è_é Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Et tu as tort. alors autant la socio, c'est pas mon rayon, autant la photo, je crois que je maîtrise un poquito
ArrigoPantxi Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 C'est sûr, je parle pas des schizophrènes Je te parle juste de photographie: l'auteur peut très bien choisir son angle de regard en toute conscience sans enculer de mouche (s'il ne sait pas le faire c'est une quichasse). Allez, c'était passsionnant , bon app', à tout'. alors autant la socio, c'est pas mon rayon, autant la photo, je crois que je maîtrise un poquito c'est une quichasse.
è_é Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Je te parle juste de photographie: l'auteur peut très bien choisir son angle de regard en toute conscience sans enculer de mouche (s'il ne sait pas le faire c'est une quichasse). ah mais sur ce point t'as tout à fait raison, mais je ne crois pas que np éliminait ça dans son raisonnement
ArrigoPantxi Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 De toi. Oui ben justement, le rapport entre ce que tu disais et moi, quel-est-il ? ah mais sur ce point t'as tout à fait raison, mais je ne crois pas que np éliminait ça dans son raisonnement Je crois que je n'ai pas mis en exergue ce que je voulais. Allez, je vais me mettre en abîme avant qu'il ne soit trop tard... CU pour la digestion.
bibeyolo Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 mais t'as des bons réflexes Ca biaise un peu moins les photos, en effet :garstropcher:
Baker Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 absolument! Une analyse des pubs sur l’électroménager, c'est de la socio! (bon je prends un exemple archi gros, mais voilà.... par exemple, y a des gens qui donnent des appareils photos à des gosses dans des écoles, et analysent ensuite les images prises : on aperçoit un très fort communautarisme sur les clichés.) Donc, c'est le point de vue des enfants qui est étudié...
bibeyolo Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Le hasard fait bien les choses, ça tombe le jour où t'as le moins d'humour. L'être humain ne connait pas le hasard.
bondurant2001 Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Relis Hughes qui est le parrain de l'observation directe. L'observation dans les labos n'a jamais fait partie de nos méthodes. ça fait partie des méthodes de la psychologie sociale. Si tu veux travailler sur les rapports hommes-femmes tu fais des observations de situations ordinaires mais c'est sûr que que faire du terrain est moins confortable que de foutre son cul sur son canapé pour regarder secret story en se donnant bonne conscience : je travaille! La celebre experience de Milgram, à propos de l'acceptation de l'autorité (ou soumission à cette autorité, aussi criticable soit elle) c'est une experience de labo, non ? le sujet de l'etude croyant participer lui-même à une experience. A moins que ce ne soit qu'un cas particulier ?
dondiego Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Oui ben justement, le rapport entre ce que tu disais et moi, quel-est-il ? Du calme, je ne suis pas l'ignoble Soucasse. En fait si j'explique ce que j'ai voulu dire je vais être mellowé, donc je ne préfère pas. Sache juste que c'était sympathique.
Baker Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 La celebre experience de Milgram, à propos de l'acceptation de l'autorité (ou soumission à cette autorité, aussi criticable soit elle) c'est une experience de labo, non ? le sujet de l'etude croyant participer lui-même à une experience. A moins que ce ne soit qu'un cas particulier ? C'est de la psychologie sociale pas de la sociologie. Mais c'est enseigné en sociologie des organisations parce que l'expérience a permis de complexifier l'analyse de l'homme au travail.
bondurant2001 Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 C'est de la psychologie sociale pas de la sociologie. Mais c'est enseigné en sociologie des organisations parce que l'expérience a permis de complexifier l'analyse de l'homme au travail. Ok merci. sociologie des organisations c'est cela que j'ai bouffé en Sc Eco jusqu'en maitrise (avec des cours de psychologie sociale egalement, merci de mavoir eclairci j'avais qu'a pas rater le Capes )
ArrigoPantxi Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Sache juste que c'était sympathique. Si ça peut te rassurer, ça n'en avait pas l'air.
dondiego Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Si ça peut te rassurer, ça n'en avait pas l'air. C'est pour ça que je le précise, je sais que t'es au moins aussi con que moi.
ArrigoPantxi Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 C'est de la psychologie sociale pas de la sociologie. Mais c'est enseigné en sociologie des organisations parce que l'expérience a permis de complexifier l'analyse de l'homme au travail. Coucou.
Baker Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 Coucou. Tu connais l’expérience de Milgram? Fais un petit tour sur un internet et tu verras que c'est passionnant.
bondurant2001 Posté(e) 13 juillet 2012 Posté(e) 13 juillet 2012 un resumé de l'experience de Milgram pour le film I comme Icare.Attention l'experiènce de Milgram ne peut et ne doit se resumer à cet extrait de film; Je viens par ailleurs de decouvrir que Milgram est un psychologue ! partie 2:
sujet Posté(e) 14 juillet 2012 Posté(e) 14 juillet 2012 après m'avoir interviewé, en 1998, un universitaire avait écrit : "La sociologie figurationnelle d’Elias, qui s’articule autour de la théorie centrale des « procès de civilisation » en établissant un équilibre entre l’idéographique et le nomothétique, s’est essentiellement attachée à décrire l’élaboration, l’apprentissage et l’affinement des conduites et des normes comportementales socialement acceptables qui ont conduit à la formation des sociétés occidentales entre le Moyen Age et le XXe siècle." . maintenant miss-mö peut illustrer la citation par une bande-dessinée,
ArrigoPantxi Posté(e) 16 juillet 2012 Posté(e) 16 juillet 2012 Concernant les expériences de 1000g, des gens les ont reproduites pour la TV (à l'étranger d'abord mais aussi en France), malheureusement le truc à été diffusé qu'1 ou 2 fois car jugée trop borderline, à priori. Dommage, j'aurais bien aimé constaté une fois de plus la bassesse de certains congénères. Sur ce thème, il y a aussi l'expérience de la prison de Stanford en 1971 et un de mes films préférés : l'expérience (L'original allemand est bien meilleur que le remake américain fait 10 ans après, qui n'est pas si mal, pour les allergiques à l'Allemand).
