'y suis, j'y reste" En voyant des inondations qui frappèrent la ville de Toulouse en 1875 : « Que d'eau ! Que d'eau ! » En passant des troupes en revue, après avoir été averti que l'un des soldats était d'origine africaine : « Ah c'est vous le nègre ? Très bien, continuez ! » « La fièvre typhoïde est une maladie terrible. Ou on en meurt, ou on en reste idiot. Et je sais de quoi je parle, je l'ai eue. » <{POST_SNAPBACK}> Eh bé on était bien dirigé avec ça tiens Remarque quand on voit l'énergumène qu'on a comme président aujourd'hui... Citer
vins31 Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Remarque quand on voit l'énergumène qu'on a comme président aujourd'hui... <{POST_SNAPBACK}> +1 Citer
Caramel Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 (modifié) Déja j'suis pas fan du sous-titre de ce topic... L'Histoire la grande n'est pas la vraie... L'Histoire, communément appelée, la grande, c'est celle des grandes dates, des batailles célèbres, des personnages importants et emblématiques... L'Histoire, la vraie, c'est celle que l'on fait grâce aux sources fines, qui s'interroge sur tout et tout le monde, comme le fait la microstoria, ce qui n'a alors plus rien à voir avec la grande Histoire. Voilà ce que j'en pense. Modifié 9 août 2005 par Caramel Citer
Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Auteur Posté(e) 9 août 2005 Déja j'suis pas fan du sous-titre de ce topic... L'Histoire la grande n'est pas la vraie... L'Histoire, communément appelée, la grande, c'est celle des grandes dates, des batailles célèbres, des personnages importants et emblématiques... L'Histoire, la vraie, c'est celle que l'on fait grâce aux sources fines, qui s'interroge sur tout et tout le monde, comme le fait la microstoria, ce qui n'a alors plus rien à voir avec la grande Histoire. Voilà ce que j'en pense. <{POST_SNAPBACK}> Je tiens à te remercier pour ce post éminemment sympathique. Par principe, je supprime le sous-titre, qui il est vrai n'a rien de bien pertinent, mais qui a le mérite d'être présent et criticable. Sache que je t'en tiendrais gré et qu'il est + facile de détruire et de critiquer que de construire et de créer. Citer
Caramel Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Je tiens à te remercier pour ce post éminemment sympathique. Sache que je t'en tiendrais gré et qu'il est + facile de détruire et de critiquer que de construire et de créer. Il fallait que la nuance soit faite, mais je ne voulais en aucun cas critiquer ce topic... Encore une bonne initiative la Raime Citer
13obscur Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Déja j'suis pas fan du sous-titre de ce topic... L'Histoire la grande n'est pas la vraie... L'Histoire, communément appelée, la grande, c'est celle des grandes dates, des batailles célèbres, des personnages importants et emblématiques... L'Histoire, la vraie, c'est celle que l'on fait grâce aux sources fines, qui s'interroge sur tout et tout le monde, comme le fait la microstoria, ce qui n'a alors plus rien à voir avec la grande Histoire. Voilà ce que j'en pense. <{POST_SNAPBACK}> Je tiens à te remercier pour ce post éminemment sympathique. Par principe, je supprime le sous-titre, qui il est vrai n'a rien de bien pertinent, mais qui a le mérite d'être présent et criticable. Sache que je t'en tiendrais gré et qu'il est + facile de détruire et de critiquer que de construire et de créer. <{POST_SNAPBACK}> Il fallait que la nuance soit faite, mais je ne voulais en aucun cas critiquer ce topic... Encore une bonne initiative la Raime <{POST_SNAPBACK}> Je pense que vous devriez vous foutre sur la gueule pour entrer dans la vraie grande Histoire du bistrot. Citer
gnafron Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Le gros problème avec les historiens c'est qu'ils passent leur temps à se disputer à tout propos. Citer
Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Auteur Posté(e) 9 août 2005 (modifié) Il fallait que la nuance soit faite, mais je ne voulais en aucun cas critiquer ce topic... Encore une bonne initiative la Raime <{POST_SNAPBACK}> Je ne t'en tiens plus gré Fernandao Superstar Il y a toujours des fouteurs de merde dans l'Histoire, des 13obscur ou autres gnafron, ils se prennent pour des Daudet ou autres Barras Modifié 9 août 2005 par Mister Yellow Citer
13obscur Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Il y a toujours des fouteurs de merde dans l'Histoire, des 13obscur ou autres gnafron, ils se prennent pour des Daudet ou autres Barras <{POST_SNAPBACK}> Nous ne sommes que des observateurs impartiaux relatant les faits. Citer
Mister Yellow Posté(e) 9 août 2005 Auteur Posté(e) 9 août 2005 Nous ne sommes que des observateurs impartiaux relatant les faits. <{POST_SNAPBACK}> "La satisfaction quon tire de la vengeance ne dure quun moment : celle que nous donne la clémence est éternelle." Henry IV Citer
13obscur Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 "La satisfaction quon tire de la vengeance ne dure quun moment : celle que nous donne la clémence est éternelle." Henry IV <{POST_SNAPBACK}> Je te pardonne tes insultes envers gnafron et moi même. Citer
gnafron Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 (modifié) Je te pardonne tes insultes envers gnafron et moi même. <{POST_SNAPBACK}> C'est vrai qu'avoir osé accoler mon nom auprès de celui de 13obscur est une insulte de la pire espèce. Et concernant le pardon mon grand, je préfère le dispenser moi même sans passer par des intermédiaires plus que douteux. Et concernant la sentence du bon roy Henry, on voit où ça l'a mené de raconter ce type de conneries. Manque de pot pour le palois, il est tombé sans panache. Modifié 9 août 2005 par gnafron Citer
Hasdrubald Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 ce topic va nous ramener Hasdrubald <{POST_SNAPBACK}> t'avais qu'à me coller un ban de six mois, tu aurais eu la paix... maintenant, comme je ne veux absolument pas t'embêter, j'éviterai de répondre à tes posts...et par là même de faire d'autres commentaires dans ce topic. par ailleurs, si tu veux, tu peux m'adresser par Mp une liste des topics où tu ne souhaites pas que je poste, ce sera avec le plus grand plaisir que je m'abstiendrai de le faire Citer
NicoPaviot Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 t'avais qu'à me coller un ban de six mois, tu aurais eu la paix... maintenant, comme je ne veux absolument pas t'embêter, j'éviterai de répondre à tes posts...et par là même de faire d'autres commentaires dans ce topic. par ailleurs, si tu veux, tu peux m'adresser par Mp une liste des topics où tu ne souhaites pas que je poste, ce sera avec le plus grand plaisir que je m'abstiendrai de le faire <{POST_SNAPBACK}> la comedia del'arte Citer
Jneb Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 t'avais qu'à me coller un ban de six mois, tu aurais eu la paix... maintenant, comme je ne veux absolument pas t'embêter, j'éviterai de répondre à tes posts...et par là même de faire d'autres commentaires dans ce topic. par ailleurs, si tu veux, tu peux m'adresser par Mp une liste des topics où tu ne souhaites pas que je poste, ce sera avec le plus grand plaisir que je m'abstiendrai de le faire <{POST_SNAPBACK}> Citer
gnafron Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 la comedia del'arte <{POST_SNAPBACK}> Il manque un l. :doh: Citer
NicoPaviot Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 Il manque un l. <{POST_SNAPBACK}> non, un "espace"... je parlais de la chaîne de télé Citer
gnafron Posté(e) 9 août 2005 Posté(e) 9 août 2005 (modifié) non, un "espace"... je parlais de la chaîne de télé <{POST_SNAPBACK}> Objection accordée Votre Honneur. :bluejark: Sinon pour revenir au sujet de ce topic, je vous propose la réflexion suivante: L'Histoire n'est-elle qu'un perpétuel recommencement? Modifié 9 août 2005 par gnafron Citer
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