Hasdrubald Posté(e) 17 août 2005 Posté(e) 17 août 2005 (modifié) Marie de Médicis sera exilée à Blois. <{POST_SNAPBACK}> c'est limite une contrepèterie ça!! Modifié 17 août 2005 par Hasdrubald Citer
Mister Yellow Posté(e) 17 août 2005 Auteur Posté(e) 17 août 2005 c'est limite une contrepèterie ça!! <{POST_SNAPBACK}> Vu Citer
Mister Yellow Posté(e) 17 août 2005 Auteur Posté(e) 17 août 2005 Le roi Louis XIII surnommé "Le Juste" meurt à St Germain le 1er mai 1643. Citer
Mister Yellow Posté(e) 19 août 2005 Auteur Posté(e) 19 août 2005 (modifié) Les guerres de religion sont une série de huit conflits ayant une base religieuse opposant catholiques et protestants qui ont ravagé la France à la fin du XVIe siècle. Ces guerres sont particulièremment difficiles à étudier, du fait de leur complexité : aux affrontements religieux se superposent des ambitions politiques, voire des interventions de puissances étrangères, l'Angleterre aux côtés des protestants, l'Espagne aux côtés des catholiques. Des leaders s'y illustrent, les Guise, chefs de la Ligue, association de catholiques attachés au principe « un roi, une foi, une loi » et les Condé, les Coligny et Henri de Navarre (le futur Henri IV) du côté protestant. Entre ces deux camps, quelque-uns essaient de maintenir la continuité de l'État par la mise en place de la tolérance religieuse notamment Catherine de Médicis, mère de Charles IX et d'Henri III, et son chancelier Michel de l'Hospital. On distingue huit guerres de religion ( 1562/1593 ). Modifié 19 août 2005 par Mister Yellow Citer
Mister Yellow Posté(e) 19 août 2005 Auteur Posté(e) 19 août 2005 Une guerre de religion marquée par le célèbre massacre de la Saint-Barthélémy. Le massacre de la Saint-Barthélemy fut une suite de massacres des protestants (huguenots) qui commença à Paris le 24 août 1572. Elle joua un rôle capital dans les guerres de religion. Elle fut précédée par le mariage d'Henri de Navarre ( protestant ), futur Henri IV, et de Marguerite de Valois, sur du roi Charles IX, le 18 août 1572. Ceci occasionna l'arrivée de nombreux gentilshommes protestants à Paris. Or, Paris était farouchement anti-huguenote, du fait du martèlement des prédicateurs, franciscains au premier chef. En outre, le peuple était mécontent du fait des mauvaises récoltes. Le luxe déployé à l'occasion des noces royales ne lui plut que médiocrement. Le 22 août, un attentat fut perpétré contre Gaspard de Coligny, l'un des chefs du parti huguenot. L'auteur de l'attentat tira un coup de feu depuis une maison appartenant aux Guise. Le roi vint avec sa cour au chevet de Coligny, et lui promit justice. Pendant le repas de la reine-mère, Catherine de Médicis, des protestants vinrent réclamer justice. Le soir même, Catherine tint une réunion aux Tuileries avec ses conseillers italiens et le baron de Retz. Le soir du 23 août, Catherine alla voir le roi et lui parla d'un complot. Charles IX décida l'élimination des chefs protestants, à l'exception des princes du sang, Henri de Navarre et le prince de Condé. La nuit de la Saint-Barthélemy Le massacre Peu de temps après cette décision, les autorités municipales de Paris furent convoquées. Il leur fut ordonné de fermer les portes de la ville et d'armer les bourgeois. Le signal fut donné par la sonnerie de matines, à la cloche de l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, proche du Louvre et paroisse des rois de France. Le massacre commença dans le palais même du Louvre. L'amiral de Coligny fut tiré de son lit, achevé et jeté par la fenêtre. La tuerie dégénéra rapidement : dans toute la ville, on se mit à pourchasser les protestants, en ne se limitant pas aux chefs. Aussitôt, les villes de province déclenchèrent leur propre massacre Au total, le nombre de morts est estimé à 2 000 à Paris, et de 5 000 à 10 000 dans toute la France. Le pape Grégoire XIII fit chanter un Te Deum en apprenant la nouvelle. Philippe II d'Espagne fit part de sa satisfaction. Élisabeth Ire d'Angleterre fit faire le pied de grue à l'ambassadeur français avant de paraître accepter la thèse du complot. Le massacre de la Saint-Barthélemy déclencha la quatrième guerre de religion. Citer