è_é Posté(e) 21 janvier 2013 Posté(e) 21 janvier 2013 un article intéressant : http://www.rue89.com/2013/01/20/cest-impossible-quune-telle-personne-ait-commis-ce-meurtre-238682 j'aurais ptêt du le poster ailleurs mais je savais pas trop où... une phrase m'interpelle : Des enseignants [...] disent : « Certains d’entre eux n’ont pas la compétence de juger. » toujours à se croire supérieurs aux autres ceux-là
Ekelund Posté(e) 21 janvier 2013 Posté(e) 21 janvier 2013 un article intéressant : http://www.rue89.com/2013/01/20/cest-impossible-quune-telle-personne-ait-commis-ce-meurtre-238682 j'aurais ptêt du le poster ailleurs mais je savais pas trop où... une phrase m'interpelle : toujours à se croire supérieurs aux autres ceux-là je savais pas qu'avant 1978 c'était les maires qui choisissait de manière purement discrétionnaire les membres d'un jury d'assises
FranckProvostIV Posté(e) 21 janvier 2013 Posté(e) 21 janvier 2013 un article intéressant : http://www.rue89.com...-meurtre-238682 j'aurais ptêt du le poster ailleurs mais je savais pas trop où... une phrase m'interpelle : toujours à se croire supérieurs aux autres ceux-là Je constate avec délectation que Baker s'est délié de l'influence du cruel olivier Roy en s'exilant à Lille.
NicoPaviot Posté(e) 21 janvier 2013 Posté(e) 21 janvier 2013 un article intéressant : http://www.rue89.com...-meurtre-238682 j'aurais ptêt du le poster ailleurs mais je savais pas trop où... une phrase m'interpelle : toujours à se croire supérieurs aux autres ceux-là Bonjour le préjugé pourri à partir d'une phrase... typiquement féminin ça
bondurant2001 Posté(e) 3 avril 2013 Posté(e) 3 avril 2013 http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20130403.OBS6482/dis-moi-ton-prenom-je-te-dirais-quel-est-ton-bac.html La promotion sociale n'est pas dans l'air du temps en france semble t'il.
Invité Posté(e) 17 octobre 2013 Posté(e) 17 octobre 2013 Up pour Baker, Merci pour l'article. Je suis en train de le lire. Je note au fur et à mesure mes remarques. Ainsi, lorsqu'un injurieur (celui qui prononce l'injure) s'adresse à un injuriaire (celui à qui s'adresse l'injurieur) à propos d'un injurié (celui dont parle l'injure) : c'est l'injure référentielle, car l'injurié dans le discours est le « référent », et l'injurieur ne s'adresse pas directement à lui mais à l'injuriaire. La relation est ici, schématiquement, de type triangulaire. Ou bien, lorsqu'un injurieur s'adresse à un injuriaire qui est en même temps l'injurié : c'est l'injure interpellative. La relation est ici duelle. Ou encore, lorsqu'il n'y a ni injuriaire, ni injurié, et dans laquelle l'injurieur est un jureur car il ne s'adresse à personne : c'est le juron. Il n'y a donc pas ici de relation. Il omet une situation de communication : l'injure elle même a pour référent une personne (ou un groupe) extérieure à la situation de communication. Comme traiter quelqu'un de tapette, d'arabe, de rrom ou de juif (quelqu'un qui ne serait d'aucune de ces catégories). On est dans une situation où le code (comment omettre cet aspect de la situation de communication?!), à savoir le mot en lui même, sous entends que la catégorie est négativement marquée par nature - ou qu'en tout cas, il y a consensus supposé de la part de l'injurieur sur cette nature là. Soit que la "race" ou l'ethnie est de mauvaise moeurs, soit dans le cas de tapette, qu'il y a une déviance relative à la masculinité norm-ale. Perso je trouve que c'est la situation de communication qui offre la plus puissante violence symbolique. Car quand deux jeunes se traitent de "sale juif", la violence qu'il y a entre eux n'est rien comparé à ce qui se dégage de leur consensus de ce qu'est un juif. Alors tu me diras, ils ne font probablement pas le lien direct entre un vrai juif et leur insulte. Mais le problème et là, on est tombé dans de l'homophonie. C'est le même mot, le même son, mais ça n'a pas le même sens. Le problème, c'est que les vrai juif existent toujours, et qu'ils sont de fait associé au champ sémantique de l'insulte "sale juif" qui signifie "gros radin" du fait de cette homophonie. je continuerai l'article un peu plus tard -peut-être me donne-t-il tort ultérieurement.
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