Aller au contenu

Actualités politiques


Mister Yellow

Messages recommandés

De manière générale je ne pense pas que ce soit une très très bonne idée cette liste, en plus ce ne sont pas les forumeurs qui s'y sont mis mais l'un d'entre eux qui a classé les autres (certes, à partir d'une discussion ici, et je sais que le fond n'est pas mauvais. Mais quand même).

Je ne sais pas ce que dit la loi à ce sujet, mais je doute qu'elle voit ce genre de choses de manière complaisante :ninaj:

Signé JC Relou.

Modifié par Vistule
Lien vers le commentaire
il y a 3 minutes, Ibarra a dit :

En plus, on se fait insulter quand on demande d'être enlevé de cette liste.

Message signalé.

🤣

c'est plus que soft ce que je t'ai écrit comparé à la putasserie que tu as sorti l'autre fois

Lien vers le commentaire
à l’instant, Ibarra a dit :

En plus, on se fait insulter quand on demande d'être enlevé de cette liste.

Message signalé.

à l’instant, Ekelund a dit :

🤣

c'est plus que soft ce que je t'ai écrit comparé à la putasserie que tu as sorti l'autre fois

Je pense que personne ne devrait insulter personne, ni Ekelund, ni Ibarra avant ça (avec Vix). Et tout le monde devrait mieux se parler. 

De manière générale, je répète que cette liste est une mauvaise idée (même si ma première réaction a été de trouver ça marrant).

 

  • Crylol 1
Lien vers le commentaire
Il y a 7 heures, Ekelund a dit :

Mise à jour v10 :

- fachos : baroque

- connards de droite : Ekelund, Gollum

- centre droit : Planino, GG, Zitoun, kike, Forrest, Clarkgaybeul, Louvin, Grominet, chubee, FF

- centre gauche/gauche molle : Patman, Vix, Piou, Taz, BigBros

- "vraie" gauche : Vistule, Labinocle, Asha, Flo, Elmo, Regis, Dondiego, Bluejark, Akinsson, Miguelita, JoseyWales, hmg (vote coco, pas LFI, mais gauche quand même), Sienko, NicoPaviot, Elkjaer (oui je sais c'est une girouette, mais actuellement il a admis voter Meluche :ninaj: )

- gauche révolutionnaire : Lacroix, Rastabanana

- gauchiste abstentionniste : Ibarra

- connards apolitiques/nihilistes : Marco, FPIV, BrianJoubert

- à compléter chronos, FredC, Pag, Ma2t

Les seules fois où j'ai voté à droite c'était pour Chirac et Macron mais c'était pas vraiment par conviction... :ninja:

Lien vers le commentaire
Il y a 2 heures, FF a dit :

Les seules fois où j'ai voté à droite c'était pour Chirac et Macron mais c'était pas vraiment par conviction... :ninja:

+1

Et on se retrouve en centre droit, il faut croire que quand on vote à gauche on se ment à nous mêmes -_-

Ou alors qu'il y a la gauche de gauche et la gauche du centre droit :grin:

 

Lien vers le commentaire

Je pense effectivement que vous vous mentez à vous mêmes, mais c'est pas grave, y'a des gens comme vous qui se pensent de gauche mais sont de droite et des gens comme GG ou Piou qui pensent être de droite mais sont en fait de gauche. 

  • Like 1
Lien vers le commentaire
il y a 1 minute, Flolynyk a dit :

Je pense effectivement que vous vous mentez à vous mêmes, mais c'est pas grave, y'a des gens comme vous qui se pensent de gauche mais sont de droite et des gens comme GG ou Piou qui pensent être de droite mais sont en fait de gauche. 

Je pense pas être de droite :grin:

Lien vers le commentaire
Il y a 8 heures, GG a dit :

+1

Je propose de faire un partage simple : gauche ou droite. Comme ça on saura exactement qui on doit détester.

 

message intéressant, et troisième degré !!!

le clivage droite-gauche existe encore, mais il n'est pertinent que sur certains sujets.

une petite précision, étant pro-Europe, pour le multipartisme, contre la peine de mort, etc. etc. etc. j'ai donc une très mauvaise opinion du RN.

MLP a juste rendu la devanture du RN un peu moins effrayante, mais à mon avis, à cause de l'arrière-boutique, le RN-FN est toujours repoussant.

je considère, mais chacun son point de vue, que le RN est aussi extrémiste

 - ni plus, ni moins -

que EnMarche (au service des gafa et autres horreurs) et que LFI.