Hasdrubald Posté(e) 19 août 2005 Posté(e) 19 août 2005 décidément je passe mon temps à donner des idées aux autres aujourd'hui : corniaud: Citer
Caramel Posté(e) 23 août 2005 Posté(e) 23 août 2005 (modifié) Le règne de Louis XIII est indissociable de la politique de cet homme à partir de 1624 : Le Cardinal de Richelieu (J'ai eu la flemme de faire un résumé, et je m'en excuse). Modifié 23 août 2005 par Caramel Citer
Mister Yellow Posté(e) 23 août 2005 Auteur Posté(e) 23 août 2005 Le règne de Louis XIII est indissociable de la politique de cet homme à partir de 1624 : Le Cardinal de Richelieu (J'ai eu la flemme de faire un résumé, et je m'en excuse). <{POST_SNAPBACK}> Depuis le temps que j'espèrais ça Citer
Caramel Posté(e) 23 août 2005 Posté(e) 23 août 2005 Depuis le temps que j'espèrais ça Je préférais Mazarin... Citer
Mister Yellow Posté(e) 23 août 2005 Auteur Posté(e) 23 août 2005 Je préférais Mazarin... <{POST_SNAPBACK}> Moi aussi! Richelieu était un cador quand même mais un brin ( juste un brin ) manipulateur. Citer
Caramel Posté(e) 23 août 2005 Posté(e) 23 août 2005 Moi aussi! Richelieu était un cador quand même mais un brin ( juste un brin ) manipulateur. Moi c'est juste parce que Sotto' a dit un jour en cours, un truc du style :"Je suis fan de Mazarin" ... Et comme Sotto' c'était la préférée de tous... Citer
Caramel Posté(e) 4 septembre 2005 Posté(e) 4 septembre 2005 L'Humanisme de la Renaissance en Europe : Humanisme Suite à la chute de l'Empire Romain d'Orient, donc de sa capitale: Constantinople, en 1453, le Moyen Âge prend fin. Ainsi des grecs vont immigrer en Italie et penser un autre monde, où la religion n'est plus un calvaire, mais un moyen de penser. Les dits humanistes l'utilisent; l'Homme n'est plus pour Dieu, il est avec Dieu. Humanisme est un mot formé dans la seconde moitié du XIXe siècle pour donner un nom à l'uvre accomplie par les humanistes et au mouvement d'idées qui en résulta. Le terme est formé sur l'allemand Humanismus, venant lui-même du terme humaniste : au XVIe siècle, l'humaniste s'occupait d'humanités (studia humanitatis en latin) ou lettres antiques. Pour ces érudits de la Renaissance, le terme humanitas avait le même sens qu'à l'époque cicéronienne et signifiait « la culture qui, parachevant les qualités naturelles de l'homme, le rend digne de ce nom ». Le terme désigne un programme culturel, scientifique, philosophique et, par bien des aspects, politique qui propose un « modèle humain » défini comme synthèse des qualités intellectuelles, sociales, affectives, caractéristiques de la « nature humaine ». L'humanisme est un courant de pensée idéaliste et optimiste qui place l'Homme au centre du monde, les valeurs humaines au-dessus de toutes les autres valeurs. Il y a donc à travers le siècles différents humanismes (chrétien, libéral, marxiste). Historiquement, le terme désigne le mouvement qui débute au XIVe siècle en Italie et prend son essor aux XVe et XVIe siècles en Europe. La révolution de l'imprimerie en Occident (milieu du XVe siècle) permet la diffusion de l'humanisme. On considère généralement que l'âge d'or de l'humanisme se situe au début du XVIe siècle avec les grandes figures d'Erasme, Thomas More ou Guillaume Budé. L'humanisme de la Renaissance prône le retour aux sources antiques, païennes (grecques et romaines) ou chrétiennes (retour aux enseignements purs des Evangiles). Cet humanisme connaîtra