LFI avait eu ma voix en 2017, mais comme ils se sont durcis, ils ne l'ont pas eu en 2022. quand on voit les propos de certains électeurs LFI, on voit bien qu'une partie importante de ce parti est extrémiste.

et s'il devait y avoir un gouvernement d'union nationale, pour qu'il soit à peu près acceptable, il faudrait qu'il y ait dedans des Modem, des PS & PRG, des LR & UDI, quelques PCF, un toute petite dose de macronistes (mais seulement les moins détestés), mais probablement pas de LFI ni de RN.

 

  • Like 1
Lien vers le commentaire
à l’instant, NicoPaviot a dit :

Ok, Môssieu se paye une Bentley d'occasion et une maison avec cave et chetage, mais il ne se pense pas de droite, laissez moi pouffer...

La Bentley j'ai du la vendre pour payer les croquettes au saumon premium (soit disant celles de Carrefour sont trop sèches 🙄)... 

 

  • Triste 1
  • Bave 1
Lien vers le commentaire
il y a 12 minutes, sujet a dit :

message intéressant, et troisième degré !!!

le clivage droite-gauche existe encore, mais il n'est pertinent que sur certains sujets.

une petite précision, étant pro-Europe, pour le multipartisme, contre la peine de mort, etc. etc. etc. j'ai donc une très mauvaise opinion du RN.

MLP a juste rendu la devanture du RN un peu moins effrayante, mais à mon avis, à cause de l'arrière-boutique, le RN-FN est toujours repoussant.

je considère, mais chacun son point de vue, que le RN est aussi extrémiste

 - ni plus, ni moins -

que EnMarche (au service des gafa et autres horreurs) et que LFI.

LFI avait eu ma voix en 2017, mais comme ils se sont durcis, ils ne l'ont pas eu en 2022. quand on voit les propos de certains électeurs LFI, on voit bien qu'une partie importante de ce parti est extrémiste.

et s'il devait y avoir un gouvernement d'union nationale, pour qu'il soit à peu près acceptable, il faudrait qu'il y ait dedans des Modem, des PS & PRG, des LR & UDI, quelques PCF, un toute petite dose de macronistes (mais seulement les moins détestés), mais probablement pas de LFI ni de RN.

 

C'est quand je comprend ton message que je trouve cela chelou en fait...

  • Bave 1
Lien vers le commentaire
il y a 35 minutes, Piou a dit :

La Bentley j'ai du la vendre pour payer les croquettes au saumon premium (soit disant celles de Carrefour sont trop sèches 🙄)... 

 

Arrêtez de déformer mes propos chaque fois, ça commence à bien faire cette histoire !!

Je n'ai jamais dit que les croquettes au saumon de la marque Carrefour étaient trop sèches, juste qu'elles n'étaient pas assez hydratées !

Il faut toujours que vous me donniez le mauvais rôle !!!

Lien vers le commentaire
Il y a 19 heures, Ekelund a dit :

si les modos l'estiment contraire à la charte et veulent la dégager, qu'ils le fassent

désolée c'est (encore) de ma faute, pour une fois que tu répondais à une question, c'est con :ninja: 

ça a quand même un peu changé ici :ninja: 

  • Haha 1
Lien vers le commentaire
Il y a 1 heure, è_é a dit :

désolée c'est (encore) de ma faute, pour une fois que tu répondais à une question, c'est con :ninja: 

ça a quand même un peu changé ici :ninja: 

tu parles, j'ai pas besoin de toi pour me mettre du monde à dos (je vois qu'il y a eu du ménage ce matin dans les messages, c'était parti un peu en vrille hier), je me débrouille très bien tout seul :ninja: 

Modifié par Ekelund
Lien vers le commentaire
Il y a 4 heures, Ekelund a dit :

tu parles, j'ai pas besoin de toi pour me mettre du monde à dos (je vois qu'il y a eu du ménage ce matin dans les messages, c'était parti un peu en vrille hier), je me débrouille très bien tout seul :ninja: 

Ya eu une embrouille dimanche ?
Vous pourriez pas faire ça en semaine quand je suis en télétravail ? J'ai pas le temps de venir sur le forum le dimanche, je bosse pas :angry:

Lien vers le commentaire

 Anthony Rouault fait partie de la team Start up nation et premiers de cordée d'après sa phrase choc lâchée devant un journaliste de Onze mondial ébahi par l'assurance du gamin. Le Grand Domi voyait en lui le parfait mari pour princesse Lisa mais malheureusement, le ténébreux Anrhony Martial est passé par là. #tu leregretterasmafille 

Lien vers le commentaire

Un peu d'eau au moulin du traitement médiatique de la gôche :
https://www.monde-diplomatique.fr/2022/07/PERRENOT/64830