une évolution qui le mènera, en passant par une phase moderne au XVIIIe , à l'humanisme scientifique du XIXe s. Le sens historique À la Renaissance, l'humanisme a donc consisté en une remise en valeur des richesses culturelles contenues dans les littératures anciennes. Cette entreprise a comporté plusieurs aspects : l'humanisme philologique fut un immense travail de restitution et de diffusion des textes anciens altérés par des copistes du Moyen Âge. Ce fut la tâche de Pétrarque, de Boccace, de Marsile Ficin, d'Érasme, de Budé, par exemple ; l'humanisme pédagogique s'opposa à l'enseignement scolastique en imposant l'étude des lettres latines et grecques dans leurs textes authentiques. François Ier fonda le Collège de France, à l'instigation de Guillaume Budé, dans le but de faire prévaloir cette pédagogie fondée sur l'étude des « humanités » antiques ; l'humanisme philosophique est fondé sur la connaissance de l'homme, l'accomplissement harmonieux de sa nature, sous le contrôle de sa raison. Pour Rabelais, Érasme, Montaigne, la valeur des uvres antiques tenait dans la philosophie morale qu'ils y trouvaient. Celle-ci leur apprenait que la mesure des désirs et des ambitions, le courage et la justice conduisaient à la vertu et au bonheur. Alors qu'il n'était pour d'autres que l'étude érudite de textes, l'humanisme fut pour eux une « conception sobre et équilibrée de la vie humaine » (Emile Bréhier). À la fin de l'Apologie de Raymond Sebond, Montaigne cite Sénèque : « Ô la vile chose et abjecte que l'homme, s'il ne s'élève au-dessus de l'humanité ! » et il commente : « Voilà un bon mot et un utile désir, mais pareillement absurde. Car de faire la poignée plus grande que le poing, la brassée plus grande que le bras, et d'espérer enjamber plus que l'étendue de nos jambes, cela est impossible et monstrueux. Ni que l'homme se monte au-dessus de soi et de l'humanité ». Ainsi, l'homme n'est pas Dieu et l'humanisme consiste à agir « humainement ». Liste d'humanistes par époque XIVe siècle Boccace (1313-1375) Pétrarque (1304-1374) Coluccio Salutati XVe siècle Marsile Ficin (1433-1499) Guarino Veronese (1374-1460) Francesco Filelfo Lorenzo Valla (1407-1457) Jean Pic de la Mirandole (1463-1494) Nicolas de Cuse (1401-1464) Johannes Reuchlin (1455-1522) XVIe siècle Erasme (v. 1466-1536) Guillaume Budé (1467-1540) Étienne Dolet (1509-1546) Thomas More (1478-1535) Les grands principes humanistes LHumanisme est une pensée qui apparaît pendant la Renaissance. Elle consiste à valoriser lHomme, à le placer au centre de son univers. Dans cette optique, le principe de base de cette théorie est que lHomme est en possession de capacités intellectuelles potentiellement illimitées. La quête du savoir et la maîtrise des diverses disciplines sont nécessaires au bon usage des ces facultés. LHumanisme sinspire de la réflexion et de la philosophie antiques, et demeure attaché à la croyance divine. Il prône la vulgarisation de tous les savoirs, notamment religieux : la Parole divine doit être accessible à toute personne, quelques soient ses origines, sa langue (traduction de la Bible par Erasme en 1516) ou sa catégorie sociale. Ainsi, lHumanisme vise à lutter contre lignorance, et à diffuser plus amplement le message du Christ. Cependant lindividu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes et choix devant Dieu. Les notions de liberté, de tolérance, dindépendance, douverture et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste. Source Wikipédia Citer
gnafron Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 Moi c'est juste parce que Sotto' a dit un jour en cours, un truc du style :"Je suis fan de Mazarin" ... Et comme Sotto' c'était la préférée de tous... <{POST_SNAPBACK}> Elle est sympa cette prof, toujours à labour. Elle devait écrire un bouquin quand je l'avais en TD donc elle ne nous demandait plus de comm car pas assez de temps pour les corriger. Sinon elle est fan de la peste et des maladies aussi. Citer