Révélation

Les barbares à nos portes !

par Pauline Perrenot & Mathias Reymond 

«Barrez la route aux marxistes ! » ; « On ne joue pas avec le communisme ! Il faut voter pour le progrès, contre la ruine, pour la liberté, contre la dictature (1). » À la veille des élections législatives de 1973, la presse gaulliste s’affaire contre l’union de la gauche et le programme commun, faisant écho aux ténors de la droite : « Un accord diabolique », fustige l’ancien premier ministre Michel Debré ; la « fin de toute démocratie », prophétise le dirigeant centriste Jean-Jacques Servan-Schreiber ; « la ruine en cinq mois et la dislocation de l’économie », ajoute le baron giscardien Michel Poniatowski (2). Cinquante ans plus tard, l’antienne du « péril rouge » n’a rien perdu de sa force.

Au lendemain du premier tour des élections législatives, l’ancien ministre de l’éducation nationale, M. Jean-Michel Blanquer, défait, part en guerre contre La France insoumise (LFI), « une extrême gauche antirépublicaine » et « pleine de haine » (BFM TV, 13 juin). Partout, la majorité présidentielle réserve ses coups à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), qui rassemble LFI, Europe Écologie - Les Verts, le Parti socialiste et le Parti communiste français. « Ils veulent au fond l’anarchie, le désordre et la soumission », tempête sur CNews la ministre Amélie de Montchalin (13 juin), tandis que l’appel de M. Emmanuel Macron au « bon sens » des électeurs et au « sursaut républicain » se décline, dans la bouche d’anciens et d’actuels ministres, en injonctions au « barrage à l’extrême gauche » : « Dimanche prochain, mobilisez-vous contre l’extrême gauche qui veut moins de sécurité et plus d’impôts » (3).

Amplifiée par les multiples tranches d’interviews audiovisuelles, cette campagne se déploie sur un terrain un peu inhabituel. À la différence notable des précédents scrutins présidentiels, plusieurs médias jusque-là hostiles à M. Jean-Luc Mélenchon (Libération, Mediapart) ont pris fait et cause pour LFI. Quelques mois plus tôt, le quotidien Le Monde a même interrompu le temps d’un article le pilonnage de ce parti pour rendre un hommage remarqué au sérieux de son programme — avant de se reprendre, début mai, pour en souligner le caractère irresponsable (4).

Après le scrutin présidentiel et avant des élections législatives réputées peu mobilisatrices, les contraintes structurelles du journalisme dictent une dramaturgie bien connue : il s’agira de théâtraliser un affrontement non pas entre les programmes du Rassemblement national, de la coalition d’Ensemble pour la majorité présidentielle et de la Nupes, mais entre M. Mélenchon, campé en vieux routier lesté de tous les vices, et M. Macron, dans le rôle du modéré moderne menacé sur sa gauche. De la nouveauté, du suspense, des coups bas : tous les ingrédients de l’audience se trouvent réunis ! La pièce s’annonce en tout cas plus excitante que les poignées de main en rase campagne des candidats du Rassemblement national, passées sous le radar journalistique parisien.

Un mois durant, la couverture médiatique de la Nupes est à la fois massive et négative (5). Mais, à la vue du bon score de la gauche au soir du premier tour des élections législatives, les chefferies éditoriales substituent à leurs tirs de barrage quotidiens une stratégie de type « tapis de bombe ». Instruit au rythme des chaînes d’information en continu, un procès médiatique décline trois chefs d’inculpation contre la gauche : sa victoire rendrait la France « ingouvernable », la ruinerait économiquement et anéantirait ses « valeurs républicaines ».

Sur France 2, le présentateur Laurent Delahousse soupire : « On va se retrouver devant une Assemblée tellement complexe, tellement lourde, tellement de débats, tellement de fractures… » ; puis il s’agite : « Dix-sept députés mélenchonistes arrivaient déjà à être un mur face au gouvernement actuel, quand ils vont être cent, qu’est-ce qu’il va se passer ? » L’éditorialiste de France Télévisions, Nathalie Saint-Cricq, tremble déjà : « Ça va être absolument ingérable. () Ça va être quelque chose d’extrêmement violent, surtout que Jean-Luc Mélenchon a dit dès le début qu’il y aurait le pôle de l’Assemblée et le pôle de la rue, de manière à faire une synergie ! » Le lendemain, l’effroi gagne les rédactions. « Vous vous imaginez s’ils sont cent ? », s’étrangle le journaliste Renaud Pila sur LCI. Dans Le Point, Bernard-Henri Lévy, qui a consacré quatre de ses dix dernières chroniques à fustiger M. Mélenchon, s’emporte contre « ces tyrannophiles déguisés en aimables agitateurs » qui vont « parasiter le travail des commissions où l’usage républicain veut que siège le principal parti d’opposition » (16 juin). Aussi, pour dynamiser les troupes, Le Parisien — qui affiche M. Macron et sa majorité six fois en « une » durant sept jours, contre trois fois seulement pour la Nupes (certaines couvertures sont partagées) — se mue en coach sportif : « Macron : une semaine pour arracher la majorité absolue » (13 juin).

Deuxième thème : la ruine. Arguant que « les Français vont avoir peur », le président du Mouvement des entreprises de France (Medef), M. Geoffroy Roux de Bézieux, décrète que le programme de la Nupes « va nous amener directement à une énorme récession, et () à une faillite » (Europe 1, 15 juin). Aux grands maux les grands moyens, BFM TV mobilise trois de ses chroniqueurs le 13 juin pour dispenser les mêmes exercices de pédagogie. « Ce programme est véritablement hasardeux, pour ne pas dire dangereux pour l’économie française », alerte Guillaume Paul. Avec un plafond sur l’héritage à 12 millions d’euros, le relaie Pierre Kupferman, « le risque, c’est que les contribuables concernés délocalisent leur patrimoine. Plus de villa sur la Côte d’Azur mais plutôt aux Baléares, on vend l’appartement luxueux à Paris pour en acheter un à Londres ou à Dubaï ». Sur LCI, Jean-Michel Aphatie juge qu’une hausse du salaire minimum conduirait à « une crise inévitable » en Europe (13 juin). « Si vous arrivez au pouvoir, comment vous les rassurez, tous ceux qui craignent que ça va être la ruine du pays ? », demandent Léa Salamé et Nicolas Demorand à M. Olivier Faure, premier secrétaire d’un Parti socialiste désormais coalisé au sein de la Nupes (France Inter, 15 juin). Mais déjà l’éditorialiste Christophe Barbier a exposé sur RMC (14 juin) le troisième chef d’inculpation : un programme certes « économiquement irresponsable », mais aussi « très douteux sur les valeurs républicaines ».

Ce dernier slogan tourne en boucle sur les chaînes d’information en continu : « Est-ce que Jean-Luc Mélenchon est plus républicain que le Rassemblement national ? », s’interroge sur LCI Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du Figaro Magazine (12 juin), pendant que sur CNews Pascal Praud s’affole : « Chaque mot de M. Mélenchon, c’est pour déstabiliser les institutions, le pouvoir, et pour être l’homme du chaos et pourquoi pas d’un climat révolutionnaire (6).  » Sur RMC (14 juin), le chroniqueur sportif Daniel Riolo se déchaîne contre celui qui « admire [Hugo] Chávez, [Nicolás] Maduro, l’antisémite [Jeremy] Corbyn (7), et tout ce genre de clique », avant de conclure que, de Mme Marine Le Pen ou de M. Mélenchon, « le plus antirépublicain, c’est lui ». Au Figaro, la Nupes agite la plume peu roturière de Vincent Trémolet de Villers : « Haine sociale, communautarisme assumé, antispécisme agressif, racialisme tranquille… C’est woke en stock » (14 juin). Se dégage ainsi le portrait politique d’un pays coupé entre, d’un côté, « les extrêmes » et, de l’autre, le « camp de la raison ». « Extrême gauche, extrême droite, comment expliquez-vous cette poussée de radicalité en France ? », demande benoîtement le matinalier de France Inter, Nicolas Demorand, à un pilier de la majorité, M. Clément Beaune (14 juin).

La diabolisation de la gauche rimait dès lors avec une normalisation de l’extrême droite, laissée à l’ombre des critiques. Sur Twitter, par exemple, en moins de huit semaines, le philosophe de télévision Raphaël Enthoven a abreuvé ses 205 800 abonnés de 319 messages contre LFI et les candidats de la Nupes… et seulement 27 contre l’extrême droite. À cinq jours du second tour des élections législatives, le rédacteur en chef du Figaro Guillaume Tabard précisait l’objet de la campagne médiatique en cours : « D’un point de vue tactique, Macron doit susciter un front anti-Mélenchon, c’est-à-dire convaincre les électeurs de droite, de la gauche modérée et même lepénistes de faire barrage à la gauche radicale. » Au vu des résultats du second tour, ce mot d’ordre semble avoir été entendu…

 

 

  • Like 1
Lien vers le commentaire

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.