Caramel Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 Elle est sympa cette prof, toujours à labour. Elle devait écrire un bouquin quand je l'avais en TD donc elle ne nous demandait plus de comm car pas assez de temps pour les corriger. Sinon elle est fan de la peste et des maladies aussi. N'empêche j'ai lu une dizaine de bouquins de la bibliographie de l'UE sur la France moderne à cause d'elle Par contre Taillefer il m'a saoulé ... Citer
Mister Yellow Posté(e) 5 septembre 2005 Auteur Posté(e) 5 septembre 2005 (modifié) Par contre Taillefer il m'a saoulé ... <{POST_SNAPBACK}> Tu peux rafraîchir ma mémoire s'il te plaît? Il me semble l'avoir eu ce prof...on a vu la captivante vie de Louis XIII Modifié 5 septembre 2005 par Mister Yellow Citer
Caramel Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 (modifié) Tu peux rafraîchir ma mémoire s'il te plaît? Il me semble l'avoir eu ce prof...on a vu la captivante vie de Louis XIII C'est bien lui ... cours super intéressant mais vraiment (trop ?!) érudit, grand et barbe grisonnante ... Spécialiste en Histoire politique de la France moderne il me semble ... C'était le bon vieux temps Modifié 5 septembre 2005 par Caramel Citer
Mister Yellow Posté(e) 5 septembre 2005 Auteur Posté(e) 5 septembre 2005 (modifié) C'est bien lui ... cours super intéressant mais vraiment (trop ?!) érudit, grand et barbe grisonnante ... Spécialiste en Histoire politique de la France moderne il me semble ... C'était le bon vieux temps <{POST_SNAPBACK}> C'est bien lui, du trop haut niveau pour moi, il a été sympa pour la note d'oral mais sur le moment il m'a taillé en pièces J'étais en contrôle final mais j'assistais à de nombreux de ses cours, il y avait une minette au cul magique qui me poussait à me surpasser edit: c'est vrai que c'était le bon vieux temps, ah nostalgie quand tu nous tiens... Modifié 5 septembre 2005 par Mister Yellow Citer
sujet Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 alors richelieu et non pauvre lieu, et louis treize et les femmes? a-t-il eu treize femmes ? ou autant que toi? - mais tu es jeune ou alors racontes nous ta guerre de cent ans, sans oublier la guerre des deux roses, la rose mauve et la rose violette Citer
Hasdrubald Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 C'est bien lui ... cours super intéressant mais vraiment (trop ?!) érudit, grand et barbe grisonnante ... Spécialiste en Histoire politique de la France moderne il me semble ... C'était le bon vieux temps <{POST_SNAPBACK}> il est pas mort lui?...non je déconne, super prof...et Durlia, il y est toujours? Citer
Caramel Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 il est pas mort lui?...non je déconne, super prof...et Durlia, il y est toujours? Jamais entendu parlé Citer
Hasdrubald Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 Jamais entendu parlé <{POST_SNAPBACK}> une sommité en médiéval, c'était mon directeur de maîtrise Citer
Caramel Posté(e) 5 septembre 2005 Posté(e) 5 septembre 2005 une sommité en médiéval, c'était mon directeur de maîtrise T'as tenté une maîtrise en médiévale ?! :ilédingue: Citer
Caramel Posté(e) 6 septembre 2005 Posté(e) 6 septembre 2005 Médiéval? Il paraît qu'ils s'en donnent à coeur joie avec les jeunes garçons qui n'ont pas la moyenne ... les jeunes filles sont quant à elles brûlées vives Citer
Mister Yellow Posté(e) 6 septembre 2005 Auteur Posté(e) 6 septembre 2005 Il paraît qu'ils s'en donnent à coeur joie avec les jeunes garçons qui n'ont pas la moyenne ... <{POST_SNAPBACK}> Ecartelage? Citer
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